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  • Les aventures héroïques de la Compagnie du Frelon

    Extrait du rapport de stage en compagnie d’aventurier par Hélène Lardon, étudiante en 3ème année d’alchimie à l’université donjonique de sorcellerie de Zoyek.

    Présentation de la compagnie du frelon :

    La compagnie du frelon est la compagnie d’aventuriers novices qui a accepté de devenir mes maîtres de stage le temps d’effectuer une mission de type «*larcin en milieu donjonique*» et qui m’ont permis d’envisager sous un autre angle, celui des assaillants, les connaissances académiques de gestion et protection de donjon, ainsi que de marketing donjonique, dispensées à l’université.

    Cette compagnie fût crée dans la nuit du deuxième jour de la décade de la truite à la taverne de l'amulette maudite à Boladar. Les membres fondateurs, au nombre de cinq étaient réunis par hasard à cet endroit.
    Il y avait là Dédé et Charles, deux jumeaux nés de «*l’accouplement forcé*» d’une bergère humaine et d’un raideur orc. Leurs capacités intellectuels étaient limitées par la moitié de sang peau-verte qui coulaitdans leurs veines et par une vie simple de berger dans un coin très reculé des montagnes du nord. Ils avaient quitté leur famille car ils se sentaient rejetés par cette dernière du fait de leur ascendance peu glorieuse et avaient traversé tout le nord du pays jusqu’au modeste village de Boladar, le plus grand rassemblement d’humains qu’ils n’aient jamais vu jusque là, vêtus de peau de mouton et armés d’un bâton de berger et d’une hache de bûcheron rudimentaire.
    Se trouvait également dans la vieille batîsse Kaelath’ Urith, un elfe noir originaire comme beaucoup de ses congénères de la ville troglodyte de Zuruk. Jadis membre influent de sa famille malgré son jeune âge grâce à ses talents d’assassin qu’il mettait au service de son clan lors des intrigues politiques propres aux drows, il fut contraint de s’exiler après avoir assassiné un notable un peu trop influent.
    Venait de Chnafon Miranda Condoin, magicienne titulaire d’une licence de magie de l'invocation. Elle avait été chassé par sa mère qui ne supportait plus de la voir oisive à la maison et espérait ainsi la pousser à reprendre les bancs de l’université pour une maîtrise. Mais la belle magicienne choisit de tenter sa chance à l’aventure, préférant passer ses niveaux grâce à de l’expérience facilement gagnée plutôt que par du dur labeur sur les bancs des amphi-théâtres.
    Enfin, dernier des membres fondateurs de la compagnie, Charles de Bois-Sec, dernier des fils du seigneur de Varig-le-Feuillue, terriblement trouillard, mais ma foi, plutôt bel homme, qui partait à l’aventure pour retrouver l’honneur qu’il avait perdu en urinant dans ses chausses lors d’une joute qui l’opposait au fils du seigneur de Mliuej dans le tournoi annuel de cette même ville.

    La création de la compagnie en elle même fut assez chaotique, mais finalement assez commune : ils avaient accepté une quête alors qu'ils étaient tous passablement éméchés après avoir descendu plusieurs bouteilles d'alcool divers, dont une bouteille d'alcool local dans laquelle macéré un frelon mutant gzorien. Ce dernier breuvage était réputé être impossible à finir en moins d'une journée pour un groupe de six personnes. Eux l'ont bu à cinq en un peu moins d'une heure, exploit qui fut à l'origine du nom de la compagnie.
    La quête qu'ils avaient accepté leur avait été donné par Nelson Panix le prêtre-assistant d'Adathie du village voisin de Plonku. Le clerc avait été appelé par le maire de Boladar pour l'aider à guérir sa fille, empoisonnée par l'ancien apprenti du médecin de la bourgade. Mais le médecin comme le prêtre ne pouvaient au mieux que retarder l'inévitable et décidèrent de mandater un parti d'aventurier pour retrouver le trouver un antidote. Celui-ci se trouvait sans doute avec le criminel qui s'était réfugié dans une grotte à quelques kilomètres du village. Fait étonnant, le grotte était scellée magiquement et défendue par plusieurs brigands qui avaient été engagé comme mercenaire.
    La récemment formée compagnie du frelon accepta la quête et partie dans les bois, titubant sous l'effet de l'alcool avec la mission de capturer le malfrat, trouver un antidote et découvrir comment un simple apprenti de médecin pouvait se payer un enchantement majeur et une garde personnelle. Ils avaient également en poche un papier sur lequel était noté le mots de passe nécessaire pour ouvrir la porte magique qui scellée la grotte*: brouette.

