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  • Diarium Strategorum : le Journal des Stratèges, 31ème édition - Décembre 2021



    Le journal des Stratèges n°31 : décembre 2021

    Bienvenue dans la 31e édition du Diarium Strategorum, le Journal des Stratèges consacré essentiellement aux jeux vidéos de stratégie, de tactique et d'histoire, publié en partenariat avec le site internet Le Monde du Captain Sparke et la chaine YouTube Captain Sparke, et consacré au mois de décembre 2021. L'occasion pour nous de revenir sur l'actualité du site, de nos plateformes vidéos et du jeu vidéo dans son ensemble. On retrouvera d'abord l'Actu Mundus, puis l'Actu JV du Captain. Bonne lecture !







    Stellaris
    Victoria 3


    ​I. Gestion

    Builders of Egypt
    El Dorado: The Golden City Builder
    Pharaoh : A New Era
    Project Wunderwaffe
    II. Stratégie

    Age of Empires III : Definitive EditionFields of History: The Great War
    III. Tactique au tour par tour

    Decisive Campaigns : Ardennes Offensive
    Field of Glory II : Medieval
    The Troop


    NFT, game awards et procès (business)

    L’industrie vidéoludique trouve sans cesse de nouvelles trouvailles pour gagner de l’argent en plus de la vente de base d’un jeu. L’achat du jeu se double d’extensions qui rajoutent du contenu, ou même d’extensions plus limitées avec des DLC pour débloquer des armes, des personnages, des modes de jeu voire des accessoires uniquement esthétiques. On retrouve également des magasins in-game pour débloquer plus rapidement des pans d’un jeu ou avoir des choses esthétiques, ou même des loot boxes pour avoir un peu d’aléatoire dans la balance. Aujourd’hui, la nouvelle mode, c’est le NFT. Le non-fungible token est un certificat de propriété d’objet virtuel : pour faire simple, ces objets sont des fichiers numériques uniques, qui peuvent être des images, des vidéos, des objets utilisables en jeu ou par exemple le premier message sur Twitter vendu 2,9 millions de dollars. Contrairement aux magasins in-game ou aux DLC, le NFT assure donc au joueur qu’il sera le seul à avoir cet objet, qui peut avoir même un numéro de série ou un look unique dans un soft. Pour s’assurer de son unicité, le NFT repose sur la technologie de la blockchain, une base de données décentralisée utilisant la cryptographie et qui ne repose pas sur un serveur unique, mais sur l’addition de blocs, distribués pour chacun des utilisateurs. En gros, avoir un NFT pour un utilisateur implique que sa propriété soit intégré au bloc, et que ce bloc soit répliqué pour chaque utilisateur du réseau, garantissant ainsi que sa propriété sera toujours reconnue. Cette pratique n’est pas nouvelle, mais vient de prendre un vrai coup de communication, avec Ubisoft lançant sa plateforme consacrée au NFT, Quartz, le développeur GSC Games World qui voulait avoir des méta-humains uniques en NFT dans leur futur STALKER 2 ou encore le futur jeu de Peter Molyneux qui a déjà vendu 47 millions d’euros de NFT, grâce à sa propre cryptomonnaie, et qui seront représentés dans son jeu par des terrains sur lesquels les joueurs pourront se développer. Face à cette pratique qui intéresse de grands acteurs de l’industrie, on constate également une levée de boucliers. Les principaux arguments avancés par les détracteurs sont que la blockchain est très gourmande en énergie et a donc un impact environnemental non négligeable, que c’est ajouter un versant de spéculation dans le jeu vidéo puisque les possesseurs de NFT pourront les revendre, et que l’industrie vidéoludique a mieux à faire que d’investir dans cette pratique. Affaire à suivre…



