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  • #16
    Moi c'est l'inverse, jusqu'au bac, j'ai toujours trouvé les maths trop faciles et j'aimais bien ça, mais maintenant je fais une overdose!

    Euh, de manière plus "barbare", pour trouver b tu lis b à l'intersection entre la droite b et la droite x=0.

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    • #17
      b, tu le trouves à l'intersection de ta droite et de l'axe des ordonnées : là, ça a l'air d'être environ 3,33 => 10/3.

      Edit : Grillé
      Ça me manque les maths, je me rends compte que j'ai oublié plein de trucs du programme de terminale (les complexes, les suites, ...).

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      • #18
        On t'a dit, b c'est l'ordonn?e ? l'origine, le point d'ordonn?e o? l'abscisse est ? z?ro, sur quelle ordonn?e la droite passe par l'abscisse z?ro.

        Sur f, f(0) = 2

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        • #19
          Ok, je peut utiliser 3.33 pour l'équation ?

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          • #20
            Bof, euh, en seconde, ouep, je pense que ça passe.
            Mais bon, personnellement je te conseille de t'habituer tout de suite à tout mettre en valeurs exactes.

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            • #21
              De toute façon, sur un graphique, on peut pas vraiment parler d'exactitude

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              • #22
                J'ai un autre probl?me (Exercice 3), je ne sais pas comment m'y prendre pour répondre en justifiant :}

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                • #23
                  Ben... t'écris les calculs :} Où est le problème ?

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                  • #24
                    Quels calculs ? Voilà le probléme !

                    Je suis un brêle en math

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                    • #25
                      1)
                      a) Moyenne= (6x1 + 7x5 + ...) divisé par 1+5+2+...(effectif total)
                      Voila là c'est justifié.

                      b) pour la médiane tu fais effectif total multiplié par 1/2= ...
                      Ensuite tu dis que la ...éme note est ...* (si c'est un nombre à virgule arrondis au dessus même si c'est 0.1)
                      En gros tu compte avec tes petits doigts pour arriver à la ...éme note du tableau.


                      c) La fréquence je sais plus mais je crois que si tu écris effectif de la note 13/ effectif total = 6/... et que tu simplifies sa devrait le faire. Et si c'est pas le troisième quartile dit que c'est la note la plus courante. (En faite dis le dans tout les cas )

                      Pour la deuxième partie je pari que c'est le troisième quartil. Pour le prouver fait:
                      effectif total multiplié par 3/4.

                      d) Franchement là je penses que tu dois savoir le faire.

                      e) faut faire un calcul sinon t'auras jamais les points.

                      Ensuite tu comptes.
                      EDIT: attends je fini.

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                      • #26
                        1)
                        a) faire une moyenne:
                        Pour faire une moyenne tu multiplie chaque note par le nombre d'élèves qui l'a eu, ensuite tu fais la somme de toutes tes notes multipliées, et tu divises le résultat par le nombre total d'élèves.

                        b) la médiane:
                        La médiane est la note située précisément au milieu de toutes les notes reçues.
                        Il y a autant d'élèves qui ont une note inférieure à la médiane que d'élèves qui ont une note supérieure à la médiane.

                        c) quelle est la fréquence de la note 13?
                        J'en sais foutrement rien, c'est très mal formulé comme question.
                        Je suppose qu'il s'agit en fait de savoir combien d'élèves ont 13 par rapport à la totalité de la classe...
                        A mon avis prend le nombre d'élèves qui ont eu 13 et divise le par le nombre d'élèves total dans la classe pour avoir une "fréquence"...
                        En tout cas, avec 6 élèves qui ont eu 13, c'est la note la plus courante dans la classe...

                        d) pourcentage
                        Pour faire le pourcentage des élèves qui ont eu au moins 10, tu fais la somme de tous les élèves qui ont eu 10 ou plus, tu la divise par la totalité des élèves de la classe et tu multiplies le résultat par 100...

                        e)
                        Voir la méthode en d'Archange en dessous.

                        2) moyenne des moyennes
                        tu multiplies chaque moyenne de classe par le nombre d'élèves de la classe en question, tu additionnes tous ces jolis résultats et tu divises par l'ensemble des élèves pour avoir la moyenne.

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                        • #27
                          J'ai trouvé le calcul pour le e) !!!!!!

