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  • L'Epire fera telle mieux que Rome ?

    Dans peu de temps, ici sera dressé fièrement les exploits de la Ligue Epirote, et l'histoire du véritable empire du lac méditerranéen !
    ( Si d'ici là, quelques âmes charitables pouvait m'expliquer comment marche le système de balise pour insérer les images, le sénat èpirote vous en serai éternellement reconnaissant )

    Un AAR de novice sur Europa Barbarorum 1.2, avec le Mega-mod de Jirisys', et comme vous l'avez deviné petit malin, avec le royaume ( ou la Ligue ) d'Epire, je commencerai le récit dans une partie déjà engagé mais avec le plus large champs d'actions possibles, et en tentant de faire le meilleur récit possible.
    Dernière modification par ludor, 25-04-2012, 15h51.

  • #2
    Introduction :
    ( Je joue en moyen/moyen,j'utilise le mega mod de Jyrisise et j'ai triché au début pour installer mon histoire mais je ne le referai plus,mais je scénariserai la campagne pour éviter de pimenter le récit, promis :P )

    Dans un IIIème siècle unichronique avant J.C. Pyrrhus 1er, diadoque du petit état d'Epire, voulait faire comme ses ancêtres et son oncle Alexandre, conquérir de grands territoires et les assimiler à la culture hellène comme l'Epire et la Macedoine le furent elle-même. L'histoire se souvient de sa campagne d'Italie, et de ses victoires si célèbres pour leur gout amère, mais si l'histoire c'était joué diffèrement, si les dieux de l'olympe avait soutenu le descendant d'Achille, si les grecs, italiotes, et celtes au nord avaient trouvé dans le Molosse le défenseur contre la menace romaine, si ils avaient vu en lui l'Alexandre de l'Europe, si Pyrrhus avait réussi à faire de son petit diadoque, un égal de celui de Ptolémée et de Seleucos.

    Voila se qui c'est passé dans cette univers parallèle( disons les 15 premières d'années de jeu, en rushant avec les éléphants et engageant tous les mercenaires avec l'argent cheaté, mais disons que c'est un secret de l'histoire et que les dieux y étaient favorables )

    Nous sommes donc en 259 Av J.C, Pyrrhus réussi son défi de ralier les citées de grandes Grèces et les ennemis des latins à sa cause, conquis Rome et Syracuse, son fils ralliant les tribus illyriennes a la cause des Molosses, et déferla sur les armées de Rome par la côte et la plaine du Po, aidé par des mercenaires celtes. Rome fût prise en tenaille, et son allié Carthage ne pus rien faire, elle avait déjà brulée.....
    Les survivant fuyant vers les colonies espagnoles pour former la nouvelle république de Carthag(ène), ils ne purent rien faire pour les fils d'Enée,
    Didon doit en jubiler de la défaite des latins aux Enfer, rejoint par le Jeune Hannibal....

    Carthage puis Rome furent donc conquise au nom de la dynastie des Molosses, de Pyrrhus, et de tout les grecs.



    Mais pendant cette guerre, Pyrrhus en plus de réussir à vaincre les deux menaces romaines et carthaginoises, réussi surtout l'exploit d'unir sous son royaume les citèes grecques, quel soit de Sicile, d'Italie, ou même de plus loin encore comme celle phocéenne de Massilia et Emporion, heureuse de pouvoir se frotter aux Carthaginois.

    Le diadoque d'Epire contrôle à partir de 259 av-JC toute la mer Tyrrhènienne, la côte lybienne ( Kyrene fut donner gracieusement par le pharaon Ptolèmée II ), toute la péninsule italienne sauf une cité de la confédération Eduenne, et est devenu une puissance majeure de la région, au point de pouvoir parrainer un état comme l'alliance des Hellènes à son tour comme l'on fait pour l'Epire les autres diadoques il n'y a pas si longtemps.

    Mais dans cette Uchronie, il n'y a pas que l'Epire qui a renversé sa malheureuse histoire, l'empire Seleucide a repris un soufle nouveau et a réaffirmé son autorité en Asie Mineure avec l'aide des Antigone Gonatas en échange de l'annexion du royaume de Pergame au royaume Antigonide qui est l'autre diadoque de Grece.

