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leviath
Duc d'Aquitània
Stratège du dimanche
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#61
03-05-2015, 16h38
Je viens de finir ma L2 d'Histoire et je rejoins une partie des avis ici.
On se cantonne trop à limiter les études d'Histoire à ... l'Histoire et l'enseignement. Personnellement je me suis inscrit à la fac d'Histoire avec l'ambition déjà faite de tenter (et réussir tant qu'à faire) les concours de l'école de journalisme de Bordeaux ainsi que Science Po Bordeaux, à ma fin de L3 pour y faire un master. La fac d'Histoire n'est donc pas une finalité mais une porte d'accès, qui plus est en rapport avec ma passion première. Cette approche me motive parce qu'au moins j'ai un but fixe, rare en licence, et du fait du niveau d'exigence de ces deux futures écoles, cela me force à m'impliquer.
Je suis d'accord sur le fait qu'on puisse réussir une licence d'Histoire sans se fouler pour peu qu'on soit déjà passionné et un minimum cultivé. Là où j'ai du m'investir c'est surtout en première année pour la méthodologie (commentaires, dissertations, etc), étant donné que j'ai commencé ma licence 6 ans après le bac. Ca a été rude sur ce plan. Au niveau des révisions, etc, en donnant le strict nécessaire j'ai eu 14.5 de moyenne aux 4 semestres (2 par année). Je suis premier de mon TD et l'un des premiers de la promotion sans doute. Donc oui, c'est vraiment pas sorcier, pour peu qu'on s'implique un poil. J'avoue qu'il y a 6 ans, lorsque j'avais tenté la première fois la fac, ce fut un désastre mais j'avais eu le bac en mode Rage Quit et je ne voulais plus entendre parler des études. La motivation de départ, et la maturité, ça joue.
Enfin, pour revenir à ce que je disais au départ, avec une licence d'Histoire, on peut s'orienter vers un tas de concours pour les grandes écoles histoire de s'orienter vers un avenir qui recrute de nos jours donc ça me semble un atout, seulement les élèves sont très peu informés sur le sujet. On a bien eu une matière à la con PPE où il fallait constituer un dossier soi-même sur un emploi...totalement inutile pour ceux qui ne savaient déjà pas vers où se diriger. Il faut vraiment des cours d'orientation en licence avec la rencontre de divers professionnels qui sont passés par là auparavant pour montrer aux élèves la diversité des orientations disponibles dans le monde du travail avec une licence d'Histoire. Ils font un peu comme ça aux USA de ce que j'en sais. Evidemment, tout ce que l'on rencontre à la fac d'Histoire ce sont des universitaires et chargés de TD, qui ont souvent été profs au seconde auparavant, donc les élèves finissent par penser que c'est la seule orientation possible.
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leviath
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03-05-2015, 17h21
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Marcus
Tacticien de bibliothèque
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#62
03-05-2015, 17h00
Leviath, je ne peux que t'approuver.
Sinon question à la con, t'es en à quelle fac toi ?
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pol_ak 47
Pontifex Maximus
Tacticien de bibliothèque
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#63
03-05-2015, 17h13
Ahhhh, les PPE ... Vaste blague, amusante historiette que cette vaste fumisterie ! A part réduire encore la portion dédiée aux cours qui dispensent un véritable enseignement, cette hérésie ne sert vraiment à rien ... A part à gonfler les taux de réussite, bien sûr. Au passage, effectivement, je vois pas en quoi 90% de réussite sont un quelconque indicateur de la bonne santé d'une université, vu qu'elle est de plus en plus incitée à brader ses diplômes si elle veut vivre.
Faisant partie des fanatiques qui souhaitent une séparation entre monde universitaire et monde professionnel et ne voient pas dans les études avant tout ce qui permet d'accéder à un emploi, bon ... Des rencontres blabla avec des gens de l'extérieur, horreur ! Inciter les étudiants à se bouger le cul pour réfléchir, en revanche, oui. C'est incroyable le nombre de petits camarades qui se trouvent désoeuvrés et démotivés après le M2 parce qu'y a rien pour eux ensuite (encore pire en histoire de l'art) ... Ou qui enquillent sur une thèse sans trop savoir ce à quoi ça les mènera (hem hem), ou qui enquillent sur un master pro qu'ils détestent parce qu'il faut bien quelque chose etc etc.
