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  • #16
    Toujours aussi passionnant!
    Ce qui m'étonne néanmoins c'est que tu rencontres pas une résistance plus accru des athéniens~~

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    • #17
      Envoyé par Faras Voir le message
      Toujours aussi passionnant!
      Ce qui m'étonne néanmoins c'est que tu rencontres pas une résistance plus accru des athéniens~~
      L'empire athénien n'a pas la capacité de défendre sérieusement ses villes qui sont trop dispersées. En plus les villes portuaires seront souvent sans recrue car le potentiel aura été utilisé précédemment pour monter des raid maritime (c'est ce qui s'est passé à Thasos : le raid précédent sur mes territoires avait bouffé toute les troupes de l'île). Le principal soucis avec Athènes ce sont les raids qui m'obligent à laisser a intervalle régulière des phalanges (coûteuses mais seules capables de repousser les ennemis) pour parer à tout débarquement.

      Et je ne sais pas si l'IA est paramétrée pour tenter d'envoyer des renforts par voie maritime en cas de siège (mais de toute façon ils arriveraient le plus souvent bien trop tard)

      Thèbes ou la Perse seront de plus gros soucis militaire car eux n'hésiteront pas à envoyer une bonne partie de leur potentiel militaire dès que je me montrerai à leur frontière (je me souviens dans ma première partie : j'attaque les villes athéniennes de l'Hellespont sans soucis mais j'avais été forcé de reculer en découvrant que l'Hellespont est traversable à pied par les troupes et qu'un flot quasi continu de troupes perses le franchissait pour m'arrêter)

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      • #18
        La fin du tyran de Pherae

        Après avoir pris la ville d'Apollonia le long du Nestus et une ville dans les montagnes du nord, Philippe juge la situation suffisamment stabilisé : le royaume occidental des Odryses n'est plus une menace car refoulé dans les montagnes. Quant au royaume central qui s'étend au delà du Nestus, il reste passif et ne tente rien.

        Philippe peut alors rapatrier ses troupes vers la Macédoine puis de là vers la Thessalie pour porter le coup de grâce a Pherae.

        Ayant reçu un rêve prophétique lui promettant une dure défaite s'il ne marche qu'avec 3 phalanges et deux archers, des machines de siège sur la ville même de Pherae, Philippe décide d'attendre d'avoir concentrer quasiment toute son armée dans les plaines de Thessalie (comprendre par là que j'ai tenté un assaut contre Pherae qui a tourner au carnage généralisé face aux nuées de peltaste du tyran et que j'ai préféré recharger vu l'étendu du massacre iffle: )



        Philippe choisit d'attaquer en premier la ville de Magnesia. Il envoi trois phalanges, trois détachements d'archers et des catapultes. La ville de Magnesia elle-même est vide, mais Philippe espère que l'ennemi va envoyer des troupes en nombre par le défilé s'étendant entre l'eau et la montagne. La supériorité ennemie sera alors annulée et surtout ses nuées de peltastes ne pourront pas encercler les phalanges






        Finalement le bain de sang laisse l'armée du tyran décimée pense Philippe.

        Il choisit donc de marcher sur Pherae



        La ville s'avère mieux défendue que prévue mais cette fois pas de doute : le tyran à rassemblé tout ce qui lui restait



        La ville tombée, Philippe décide de se marier avec la princesse Nikesipolis pour calmer la population des villes conquises alors que ses troupes soumettent les dernières villes du tyran



        De l'autre côté du détroit s'étend l'île d'Eubée totalement contrôlée par Athènes et qui pourrait s'avérer être une bonne base pour une attaque contre la ligue béotienne puis contre l'Attique. En attendant, Philippe devinant que l'île sera le point de départ de raids navals d'Athènes, il envois un ordre à la flotte macédonienne basée à Pydna pour qu'elle gagne un port face à Eubée

        Mais pour le moment Philippe pense à marcher sur les Termopyles puis à retourner vers l'adriatique pour soumettre Epire en mettant sur le trône son beau-frère Alexandre le Molosse

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        • #19
          Hé bien alors, Quid Novi?

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          • #20
            Désolé, je joues extrêmement peu en ce moment (j'ai passé les dernières semaines à terminer un rapport pour la fin de mon contrat et là je recherche du boulot)
            Mais promis, le moment venu je reprendrais cet AAR

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            • #21
              Ma foi:c.
              Bon ben bonne chance pour ta recherche de boulot, et en espérant revoir ton très bon AAR bientôt!