    L'Epire a réussi un exploit, mais d'autres l'attendent......
    ( Et vous lecteur, j'attend de vous de me dire sans concession comment trouvez-vous mon introduction, je formulerai le premier Chapitre avec l'aide de vos conseils )
    Dernière modification par ludor, 02-05-2012, 18h40.

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    • #3
      Pas mal. Mais vu qu'à priori tu controles toute l'Italie, l'Illyrie, et une bonne partie de l'Afrique du nord, j'en déduis que tu as utilisé un peu trop de cheat

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      • #4
        Je vais BEAUCOUP scènarisé
        Mais avec les éléphants les sieges peuvent se passer vite, et Pyrrhus ayant beaucoup d'étoiles de commandant, les résolutions automatiques étaient en ma faveur, mais j'ai perdu beaucoup de membre de famille important, tout est encore a construire
        Et pour ma défense, se récit se base sur une uchronie, la conquete de l'Italie et de l'Illyrie a était faite pendant LA,seule et unique, campagne de Pyrrhus, elle ne sait pas soldé par des victoires trop couteuses, et Rome a tout bonnement perdu, quand a Carthage, les historiens grecs trouveront bien des traces de soulèvement numides pour justifier leur si rapide déblaque
        Pyrrhus gouverne a Rome depuis donc dèjà un temps, le pouvoir épirote et déjà installé depuis un temps .
        Et puis, Alexandre qui vainc tout l'empire perse, c'est aussi un peu trop cheaté à mon gout
        Dernière modification par ludor, 03-05-2012, 09h49.

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        • #5
          Merde j'ai failli corriger le titre en ajoutant un m à Epire ... mal réveillé !

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          • #6
            Chapitre I : l'instabilité dans l'eMpire d'Epire


            Malgré l'immense prestige du à ses conquêtes, son image de leader dans l'armée, et la crainte qu'il inspirait à ses ennemis, Pyrrhus n'avait plus les rênes du pouvoir depuis longtemps, il n'était plus qu'un vieux général reléguer au poste de gouverneur de l'Urbs .

            Le pouvoir se trouver dans les mains du sénat Epirote...

            Suite à la conquête de Carthage et de Rome, et la formation d'une ligue des citées grecques et des tribus alliés au royaume Epirote, la forme politique du gouvernement changea, un sénat composé de citoyens de Carthage, de Rome, de Massilia, Syracuse, Tarente et Ambrakia se forma dans cette dernière, Capitale de l'Epire. Le chef du gouvernement resta le chef de la dynastie royale mais les décisions furent prises par se Sénat, les armées commandées par l'Archistratégos, et le Dioikete gouverneur de la capital et du sénat, réel chef de l'état car son vote peut trancher la décision du sénat si se dernier se trouve inapte à voter une mesure ( si un vote se résolverai par une égalité ou un abandon du vote )

            Mais malgré cette nouvelle organisation administrative et politique, Pyrrhus garda une influence parmi ses généraux, il était bien leur grand-père ? Il était bien leur roi ?
            Pyrrhus, devenu fou dans les dernières années de sa vie, envoya un ordre à deux de ses généraux et petits-fils, le premier devait regrouper une armée pour l'Ibérie mais avant mettre un terme à la menace Gauloise au nord et combattre les derniers Carthaginois qui regroupaient leur force et risquer de vouloir se venger, le deuxième devait combattre le rival antigonide et défendre la terre patrie.



            Le général de la campagne d'Ibérie pris donc direction vers Mediolanum, ville insubre de la confédération Eduenne alliée aux Carthaginois, où une bataille l'y attendi





            La victoire fût coûteuse mais se général découvrit le pouvoir des nouveaux Thureophoroi, mélange de savoir-faire grecs et romains.

            ( ptit bug de l'hebergeur ? )

            La seconde armée elle, se dirigea vers Pella, Capital de la Macédoine car la situation au sud semblé maitrisé par l'alliée grec, le général devait conquérir toute les citées macédoine sur le continent et conforté l'Epire comme grand diadoque.



            Cependant, les dieux en décidèrent autrement.....



