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maximus1er
Eplucheur de patates
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#1
legion III roma
13-04-2012, 09h19
LA LEGIO III ROMA
La légion III ROMA était en garnison a MAGONNACUM, quand l’ordre de marche a notre avant-garde fut donné .Elle devait traversée environ ‘ 20km’ de terre inhospitalière, au delà du Rhin.
Elle se mit en route des l’aube, se composant de 1900 hommes et de 200 cavaliers.
Les cohortes I et II, comptant 1280 légionnaires ; de la cohorte I auxiliaire (500 hommes) et des TURMAES I, II, III et de la IV (200 cavaliers).
A la fin de l’âpres- midi, le camp ROMA III, fut débuté, et terminé avant la nuit.les TURMAES I et II furent envoyées en patrouilles des le début de la construction du fort et seule la III légionnaires et la I auxiliaire s’employèrent a l’édifice.la I ère légionnaire resta en alerte autour du camp toute la nuit, sans apercevoir d’ennemis.
L’état d’alerte fut instauré jusqu’ a l’arrivée du gros de la légion le lendemain matin .il fut décidé que seul la I ère auxiliaire appuyée par la I ère TURMAE resteraient en poste dans le fort (environ 550 hommes).
La légion passa un journée entière a entasser des provisions pour le fort et elle-même.
L’ordre de marche tomba le lendemain, et la légion ROMA III se remit en branle.
La nouvelle avant-garde se composa de la V ème TURMAE en arrière, de la II et III ème légionnaire au centre et des TURMAES II, III et IV a l’avant du dispositif.
Le centre de 5 cohortes légionnaires (VII, VI, V, IV, et de la I ère).
L’arrière garde de 3 cohortes légionnaires (X, IV et VIII), de la II ème auxiliaire et enfin de la VI ème TURMAE.
Les flancs étant gardés de chaque cotés par 4 cohortes auxiliaires et 2 TURMAES.
La TURMAE IX servant de liaison et d’estafette.
8020 soldats/cavaliers, composaient au départ du fort la légion ROMA dont 400 cavaliers.
Les éclaireurs eurent comme ordres de ne pas accrocher l’ennemi mais de rendre compte au plus vite de ses faits et gestes tout en évitant le combat.
Une marche forcée de 30 km fut effectuée ce jour la et ce fut en fin de journée que la colonne d’hommes et de bêtes fourbu, s’apprêta à construire le deuxième camp.
Celui-ci fut construit en moins de 3hrs et tous les hommes purent enfin prendre un peu de repos .le fort se dressait juste en face du fleuve et du pont qui l’enjambait.
Pont construit des mois auparavant par la garnison du fort ‘AURIUS’, forte de 1860 hommes et dont les nouvelles n’étaient pas des plus encourageantes voir absentes depuis quelques semaines maintenant.
Le fort construit, les hommes rassasiés, les tours de gardes furent donnés .les bois environnant le site s’avérait des moins engageants et des plus hostiles mais toujours aucune trace de l’ennemi.
Une TURMAE de reconnaissance serait envoyé des le lendemain matin à l’aube pour reconnaitre les lieux.
1er jour de combat
Des les premiers rayons du soleil, la TURMAE II et la II cohorte auxiliaire furent envoyées en avant du pont, a l’orée du bois de cette foret dense la petite troupe tomba dans une embuscade alors que les cavaliers étaient plus en avant.
La cohorte fit de son mieux pour se mettre en défense alors que les traits ennemis tombaient drues sur elles .les piquiers firent face et les archers numidiens se placèrent aux centre de la formation, et se mirent a faires pleuvoir de leurs flèches sur les arrières germains.
Nombrent de traits se figèrent dans les troncs cernant et protégeant les ennemis, certaines firent mouches tout de même .la cohorte ferma enfin son carré défensif et la deuxième ligne put se mettre en place tandis que les lanciers tenais a bonne distance les premières vagues de l’ennemis.