    La cérémonie des Games Awards 2021, une des nombreuses cérémonies existantes délivrant des récompenses aux jeux vidéos, s’est tenue une nouvelle fois à Los Angeles. Le principe est de réunir 100 médias, journalistes jeux vidéos ou influenceurs pour nominer et voter pour récompenser des jeux ou des studios. La plupart des jeux nominés dans chacune des catégories ont été abordés dans l’AJVC. Pour cette édition, je note les récompenses suivantes :
    • le meilleur jeu de l’année et le meilleur jeu pour la famille avec la coopération de plateformes colorée d’It Takes Two des Suédois d’Hazelight Studios
    • le meilleur suivi pour le MMORPG Final Fantasy XIV des Japonais de Square Enix
    • la meilleure direction artistique pour le FPS à boucle temporelle Deathloop des Français d’Arkane Studios
    • la meilleure narration pour le jeu d’aventure Marvel’s Guardians of the Galaxy d’Eidos Montreal
    • le meilleur RPG pour le tout dernier Tales of Arise de Bandai Namco
    • le meilleur jeu accessible, le meilleur traitement audio et le meilleur jeu de sport avec Forza Horizon 5 de Playground Games
    • le meilleur de jeu de stratégie pour Age of Empires IV d’Xbox Game Studios
    • le meilleur jeu indépendant et le meilleur premier jeu pour Kena : Bridge of Spirits d’Ember Labs
    • le meilleur jeu pour les joueurs avec Halo Infinite.



    C’est les 30 ans du studio Bungie, créé en 1991 et connu pour avoir lancé la série de FPS de science-fiction Halo, de Combat Evolved (2001) à Reach (2010) avant sa reprise par 343 Industries, et celle de Destiny à compter de 2014. Mais c’est également le moment où est sortie les résultats d’une enquête menée par le média IGN sur une culture d’entreprise toxique et sexiste, entrainant des excuses publiques du PDG et la démission du responsable des ressources humaines. Une tendance très actuelle pour le jeu vidéo après les révélations de cet été sur Activision-Blizzard.



    On le sait, la sortie précipitée de Cyberpunk 2077 de CD Projekt en décembre 2020 a été l’occasion de bugs à foison, de performances catastrophiques sur console mais également d’un retrait de plusieurs boutiques de console du titre, d’un remboursement d’un certain nombre de copies, et d’un travail d’arrache-pied pour régler les bugs et améliorer l’expérience de jeu. Ce travail n’est pas à ce jour terminé, même si le soft a été considérablement amélioré et qu’il a eu en définitive un certain succès sur Steam, en plus d’avoir été vendu en trois semaines seulement à 13 millions d’exemplaire et que ce nombre a continué de monter en 2021. L’entreprise a malgré tout été trainée en justice par ses investisseurs en mai 2021, mais d’après les dernières informations, un arrangement financier serait en cours de négociations. D’ici cette résolution, on attend les extensions prévues ainsi que le mode multijoueur pour le studio qui a eu les yeux plus gros que le ventre.



    Plan A ou plan B ? (Tactique)

    Si le jeu Battle Brothers avait un petit frère, ce serait bien Wartales des Français de Shiro Games. Pour présenter nos amis bordelais, il faut rappeler qu’ils ont produit le jeu-hommage à l’évolution du jeu vidéo Evoland (2013), le mélange entre STR et gestion de vikings Northgard (2017) et le hack’n’slash coopératif Darksburg (2020). Désormais, on les retrouve derrière un jeu de tactique inspiré de Battle Brothers. Dans un monde en proie aux bandits et aux rivalités de pouvoir, votre équipe de mercenaires se balade sur une carte qui rappelle Mount & Blade, où vous rencontrez différents groupes de personnages, des marchands comme des réfugiés ou des bandits, avant d’aller dans des villes ou autres lieux-dits pour récupérer des quêtes, acheter des remèdes, de la nourriture ou de l’équipement. Une fois en bataille, votre équipe se bat au tour par tour, et il s’agit de se positionner, de gérer les compétences de chacun, faire attention aux valeurs d’armure et de santé, afin de régler le sort aux malheureux adversaires qui vous attaquent, qu’ils soient des bandits ou des bêtes sauvages.