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              • #22
                Balade en Phocide et en Acarnanie

                Partant de la ville de Lamia, l'armée de Philippe marche vers les légendaires Thermopyles



                Cependant Philippe n'a pas la moindre envie de prendre ce passage étroit qui le mènerait directement en Béotie. Il préfère s'enfoncer au sud pour prendre les villes des Phocidiens et libéré l'oracle de Delphes. L'ennemi à déjà concentrer plusieurs brigade d'hoplites et des renforts des autres cités phocidienne sont sur le chemin. Cependant Philippe réussit à attirer plusieurs brigades ennemis hors des Pindes et les mets en déroute en terrain découvert




                Le fort gardant les Thermopyles est pris puis les catapultes font céder les défenses d'Heraclea-Trachis.

                Philippe ne souhaite pas prendre toutes les villes des Phocidiens car cela ferait une trop grande frontière commune avec Thèbes. Il préfére viser la seule ville frontalière à disposer de fermes



                Sans nourriture, les Phocidiens seront obligés de rester passif et le risque sera moindre de voir Thèbes lancer une offensive.

                Enfin Philippe prend la ville d'Amphissa sur les terres de laquelle se trouve l'oracle de Delphes. La libération des terres de l'oracle est une grande avancée pour Philippe.

                Les Grecs ont peut-être l'habitude de se battre entre eux, mais il existe un sujet qui provoque une quasi unanimité chez les Grecs : "il faut venger les profanations perpétrées par les barbares perses durant les guerres médiques". Ce discours avait déjà permit à Athènes d'imposer son impérialisme sur de nombreuses cités. Eh bien le souverain macédonien ne se gênera pas pour faire de même. Et qui sait, peut-être qu'il sera réellement possible de s'en prendre au titan perse.

                Après avoir entendu ces jolis discours et attendu d'être sûr que le ravitaillement des cités conquises était bien assuré, Philippe décide de se tourner vers l'ouest.

                Hors juste à l'ouest s'étend une puissance ridicule, microscopique, négligeable, etc. : la minuscule ligue étolienne au territoire se résumant à deux villes...



                Hélas si faible que soit cette ligue, elle dispose d'un avantage : sa géographie avec un passage aussi large que les Thermopyles et gardé au bout par une cité ayant déjà une bonne petite garnison. Ne souhaitant pas faire un remake de l'armée perse s’élançant sans stratégie sur un minuscule passage, Philippe décide de chercher un autre passage.

                On sort donc une magnifique carte des territoires connus et la solution apparaît : au sud de Metropolis il existe un corridor menant vers la côte



                Aussitôt les ordres sont donnés pour rassembler une puissante armée d'invasion à Metropolis. Plusieurs des phalanges de vétérans qui avaient été laissé sur les plages de Pherae sont justement libérées par l'arrivée de nouvelles phalanges




                Et c'est ainsi que Philippe entre en Acarnanie (territoire de la ligue du même nom) et est tout de suite satisfait : au moins il y a de la place pour manœuvrer ici.

                On applique la bonne vieille méthode consistant à placer des troupes tout autour de la ville pour en couper le ravitaillement en attendant l'arrivée des catapultes.

                Comme il se doit l'ennemi finit par décider de sortir toutes ses forces de la ville et des villes proches. Loin d'être stupide l'ennemi tente de prendre en étau la brigade des hypaspistes mais Philippe ayant senti la manoeuvre à temps, il réussit à envoyer une phalange. les deux unités vont se battre dos à dos face à 4 brigades d'hoplites



                Mais finalement c'est au nord de la ville que l'ennemi réussira presque à détruire une phalange qui perd la moitié de ses effectifs. Mais finalement tout le monde s'en sort, les survivants ennemis sont réduis en esclavage et la ville est prise




                Les villes voisines ayant envoyées toutes leur forces dans la bataille, Philippe ne voit pas pourquoi il devrait attendre avant de lancer une nouvelle offensive même si c'est l'hiver.



