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#16
29-07-2012, 17h39
VIII - Majorité
De 1086 à 1089, la régence fut simple mais efficace : la criminalité était en baisse et aucune armée ne pillait le pays.
C'est également durant cette période que se révéla le zèle de Ludolf.
Quand le petit Duc atteignit l'âge de 14 ans, le régent et maître-espion Gebhard von Dingolfing décida d'arranger des fiançailles avec une demoiselle de son âge.
Parmi les demoiselles de bonne naissance qui n'étaient pas encore fiancées, seules deux soeurs possédaient des titres intéressants : Brunhilde et Dorothea Billung. La première avait hérité de son défunt père (mort avec seulement deux filles) du Duché de Brunswick et de 3 comtés de son père, la seconde avait hérité des titres de Duchesse d'Holstein et de Saxe, mais ne possédait que le comté de Frise orientale et avait pour seul vassal le prince-évêque de Brême.
Le duché de Brunswick en gris. En gris clair, le domaine de la Duchesse Brunhilde. Le comté d'Holstein, lui, n'a rien à voir avec le Brunswick.
Mieux encore, cette fillette possédait le même zèle que Ludolf, et ils adoraient tous deux passer du temps avec quelqu’un qui partage les mêmes opinions. Ce fut donc un oui enthousisate qui répondit au régent Gebhard.
Environ un an et demi plus tard, Ludolf atteignit sa majorité. Son tuteur, le comte Friedrich de Kempten, lui transmit sa paresse et sa lâcheté, mais il réussit malgré tout à en faire un grand diplomate, une "éminence grise" comme on dit.
résumé des traits de caractère de Ludolf : éminence grise, (énorme bonus en diplomatie, bonus en fertilité assez conséquent, petits bonus d'érudition et d'intrigue, léger malus de combat) vif (bonus moyen en diplomatie, compétences martiales, gestion, intrigue et érudition), assasin (malus en diplomatie, gros malus de relations avec les autres Von Nordheim), paresseux, (léger malus dans les 5 compétences, donc compensé de loin par sa vivacité. Léger malus de relations avec les vassaux ainsi qu'avec tous ceux qui sont travailleurs, les deux étant cumulables.) orgueilleux, (bonus de prestige, malus de relations avec les personnes humbles) lâche (malus en compétences martiales, moins bonnes relations avec les vassaux et les braves) et zélé. (bonus martial et de piété, léger bonus en relations avec les prêtres et gros bonus avec les autres zélés)
Ainsi, Ludolf I von Nordheim, Duc de Bavière et d'Autriche, Comte de Haute-Bavière et d'Autriche, Baron d'Andechs, héritier du Duché de Hollande et du comté de Frise Occidentale, devint un diplomate compétent, un érudit, gestionnaire et intriguant correct mais un piètre guerrier. Pourtant, à 16 ans, il avait déjà des vues sur ses voisins.
[tmb]http://img845.imageshack.us/img845/162/znojno.png[/tmb]
Le comté de Znojno, bien que le peuple ait depuis longtemps adopté les coutumes bohémiennes, faisait,
de Jure
partie du Duché d'Autriche, ce qui était un prétexte suffisant.
Le Duc de Moravie, propriétaire du comté, possédait 5 alliés parmi les ducs de l'Empire : La duchesse de Hollande, (qui choisirait le camp de son fils, elle n'était donc pas une menace) le Duc de Cologne, le Duc de Bohème, la Duchesse de Toscane et le Duc de Lotharingie.
La Toscane refusera. Le Duc de Lotharingie et celui de Cologne argueront la distance comme prétexte pour refuser. Seule la Bohème est une menace...
Malgré son avantage apparent, Ludolf décida d'attendre son mariage et, par conséquent, l'alliance avec les Billung, pour attaquer.
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Démocrite le Jeune
Tacticien du dimanche
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#17
01-08-2012, 11h28
"Que d'autre fassent la guerre! Toi, heureuse Autriche tu te maries"
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