    Avant No Plan B des Français de GFX47, d’autres jeux de planification de plans pour neutraliser des terroristes ou divers bandits ont existé : il y avait le FPS Rainbow Six (1998) de Red Storm Entertainment et son système de planification pour chacun des groupes, mais également les jeux de tactique Frozen Synapse (2011) et Door Kickers (2014) en vue de dessus pour gérer les déplacements, les directions vues, les armes utilisées, le tout à la seconde près et en groupe pour anticiper au mieux les angles morts et la présence d’ennemis en face. No Plan B reprend donc ce modèle : on y gère des membres d’une force de l’ordre destinée à prendre d’assaut des bâtiments. Cette fois, tout doit être planifié dès le début : vous équipez vos agents avec différentes armes, préparez leur entrée avec flashbangs ou coups de pieds, et tous leurs déplacements. Avec quelques clics, vous pouvez synchroniser sur votre timeline chaque agent, avant de faire play et de voir le résultat. Ce qu’on retiendra est surtout l’interface très claire pour réaliser ses actions notamment grâce à la timeline, et les graphismes particuliers mais sympathiques à l’œil.



    Contemporain ou SF ? (Shooters)

    Après les sorties le mois dernier du dernier Call of Duty et du dernier Battlefield, le nouveau-né de la série de FPS de science-fiction Halo arrive avec la campagne solo d’Halo : Infinite, un mois après la sortie en free-to-play de son mode multijoueur. Développé par 343 Industries depuis la fin de la collaboration entre le studio d’origine, Bungie, et Microsoft, le soft nous propulse une nouvelle fois dans les bottes d’un soldat d’élite sur un monde pour tuer de l’extraterrestre. La campagne n’offre pas de coopération, qui viendra plus tard, mais un monde ouvert où on se baladera pour réaliser les quêtes principales ou encore libérer des camps, aux commandes de véhicules aériens comme terrestres, avec des copains humains. Le principal problème est la non-diversité de ce monde : essentiellement des forêts, des plaines et du rocher, avec divers bâtiments. Le gameplay est comme à son habitude, on aime ou on aime pas : ennemies avec beaucoup de vie, armes à énergie diverses, coup de tatane, grenades et l’adjonction d’un grappin pour rendre un peu plus mobile le héros. Le vrai problème est que pour 60 euros, si vous n’avez pas le Game Pass, vous n’aurez qu’une campagne solo de dix heures, vu que le multijoueur, plutôt sympathique et dynamique, est déjà gratuit. On dirait que le jeu a plutôt été fait pour être pris avec le Game Pass, et peut-être justifier de s’abonner à ce service de Microsoft. Dommage.



    Dans la série des FPS dits tactiques, on pouvait séparer ceux militaires à la Arma et Operation Flashpoint avec leurs grands terrains de jeux, de ceux qui impliquaient de réaliser de petites opérations, généralement anti-terroristes, à l’image de Rainbow Six et de Swat. Ready or Not de Void Interactive appartient ainsi à la seconde catégorie. Extrêmement immersif, les quelques agents avancent dans des bâtiments où se terrent divers terroristes ou bandits, en utilisant la technologie ou le bon vieux coup de pied dans la porte suivi d’une flash pour maitriser les adversaires, parfois sans les tuer, ou bien de répliquer au feu par le feu, en se planquant derrière un joueur tenant un bouclier balistique, pour éviter de mourir en quelques balles.



    Si je m’amusais à vous parler de genres et de termes propres aux jeux vidéos, je vous dirai qu’Anvil des Sud-Coréens d’Action Square est un twin-stick shooter en vue isométrique. Les twin-stick shooter en vue isométrique ou de trois-quart sont en gros des hack’n’slash, ces jeux où votre héros se déplace, esquive les attaques et tape dans le tas avec des armes de corps-à-corps ainsi que certaines armes de tir, mais avec un focus sur les armes à distance. Après The Ascent et son monde cyberpunk, Anvil nous emmène dans la science-fiction, sur des mondes en surface pour affronter des hordes de monstres. Cette fois, il s’agit d’un jeu à classes, où vous devrez choisir un des personnages aux compétences et bonus différents, et d’un roguelike où on devra recommencer sans cesse l’aventure en débloquant malgré tout des bonus. Le soft a plutôt un bon feeling.