    La suite est assez flou, les membres de la compagnie ne se rappelant plus de ce qu'il s'est passé pendant plusieurs heures. Toujours est-il que les cinq aventuriers se réveillèrent le lendemain matin, dans une grotte obscure, couvert de vomi, enrhumés, avec le cadavre d'un garde qu'ils avaient affreusement mutilé. Le reste de la quête fut assez chaotique, nul ne se souvenait pourquoi ils étaient ici, qui était l'homme qu'ils avaient tué et surtout, ils ne se souvenaient même plus qu'ils s'étaient rencontrés et avaient sympathisé la veille.

    Ils combattirent alors deux hommes drogués et décharnés qui blessèrent grièvement Kaelath Urith avec une bouteille brisée, parlèrent avec un ouvrier agricole prisonnier qu'ils jurèrent de libérer plus tard, trouvèrent la sortie mais ne se souvinrent pas du mots de passe et la confondirent avec une impasse, et finalement combattirent les hommes de mains de l'herboriste dans une lutte des plus grotesque*: chaque groupe tentaient de s'étriper joyeusement de part et d'autre d'une porte à double battant qui servait tour à tour de bouclier et de puissante arme contondante. Après une longue minute de combat, alors que presque tous les combattants souffraient de multiples petites blessures sans conséquences et que le chiens des gardes ait été tué par les coyotes infernaux invoqués par Miranda, les adversaires firent une trêve, exténués. Après le temps des armes, vint celui de la diplomatie.

    L'elfe noir, pourtant toujours grièvement blessé, s'improvisa porte-parole de la compagnie du frelon, tandis qu'un demi-elfe négociait pour les gardes de la grotte. L'échange verbal fut plein d'incompréhension mutuelle. Les aventuriers demandaient à pouvoir passer librement pour rejoindre la sortie, tandis que les gardes leur demandaient de sortir en les laissant tranquilles. Après plusieurs minutes d'échange stériles, les aventuriers comprirent enfin que ce qu'ils avaient pris pour un cul-de-sac était la sortie et que la bout de papier sur lequel était griffonné «*brouette*» trouvé dans les poches de Kaelath était en réalité la clef de leur liberté.

    La compagnie s'enfuie alors sans demander son reste par la porte magique, sans l'herboriste, sans antidotes, sans réponses et sans le prisonnier qu'ils avaient oublié dans leur précipitation.

    Mais ce n'était là que le début de leur aventure commune.

  • #2
    Bon finalement je n'ai pas la foi de continuer ce piètre contre rendu, la partie ayant beaucoup trop avancé depuis. Néanmoins nous sommes arrivés dans un certain tournant dans la partie et je me suis amusé à écrire à la BU quelques lettres concernant de prés ou de loin la compagnie du Frelon, désormais réduite à trois membres et qui a fait une pause à Glargh, l'une des deux plus grandes villes de la terre de Fangh.

    Cela n'a plus grand chose à voire avec le précédent format, hormis au niveau des fôtes et de la qualité d'écriture (malheureusement )




    Missive rédigée à Glargh le dernier jour de la décade des grands retours par Fabrice Dolpert, prêtre de Slanoush de niveau 9, conseiller de la grande prêtresse, à l'intention du commandant Julie Delnieppe en charge des troupes du Dieu Slanoush à Glargh.



    Spoiler:
    Commandant,

    La grande prêtresse tient une nouvelle fois à vous féliciter de la qualité des aspirants paladins que vous avez formé, elle a été très honoré d'adouber hier ces futurs grands guerriers. Un grand jour pour le Dieu aux milles secrets.