Une déferlante de germains sortit soudain du bois situé a gauche de la formation, compacte et hurlant toutes leurs haines envers les romains, ils se jetèrent en avant droit sur les lanciers qui en étripèrent quelques uns mais furent vite submerger par la violence du choc et le nombre d’assaillant .la deuxième ligne fut vite mise a contribution tandis que nos archers criblaient de flèchent la horde de germains.
Un combat sanglant s’engageât, des corps, des jambes ; des membres tombèrent ça et la et la férocité de la bataille s’intensifia.
Les survivants de la cohorte ne durent leur salut qu’au retour de la TURMAE qui déboula dans les arrières de l’ennemi en les fauchant tels des blés murs, mettant en fuite le reste des assaillants. Nombres de morts et blessés gisait sur le champ de bataille, et seuls les moins touchés purent être secourus par leur camarades, sous une pluie de flèches surgit du tréfonds de la foret.
Le reste de la colonne de reconnaissance dut se replier en bon ordre toute fois mais harceler par les germains qui ne lâchaient rien.la vingtaine de cavalier qui restaient dut s’occuper d’un groupe de cavaliers germains sorti de la lisière du bois chargeant la colonne en retraite et les archers les couvrirent dans cette œuvre.
Les attaques s’arrêtèrent aussi brutalement qu’elles avaient commencées quelques heures plus tôt et la protection du fort fit redoubler de prudence les germains qui se replièrent dans la foret .nous entendîmes le cris de nos blessés restés en arrière, achevés par l’ennemi sans aucune pitié et sans qu’aucun de nous puisses les secourir sans en subir le même sort funeste.
Une centaine d’hommes, et sans compter le nombre de blessés grave ou léger, gisait au fond de la clairière. Plus de deux centuries étaient tombées dans cette première bataille.
Cela promettait des lendemains sanglants ….
Moins de 10 estafettes furent de retour ce jour la, sur un totale d’une cinquantaine envoyée ça et la en avant du pont et des bois l’entourant et toujours aucune nouvelle de la garnison AURIUS.2 cavaliers nous apprirent que d’importantes troupes convergeaient vers nous et que plusieurs de nos éclaireurs étaient tombés sur leurs avant-garde et n’en réchappèrent pas.
Il fut décidé que la mise en place d’une seconde base de défense entourant le fort serait construite .des pieux furent placés, des fossés furent creusés et des pièges furent disposées en avant et sur les coter du fort.
Une base de repli fut entrevue avec tous les centurions et tribuns, convenant que se serait le dernier point de défense en cas de débordement. Ce dispositif complétant la fortification du fort et protégeant notre seul point de repli vers le Rhin et de sa sécurité toute relative.
Il fallut plus d’une journée à trois cohortes pour ramener de l’arrière le bois suffisant a la construction de la double palissade et des pièges. Le plus étrange fut que les germains nous laissèrent faire ce dur labeur sans en entraver les travaux.la sourie construisait sa cage et le chat n’aurait plus qu’a venir la chercher …..
Les avants du pont furent renforcés au mieux, et piégés.
6 jours passèrent aucune escarmouche, la troupe commençait a trouver le temps long et l’impatience se mêla aux doutes et a la crainte .si l’ennemi nous avait tourné, nous nous trouvions en ce moment sur ses arrières fait comme des rats et attendant le coup de grâce.
L’inaction ne pouvait être une solution, la légion devait se remettre en marche et affronter son destin.une garnison de 1050 hommes resta en poste, composé de la III et IV auxiliaires et de la III TURMAE.
La légion III ROMA composée maintenant de 6205 hommes se remit en marche des le matin, non sans crainte de ce qui l’attendait dans ces bois si sombres et menaçants.
La VIII TURMAE se porta en avant de la colonne avec ordre de rapporter tout fait de l’ennemi, la II, III légionnaires et la IV TURMAE composait l’avant-garde.
Le centre était composé de la I, IV, V, VI, VII, VIII et IX légionnaires.
La X légionnaire, V auxiliaire, VI et V TURMAE composait l’arrière garde.
Les flancs étant confiés a la II auxiliaire épaulé par les II et VII TURMAE.
Apres plusieurs heures de marche sous un soleil de plomb mais sous la protection de l’épaisse foret, qui malgré son calme relatif nous oppressais de sa lourdeur.