                Il marche donc sur Amphilochia, puis sur Ambracia encore plus au nord et enfin sur Kassopia. De là Philippe peut voir la frontière avec le royaume d'Epire






                A suivre dans le prochain épisode : la fin de la ligue d'Acarnanie, une visite sur l'île d'Ulysse et bien entendu la prise des deux petites villes qui ont osées forcer Philippe à faire un détour

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                • #23
                  Ah, content de te revoir!
                  Et encore plus de te lire .
                  Pauvres étoliens : D

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                  • #24
                    De même, c'est un récit très chouette

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                    • #25
                      Merci

                      La fin de l'Acarnanie et de l'Etolie

                      Il ne rester à la ligue arcananienne qu'une seule cité dotée d'une ferme, la ville portuaire d'Acarnania



                      Pendant ce temps la marine athénienne relance ses raids en profitant de la fin de l'hiver. La marine macédonienne tente d'intercepter une des escadres de ces horribles pillards qui profitent de la vitesse de leur trirèmes pour débarquer des troupes qui pillent et brûlent tout ce qu'elles rencontrent.
                      Pour une fois les Macédoniens réussissent à intercepter la flotte ennemi.
                      Hélas la rencontre se conclue par une défaite macédonienne




                      En Acarnanie, une petite escadre de deux trirèmes est mise sur pied en vue d'envahir les îles proches.
                      La première sera le rocher sur lequel régna Ulysse

                      Au même moment Philippe développe une nouvelle lubie. Non content de soumettre tout ce qui est grec ou barbare, il décide de rendre hommage à son grand ancêtres, le tout puissant Herakles en se rendant dans les différents lieux du monde connus où, dit-on, le guerrier accomplit ses douze travaux



                      Heureusement ses amis finissent par le ramener aux réalités du moment : la prise d'Ithaque qui s'annonçait comme une simple formalité se solde par la débandade d'une phalange, les hoplites locaux avaient leur moral surboosté ce qui a leur permit d'encaisser tranquillement leurs pertes. Philippe et ses compagnons prendront finalement la mer pour finir de soumettre le rocher



                      Après ce revers, il convient de prendre l'île voisine abritant deux cités



                      Les choses se déroulent ici sans problèmes



                      Par contre l'établissement des lignes de ravitaillement est un véritable casse-tête et Philippe envois ses soldats s'emparer de plusieurs troupeaux de moutons pour les amener en ville.

                      Une fois assuré qu'il n'y aurait pas de soulèvement, il établit son plan pour enfin soumettre l'Etolie :
                      une phalange et les archers marcheront depuis Stratos sur Thermon tandis qu'au même moment Philippe et une phalange + une catapulte débarqueront près de Naupactus.

                      La phalange partie de Stratos réussit avec peu de pertes à mettre en déroute les hoplites de Thermon tandis que les archers ont une fois de plus prouvé que s'ils ne sont guère courageux, ils sont parfait pour s'occuper des peltastes ennemis.

                      La pris de Naupactus est plus longue car l'ennemi avait eu le temps de lever plusieurs unités de bien renforcer les murs de la cité




                      De l'autre côté du détroit, Philippe peut admirer les côtes nord du Péloponnèse. En réponse à ses avancées dans la région, la ligue achéene qui occupe une partie du nord de la grande presqu'île , à renforcer ses défenses, mais de toute façon Philippe ne souhaite pas débarquer de l'autre côté. Il sait que le Péloponnèse est une région dangereuse avec son relief escarpé et ses nombreuses factions.

                      Il préfère se tourner vers Epire, patrie de l'une de ses épouses et dont le frère revendique le trône.

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                      • #26
                        Au coeur du Pinde

                        Après avoir soumis l'Acarnanie et l'Etiolie, Philippe annonce à ses conseillers sa volonté d'aller détrôner Arymbas, roi d'Epire, pour mettre à sa place le neveu de ce dernier et beau frère de Philippe : Alexandre le Molosse. Les troupes se concentrent donc à la frontière.