            L'armée principal privé de renfort ne put que gagner une bataille mais du se replier, elle tenta une nouvelle offensive mais fut vaincu et se retrancha a Ambrakia où elle fut reformer et où le même général, ayant fait la sourde oreille devant les ordres du sénat de ne pas rattaquer se repositionna près de Pella

            En Ibérie, la situation semblé plus positive, bien que le sénat n'était pas favorable a l'envoi de troupe, l'influence de Pyrrhus était encore trop importante pour qu'il fasse quelque chose .
            Le général se positionna près d'une ville côtière carthaginoise après avoir reçu des renforts des citées phocéennes mais fut très vite attaqué par un commandant punique .



            La désillusion et la folie de Pyrrhus fut total....



            Les rapports étaient positifs, l'armée avait vaincu, non sans perte, mais la ville n'était plus que faiblement défendu, mais la nouvelle fut donné plus tard....

            C'était une victoire à la Pyrr..ichos ! Le général avait trépassé ! L'armée n'avait plus de commandant et se retira vers Emporion en attendant les ordres du Basileus, mais les ordres n'arrivèrent jamais car Pyrrhus fut arréter par les hommes du sénat, et fut placé dans une villa près de Rome, le sénat avait réussi, il avait laissé les membres de la famille royale perdre, à la fois l'influence sur l'armée et également sur le diadoque, ils n'étaient plus que de simples généraux aux ordres des sénateurs.



            ( Voila pour se premier chapitre qui introduit encore l'histoire de l'Epire, si vous avez des conseils ou des avis à me donner sur la façon de faire mon récit, je suis impatient de vous écoutez et je vous propose une place de sénateur, oui vous avez bien lu, vous pouvez décidez de l'avenir de l'Epire, pourvu que sa soit humainement faisable comme les missions du sénat romain à ses consuls, il y a donc 5 à 10 place de libres comme sénateurs, envoyer moi un MP si vous voulez obtenir un poste, je vous assignerai un surnom lié à votre ville ( Carthage, Rome,Massilia,etc.. ) si vous n'avez pas une demande prècise vous-même) J'aurai le rôle de Diokete, si les sénateurs ne se mettaient pas d'accord ou si aucun n'ordre ne me soit parvenu, j'aurai seul décision sur la partie et donc le chapitre suivant, tout en essayant de contenter au minimum les sénateurs. Et si personne ne se présente, et bien sa voudrai dire que mon AAR et un flop et que l'Epire va subir un remaniement gouvernemental, se qui je pense, et mauvais pour la vitalité du sujet )
            Dernière modification par ludor, 05-05-2012, 15h32.

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            • #7
              ( Je viens de me rendre compte que mes images ne sont plus visibles, désolé, je vais probablement faire le deuxième chapitre dans une semaine, devant cette vague d'applaudissement et de participation )

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              • #8
                A pardon, j'avais pas vu :honte:
                Je trouve que tu débutes très bien ton AAR et que c'est quand même assez intéressant comme challenge...

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                • #9
                  Moi je te lis, c'est très interressant continue

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                  • #10
                    Pour tes images, essaie de les hoster sur noelshack, un serveur super pratique qui ne supprime rien.

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                    • #11
                      Chapitre II : Un nouvel ordre est en marche.....


                      Extraits des chronique d'un historien de la famille Molossos avant l’incendie de la bibliothèque royale et le coup d'état fédéraliste : Les gardes du Sénat parcours les rues d'Ambrakia à la recherche des officiers loyalistes, la garde du roi tient la porte mais j'ai peur quel ne cède ... [passage brûlé] ... Je tiens se dernier registre en espérant des temps plus clément ... [passage brûlé] ... Les sénateurs ont voté la fin du diadoque ... [passage brûlé] ... la garnison a suivi les ordres du général fédéraliste et a fait arrêté l'état major ... [passage brûlé] ... Les nobles qui ont prêté allégeance au Sénat gardèrent leur poste alors que leurs frères furent envoyé dans les arènes latines, Pyrrhus ... [passage brûlé] ... mais officiellement est toujours en poste a Rome. Le Sénat quitta l'Epire natale pour Syracuse, loyal au Sénat et instigatrice du coup d'état fédéraliste avec d'autre cités comme Massalia, Taras, ...[Passage brûlé] ... et Alalia . Les latins et les celtes prêtent également allégeance au Sénat et leurs cités fournissent des troupes au Sénat alors que ... [passage brûlé] ... J'entend la garde sénatorial arrivé, je vais ... [passage brûlé]



                      Le royaume diadoque d'Epire n'est plus.....
                      Ne subsiste que des citées grecques, puniques et latines, des tribus celtes et illyriennes, et une dynastie qui n'a que les pouvoirs qu'un Sénat veut lui donner.
                      Le puissant empire de Pyrrhus, qu'il avait conquis à la pointe de sa lance, les puniques et les latins qu'il avait soumis, les barbares qu'il avait réduit en esclaves, les grecques qu'il a gouverné, tout n'est plus qu'une ligue sous le pouvoir du Sénat, une ligue qui veut unifier les peuples voisins, un Sénat qui veut dominer le monde.