    Mais il est désormais temps de s'inquiéter de leur affectation, puisque leur période de repos de deux jours se termine demain. Dans l'essentiel, nous conserverons les mêmes dispositions que l'année passée*: 75*% de l'effectif pourra intégrer une compagnie d'aventurier et partir à l'aventure pour acquérir de l'expérience et répandre la bonne parole sur l'ensemble de la Terre de Fangh. Les aspirants restants se verront intégrer à la garde religieuse de la ville. Nous vous laissons le soin de choisir les fidèles que vous affecterez à l'une ou l'autre de ces missions.

    Je vous informe également que la grande prêtresse souhaite que le plan vigiclodos soit étendu à la zone D et que quelques hommes patrouillent notamment aux alentours de la place Koundar. Les citadins vivant là-bas se plaignent en effet du manque de réactivité des milices privées qu'ils emploient pour assurer leur sérénité, les mercenaires arguant en effet qu'expulser et briser les genoux des mendiants sans permis ne rentraient pas dans les attributions stipulés dans leur contrat. C'est l'occasion pour nous de gagner de l'influence auprès de la classe moyenne.

    Il me paraît d'ailleurs essentiel de souligner, au sujet de la mise en œuvre actuelle du plan vigiclodo, que la grande prêtresse est fort déçue. La perte de deux de nos miliciens surpris et sauvagement assassinés par un vampire alors qu'ils étaient affairés à molester un sans-domicile fixe est une publicité dont l’Église aurait préféré se passer. Nous comptons sur vous pour que cela ne se reproduire plus ou bien vous aurez à vous confronter à l'imagination sans borne de la grande prêtresse pour les châtiments corporels. Nous recommandons que chaque escouade soit dirigé par un paladin de niveau 4 au moins dont l'expérience pourra éviter qu'un nouveau drame ne survienne.

    Puissions nous percer à jour tous les vices cachés de l'humanité.

    Cordialement.

    Francis Dolpert.










    Lettre rédigé par l'archéologue Jean-CLaude Mallepierre à l'intention de la grande prêtresse du temple de Slanoush.


    Spoiler:
    Pr. Jean-Claude Mallepierre,
    Musée de Glargh,
    4 rue Laradasse,
    34 500, Glargh.




    Mme la grande prêtresse du Dieu des milles secrets,
    17 square des chouettes cloutées,
    34 500, Glargh.


    Glargh, le premier jour de la décade des moissons tardives.



    Objet*: Invitation à la réunion d'analyse préliminaire du bilan de l'expédition fanghienne d'exploration.


    Mme la grande prêtresse de Slanoush,

    J'ai la joie de vous annoncer que vous êtes invité à assister à la réunion d'analyse préliminaire du bilan de l'expédition fanghienne d'exploration que je présiderais, en la regrettable absence de M. le conservateur en chef Jules Grimmois,. Vous n'êtes en effet pas sans savoir que les survivants de l'expédition ont atterris avec fracas il y a deux jours devant l'entrée sud de la ville. Le musée de Glargh que je représente et l'Université de la ville ont réussi, en leur qualité de partenaires de l'expédition, à obtenir une copie d'un premier compte rendu et d'une carte qui a immédiatement été reproduite par le service de magie-copie de l'Université. Un exemplaire de chacun de ces documents vous sont remis avec cette présente lettre pour que vous puissiez en prendre connaissance.

    En votre qualité de mécène du Musée, vous êtes invitée à assister demain à 15h, au musée, à une réunion durant laquelle nous ferons le bilan de cette opération d'exploration. Rien ne me ferait plus plaisir que d'accueillir votre auguste personne.

    Je vous prie d'agréer, Mme la grande prêtresse, l'expression de mes salutation les plus respectueuses.

    Cordialement.

    Jean-Claude Mallepierre.





    Documents joints :







    Extrait du rapport de maître Hubert Boullier, huissier de justice à Glargh, rédigé à Glargh le deuxième jour de la décade des moissons tardives.