                          Tu dis que l'effectif augmente de 1 avec cet élève donc tu passes de 30 à 31.


                          Ensuite tu écris:

                          31 x 11= 341

                          341-324= 17



                          Si tu rédiges bien t'es sur d'avoir tout les points là.
                          EDIT Zaz:
                          Oh, la vilaine faute de frappe!
                          Sinon vi, cette méthode est claire et bien rédigée.

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                          • #28
                            Ok merci

                            Je vous dirais combien j'ai eu à mon contrôle

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                            • #29
                              Mais ... c'est noté ces exercices ? Tricheur

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                              • #30
                                Je post mon premier commentaire de texte, que je rend aujourd'hui. (suis en 2nd)
                                Vos avis int?resse beaucoup
                                PS : ne tenez pas compte des fautes d'orthographe

                                Le Texte :



                                Le commentaire :

                                l'?gypte des pharaons, de par ses us et coutumes accordait une tr?s grande place ? la mort. En tant que civilisation ?teinte , elle a l?gu?e beaucoup au explorateurs venus percer les myst?res des tombes des pharaons. C?est lors d?un voyage en ?gypte que T?ophile Gautier ?crit cette ?uvre : ? Une nuit de Cl?op?tre ?, appartenant au recueil : Contes et r?cits fantastiques, compl?t? entre 1831 et 1856. Dans ce texte, il d?crit un descente du Nil en cange, la chaleur est ?touffante et partout autour il n?y a qu?une ?gypte triste et s?che. ?gypte n?est elle plus qu?un tombeau ouvert au yeux du monde, les ruines d?une civilisation batie autour d?un fleuve aujourd?hui las et somnolent qui a autant de superbe qu?un ?tang ? Si en ?gypte le Nil est roi, alors le Soleil est un dieu. Nous commencerons par parler de son r?gne divin et absolu sur toute vie en ?gypte. Puis vient le Nil, cet immense fleuve qui semble fatigu? des mill?naires qui passe mais qui reste toutefois source de vie. Et enfin le d?sert, ses tombeaux, ses morts embaum?s et ses tr?sors cach?s : le sable, la roche et la mort.

                                Le Soleil, avec un
                                S majuscule, ?tait v?n?r? en ?gypte en tant que dieu et ?tait repr?sent? sous la forme d?un homme ? t?te d?aigle : R?. Cela conforte cette personnification : ? Le soleil du midi d?cochait ses fl?ches de plomb ? (l.1). Il est compar? ? un archer tirant des fl?ches de m?tal, symbolisant ici les rayons ardents du soleil. Ces traits de m?tal font aussi allusion ? cette fameuse expression ? sous un soleil de plomb ?. Le plomb est souvent utilis? comme symbolisme d?une chose lourde et ?crasante. En effet le pouvoir du soleil est en quelque sorte ? ?crasant ?. L?emploi du mot ? plomb ?(l.1) permet de laisser la place au lecteur pour une nouvelle m?taphore : la chaleur ?touffante du dieu-soleil est compar? ? l?atmosph?re de fournaise d?une forge : ? fl?ches de plomb ?(l.1) ; ? vases cendr?es ?(l.2) ; ? torrents de flamme ?(l.5) ; ? m?tal ? la fournaise ?(l.6) ; ? une brume ardente et rousse ?(l.6-7). Le ciel n?y ?chappe pas et est compar? au m?tal battu par le forgeron : ? l?azur du ciel blanchissait de chaleur comme un m?tal ? la fournaise ?(l.5-6). En ?gypte, le r?gne du dieu-soleil n?a pas d??clipse : le ciel est clair et d?gag? : ? Pas un nuage ne tranchait sur ce ciel invariable et morne comme l??ternit? ?(l.9) : aucun nuage de vient obstruer les fl?ches de l?archer divin.

                                L? ou il y ? de l?espoir, il y a de la vie : le Nil est il l?espoir ?