                      Pour cela, la Ligue Epirote devra vaincre son rival de Carthago Nova à l'Ouest, rallier les hellènes de gré ou de force à l'Est, civilisé les barbares au Nord et faire de la méditerranée,
                      un lac Epirote
                      .






                      Après toutes ces périodes de troubles, il est temps pour la Ligue Epirote de venger ses morts et d'apporter la paix au monde mais comme dit un Sénateur latin au Sénat " Si vous voulez la paix, préparez la guerre"
                      Le Sénat décida alors pour renforcer son pouvoir et protéger la cité d'Emporion de recruter un général qui rallierai le peuple Wolkas a la ligue avant d'entrer en territoire Eduen, allié du rival Carthginois et ennemi de nos alliés Arvernes .

                      Le général recruté, il rassembla ses forces stationnés à Emporion et a Massilia et attaque Tolosa .




                      Le général ennemi a reçu des réfugiés Massiliotes et ligures, et commande à de nombreux guerriers celtes, mais tout cela est peu en face de l'armée du Sénat .



                      Le général donna l'ordre aux peltastes lourds de soutenir les troupes celtes et hispaniques pendant l'assaut .



                      Les cavaliers gaulois tentèrent vainement de repousser l'assaut à la porte.

                      Alors que dans la brèche,
                      les peltastes combattent les hoplites Massiliotes, et les celtes combattent leurs frères.

                      Les troupes commencèrent à faiblir et à être repoussé avant que ....
                      ...la garde du général ne viennent prêter main-forte et attaque le général ennemi.

                      Le général ennemi fut vite défait, la victoire était assuré malheureusement le sort semblé toujours contre nous...

                      Les soldats firent la chasse aux pleutres défenseurs jusqu'à la place de l'opidum.

                      Les pertes furent douloureuses, le général nouvellement recruté tomba, mais la victoire fût tout de même.


                      Le pillage de l'opidum fût laissé aux celtes pour faire comprendre le sort des résistants du Sénat Epirote .







                      Un général d'origine illyrienne épousa une fille de l'ancienne famille royale,
                      se qui permis au Sénat d'avoir un général pour remplacé celui qui tomba face à Tolosa.


                      La cité pananoéenne de Serdike rejoignit la ligue en accord avec le diadoque de Macédoine qui pensai que le nouveau pouvoir Epirote,
                      qui avait emprisonné Pyrrhus et muselé la famille royal, n'avait aucune ambition à l'Ouest d'ordre panhellenistique .


                      La cité de Tolosa pacifié par les soins des celtes, le Sénat décréta que comme Serdike, il devait d'abord y avoir une garnison Epirote avant de pouvoir faire partis pleinement de la ligue.

















                      Pendant se temps là, en Lybie, l'archistratègos du Sénat, un membre de la famille royal loyal au Sénat, pris les commandes de l'armée posté à la frontière avec la Macèdoine qui était maintenant en paix, pour mater une rébellion numide.







                      Les troupes de l'armée Sénatorial avait besoin d'entraînement avant de partir pour la vrai guerre.


                      Le général avait reçu son instruction militaire d'un ancien Tribun latin, d'où la formation original pour les soldats grecs de son armée.

                      La cavalerie grec était la fierté de cette armée, sur qui beaucoup d'espoir étaient donné au Sénat.
                      Et elle fît merveille face aux tirailleurs numides.


                      L'armée embarqua dans la flotte punique du Sénat, pour faire voiles vers la Sardaigne où elle reçevrai des renforts locaux.