Concrètement, pour la majorité des étudiants en histoire, les débouchés vont se cantonner aux deux portes de sortie traditionnelles, faut pas se leurrer. Mais effectivement, j'ouvrais aussi la parenthèse parce que si l'on s'en donne les moyens, l'histoire peut tout de même amener quelque part, au vu des compétences que cela fait développer. Et effectivement, le journalisme est sans doute le 3e projet le plus fréquent en licence d'histoire, et je trouve ça très cohérent (esprit de synthèse, qualités d'écriture, raisonnement, analyse, culture générale ...), bonne chance Léviath (j'en connais quand même quelques uns qui ont suivi la même idée, et certain(e)s semblent d'ailleurs s'en tirer, donc ...). En somme, certes, il serait dommage de résumer l'histoire à l'enseignement et à la recherche ; mais il faut être honnêtes, la plupart de ceux qui font histoire finiront ainsi, ou échoueront dans leur projet. C'est juste qu'on est pas condamné à ce parcours.
Sinon: j'approuve le discours Stilgarien de Défense de la Fac
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pol_ak 47
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03-05-2015, 17h18
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Faras
Princeps Mundi Bellici
Expert Stratège
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#64
03-05-2015, 17h24
J'ai eu 4 au PPE, et je me demande pourquoi, voilà un extrait :
La documentation est très simple.
Dieu, dans son infini grandeur, a inventé internet.
Mais puisqu’il est très bon, il a aussi inventé le site d’ONISEP, et il a aussi pensé aux internetophobes en distribuant l’ONISEP comme magazine papier.
Quiconque doué d’une intelligence assez suffisamment avancé (au niveau du dauphin, par comparaison), et qui connaît le site ainsi que le magazine, sait qu’il suffit d’aller chercher là pour tout prendre.
Ensuite, il suffit de chercher deux trois magazines ou livres bidons pour mettre leurs noms sur la page 3 de « Matériel et Méthode », et faire ainsi croire qu’on a bien cherché au gentil correcteur, que l’on trompe aisément ainsi (oh que c’est vil !).
Incompréhensible.
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Faras
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03-05-2015, 17h28
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pol_ak 47
Pontifex Maximus
Tacticien de bibliothèque
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#65
03-05-2015, 17h37
Bravo ! J'ai eu de la chance, j'ai pas eu à faire semblant, ça a été rajouté y a 4 ou 5 ans, chez nous ... Encore une matière cadeau pour donner des points. On en est arrivés au stade où on effectue au premier semestre chaque semaine QUATRE (oui, QUATRE, 4, IV ) heures d'HISTOIRE, chez nous, avec quatre heures de matière d' "ouverture" et 8 heures de merdes diverses (PPE et je sais plus quel truc du même genre) pour compléter. Pitoyable. Mais le niveau monte, bien sûr.
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Peredhel
Tacticien de bibliothèque
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#66
04-05-2015, 18h51
Ouf ! J'avais peur d'avoir été trop agressif/prétentieux/autre avec Stilgar et de devoir partir dans un clash sur la question du déterminisme... me voilà rassuré !
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Marcus
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Le problème c'est qu'il faut casser le mythe qui dit que les études d'histoires amènent au métier de prof, que ça soit chez les jeunes et chez les adultes.
Ça je ne suis pas sûr du tout. Je m'explique : de fait, comme le dit pol_ak, un paquet d'étudiants (qu'ils le veuillent ou non) "finiront" (rien que l'expression est emblématique) profs et qui plus est dans le secondaire. Même en aidant les élèves à s'ouvrir d'autres perspectives, et ça je suis d'accord c'est indispensables, ça risque de rester le cas parce que l'utilité concrète de l'histoire (surtout quand il s'agit de justifier sa rémunération auprès d'une entreprise privé dont l'objectif premier est de faire des bénéfices) est très difficile à mettre en valeur à part dans quelques métiers de niche. On pourrait valoriser beaucoup plus la connaissance historique dans un modèle économique différent du nôtre, où la valeur marchande et la production de biens matériels ne seraient pas au centre de l'économie, mais on a plus de chance de voir Nathalie Arthaud être élue présidente en 2017 que de voir advenir de notre vivant une société où les historiens seraient les rois du pétroles (et pourtant ça a existé...).
Donc "casser le mythe" c'est prendre le risque d'avoir encore plus d'étudiants qui ne sont pas intéressés par l'enseignement choisir cette voie comme voie de garage. Et ça c'est très mauvais parce que déjà que beaucoup d'enseignants motivés, qui avaient "la vocation", finissent blasés en à peine deux mois d'enseignements imaginons ce que ça serait si 90% des étudiants ne souhaitaient pas le devenir. Au contraire il faut dire les choses : une licence d'histoire ça amène d'abord au métier d'enseignant (et enseignant tout court : enseignant-chercheur c'est bon pour une poignée de nantis).