                                Le Nil n?est pas dans ce texte fid?le ? l?id?e que l?on se fait de lui? Dans l?imaginaire collectif, c?est un fleuve, beau, myst?rieux et profond o? la vie foisonne et o? sur ces rives s?agitent des hommes et femmes qui vivent gr?ce au limon qu?il vient doucement d?poser sur les cultures. C?est le berceau d?une des plus grande civilisation. Ici l?auteur nous d?crit un fleuve paresseux et vaseux : ? L?eau du Nil, terne et mate, semblait s?endormir ?(l.10). L?eau est fig?e et les avirons de l?embarcation semblent troubler une stagnation jusque l? ?ternelle : ? les avirons de la cange semblaient avoir peine ? d?chirer la pellicule fuligineuse de cette eau fig?e ?(l.17-18) comme si les rameurs venaient troubler un paresseux qui se plaisait au soleil. Sans pour autant aller jusqu?? la m?taphore. Cependant, le vie persiste ! Il y ? des poissons qui sautent gentiment : ? le saut d?un b?chir ou d?un fahaka, gonflant son ventre ?(l.15), des crocodiles qui se dorent la pilule : ? des crocodiles p?m?s de chaleur qui se vautraient dans les joncs du fleuve ?(l.34-35), ainsi que quelques oiseaux qui, paresseusement, battent des ailes pour changer de perchoirs : ? quelque ibis qui, fatigu? de se tenir debout, [?] allait se percher sur un ob?lisque ou sur un palmier ? (l.35-40). Le soleil impose sa loi, la chaleur rend l?thargique les ?tres vivants qui vivent autour du Nil. Mais surtout, le plus troublant pour un ?tre humains c?est ce silence muet que l?auteur d?crit tr?s bien : ? Le silence ?tait si profond, qu?on e?t dit que le monde f?t devenu muet, ou que l?air e?t perdu la facult? de conduire le son ?(l.30-32)

                                Si la vie du Nil est apparent?e ? une vieillesse pantouflarde, c?est la mort qui convient pour le d?sert.

                                En effet : L? ou le Nil ne s?oppose pas au pouvoir du soleil, il n?y que le sable et la mort : ? une tristesse immense et solanelle pesait sur cette terre, qui ne fut jamais qu?un grand tombeau ?(l.19-21). Les ?gyptiens avaient une grande fascination pour la mort : et bien ils sont tomb?s sur le bon pays : en Egypte celle-ci est omnipr?sente et le contraste Nil/D?sert, o? plut?t Vie/Mort d?multiplie cette impression avec bien s?r chacun leur champ lexical respectif : ? tombeau ?(l.20) ; ? embaumer ?(l.22) ; ? m?lancolie ?(l.24) pour la mort et ? vivants ?(l.21) ; ? source ?(l.26). De plus, c?est une mort absolue : il n?y a pas de vie, si ce n?est quelque scorpions?, ? Tristesse aride, s?che comme la pierre ponce, sans m?lancolie, sans r?verie ? (l.23-25). C?est une mort morose et sans plaisir. Sans nul doute que le sphinx et ses amis les statues de pierres pensent comme nous : ? tristesse de sphinx ennuy? de regard? perp?tuellement le d?sert, et qui ne peut se d?tacher du socle de granit o? il aiguise ses griffes depuis vingt si?cles ?(l27-19). Le manque du Nil se fait encore plus sentir qu?il n?y a absolument rien pour compenser : ? pas de source secr?te o? baigner ses pieds poudreux ?(l.25-26)

                                Pour conclure, ce serait facile de s?imaginer ? la place des crocodiles, vautr?s dans la vase et les joncs ? faire bronzette. Le soleil est ?touffant, assommant, ?crasant mais il ne peut d?truire le Nil comme il d?truit le d?sert, la vie triomphe et parfois m?me s?insinue dans le d?sert. Les ?gyptiens ont pus b?tir des tombeaux dans cet enfer. Au premier abord, le Nil n?est pas exceptionnels quand on le compare ? d?autres grands fleuves, mais a y regarder de plus pr?s on d?couvre sa v?ritable valeur. C?est pareil lorsque l?on le d?couvre ? travers ce texte, une fois que l?on a d?couvert on comprend la v?ritable valeur du Nil et de ?gypte : la vie qui triomphe de la mort. Nous pouvons m?me aller plus loin, dans le roman d?Agatha Christie :
                                Mort sur le Nil, le d?tective Hercule Poirot triomphe en quelque sorte de la mort en la personne de l?assassin. Arriv?s ? la fin, nous pouvons avoir cette question qui nous tiraillent : qu?aurait ?t? ?gypte sans le Nil ?

                                Voil

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