    Dans le même genre de top-down shooter, on retrouve cette fois pour le monde contemporain avec Thunder Tier One des Sud-Coréens de Krafton, anciennement Bluehole, qui possède notamment PUBG Studios. Il y a un petit côté tactique à ce jeu de shoot qui rappelle Red Solstice 2 : Survivors, avec des inventaires très complet pour mettre les bons chargeurs à la ceinture, et s’équiper de médikits ou de divers explosifs. Jouable en coopération, le soft implique de faire attention au positionnement, aux couverts et à l’utilisation des armes face à un jeu qui ne fait pas de cadeau. Les sons des armes sont particulièrement réussis.



    Les Allemands de DS Fishlabs, appartenant à l’éditeur Deep Silver, après des jeux sur mobile et des reboot sur Switch, délivrent leur premier gros jeu avec un shooter spatial, Chorus. Dans la grande tradition de ces softs de pur combat, à la différence de ceux qui rajoutent un aspect simulation pour se balader dans plusieurs univers comme la série X, les nouveautés ne sont pas non plus légion, le dernier gros soft étant Star Wars : Squadrons (2020). Aux commandes d’une tueuse repentie, vous réaliserez un ensemble de missions consistant la plupart du temps à vous battre contre des flottilles ennemies, à toutes berzingues, à coup d’armes laser et de missiles. En plus d’être très joli, le soft se manie très bien, et permet d’enchainer des tas de petites manœuvres spéciales qui vous permettront d’esquiver les rayons mortels que délivreront vos adversaires. Plutôt réussi pour un premier jeu.



    A la recherche des colosses (Action)

    Elevé au rang de chef d’œuvre vidéoludique, Shadow of the Colossus (2005) des Japonais de Team Ico a marqué son temps avec le trajet solitaire de son héros, dans un monde vaste et vide, pour s’occuper de gigantesques titans sur lesquels grimper pour les abattre là où se trouvent leurs points faibles, dans un mélange entre plateformes, action et épique. Difficile de voir autre chose qu’un hommage dans Praey for the Gods de No Matter Studios après son kickstarter et son early access. Ils rajoutent à ce cocktail un pan survie avec sommeil et alimentation. Malgré tout, l’expérience s’expédie plutôt rapidement sans innover.



    Après le mystérieux jeu d’action en pixel-art Hyper Light Drifter (2016), Heart Machine repart dans un autre trip visuel avec Solar Ash. Toujours avec une ambiance mystérieuse, le soft sera cette fois en trois dimensions, avec une héroïne capable de courir vite et loin, et qui devra combattre de grands monstres de cette manière pour s’occuper de leurs points faibles, dans une petite aventure se bouclant malgré tout plutôt rapidement.



    Mystère et fantasy (RPG)

    Récompensé pour le meilleur suivi aux Game Awards 2021, le MMORPG Final Fantasy XIV est maintenant tellement demandé que sa vente a été suspendue pendant quelques temps le temps que les serveurs puissent suivre. Lancé en 2010 et sujet à de nombreux problèmes à son lancement, le soft a évité la catastrophe du « un MMO oublié de plus » en étant entièrement refondu en 2013, puis continuellement amélioré par le biais d’extensions. Aujourd’hui, FFXIV a bien meilleure mine, et a procédé à une remontada que ne renierait pas un certain No Man’s Sky. Le soft est ainsi un des MMO les plus joués à côté de World of Warcraft. La toute dernière extension, Endwalker, vient ainsi de sortir, avec deux nouveaux jobs et la clôture de l’histoire développée depuis maintenant onze ans, entrainant un très bon accueil de la part des joueurs.



    Si la série Final Fantasy de Square Enix s’impose toujours comme un classique du RPG à la japonaise, le dernier opus remonte un peu, avec Final Fantasy XV (2016), malgré leur MMO qui cartonne. Cela n’empêche pas de multiplier divers spin-offs, parfois uniquement sur portables, ou encore de relancer en grande pompe la première partie de Final Fantasy VII Remake, paru en 2020. Cette édition qui transcende l’œuvre originale par ses graphismes et son système de combat, et qui a été un régal pour les fans sur PS4, arrive ainsi sur PC, pour la modique somme de 80 euros. Cette somme exceptionnelle interroge sur l’avenir des prix de jeux, dans un monde où les promotions et les game pass se multiplient.