                      Pendant se temps là, à Syracuse, les nouvelles des victoires des armées et les espoirs qu'elles donnent, satisfirent le Sénat, qui pour gagner encore plus de popularités parmi ses peuples,
                      fît rénover les célébres murs de Syracuse, le Sénat souhaitant prouvé qu'il apporte l'oppulence, la civilisation et la gloire contrairement à l'ancien pouvoir .










                      Pendant que l'armée venant de Libye renforcé ses forces, le général nouvellement en charge de l'armée d'Hispanie
                      arriva d'Italie et passa par Massilia pour recruté des celtes des tribus voisines et des hoplites de la ville avant de retrouvé son armée au printemps sur le Rhone.
                      De l'autre coté des Alpes, les helvètes fédérés aux Eduens déversèrent leurs hordes dans la plaine du Pô attaquant les cités celtes qui fournissaient des troupes à la Ligue Epirote.


                      Au printemps, le général qui avait rassemblé son armé remonta le Rhône jusqu'à la ville de Viennos, cité Eduenne, première étape de la campagne des Gaules votée par le Sénat . Là, il commença le siège de la ville et recruta parmi les alliés celtes des guerriers gaulois hostiles aux Eduens .



                      Le général, bien qu'ayant la possibilité d'attaquer directement la ville grâce à un espion infiltré, choisi d'affamer les défenseurs et de tenir sa position sur le Rhône, car ses forces risquaient de subir de nombreuses pertes si ils montaient à l'assaut, les défenseurs étaient nombreux et des éclaireurs gaulois alliés avaient parlé du risque d'armée Eduennes qui pourrait reprendre la ville si elle était prise, le général choisi de ne pas prendre se risque et attenda que les défenseurs se rendent sans combattre ou que si une armée venant secourir les défenseurs attaqué l'armée Epirote, le général se défenderai dans ses positions derrière le Rhône.

                      Se fût effectivement un bon choix .....


                      (A venir, La bataille sur le Rhône (que je voulut faire mais que je ne put, faute à un retour windows) et le Chapitre III: La guerre des Gaules )
                      Dernière modification par ludor, 17-06-2012, 13h35.

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                      • #12
                        Ok
                        J'ai bien envie de voir la suite.

                        Commentaire


                        • #13
                          Edition et mise à jour faite.
                          Dernière modification par ludor, 16-06-2012, 15h01.

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                          • #14
                            Magnifiquement narré ton récit, merci beaucoup.

                            Commentaire


                            • #15
                              Chapitre III : La guerre des Gaules, premier tome.
                              ( J'ai tenté plusieurs fois de jouer La bataille sur le Rhône mais je n'ai eu que des retours windows car j'avait sauvegardé avant, l'échec :degout: . Donc j'ai dû m'arranger dans le scénario mais malheureusement, vous verrez à la fin de se "mini-chapitre" qu'une nouvelle bataille se profil, et j'ai tenté également comme la dernière fois de la jouer, mais également retour windows, il semblerai que c'est impossible de jouer une bataille défensive à cet endroit de la carte..... "



                              Rapport du conseiller de Genuos Bouthrotios en Gaule :
                              Le général avait reçu des lieutenants de ses alliés gaulois, les celtes avaient entendu des rumeurs disant que le général souhaité faire une retraite plus loins dans les terres, voir jusque dans le territoire allié Arverne, les guerriers trouvant cet tactique lâche prononcèrent au général un avertissement leur disant que si il faisait faire à son armée une retraite, les troupes gauloises ralliés se désolidariseraient du reste de l'armée et iraient se battre seuls, Genuos les mit au défi de quitter l'armée Epirote et d'affronter les armées Eduennes et Helvètes seuls. Les celtes se regardèrent........puis retournèrent dans leur quartier pour préparer la retraite de l'armée.
                              Genuos n'était peut-être pas un guerrier accompli comme le général envoyait en renfort par le Sénat mais il savait comment tenir ses hommes.



                              Le général ordonna aux soldats grecs et hispaniques de lever un fort,
                              aidé par les bucherons celtes.


                              Plus au Sud, dans le port de Tolosa, l'armée venant de Macèdoine et qui avait fait une escale en Sardaigne avait maintenant débarqué en Gaule et attendait les ordres du Sénat. L'armée qui s'était entraînée avec les rebelles numides souhaitaient en découdre avec les guerriers locaux qui avaient forte réputation dans le bassin méditerranéen et les soldats qui avaient eu l'occasion de vivre dans une des nombreuses garnisons Nord de la Ligue savait grâce à leurs camarades Massiliotes et Insubres que les celtes étaient de valeureux guerriers .


