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Archange
Rêveur serein
Expert Stratège
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#76
17-07-2013, 14h39
Si vous appartenez toujours à l'armée, il se peut que vos relations militaires vous permettent de faire échouer la requête du baron. Dans le cas contraire, vous ne pouvez pas faire grand-chose par les voies légales.
Nous sommes toujours dans l'armée royale.
Par vos relations dans l'armée, vous découvrez que le baron a un fils sous-lieutenant dans un régiment parisien. Vous vous arrangez pour lui obtenir une promotion, en échange de quoi le baron renonce à faire valoir ses droits sur le domaine de votre père. Après avoir fait entériner le titre de propriété exclusif de votre famille sur les terres, vous vous mettez en quête, avant de regagner la capitale, d'un régisseur dévoué capable d'aider votre mère et de veiller sur ses intérêts. Trouver un homme de confiance n'est pas facile. Le temps passe et vous reprenez vos anciennes habitudes : chasse, pêche et promenades à cheval. Vous avez presque

l'impression de vivre dans un monde différent de celui que vous avez laissé à Paris.
Bien que les nouvelles de Paris soient mauvaises, vous n'y prêtez guère attention, sachant que l'on vous rappellera quand on aura besoin de vous. Un matin, une estafette vous apporte vos nouvelles consignes. Vous devez rejoindre Paris immédiatement et vous présenter à votre colonel. Après avoir fait vos adieux à votre mère, vous accompagnez l'estafette jusqu'aux faubourgs de la capitale, mais vous vous présentez seul aux portes de Paris.
Dès que vous avez franchi les portes de Paris, vous constatez que la populace est devenue à la fois plus puissante et plus arrogante. Votre uniforme vous désignant comme un suppôt des haïssables aristos, vous êtes bombardé d'injures et de projectiles divers. Vous contraignant à rester calme, vous parvenez à traverser sans encombre l'obstacle de la rue et galopez vers le Palais de Justice. A la grille, où la sentinelle avait l'habitude de vous présenter les armes, un soldat mal rasé vous barre la route tandis que d'autres vous surveillent à proximité. — Qu'est-ce que vous voulez ? vous demande le soldat.
En lui tendant votre ordre de mission, vous remarquez, à ses épaulettes, qu'il fait partie de la Garde nationale, le régiment qui a abandonné le roi pour se mettre au service du redoutable Comité de salut public.
— On ne salue plus les officiers supérieurs ? rétorquez-vous sans vous démonter.
L'homme crache par terre aux pieds de votre cheval et ne tient aucun compte de votre remarque. Il fait semblant d'examiner vos papiers d'une manière insultante, bien qu'il ne sache probablement pas lire, et finit par daigner parler.
— Le Palais de Justice est maintenant occupé par l'Assemblée du peuple, vous déclare-t-il. Vous trouverez les autres chouchouteurs d'aristos aux Tuileries. Contrarié par cette nouvelle, vous faites faire demi-tour à votre monture et vous vous rendez à l'endroit indiqué. En arrivant aux Tuileries, vous vous heurtez à un autre soldat de la Garde nationale, mais, cette fois, il vous laisse passer sans poser de question. Au moment où vous entrez dans le palais, vous remarquez qu'une foule de petites gens commence à s'amasser devant les grilles.
Lorsque vous traversez le quartier à cheval, les compagnies sont rassemblées pour l'appel. Impassibles, les soldats n'ont pas l'air de se rendre compte que, de l'autre côté des murs de la caserne, la populace fait la loi. Vous vous dirigez vers le bâtiment de l'état- major, où l'on vous introduit dans le bureau du colonel.