Par contre on peut essayer de "casser le mythe", comme tu dis, auprès des employeurs, en valorisant l'utilité de l'histoire. Mais là, pas la peine de se faire d'illusion, ça implique de valoriser ses études d'histoire dans un tout cohérent qui va nécessairement au-delà de la fac. Ou de se spécialiser dans un secteur (ton exemple est très pertinent) qui pourrait éventuellement recruter : il y a pas mal de boîtes qui sont prêtes à financer des thèses sur leur histoire (aussi saugrenu que ça puisse paraître : l'histoire économique et sociale va ré-apparaître à cause du manque de financement public...).
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Marcus
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Parce que comme le disais je sais plus qui, à force de faire des choix par défaut pour assurer les arrières, trouver d'autres voies semblent quand même douteux.
C'était moi, mais je ne voulais pas le dire exactement dans ce sens là, je me suis consciemment fermé des portes en me disant que si les cours de telle section ne m'intéressaient pas (et j'adore étudier) c'est que les métiers derrière me soûleraient plus qu'autre chose. J'ai fait un stage dans l'administration territoriale pour m'en assurer : je suis convaincu (mais on verra à l'usage) que je préfère me faire houspiller par une classe de quarante gamins tout juste pubères plutôt que de passer ma vie à parler devant un ordi à écrire des notes de service, des e-mails et des fiches synthèses et à n'échanger vraiment qu'au cours des pauses cafés-clopes (et encore plus tu monte dans la hiérarchie moins tu es sensé en prendre).
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Marcus
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Peredhel a raison sur un point, on peut arriver en L3 en ne révisant que la veille des partiels, après ça dépend des gens, en terminale je voyait des potes bossé 5 h sur un devoir quand moi je bossais plutôt 30 minutes.
Ah ça c'est certain : il y en a toujours quelques uns qui ont la motivation pour travailler d’arrache-pied même si les études leur coûtent plus qu'à d'autres (en terme d'efforts), plus favorisés par leur milieu et leurs expériences antérieures, le problème étant que même quand ceux-là arrivent jusqu'en fac ils se heurteront aux questions financières et soit à une incompréhension de leur famille (une amie qui fait une thèse d'histoire du cinéma est dans ce cas) ou à une absence de soutien. Tu met tout ça bout-à-bout : il faut une sacré abnégation pour y arriver. J'en connais quelques uns et je leur tire mon chapeau.
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Stilgar
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Je prends pour exemple les M2 de droit d'Assas, difficile de faire plus côté, j'y ai vu un certain nombre de boursiers et de classes moyennes.
Oui bien sûr, il y en a aussi énormément à sciences-po, en fait ceux qui appartiennent aux classes supérieures (parents médecins, magistrats, avocats, patrons, universitaires, etc.) sont une petite minorité, mais moi je parlais des classes moyennes inférieures et des classes populaires et ça en fac de droit comme en IEP on en trouve beaucoup moins.
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Stilgar
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Je trouve débile le système où une fois que tu as eu un concours en fin de bac (période où les garçons ne sont d'ailleurs pas particulièrement matures et concernés par l'orientation) ça y tu n'as plus rien à glander jusqu'à la fin de tes études. J'ai des amis dans la plupart des IEP (Paris et ailleurs), ils ont eu des mentions facilement, et j'en connais aucun qui a sacrifié ne serait-ce qu'une soirée pour bosser.
Paris et Aix ? :P Moi j'ai sacrifié pas mal de soirées. J'ai l'impression aussi que tu parles de facs (droit, médecine, éco & finances) qui sont ultra-compétitives et qui en viennent (pour les meilleurs) à ressembler à des prépas. Pas sûr que ça se rapproche plus de l'expérience de la plupart des étudiants que les IEP en fait...
Pour moi ce qui explique la réussite à l'IEP ça n'est pas tant qu'on te laisse glander (sinon comment expliques-tu que les IEP aient de meilleurs résultats que les facs de droit aux concours de la magistrature -pour prendre un exemple au hasard- ?) c'est que la sélection fait que dès le départ tu n'as que des bons élèves : c'est ça qui est pervers à mon sens puisque ça crée un microcosme et (comme tu l'as dit) la sélection se faisant à la sortie du bac c'est surtout une question de culture générale (et non d'acquis du lycée).