                              Les ordres étaient reçus à Emporion, qui avait envoyé un coureur celte jusq'à Tolosa, l'armée devait longé la côte et traversé les Pyrénées car des armées Carthaginoises avaient été aperçus par des éclaireurs hispaniques, les Sénateurs puniques maintenant loyaux à l'Epire sautèrent sur cette chance pour faire voter l'envoi de l'armée en Hispanie pour combattre leurs anciens maîtres car les tout les puniques devaient vivrent sous l'ordre Epirote, ils furent soutenus par les Sénateurs nobles Celtes et Ibères qui voulurent également faire rejoindre leurs frères communs celt-ibères à la Ligue . L'archistratègos fît donc marché son armée vers l'Iberus, le fleuve à qui les latins donnèrent le nom de la région qui délimitait la zone d'influence Epirote.


                              L'archistratègos profita que l'armée qui défendaiT Numantia était inférieur à la sienne pour mettre le siège, confiant dans ses alliés lusitaniens et ibères .



                              Le gouverneur de l’oppidum était le mélange de réfugiés carthaginois et de locaux.

                              Mais sa confiance s'estompa vite, une armée certes petite tenta de rompre le siège, c'était l'occasion pour les soldats de tester les guerriers puniques et ibères carthaginois .

                              Le général repris sa formation latine de bataille, maintenant admise par les soldats.

                              La cavalerie encercla l'armée venu en renfort, pour faire un exemple aux soldats de l'armée principal.

                              Se fût rapide, les cavaliers grecs étant supérieurs en nombres et avaient magnifiquement encerclé l'unité ennemie.

                              Le capitaine ennemi tomba en dernier, se fût le premier gradé carthaginois tombé sous les coups epirotes, précédent nombre de ses pairs .
                              La bataille allai pouvoir enfin commencer.....

                              Les archers hellènes et sardes déversèrent un déluge de feu sur les troupes légères ibères ennemis.
                              Les thurephorois lancèrent leurs pilums pendant que les archers continuaient leurs oeuvres. (Première fois que je vois un arrêt sur image d'une volée de flèches enflammés aussi réussi, par conte désolé, je n'ai pas fait de screens pendant le choc de la charge )

                              L'unité de piquiers qui était restée en arrière de la bataille couru soutenir le flanc gauche qui subissait une tentative d'encerclement par les cavaliers légers ibères.

                              La ligne de piquiers et de peltastes tenait bon face à l'infanterie et la cavalerie légère ibère et aux cavaliers lourds puniques.

                              Un noble punique et sa garde se reformèrent suitent à leur charge de front sur les piqiuers grecs, cet erreur leur coûtera chère......

                              Le reste de la cavalerie était en marche pour utiliser la tactique du marteau et de l'enclume macédonniène.
                              Malheureusement, il semblerai que les cavaliers grecs furent réticents à cette tactique.....
                              Et de un....

                              Et de deux....
                              Et de trois ! ( ET UN, ET DEUX, ET TROIS ZERO ! )
                              Se fût la débandade de l'armée carthaginoise.
                              Et la victoire de celle epirote.
                              Les hommes étaient heureux et fêtèrent leurs camarades morts en hèros.

                              Les marchands puniques et grecs eurent de nouvelles marchandises, et les guerriers celtes et ibères de nouveaux servants.

                              L'espion de la ville suivi une armée gauloise sortant de la ville, il semblerai que les tribus gauloises Eduennes et leurs alliées firent une assemblé à côté du Lac Leman pendant l'hiver.




                              Sous la pression de ses soldats celtes qui souhaitaient en découdre avec leurs ennemies, et pensant que l'assemblé de l'hiver passé pouvait signifier l'envoi de renforts supplémentaire des tribus Helvetes, Genuos décida de remettre le siège à Viennos, ayant préparé à l'avance une seconde retraite en demandant à des renforts de Massilia de garder le fort si la situation le demander.


                              Les alliés gaulois allaient être satisfaits.....





                              (Je posterai La Guerre des Gaules, deuxième tome, La bataille sur le Rhône dès que je pourrai la jouer, donc dès que les retours windows auront cessés. )

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