    Spoiler:
    … Il s'est avéré que l'oeuvre d'art achetée à crédit par M. Cilmessë, pour rappel*: un buste de femme de style menzorrien, n'était pas une authentique sculpture menzorrienne comme il le pensait, mais bien un ouvrage d'artiste bien plus récent. La valeur de ce buste ne suffit donc pas à rembourser les créanciers de M. Cilmessë. J'ai donc été contraint de saisir*: le logement de*M. Cilmessë, une grande partie de sa garde-robe, les meubles de M.Cilmessë, 13 manuscrits lui appartenant, un service de vaisselle en argent, un bâton de sorcier de modèle Romorfal 100, ainsi que la somme de 345 pièces d'or, 4 pièce d'argent et 2 pièces de cuivres prélevé dans son coffre de banque et sous son matelas. Ces saisis suffiront normalement, une fois leur vente aux enchères effectuée, à rembourser les créanciers de M. Cilmessë. Je recommande toutefois à M. le juge de….
    Dernière modification par Archange, 14-03-2015, 17h34.

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    • #3
      Missive rédigée à Glargh, le 9ème jour de la décade des moissons tardives par le commandant Julie Delnieppe à l'intention de la Grande prêtresse du temple de la confession réformée de Slanoush.


      Spoiler:

      Mme la grande prêtresse,

      Voici le rapport préliminaire sur l'affaire du vampire des égouts demandé par votre assistant hier soir. Les informations suivantes n'ont pas encore été totalement vérifiées, un rapport complet suivra sous peu.

      D'après les informations que nous avons pu recouper, le vampire qui sévit en ville depuis quelques semaines se serait installé dans une partie très ancienne des égouts, isolée du réseau central. Les urbanistes de la ville pensent qu'il s'agit d'un ouvrage datant du milieu de la période menzorienne. La créature est vraisemblablement un aventurier s'étant fait contaminer au cour d'un de ses voyages par un vampire plus puissant. Toujours est il qu'il s'est aménagé un petit caveau et a ramener à la vie trois dépouilles squelettiques qui pourrissaient dans les souterrains depuis plusieurs années ainsi qu'un cadavre plus récent qu'il a changé en goule pour le servir.

      Au départ, il se contentait vraisemblablement de rares attaques pour se sustenter sans trop attirer l'attention de la garde sur lui. Mais depuis le début de la semaine ses attaques se sont intensifiées et survenaient toutes les nuits. Il est intéressant de constater que les deux premières victimes étaient des clochards, ce qui nous a fait pensé que le vampire maîtrisait de moins en moins bien sa soif de sang et attaquait n'importe qui le plus rapidement possible. Cette théorie de la folie fût confortée par les deux attaques suivantes*: la première tuant deux de nos paladins débutants en pleine opération vigi-clodos, la deuxième survenant carrément dans un poste de garde de quartier. Mais si l'information avait alors paru négligeable au regard de la mort de deux de nos adeptes et de cinq gardes de la ville, il faut noter que le mendiant interpellés par nos hommes et les détenus de la cellules de dégrisement du poste de garde ont été littéralement mise en pièce eux aussi.

      Mais c'est à ceux moment là que vous avez décidé d'étendre l'opération vigi-clodo à la zone D. Au bout de 4 jours, une des escouades affectées au secteur (comprenant trois aspirants paladins placés sous le commandement de Dagobert Julyvaly, émérite combattant de notre culte, conformément à vos précédentes instructions) a mis la main sur un mendiant sans permis provenant de l'extérieur des remparts. Ils ont réussi à lui faire avouer par où il a réussi à passer clandestinement dans la ville*: lui et ses camarades pouilleux ont découvert un accès à la portion d'égout menzorienne sus-citée. C'est ce qui explique leur prolifération ces derniers temps.