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Stilgar
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Je trouve le système de la fac qui te force à bosser plus chaque année excellent. C'est comme en sport : jeune tu t'entraines un peu, puis avec les années tu t'investis de plus en plus pour être compétitif. Ça apprend à travailler énormément, ça apprend à se démerder, ça apprend à gérer la pression et tout un tas d'autres choses utiles. Par ailleurs les relations sociales à la fac c'est possible hein, donc tu te fais rapidement des amis avec lesquels tu peux bosser et sortir.
Sur le papier je suis d'accord... sauf que les systèmes du style "débrouilles-toi tout seul" sont une autre forme de sélection sur tes compétences personnelles et non académiques et donc totalement injuste au niveau social, exactement (quoique moins brutalement puisque les plus solides peuvent s'adapter avec le temps) comme les sélections par concours.
Ce que je défends c'est un système plus progressif : le problème du système scolaire (enfin un des problèmes) c'est qu'il fonctionne par paliers extrêmement difficile à franchir (puisque dès le départ en fac tu es tout seul) au lieu d'être progressif.
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Stilgar
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Certes y a des personnes qui se font sortir mais c'est la vie, ça veut dire qu'ils ne sont pas fait pour ça.
A la limite ça je veux bien, ma critique s'adresse plus à l'ensemble du système scolaire, sinon la fac ne doit pas demeurer un absolu et les IUT/BTS peuvent aussi être de très bonnes formations selon les domaines.
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Stilgar
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Bref là tu généralises ta mauvaise expérience de la fac (d'histoire qui plus est, monde particulier comparé aux facs de médecine, droit, et d'éco/finance). Y a plein de gens cools et travailleurs à la fac. T'es pas tout seul à travailler contre le monde entier. Oui j'ai reçu des faux cours de la part de personnes qui en M1 ne voyaient que le M2 comme fin, mais j'en suis pas mort et ça m'a fait rire.
En soi ça n'est pas une mauvaise expérience : c'est un palier que j'ai eu du mal à franchir (même si le corps enseignant y est pour quelque chose) et je ne prétends absolument pas être le seul à travailler (pour ce que j'ai fait au premier semestre) sans compter que je me suis fait pas mal d'amis aussi. Je considère juste que c'est un système dur et loin d'être idéal lui aussi.
Sur la question de l'enseignement je suis à la fois en accord avec toi et en désaccord. En accord dans la mesure où je trouve aussi que les compétences pédagogiques sont sous-évaluées par rapport aux connaissances. En désaccord parce que tu réduis le rôle de l'école à la recherche d'un emploi : c'est vrai pour l'université (et encore) mais pas pour le reste.
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Benoît
Primus inter pares
Groupie de Jomini
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#67
04-05-2015, 19h13
Pour moi ce qui explique la réussite à l'IEP ça n'est pas tant qu'on te laisse glander (sinon comment expliques-tu que les IEP aient de meilleurs résultats que les facs de droit aux concours de la magistrature -pour prendre un exemple au hasard- ?) c'est que la sélection fait que dès le départ tu n'as que des bons élèves : c'est ça qui est pervers à mon sens puisque ça crée un microcosme et (comme tu l'as dit) la sélection se faisant à la sortie du bac c'est surtout une question de culture générale (et non d'acquis du lycée).
La réponse est différente et touche deux aspects. Cela n'occulte pas complètement ton idée, mais tu passes à côté de plusieurs réalités.
- Les élèves d'IEP sont clairement préparés à faire des concours et adapter leurs copies en conséquence, les élèves en droit beaucoup moins.
De plus, la dissertation de culture générale était très importante (un peu moins maintenant de tête), point sur lequel la majorité des étudiants en droit font l'impasse.
Pourquoi trustent-ils également l'ENA? Pour des modalités similaires.
- Enfin c'est occulter le fait que les M2 IEP adaptés sont des classes prépas aux concours, ce que ne sont pas toujours les M2 en droit.
Surtout, les personnes dans des structures type Prep'Ena sont comptabilisées et elles comprennent des étudiants venus notamment... des grandes écoles. Cela fausse donc complètement les chiffres sur les étudiants d'IEP.
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Benoît
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04-05-2015, 19h25
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Blackadder
Prussien méchant
Tacticien théorique
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#68
04-05-2015, 19h48
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Peredhel
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J'ai fait un stage dans l'administration territoriale pour m'en assurer : je suis convaincu (mais on verra à l'usage) que je préfère me faire houspiller par une classe de quarante gamins tout juste pubères plutôt que de passer ma vie à parler devant un ordi à écrire des notes de service, des e-mails et des fiches synthèses et à n'échanger vraiment qu'au cours des pauses cafés-clopes (et encore plus tu monte dans la hiérarchie moins tu es sensé en prendre).
