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Crusader Kings 3 : Puis-je en avoir plus mon Kaiser ?
Crusader Kings 3 : Puis-je en avoir plus mon Kaiser ?
Voici la traduction du
74ème carnet de développement
de CK3, le jeu de Grande Stratégie Médiévale de Paradox Development Studio, décrivant les décisions de pétitions et d'hommage l'extension Royal Court.
Salutations comtes et ducs ! Aujourd'hui, nous allons examiner la Cour Royale sous un angle différent : votre point de vue !
Bien qu'il soit formidable d'être reine ou empereur, il est parfois difficile de gérer tous ces sujets en compétition. Parfois, vous souhaitez simplement régner sur un petit coin d'un royaume plus puissant, et profiter des avantages de la protection de l'empereur en échange de vos services. Bien qu'une duchesse ne dispose pas de sa propre cour royale, elle peut interagir avec celle de son suzerain par le biais de deux nouvelles décisions.
Pétition au Suzerain
Les joueurs vassaux peuvent adresser une pétition à leur Roi ou à leur Suzerain de rang supérieur à tout moment par le biais d'une nouvelle décision, à condition qu'ils aient suffisamment de Prestige, qu'ils puissent demander quelque chose et qu'ils ne l'aient pas fait au cours des 5 dernières années.
Les possibilités comprennent la demande d'un poste au conseil de votre suzerain, la demande d'un titre auquel vous prétendez, ou le démantèlement d'une faction indisciplinée dans votre propre royaume. Il existe actuellement 14 options différentes, chacune d'entre elles ayant un équivalent dans les événements de type Tenir sa Cour proposés aux Suzerains par les vassaux IA, allant de l'aide à la conversion de vos terres au paiement de vos dettes.
Cela vous permettra de demander des choses directement sans recourir immédiatement à la guerre, qui restera un dernier recours lorsque vous devrez renverser un roi dont la tolérance à l'égard du gore des frontières prouve clairement son illégitimité.
C'est au Suzerain de décider de recevoir ou non un pétitionnaire, mais un refus catégorique nuira aux relations et sera perçu comme légèrement tyrannique. La demande elle-même peut également être rejetée une fois entendue, et les chances d'acceptation par l'IA pencheront davantage en votre faveur si vous faites des demandes raisonnables et maintenez de bonnes relations ; après tout, votre patron ne veut pas être considéré comme déraisonnable.
S'il est astucieux, votre Suzerain peut également demander quelque chose en échange de votre pétition, comme un hameçon de faveur ou un peu d'or - un contre que vous pouvez bien sûr refuser, vous laissant tous deux les mains vides.
Si un Suzerain ne se montre pas très coopératif, vous pouvez également tenter de convaincre ou de déjouer un conseiller de confiance en dernier recours, au prix d'un certain Prestige. Vous devrez réussir un test de compétence dans un domaine pertinent, généralement contre l'un des conseillers de votre Suzerain, ou avoir un allié proche du trône - la femme du Roi peut-être - dont l'assentiment forcera la main de votre Suzerain.
Si vous êtes un Suzerain, vous n'interagirez actuellement avec ce contenu que si vous avez un autre joueur comme vassal et qu'il fait ses propres demandes, sans doute scandaleuses.
La deuxième décision est disponible à la fois pour les joueurs et l'IA.
Rendre Hommage
L'hommage représente l'engagement formel de loyauté d'un seigneur féodal envers son suzerain, et procure Opinion, Renommée et Prestige aux deux parties, à condition que l'occasion se passe bien.
Cette décision coûte un certain Prestige à initier, n'est disponible que pour les vassaux féodaux et les clans, et ne peut être prise qu'une seule fois par Suzerain. Si le Suzerain change ou meurt, vous pouvez faire un nouveau serment d'allégeance à son remplaçant.
Comme dans le cas de la Pétition au Suzerain, cette décision peut être purement et simplement rejetée, et n'est pas totalement sans risque, même si on vous laisse passer la porte. Il y a beaucoup de pression pour qu'un événement aussi important se déroule bien, et tous les seigneurs et dames ne sont pas faits pour parler en public.
Les choses peuvent mal tourner de diverses manières, en fonction des compétences du requérant et d'autres facteurs : Avez-vous consacré des heures à l'apprentissage du normand, ou vous êtes-vous contenté de répéter quelques lignes clés la veille sur la route de Windsor ? Votre shah comprendra-t-il votre bégaiement ou l'imitera-t-il devant toute la cour perse ? Serez-vous à jamais appelé "le Maladroit" par votre sultan vindicatif, simplement parce que vous avez perdu votre équilibre une fois ?
Si quelque chose se passe mal, c'est au Suzerain de décider s'il laisse faire - donner à votre rival l'opportunité de se moquer publiquement de votre maladresse n'est peut-être pas la meilleure idée. S'il décide de vous mettre dans l'embarras, vous perdrez un peu de prestige et d'opinion auprès de votre Suzerain, au lieu de les gagner.
Quelle que soit l'issue, vos deux dynasties gagneront une petite quantité de Renommée, et les récompenses sont augmentées en offrant des cadeaux en plus de votre promesse, comme un changement de Contrat en faveur de votre Suzerain.
Cela couvre largement ces deux nouvelles décisions, donc je vais en rester là pour le moment !
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