      Malheureusement pour eux, un groupe de dix mendiants tomba un soir nez-à-nez avec le vampire. Il en tua 4 mais les 6 autres purent s'enfuirent. 4 d'entre eux font bien entendu parti des victimes de la créature en début de semaine. En collaboration avec la garde laïque de la ville et grâce au mendiant rescapé, notre escouade découvrit un accès aux égouts à partir de la cave d'une maison en ruine. Les gardes de la villes restèrent à la surface pour sécuriser la zone et prévenir les renforts tandis que nous quatre soldats s'enfoncèrent dans les tunnels avec le clodo pour débusquer le monstre. Ils découvrirent sa crypte, triomphèrent aisément des trois squelettes qui la défendaient mais eurent quelques difficultés avec la goule dont le poison manqua de tuer un de nos hommes qui faillit s'éteindre dans l'infirmerie du temple et qui ne doit sa survie qu'à l'immense compétence de nos hauts-prêtres. Dans tous les cas, nos guerriers ouvrirent le tombeau du vampire, plongé dans un profond sommeil et le neutralisèrent en lui enfonçant un pieu dans le coeur (l'idée de fournir à chacune de nos équipe un petit pieu et un maillet était donc une investissement rentable).

      Nous comptons sur le service de prosélytisme du temple pour que ce glorieux événement soit connu de tous.


      Commandant Julie Delnieppe.

      PS*: Concernant votre précédente requête, deux des membres de l'escouade de Dagobert Julyvaly se sont particulièrement illustrés. Il s'agit du binôme qui a trouvé la piste menant à la cachette du vampire et qui a planté un pieu dans son coeur. Ce sont deux aspirants prometteurs qui sont aptes à devenir paladins. Je pense qu'ils seraient parfaitement adaptés à la mission que vous envisagez, et cela pourra leur faire acquérir de l'expérience. Il s'agit des aspirants Shedao Shaï et Thonir Vatoran. Vatoran a encore besoin de récupérer de son empoisonnement mais un ou deux bons prodiges de soin devraient lui permettre de sortir de l'infirmerie demain après midi si vous le souhaitez.
















      Missive rédigée à Glargh le 9ème jour de la décade des moissons tardives par le Professeur en archéologie Gontrand Mallepierre à l'intention de M. Hubert Henry, premier conservateur du Musée de Glargh.



      Spoiler:
      M. le premier conservateur,

      Je vous informe par la présente que j'ai trouvé un parti d'aventurier pour la mission de recherche du Professeur Jules Grimmois et de son équipe de fouille. Il s'agit de la compagnie du frelon, qui comprend le père Panix, un respectable cultiste d'Adathie. C'est cet homme qui nous a appris la possible existence d'un manuscrit évoquant un comptoir marchand moriaque en dehors de la Terre de Fangh lors de à la réunion d'analyse préliminaire du bilan de l'expédition fanghienne d'exploration qui a eu lieu le 2ème jour de la décade des moissons tardives. Je requiers donc que la somme convenue pour la récompense de cette mission, soit 2000 pièces d'or, soit gelée d'ici le retour de leur expédition.

      La compagnie ne comprend malheureusement plus que trois membres, le prêtre suscité, un demi-orque et un jeune noble de la maison des De Bois-Sec. Toutefois j'ai contacté un pyromancien passionné d'art et d'Histoire qui visitent fréquemment notre musée et il semblerait prés à se joindre à eux. La grande prêtresse de Slanoush va également fournir deux jeunes paladins pour accompagner l'équipe. Elle souhaite en échange que le groupe passe par la cité sylvestre Laritournel en chemin pour récupérer le livre que le père Panix a évoqué. Rassurez vous, je sais que les membres de comité d'administration du musée ne croyaient guerre en la véracité de cet écrit et c'est donc la grande prêtresse de Slanoush qui s'est encore une fois proposée pour fournir à la compagnie du frelon un grimoire de grande valeur susceptible de faire l'objet d'un troc auprès des elfes.

      Je pense que l'équipe devrait arriver à Mliuej aux environs de la fin de la décade des vendanges. Elle prendra ensuite le chemin des mines naines pour retrouver la trace de l'expédition de Jules Grimmois. S'ils le ramènent vivant nous leur donneros bien entendu les 2000 pièces d'or, s'ils ramènent un certificat de décès (que le père Panix, en sa qualité de prêtre de la Justice peut établir) nous ne les rémunérerons qu'à hauteur de 1000 pièces d'or. Je prend également sur moi de leur fournir en récompense quelques objets magiques de la réserve du département d'archéologie, la grande prêtresse de Slanoush leur a promis quelques récompense en nature également.

      J'espère obtenir votre approbation.


      Cordialement.


      Gontrand Mallepierre.

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