Les rayons ne pénétrait que faiblement de par et autre des arbres touffus.
Impossible de savoir si nous étions épies ou non, mais nous avions tous la désagréables sensation que des milliers de pairs d’yeux nous regardaient nous débattre sous la chaleur et la marche pénible qui en résultait.
3 estafettes furent envoyées des le début de la marche et aucunes n’étaient encore de retour, cela t’il, inaugurait de funestes augures ou n’avaient t’elle en fait rencontré aucune âmes qui vivent ? …
Le début d’une clairière verdoyante et calme apparut âpres un détour de chemin ;cela faisait des heures que l’on marchait a travers cette épaisse foret ,qui nous étouffait et agressais de son faux calme ,comme si elle nous prévenait que nous marchions au devant de notre propre mort .le tribun Caius décida que la clairière ,plate et dégagée nous servirait de camp pour la nuit .un troisième fort fut érigé par notre génie aidé de 4 cohortes .la palissade fut doublée ,un fossé vint compléter le dispositif ainsi que les inévitables pièges comme il sied en terrain hostile .
Le fort faisait face dans sa longueur, a la lisière du bois le plus profond, d’où pouvait venir une attaque mais le reste des protections ne furent pas pour autant de mauvaises qualités.
La garde fut doublée et chaque cohorte, centurie resta en éveil.
Un maximum de bois taillés fut entassé du coter des écuries, de sorte que chaque brèche pourrait être comblé en un temps record.des provisions de fruits et de baies furent a leur tour entassées du même coter .la nuit tombante nous apportât son lot de nouvelles en la personne d’une de nos estafettes, une flèche dans la jambe ….il nous rapportât en reprenant son souffle et en même temps qu’il se faisait soigner, que le fort AURIUS et sa garnison avait été complètement annihilé depuis plusieurs jours maintenant et qu’une épaisse fumée s’en dégageait encore avec aucune trace de survivants .
La II turmae fut envoyée sur nos arrières en direction du fort d’appui pour en assurer la liaison, et fut de retour assez rapidement, nous étions coupés de nos renforts.
La défense du fort fut organisée en conséquence, les tentes furent démontées pour parer a tout feu, a l’exception de celles qui feraient office d’asile pour les blessés, en les protégeant au maximum derrière une nouvelle palissade de rondin et de terre.
Les cohortes prirent position derrière les palissades, toutes les turmaes furent démontées et refondu en centuries de 50 hommes.
Leurs chevaux furent positionnés au centre du dispositif ainsi que le train de bagages et ses cuisines.
Le lendemain, âpres une nuit de veille éprouvante, les postes de gardes restèrent inchangés et toute la légion se tenait en alerte .quand le soleil fut a son plus haut, des tambours, des cors puis enfin des cris de guerre se firent entendre au loin, mais encore trop prés a notre gout.
Les glaives frappaient contre les boucliers, les chants de guerre se faisait de plus en plus pressant, ça nous glaçais le sang jusqu’au plus profond de nos êtres, nos tripes se nouaient et nos cœurs se serraient.
Ça sera un combat a mort sans nul doute, de ce moment la jusqu'au lendemain matin, l’ennemi nous tenais éveiller avec ses chants, entrecouper de voler de flèches, heureusement sans grande conséquence pour nos hommes mais d’un grand effet psychologique sur nos nerfs.
L’enfer se déchaina des l’aube sous la forme de pluies de flèches aussi drues et mortelle que des dards d’insectes, piquant les hommes trop imprudent, et très appuyées sur le nord et l’est du fort. Puis un des cries gutturales se firent entendre, de ceux qui laisse les hommes figées de peur et d’appréhension.
