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  • #31
    On tire

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    • #32
      Feu à volonté, commandant !
      (ça commence sacrément à sentir la poudre dans cette émeute...)

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      • #33
        On tire

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        • #34
          (Je le fais tirer après seulement deux votes parce que c'est le seul choix logique )

          Vous visez rapidement et tirez. La balle l'atteint en pleine poitrine, et il s'effondre.


          Comprenant qu'il n'y a pas d'issue de ce côté, la foule reflue et se dirige vers la partie des jardins tenue par la Garde suisse. De loin, vous voyez que les Suisses ne tirent pas, et c'est en se faufilant entre leurs rangs que les manifestants s'échappent du piège où ils étaient enfermés. Lorsque les jardins du Palais-Royal ont enfin retrouvé leur calme, on vous donne l'ordre de ramener vos hommes à la caserne. Quand vous traversez la ville à la tête de votre compagnie, les rues parisiennes vous semblent beaucoup moins sûres qu'au début de la matinée.

          Pendant près de deux jours, votre compagnie est consignée à la caserne. Le bruit court que le petit peuple de Paris se serait rendu maître de la rue, et vous savez que ce n'est qu'une question de temps avant que vous ne soyez appelé à intervenir. Effectivement, le matin du 14 juillet, vous êtes convoqué dans le bureau du
          colonel. Le cœur battant, vous vous dites que le moment de faire vos preuves est peut-être arrivé.
          — On nous signale qu'une foule nombreuse se dirige vers l'hôtel des Invalides, vous annonce le colonel. Comme vous le savez, ses caves abritent un important dépôt d'armes. Conduisez votre compagnie sur place pour renforcer la garnison. Vous le saluez, faites demi-tour, sortez du bureau du colonel et donnez l'ordre à votre sergent de rassembler les hommes avec l'équipement complet. Quelques minutes plus tard, toute la compagnie est au garde-à-vous.
          — Soldats, la populace menace la sécurité de Paris et l'honneur du roi. En ce moment même, elle marche sur l'armurerie. Nous allons de ce pas prêter main-forte à la garnison.
          Vous montez à cheval et sortez de la caserne à la tête de vos hommes.

          En chevauchant dans les rues de la capitale à la tête de vos hommes, vous vous rendez compte que la tension est à son comble. La mauvaise humeur que vous aviez observée dans la foule du Palais-Royal s'est multipliée par mille. L'envie vous démange de donner une bonne leçon à cette racaille indisciplinée mais vous avez une mission à remplir et vous continuez votre chemin, les yeux fixés droit devant vous. Soudain, une clameur retentit derrière votre dos. Vous tirez sur les rênes pour arrêter votre cheval et vous vous retournez sur votre selle. L'arrière de la colonne semble se désagréger. Votre fidèle caporal lui-même paraît avoir pris le large. Vous vous rendez compte que seule votre présence empêche le reste de vos soldats de déserter. Allez-vous :

          -traquer les déserteurs

          -poursuivre votre route vers l'armurerie ?


          Le perso :
          Spoiler:

          Le frêle nobliau, plus intéressé par les salons que par les sanglantes mêlées :

          Force : 5

          Agilité : 5

          Chance : 10

          Diplomatie : 12

          Adresse : 9

          Habileté : 5

          Equitation : 6

          Endurance : 3

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          • #35
            Traquer les déserteurs

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            • #36
              Traquons les déserteurs, et noyons les dans la Seine.

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              • #37
                On court se planquer dans armurerie !

                Allez chercher des mecs dans une ville en émeute...

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                • #38
                  Traquons les déserteurs, sinon les renforts pour la garnison de armurerie seront bien maigre ! ( Oh et..la bière rend les metalleux moins frêles )

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                  • #39
                    Dans l'armurerie, commandant !

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                    • #40
                      on continu vers l'armurie, se serait folie que de s'enfoncer dans la ville

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                      • #41
                        Je préfère qu'on avance vers l'armurerie, sinon la populace va nous envoyer des bustes de Necker sur la gueule dans les venelles depuis les fenêtres ! Et encore une fois, l'histoire ne retiendra pas un gars frêle mort à cause d'un buste de ministre.

                        Je n'ai bien sûr aucune preuve de ce que je dis, mais sérieusement, poursuivre dans les rues avec une escorte réduite...

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                        • #42
                          Armurerie !

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                          • #43
                            On va vers les Invalides !

                            L'esplanade des Invalides est jonchée de cadavres. Les portes de l'armurerie pendent, arrachées de leurs gonds, et, sous vos yeux, de la fumée commence à s'échapper de l'édifice. Vous arrivez trop tard. Vous faites signe à vos hommes de regarder s'il reste des ' survivants. En vous approchant à cheval des grilles, vous voyez un corps en uniforme remuer légèrement. Vous mettez pied à terre et vous vous approchez de lui. Le pauvre diable gémit. Vous accroupissant à côté de lui, vous approchez votre gourde de ses lèvres. Il boit avidement. — Vous vous êtes courageusement battu, mon ami, dites-vous. Quand les émeutiers vous ont-ils attaqués ! Et de quel côté sont-ils partis ? Faiblement, d'une voix torturée par la souffrance, il parvient à vous expliquer que la populace se dirige maintenant vers la Bastille et qu'elle n'est partie que depuis quelques minutes. L'un de vos hommes vient en courant vous informer que l'armurerie a été pillée. Comprenant que la populace, maintenant armée, a dû décider de prendre la prison d'assaut et de libérer les détenus, vous rassemblez rapidement vos hommes.
                            — Vous deux, restez avec ce blessé et faites ce que vous pourrez pour lui. Les autres, suivez-moi. Vous sautez en selle et quittez l'armurerie à la tête de votre compagnie.

                            Suivi de près par vos hommes, vous arrivez place de la Bastille. La populace a déjà mis le siège autour de la prison, et la foule s'accroît de minute en minute. Le choix qui s'offre à vous est simple : ou bien tenter de vous frayer un passage à travers la cohue, ou bien vous embusquer dans l'un des immeubles donnant sur la place et prêter main-forte à la garnison encerclée par un tir de harcèlement .



                            Dernier up de la journée

                            Le perso :

                            Spoiler:
                            Le frêle nobliau, plus intéressé par les salons que par les sanglantes mêlées :

                            Force : 5

                            Agilité : 5

                            Chance : 10

                            Diplomatie : 12

                            Adresse : 9

                            Habileté : 5

                            Equitation : 6

                            Endurance : 3

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                            • #44
                              Ah parce que les armureries vers lesquelles les hordes de gueux vont se ruer pour s'armer vous semblent plus sûres vous ?

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                              • #45
                                Embusqué, mon commandant !

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