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Total War : Three Kingdoms - La diplomatie
Total War : Three Kingdoms – La diplomatie
Membre estropié, jambe de bois, béquille en mousse, épine dans le pied du gameplay des Total War, la
diplomatie
est l’objet du dernier carnet de Creative Assembly. L’état actuel du tableau est en effet peu reluisant. La diplomatie a connu une première refonte avec Rome II, en 2013, permettant de se passer de diplomates à balader partout sur la carte et amenant une bien meilleure visualisation des contrats passés avec les autres factions… mais rien n’a bien changé depuis, et c’est toujours ennuyant comme la pluie de gérer un simple équilibrage de chiffres. C’est-à-dire que le retou
r ingame
de la diplomatie a toujours été périphérique : on spamme les contrats marchands pour faire rentrer de l’or, et on a deux voies avec qui que ce soit, soit passer graduellement du pacte de non-agression à l’alliance et de l’alliance à la confédération, soit déclarer la guerre, grosso modo.
Quelles sont les promesses amenées avec le prochain Total War ? Ceci est la transcription du premier carnet de développement (
lien original ici
) de Creative Assembly consacré à la diplomatie.
Voici les bases. L’
attitude diplomatique
entre deux factions est toujours le premier facteur à prendre en compte pour signer un pacte diplomatique. Ce qui change, c’est l’
évaluation du deal
. Plus de variables sont prises en compte : non seulement le statut diplomatique et militaire, mais aussi entre autres les actions d’espionnage entreprises, les rivalités entre les seigneurs de guerre et leur menace stratégique. Par ailleurs, outre l’évaluation du coût de chaque partie, le respect mutuel que se donnent les protagonistes est aussi rentré dans la machine. De plus, si le contrat conclu bouleverse les relations avec d’autres factions, son coût va probablement exploser. La distance joue aussi un rôle important : les factions sont éloignées, moins elles sont intéressées l’une par l’autre.
De plus, selon le
rang de noblesse
de chaque interlocuteur, les options peuvent changer. Passer de simple noble à duc, puis à empereur, ouvre la voie à de nouvelles manières d’interagir. C’est une progression verticale inédite dans un Total War.
L’IA va percevoir une
menace principale
pour sa survie, et selon votre position (si vous êtes cette menace, ou si vous la partagez avec l’IA en question, ou si vous êtes en conflit contre), les options vont également changer.
De plus, chaque seigneur possède également une
jauge de fiabilité
, ce qui n’est pas nouveau, qui affecte durablement sa capacité diplomatique. Certaines personnalités de l’IA risquent même, si l’honneur du personnage descend suffisamment bas, de se sentir poussés par le devoir et d’éliminer cette traîtrise infâme.
Les négociations
Afin de rendre l’étape des négociations plus variée, de multiples ressources peuvent maintenant être échangées : non seulement l’or, mais aussi la nourriture, les enfants à marier et même les régions. Conclure un pacte demande d’obtenir un +1 sur le tableau résumant les échanges, ce qui est le score minimal afin de tenir l’agrément de la partie adverse.
Les vassaux
Les mécaniques de la vassalité se sont considérablement complexifiées. Il y a maintenant des véritables bénéfices mutuels à la vassalité, au point qu’il puisse être intéressant d’en devenir un, parfois.
Un vassal paye une taxe substantielle à son suzerain, qui en retour le protège militairement. L’obligation de défendre l’autre dans une guerre est mutuelle, si bien qu’il est dangereux d’attaquer un seigneur possédant de nombreux vassaux.
La bonne relation entre vassal et suzerain est primordiale, et si elle vient à se dégrader, il y a de fortes chances que le vassal prenne son indépendance de force. Mais, du point de vue du vassal, une approche diplomatique peut aussi être tentée, par exemple en rachetant son indépendance à son seigneur. Quoi qu’il en soit, un seigneur peut tout simplement libérer un vassal, et même l’inclure immédiatement dans une alliance, le traitant ainsi comme son égal, ce qui procure un intense bonheur à l’ex-vassal.
De l’autre côté du spectre, un suzerain peut purement et simplement annexer un vassal, ce qui est vu comme une traîtrise, en particulier de la part des autres vassaux, qui peuvent prendre l’occasion pour secouer leurs chaînes et partir en révolte.
Les bénéfices à avoir la main sur un réseau de nombreux vassaux peuvent être immenses : avec les revenus procurés, le seigneur de guerre repose moins sur ses infrastructures propres, lui permettant par exemple de viser la construction d’autres développements civils.
Les actions diplomatiques
Three Kingdoms introduit une nouvelle batterie d’actions diplomatiques à réaliser, que l’on peut classer en quatre catégories : guerre et paix ; commerce et mariage ; alliances ; traités diplomatiques.
Guerre et paix
. Outre les formelles déclarations de guerre et armistices, cette section inclut également une série d’actions de soutien, telles que le support militaire, en plus des options propres aux vassaux.
Une nouveauté
[Ndt : ou plutôt, la renaissance d’un concept qui était déjà là dans Medieval II],
c’est l’
ultimatum
. Il s’agit d’un dilemme risqué afin de forcer un adversaire hésitant à un choix. En l’occurrence, le risque provient du fait que le résultat de l’ultimatum est caché au joueur, ce qui peut aussi bien résulter en un succès, qu’en une déclaration de guerre fortuite.
Commerce et mariage
. En dehors du rôle habituel de l’argent dans les négociations, il est désormais possible d’emprunter ou de prêter de l’argent à une faction, avec des intérêts, bien entendu. Cela peut filer un coup de pouce bienvenu en temps difficiles, mais ne pas rembourser un emprunt est considéré comme un acte déshonorable !
Par ailleurs, la nourriture est également une ressource mercantile, qui peut tenir lieu de l’argent dans n’importe quelle négociation ; de même que les régions.
Le mariage permet également de choisir où résideront les époux, et ainsi d’attirer dans sa cour des personnages très utiles.
C’était un long pavé, qui n’est que la première partie d’un carnet consacré à la diplomatie, mais pour une meilleure idée de la manière dont cela est rendu en jeu, je vous laisse avec une vidéo de gameplay de Creative Assembly :
Pour plus d’infos sur Three Kingdoms, et sur les Total War en général, n’hésitez pas à nous rejoindre sur le forum !
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