Une masse compacte de milliers d’hommes sortie du sous bois, couverte par une volée de flèches, en un mouvement ondulé d’avant en arrière, nous faisant comprendre que la vague allait bientôt nous submerger totalement. Puis celle-ci se désagrégeât en lâcha sur nous ce flot hurlant, haineux de germains prêt a nous étriper tel des animaux.ils affluèrent sur la palissade est, les archers de la VII cohorte firent pleuvoir a leur tours des trais meurtriers qui éclaircissere les rangs ennemis ,cela eut pour effet de décupler la hargne des germains qui se ruèrent tel un seul homme sur les pieux ,couvrant de leur corps criblés de flèches et bouchant de même nos pièges tout en se faisant piétines par leur congénères. Leur sacrifice desservait nos défenses et aidait les assaillant dans leur but .les hastatis de la VI et VIII cohorte se tenir prêt au corps a corps, tandis que leur vélites lancèrent leur premier javelot, puis le second et enfin le troisième et se replièrent en défense devant les écuries prêt a en découdre avec tout ennemis franchissant les palissades.
Les premières vaguent de germains furent clouées sur place, le remblais était inondés de leur sang, des corps roulaient en bas de celui-ci, puis l’entassement était tel que le reste des assaillants s’en servirent comme d’un monticule d’assaut, nous ne pouvions pas enlever cela aux germains, ils combattaient avec fougue et hargne et aucun de reculait, quitte a mourir sur place, empalé sur un pilum ou un gladius.( glaive ).
Les vagues se succédèrent, interminables, avec un flot de plus en plus énormes de combattants, les bas du fort était jonché de cadavre de tous bord, entremêlé dans des positions sordides. S’aidant de leur monticule de cadavre, les germains furent bientôt aux contacts de notre première ligne, et le corps a corps débuta, violent et rageant .ce fut une véritable boucherie, des tètes, des membres, volaient en tous sens dans un tourbillons de sang ,une brèche venait de s’ouvrir et nos hastatis se bâtirent tels des lions .
Les principes furent mis a contribution quand la première ligne se fi bousculer par un flot de germain qui ressemblait fort a des taureaux, terrassant tout sur leur passage.
Nos hommes forment une rangés de boucliers s’appuyant les uns sur les autres et attendîmes le choc, la violence fut telle qu’ils reculèrent sous le poids, puis stabilisèrent l’assaut en le contenant pendant que nos archés criblaient les arrières de l’ennemi.
La V, VI, VIII et la VII furent engagée enfin dans la mêlée, le reste de notre première ligne se replia derrière le rempart de bouclier et de pilum.
Dans un mouvement tournant la VI prit les assaillants sur leur gauche et commença à en faucher autant que cela étais possible tout en les repoussant vers la brèche.
La V cohorte auxiliaire prit la place de la VII légionnaire qui avait subi la principale attaque et le plus de pertes.les survivants se mirent au repos vers les écuries et protégeant les tentes des blessés .il était plus de midi quand le bruit des armes et les cris de guerre fit place aux cris d’agonies et de souffrance des blessés.
Les vagues ennemis se retirent aussi vite qu’elles étaient monté a l’assaut, et la fureur des combats se fit diminuant pour enfin s’éteindre dans un râle d’agonie .notre ligne avait tenu le coup, malgré cette brèche béante telle une balafre sur le fort, les germains ont sans doute voulu faire durer leur plaisir, une poussée de plus et le camp aurait été envahie et les combats se serait porter en son intérieur.
Le répit fut de courte durer, de nouvelles troupes ennemis se présentèrent devant le fort ,cette fois ci du coter sud des palissades .
L’assaut fut tout aussi brutal que les précédents, 4 cohortes furent prise a parti des le début dont la V déjà durement éprouvé .les germains donnant l’assaut a l’aide d’échelle firent les frais d’un premier jet de pilum accompagné d’une pluie de flèche. Le flot germain était d’une tel intensité que les remparts malgré tout furent submergé pas la nuée d’ennemis, et un furieux corps à corps s’engageât de nouveau.la brèche a peine comblée par nos lanciers ,un assaut vint se jeter dessus avec une telle furie qu’il fut décider que les 8 centuries des 4 cohortes engagées ,seraient employés a faire une sortie et a prendre a revers les germains se lançant a l’assaut de la brèche .l’ordre fut donné et aucun ne rechigna a la tache ,c’était une question de survie .