                        Au même moment la marine remporte une belle victoire en réussissant à intercepter au large de Pydna et à couler 5 trirèmes d'Athènes sans aucune perte







                        L'objectif de la campagne sera de prendre la ville de Molosse elle même ainsi que la ville de Dodonna située juste au sud. Une fois ces deux villes prises, il sera possible d'inviter Alexandre à quitter le confort de Pella pour être couronner roi d'Epire (ce qui se traduira dans le jeu par une baisse importante de l'hostilité de la faction Epire, rendant l'occupation des villes bien plus facile)

                        Mais Philippe choisit d'abord de prendre la côte avant de marcher sur les deux villes objectifs situées au coeur des montagnes du Pinde



                        Tout en assiégeant la ville, Philippe réussit à tenir le défilé nord par lequel des renforts tentent de passer



                        La prise d'Eliatis est rapidement suivie par celle de Gitana au nord. Philippe décide alors de marcher sur le coeur du royaume



                        Au même moment Thèbes lance un raid sur la frontière avec pour objectif de mettre le feu aux granges. En plus des habituels peltastes et cavaliers grecs, Thèbes à envoyé une de ses brigades d'hoplites qui ont fait sa réputation



                        Plus nombreux que dans les formations standard d'hoplites, ils sont plus résistants aux missiles et leurs compétences en matière de siège sont plus importantes. Néanmoins ces hoplites s'avèrent tout aussi mortels face aux sarisses macédoniennes

                        Finalement après un siège et des batailles rangées, Molosse et Dodonna se rendent




                        Emporté par l'euphorie de la victoire, il envois une seule phalange pour prendre la ville de Phonike



                        Erreur qui s'avère fatal pour les soldats d'Heraklea Lyncenstis.



                        Philippe avait oublié que si le coeur politique du royaume était pris, les cités adverses avaient encore de la ressource en terme de conscrits et que les riches cités du nord du royaume, Epidamnos en tête, n'étaient pas encore prises.

                        Finalement il part pour mater Phonike et en profite pour prendre la ville voisine de Parauia



                        Philippe songe déjà à la prochaine campagne, aux longues marches qu'il faudra pour regagner les Rhodopes quant son regard est attiré par une petite zone verte sur la carte qu'il examine avec ses conseillers.

                        -ainsi donc il y a toujours des Illyriens libres ? Moi qui pensait en avoir finit avec eux...
                        -1 ou 2 villes tout au plus mon roi. Et sans ressources, sans quoi nous aurions certainement entendu parler de brigands illyriens brûlant nos fermes
                        -les pauvres... Sans nourriture, au coeur de ces lugubres forêts montagneuses. Nous allons les libérer avec nos sarisses, comme ça une fois soumis ils recevront de la nourriture. Que nous sommes bons

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                        • #27
                          C'est vraiment bien comme récit.
                          Mais en voyant la carte, j'ai un doute. Tu peux envahir la Perse apres ou le jeu se limite a la maitrise de la Grece?

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                          • #28


                            Bref, de l'empire perse, seule la Lydie est représentée.

                            Le but du jeu est d'engranger 30 points d’hégémonie, que seules certaines missions rapportent.

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                            • #29
                              Contre la Ligue Béotienne, ca risque d'être un peu plus dur ou pas?

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                              • #30
                                Envoyé par Faras Voir le message
                                Contre la Ligue Béotienne, ca risque d'être un peu plus dur ou pas?
                                Plus dur que pour Epire oui, mais ce ne sera pas trop compliqué non plus si je m'y prends bien.


                                Si j'attaque par la voie terrestre depuis les territoires phocidiens, ce sera un massacre pour mon armée (terrain difficile, présence d'un sanctuaire boostant le moral des troupes béotienne des environs). Je le sais, je l'avais fait dans la toute première partie que j'avais commencé sur ce jeu (mais j'avais fini par abandonner car le jeu était assez instable à l'époque) et j'avais dû finir par reculer devant l'importance de mes pertes.

                                Ce serait peut-être différent avec le système de points de recrue introduit par la Gold (lesdits points de recrues se régénérant assez lentement, il faut beaucoup de temps pour qu'une unité détruite soit reconstituée une fois la réserve utilisée) : maintenant l'IA ne peut plus littéralement spammer le joueur avec ses formations qui se régénèrent en 1 minutes (mais moi aussi il faut que je fasse plus attention qu'auparavant : en dehors de Pella et de quelques autres villes, le nombre de points de recrue maximum est souvent faible. Par exemple à Ageae le maximum est de 60 points de recrues, une phalange demandant justement 60 points. Si ma phalange issue de cette ville est vaincue, elle sera de nouveau à pleins effectifs en 3-4 mn. Mais après il faudra bien compté 20-30 minutes pour que le réservoir de recrue se remplisse à son maximum...)


                                La meilleure solution pour les battre est de débarquer sur Eubée puis de là attaquer directement le coeur de la Beotie où il y a suffisamment d'espace pour se placer correctement

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