C'est parce que tu n'as pas encore passé de temps devant une classe
Bon après ce qui vaut pour moi ne vaut pas forcément pour les autres, et heureusement je ne passe pas toutes mes journées à pondre des notes, même si ça me prend la majorité de mon temps.
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Stilgar
Artiste compris
Fan de Clausewitz
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#69
04-05-2015, 21h57
Les meilleurs résultats des IEP aux concours de la magistrature :
- D'une part c'est du bidon. Assas (avec Paris I) a tous les ans le plus gros contingents. Il y a juste eu quelques années des étudiants en haut du concours "issus" de la PREPA Sc pipo Paris (mais qui pour la plupart sortaient d'une L3 d'Assas et n'avaient fait que la prépa sc po)
-
Le concours de la magistrature c'est de la culture gé et pas du droit.
Ca explique d'ailleurs qu'aucun étudiant de droit (enfin si mais très peu et pas forcément les meilleurs) se tournent vers la magistrature. De plus je ne parle même pas du scandale du Conseil d'Etat où les places sont réservées aux enarques, incultes en droit public et quasi inaccessibles à des juristes de l'université.
Donc cet argument cher à feu Descoings, c'est franchement du pipo !
Et "que des bons élèves" en IEP c'est tout relatif. Bon est forcément subjectif, tout dépend de là où tu places ton curseur.
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Archange
Rêveur serein
Expert Stratège
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#70
05-05-2015, 10h20
Ce topic me fait le même effet que feu l'ancien topic "géopolitique et roulement de tambour" d'Alter ==> une profonde envie de suicide à chaque fois que je le lis
J'vais aller en STAPS faire du sport, ils ont l'air heureux les étudiants de STAPS à faire du sport après tout.
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pol_ak 47
Pontifex Maximus
Tacticien de bibliothèque
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#71
05-05-2015, 10h40
Ce qui pourrait nous permettre de lancer un grand débat : pour être heureux, n'est-il pas mieux d'être con et insouciant ? (oui, bon, je veux pas dire par là que tous les gens de STAPS sont cons et insouciants, hein, me faites pas dire ce que j'ai pas dit) On pourrait avoir comme maître à penser ce digne homme :
https://www.youtube.com/watch?v=eIgRbjE1ycI
Mais bon, je pense pas qu'y ait eu que du négatif dans ce fil, en première page y avait même des gens qui avaient un travail et tout ...
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Guemsterk
Tacticien du dimanche
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#72
05-05-2015, 10h43
Oui, après, en STAPS, tu as aussi les cours de biomécaniques et de calcul de la taille de la foulée par rapport à l'angle de renvoie lors de l'appui du pied sur le sol. Sans compter tout ce qui est rapport au fonctionnement des lombaires, des inflammations et des claquages. (Cela reste très intéressant. Juste pour dire que les STAPS ne font pas non plus "que du sport pratique")
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Archange
Rêveur serein
Expert Stratège
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#73
05-05-2015, 10h46
Je suis en Droit à Avignon moi... 70% des étudiants qui sont avec moi sont là pour toucher les bourses
EDIT : @guem : m'en fout, les étudiants de STAPS ça restera toujours les c*** qui viennent jouer au foot sur les pelouses du campus alors que les honnêtes étudiants en Droit sont en train de bosser leur Droit constit' pénards.
Et c'est les seuls qu'on voit jamais à la BU
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Archange
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05-05-2015, 10h48
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leviath
Duc d'Aquitània
Stratège du dimanche
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#74
05-05-2015, 11h08
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Stilgar
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Et "que des bons élèves" en IEP c'est tout relatif. Bon est forcément subjectif, tout dépend de là où tu places ton curseur.
Je pense que ça dépend surtout des IEP. A Paris, c'est l'usine donc ça doit être possible de l'intégrer sans être au top. Pour les IEP qui font le concours commun, bon...un concours commun c'est jamais un bon signe niveau exigence. Il reste Bordeaux et Grenoble. Le niveau de l'IEP de Bordeaux est plutôt élevé mais comme depuis cette année le concours Bac +1 est supprimé, du coup les places au concours Bac +0 sont doublées. Ca devrait réduire le niveau sur le long terme.
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Elanion
Expert Stratège
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#75
05-05-2015, 11h25
http://www.legion-recrute.com
Fin du débat
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