640 légionnaires se préparent dans un clinquement d’épée a peine couvert par les cris de combats venant des palissades sud .la porte fut ouverte ils s’engagèrent en marche compacte ,bouclier contre bouclier ,couvert par une volée de flèches qui cloua les germains se trouvant devant eux .la course fut ordonnée et d’un mouvement très spartiate ,la colonne dans un élan irrésistible se fraya un chemin a travers les rangs ennemis .2 centuries se mirent en rempart devant leurs camarades en formant un demi-cercle de bouclier et de pilum ,les germains se jetant dessus comme des enragés ,le reste contourna la palissade et tomba a bras raccourcis sur les germains pris entre ‘ deux fronts’ a l’intérieur et a l’extérieur .il fallait au maximum dégagé la brèche le plus rapidement possible ,la pression devenant de plus en plus instable sur la barrière de protection des boucliers .la curée commença des deux coter ,aucun ne voulant lâcher prise ,nombre d’hommes de tout bord jonchait le champ de bataille et il était extrêmes difficile de ne pas trébucher sur un corps ,mort ou blessé .la fatigue commençât a gagner les deux camps ,et le jour touchait a sa fin ,la pression se relâcha ,seul les germains restant encore au niveau de la brèche combattait avec l’énergie du désespoir ,sentant leur fin au bout des pilums .au bout d’un moment plus aucun ennemis ne resta debout a cet endroit ,la brèche avait été libérée.
L’ennemi se replia encore une fois à l’ abri des ses bois, laissant nombres de morts et de blessées sur le champ de bataille.
Sur les 640 légionnaires, plus de 250 des leurs gisaient, et une centaine de blessées furent emmené sur nos arrières.
Et plus de la moitié de survivants étaient épuisés .la journée avait été rude et nombre de nos hommes y avaient laissé leur vies.
Le fort devient un vrai ‘ hôpital de campagne ‘ tellement de blessés grave ou légers s’y entassaient. En cette journée de combat, plus de 10 cohortes avaient été engagées, leurs effectifs furent complètes par la I légionnaire. Seuls 3 centuries de turmae et 2 cohortes légionnaire n’avaient pas combattu.la VI turmae restant à la garde du praetorium et des écuries.
La nuit se passa sans aucun incident et nos hommes purent enfin prendre un repos salvateur.
Des l’aube, les assauts reprirent de plus belle, du coter est et sud, encore.
La brèche de la veille ayant été comblé grâce a nos rondins précieusement mis de coter des la construction du fort.
Il fut probable que toutes leurs réserves furent jetés dans la mêlée ce jour la, un nombre impressionnant d’hommes, de cavaliers se jetèrent sur le fort avec des hurlements de bêtes.
Nos hommes en était a leur 2 Emme jour de combat sur les palissades, les légionnaires de la I lego, redonnèrent de l’élan aux cohortes refondus, et ils redoublèrent de vaillances et de combativités, cette bataille eu un gout particulier tant elle faisait penser au dernier assaut de la part des germains, tant l’intensité de la mêlée était palpable. Malgré nos précautions ,la porte du fort ,enflammée et se consumant ,se désagrégeât en un bruit d’os que l’on brise ,la ruée des germains se fit de ce coter la .toutes nos réserves furent jetées dans le combat, un flottement se fit sentir du certainement a la fatigue ,mais nous tenions encore la ligne .encore une fois la bataille se porta a l’intérieur du fort et a l’extérieur ,tout n’était plus que furie du corps a corps ,du sang coulait a grande eau de toute part ,des corps s’écroulait ,parfois deux ,dans une ronde mortelle ,agrippé a l’un et a l’autre .des cavaliers germains se frayaient un chemin a coup de haches ,d’épées ,a travers nos hommes ,les fauchant ,les taillants comme du blé murs .
Ils furent stoppés par nos triaris de la X cohorte légionnaire .s’empalant sur le mur de piques de ceux-ci .le camp des blessés en fut soulagé.
Les cavaliers se firent hachés par nos archès démontés, en protection des triaris, qui a leur tour usèrent de leur piques et en massacrèrent un grand nombre.