    Développé par les Chinois de Han-Squirrel Studio, Sands of Salzaar se pose comme un hack’n’slash où votre joueur dirige au combat des escouades de guerriers, tout en utilisant ses armes et ses pouvoirs. Quand il n’est pas en bataille, le joueur et son armée se baladent à la rencontre de divers protagonistes, visitent des villages et trouvent des occasions de se battre dans un monde qui rappelle un Mount & Blade ou un Battle Brother. Il y a également de quoi augmenter diverses compétences avec des niveaux et de l’expérience à accumuler. Le tout a un air plutôt rustique malgré ses bonnes idées.



    Autres (gestion, aventure, simulation)

    Si vous aimez les jeux mêlant gestion et survie, reposant sur des individus pour lesquels prioriser les tâches pour les faire monter en compétences, vous avez Dwarf Fortress, Rimworld, ou le plus récent Going Medieval. Désormais, il faut également compter sur Noble Fates de Xobermon LLC. Comme d’habitude, on a une poignée de survivants qui vont aller récolter les matériaux essentiels, récupérer des ressources pour survivre, construire des maisons, et de temps en temps s’équiper pour la bataille afin de repousser les incursions. Vous pouvez également contrôler votre chef de colonie directement pour vous rendre sur le terrain. Pour le reste, c’est plutôt classique.



    Heavenly Bodies de 2pt Interactive vous fait contrôler toutes les parties du corps d’un cosmonaute, en solo ou à deux, pour réaliser de nombreuses actions contextuelles différentes, de l’arrosage de plante à la réparation dans l’espace d’un panneau solaire, imposant un zeste de réflexion et beaucoup d’adresse.



    Les Suédois d’Image & Forge, qu’on connaissait plutôt pour la série SteamWorld, qui devient tantôt un jeu de tactique avec SteamWorld Heist (2015), tantôt un RPG à la SteamWorld Quest (2019), font paraitre un jeu de plateforme et d’action coloré à la troisième personne, The Gunk. Votre protagoniste se balade dans un monde, saute, court, résout de petites énigmes, et surtout utilise un aspirateur pour nettoyer les zones et les adversaires, dans une aventure sympathique mais qui ne révolutionne pas le genre.



    Deiland : Pocket Planet, des Espagnols de Chibig, nous envoie sur une planète entière et toute ronde pour énerver les platistes, afin de l’explorer, cultiver des légumes, faire pousser des arbres, construire sa maison et repousser divers adversaires, et finalement aménager sa petite planète comme on l’entend et la voir passer les saisons. L’adaptation du jeu, déjà sorti sur Switch, reste plutôt paresseuse. Reste que le monde onirique s’adapte parfaitement à la patte du studio, déjà connu pour ses jeux d’aventure ensoleillé et relaxant comme Summer in Mara (2020).



    Conclusion

    Nous espérons que cette édition du Diarium Strategorum pour le mois de décembre 2021 vous a plu. N'hésitez pas à nous faire part de vos retours sur le topic dédié. Pour plus d'actualité vidéoludique, vous pouvez continuer de jeter un oeil sur nos articles, notre chaine YouTube, ou bien sur le site de notre partenaire Le Monde du Captain Sparke ou sur la chaine Captain Sparke. Rendez-vous le mois prochain pour le prochain numéro !

    Rédacteurs :
    • Ancient Egypt Fan
    • Captain Sparke
    • Foeurdr
    • Mouchi
    Dernière modification par CptSparke, 05-01-2022, 22h41.

  • #2
    ON EST A JOUR Foeurdr Ancient Egypt Fan

    Comme d'hab, la vidéo de l'AJVC sur ma chaine YouTube. Elle paraitra en fin de semaine sur la chaine de Mundus Bellicus


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