Le peu de survivant furent achevés par la IV turmae démonté qui se jeta sur eux comme des lions, aucun n’en rechapa .puis dans un élan, aidé par les triaris,se lança en direction de la porte en bousculant les germains ayant l’impunité de se trouver sur leurs chemins .
Les combats se portèrent au delà des murs ,1 cohorte de réserve se porta en avant ,l’ennemi recula enfin ,sous son impulsion ,jusqu’au niveau de la lisière de la foret .une lutte féroce s’engagea entre les survivants du camp, notre cohorte de soutien et les germains qui finirent par perdre tout appui et commencèrent a se débander dans les bois .des cadavres ,des blessés s’entassaient ci et la du champ de bataille .nombres d’entre eux furent achevés par nos auxiliaires et la curée ne faisait que commencer.
Emporter par leur élan, nos hommes s’enfoncèrent de plus en plus dans cette sombre foret, les combats ressemblaient plus a des embuscades qu’a autres choses mais continuaient malgré tout ; seule la nuit tombante nous fis reculer sous la protection du fort. Nombre de nos vaillants soldats gisaient sur le champ de bataille, mais les germains avaient enfin lâchés prisent, et des milliers des leurs ne se relèveront plus contre nous.
La journée avait été rude des deux coter et l’on sut de la bouche d’un prisonniers, que les toutes dernières forces ennemis avaient été jetées ce jour la et que leur réserve ne serait la que dans quelques jours. Cela nous laissais assez de temps pour nous réorganiser et peut être nous replier au delà de la rivière à l’ abri de notre premier fort de soutien. Mais pouvions nous prêter attention a cette homme ou nous menais t’il tout simplement a notre anéantissement totale !!?les tribuns ,centurions ,furent convoqués en vu d’une décision qui aurait des répercussion sur la légion entière ou tout du moins sur ce qu’il en restait ,tellement nos pertes et blessés ne se comptait plus .d’âpres ,encore une fois a prendre avec précaution ,le prisonnier plus de 50.000 hommes se dirigeait sur nous ,cette 2eme armée ,devait appuyer la première et nous clouer sur place .les combats furent engagées sous l’impulsion de leur général et de ses aides ,sans attendre leur renfort ,ce qu’il leur en coutât surement une victoire décisive .celui ci gisait au abord de la foret ,son épée a la main et face au combat ,une mort honorable telle que les germains la conçoivent .
La nuit bien avancée, les blessés purent enfin être soignées, nos morts décomptés et rapatriés dans le fort, beaucoup furent porter disparu.
Des montagnes de corps germains commencèrent a s’élever au devant de notre fort, aucun ennemis ne vint pour les réclamer, aucun n’en avait la possibilité car le nombre de survivants ennemis ne dépassaient pas la centaine tellement le carnage avait battu son plein pendant cette dure journée, ils avaient combattus jusqu’au derniers selon leur coutumes.
Toujours d’âpres notre prisonnier, l’unique, cette 1ere armée comptait plus 40.000 hommes en âges de porter les armes .tant de gâchis pour un résultat assez mince sommes toutes !!
Si les deux armées s’étaient scinder comme prévus, il est certain que notre légion aurait été balayée de la surface de la terre comme un fétu de paille ;100.000 hommes seraient tombés telles des traits meurtrier sur moins de 10.000,cela aurait été un carnage sans nom .
La discipline, la rigueur de notre entrainement et notre courage nous avais sauvé encore une fois et je pense que les dieux étaient de notre coté cette fois ci dans ces contrées hostiles et rudes ou seul la force et le courage prévôt sur tout.
La nuit se passa sans heurt, seul les cris de nos blessés résonnaient encore.des patrouilles furent envoyées, sans rencontrer d’ennemis, juste encore des cadavres ci et la.
Beaucoup furent achevés sur place, aucun ne devait renseigner leur troupe sur le fait que nous étions diminués en force et en vivre.
Le décompte de nos morts et blessés put se faire des le lendemain matin, au lever du soleil.
EFFECTIF DE LE LEGION III ROMA 8.370 SOLDATS
10 cohortes légionnaires 5120 légionnaires
Cohorte I 800 légionnaires (5X160)
II 480 // (6X80)
III 480
IV 480
V 480
VI 480
VII 480
VIII 480
IX 480
X 480
6 COHORTES AUXILIAIRES 3.000 hommes
COHORTE I 500 HOMMES
II //
III //
IV //
V //
VI //
5 TURMAE 250 cavaliers/estafettes
TURMAE I 50 CAVALIERS
II //
III //
IV //
V //
maximus1er
Eplucheur de patates
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#2
13-04-2012, 10h07
suite légion roma III
Garnison du 1er fort : 550 hommes
I cohorte auxiliaire / I turmae
Garnison 2em fort : 1050 hommes
III auxiliaire / IV et III turmae
Pertes des cohortes légionnaires :
2.287 hommes tués, portés disparus
2050 blessés graves/légers.
Pertes des cohortes auxiliaires :
1000 hommes tués
200 blessés
Pertes des turmae :
85 cavaliers tués
30 blesses
En toutes nos pertes s’estimaient a :
3372 morts / 2280 blessés
Sur un total de 6205 combattants au départ du deuxième fort de soutien.
Moins de 500 hommes étaient en état de combattre, il était urgent de prendre une décision avant l’anéantissement de la légion.il fut enfin décider de lever le camp, les blessés les plus grave seraient transporter avec les bagages et les autres reformerait les cohortes restantes.
Ils nous fallu plus de 2 jours de marche avec de nombreuses haltes, pour le repos des blessés, avant d’apercevoir enfin la vue tant espérer du 2em fort de soutien, aucun ennemis ne fluent en vue, heureusement pour nous.
Quel ne fut pas la surprise du tribun Lucius, nous voyant, malgré tout de fier allure, en colonne comme il se doit d’une fière légion mais si diminué, trainant des chariots entiés de blessés.
Nous étions tout de même rassuré de nous trouver sous la protection du fort et de sa garnison.
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bisthebis
Glandeur assumé
Lecteur de Sun Tzu
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#3
13-04-2012, 21h53
Je lirai demain (crevé)
c'est quel jeu ?
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Stilgar
Artiste compris
Fan de Clausewitz
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#4
14-04-2012, 15h02
Ca ressemble à Rome TW non ?
En tout cas bienvenue
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Mat
Nain ami d'un elfe
Stratège incompris
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#5
14-04-2012, 15h08
Ce n'est pas forcément rtw, on peut dire ce qu'il a écrit seulement avec des connaissances
approfondis
. Rtw (vanilla en tout cas) n'a jamais présenté autant de réalité historique. (en pourrait se demander si les développeur savait ce que voulais dire "turmae")
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bisthebis
Glandeur assumé
Lecteur de Sun Tzu
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#6
14-04-2012, 15h33
Ben si c'est RTW, se concentrer sur une légio serait original (
) mais difficile...
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maximus1er
Eplucheur de patates
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#7
16-04-2012, 14h27
merci pour vos commentaires ;c'est cool ,j'y ai passé pas mal de temps quand meme pour que texte soit le plus réaliste possible et encore une fois mille excuses pour les fautes ( archés au lieu d'archers !! ).
je suis fidele a TW depuis le début ( shogun premier du nom ) ,du coup j'ai toutes les boites jusqu' a shogun 2.!!!
mais mon préféré ,je l'avoue ,restera rome total war et ses nombreux mods tous plus déments les uns des autres ,donc le texte est bien tiré d'un scénario qui pourrait etre d'une bataille custom sur RTW .
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Zamensis
ツ
Stratège du dimanche
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#8
16-04-2012, 14h36
mais mon préféré ,je l'avoue ,restera rome total war et ses nombreux mods tous plus déments les uns des autres
Il n'est jamais inutile de marteler de telles vérités. RTW FTW !
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Le-Nain
Petit homme
Stratège de cuisine
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#9
16-04-2012, 20h08
Pour la suite, je te conseillerai juste d'espacer un peu le texte en sautant des lignes entre les paragraphes, ça aèrera le récit et ce sera plus agréable à lire
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