— D'Auvergne, vous déclare-t-il, vous arrivez à un mauvais moment. L'Assemblée nationale vient de me donner l'ordre d'arrêter tous ceux de mes officiers ayant des sympathies royalistes. Si l'on vous reconnaît, je ne pourrai pas faire grand- chose pour vous. Il faut que vous fuyiez immédiatement. Ici, nous sommes sous surveillance.
— Mais j'ai franchi les portes de la ville sans la moindre difficulté, protestez-vous,
— Ça ne m'étonne pas, ricane-t-il. La plupart des aristos sont déjà arrêtés et emprisonnés. C'est le sort qui vous attend, mon ami, si vous ne partez pas sur l'heure !
Il vous serre la main pour un dernier adieu et ajoute :
— Il vaut mieux que vous retiriez votre uniforme. Il suffirait à vous faire mettre en pièces par la populace.
Vous suivez les conseils du colonel et retirez votre uniforme avant de quitter la caserne. Où pourriez-vous aller, maintenant ? D'après ce qu'il vous a dit, il semble que la capitale tout entière vous soit hostile, et cela uniquement à cause d'un incident remontant à votre naissance : le fait que vous soyez né aristocrate ! En conduisant votre cheval vers la porte de la caserne, vous constatez que la foule qui commençait à s'amasser à votre arrivée s'est transformée en cohue. Néanmoins, vous ne pouvez rien faire d'autre que payer de toupet, en espérant que la populace ne s'en prendra pas à vous. Lorsque vous arrivez à la porte, la sentinelle qui vous a laissé entrer quelques instants auparavant vous barre la route et vous demande :
— Vous êtes un aristocrate, m'sieur ?
Vous :
-Essayez de convaincre le soldat de vous laisser passer ?
-Vous éperonnez votre monture et tentez de forcer le passage ?
-Vous dégainez votre arme et vous battez ?
Le perso :
Spoiler:
Le frêle nobliau, plus intéressé par les salons que par les sanglantes mêlées :
Force : 5
Agilité : 5
Chance : 10
Diplomatie : 12
Adresse : 9
Habileté : 5
Equitation : 6
Endurance : 3
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Baal
Capitaine à moustache
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#77
17-07-2013, 14h41
Je dirais même plus, défendons la cause !
EDIT: oups, trop tard
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Subliz
Tacticien du dimanche
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#78
17-07-2013, 14h47
Perso, je dirais "Essayer de convaincre le soldat de vous laisser passer". On lui sort que justement, non, on est pas aristo, et qu'on va en Auvergne aider notre pauvre mère des griffes d'un baron, en bref, que l'on va combattre l'aristo jusque dans les campagnes !
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ludor
Tacticien de bibliothèque
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#79
17-07-2013, 14h49
Essayons de convaincre le soldat, nous ne sommes pas diplomate pour rien ( Si quelqu'un arrive à faire une référence Hitman the cobra avec notre bon Philippe, ça serai ma foi pas mal )
Dernière modification par
ludor
,
17-07-2013, 14h53
.
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Baal
Capitaine à moustache
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#80
17-07-2013, 15h03
"Essayez de convaincre le soldat", en espérant qu'il ne reconnaisse pas notre trogne.
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Zaariel
membrinutile
Lecteur de Sun Tzu
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#81
17-07-2013, 15h07
On méprise le soldat de toute notre classe et on lui dit: "
Eh! Manant! Ôte toi de mon chemin ou je te ferai rosser par mes gens!"
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Mékaz
El Mekazito
Tacticien théorique
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#82
17-07-2013, 15h10
On essaie de le convaincre.
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Khelian
Centurio Equi Minimi
Militaire saisonnier
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#83
17-07-2013, 15h20
Je pense qu'il vaut mieux le convaincre. Avec un peu de chance, il est crétin, ou il a une mauvaise vue, ou il a une très mauvaise mémoire.
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pol_ak 47
Pontifex Maximus
Tacticien de bibliothèque
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#84
17-07-2013, 15h41
Hmmm ... Nous voici seul dans un environnement hostile avec la certitude de se faire mettre en pièce si jamais l'on venait à châtier cet individu (en admettant qu'on y arrive, le bougre est sans doute solide et pas sûr d'avoir l'espace pour utiliser une arme à feu), révélant par là-même nos sympathies au milieu de tristes marauds des plus hostiles. Reste donc la fuite à cheval puisque nos capacités équestres nous font honneur (toujours utile de savoir aller vite), avec le risque de se recevoir une balle derrière la tête, ou les parlementeries. Etant donné que si ça tourne mal, il sera toujours temps d'essayer de s'enfuir ou, au pire, d'user de la manière forte, autant discuter. S'il est mauvais bougre, il suffit de forcer le trait en déployant les trésors rhétoriques soigneusement travaillés dans les salons, et s'il est niais, on pourra en profiter, alors ...
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sombrero-démoniaque
Maeglin
Expert tacticien
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#85
17-07-2013, 15h59
Autant discuter !
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GeekzorusRex
Chef éplucheur
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#86
17-07-2013, 16h06
Discutons !
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Archange
Rêveur serein
Expert Stratège
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#87
17-07-2013, 16h13
5 au jet de diplomatie !!! Réussite !
— Pourquoi me barrez-vous la route ? demandez-vous d'un ton rogue. L'Assemblée m'a chargé d'une mission particulièrement urgente, et toute personne qui me retardera devra en rendre compte au Comité exécutif.

Vous faites délibérément avancer votre cheval, et la foule s'écarte devant vous. Les plus timorés vous font même des excuses, et vous vous félicitez tout bas, fort soulagé de vous en être tiré sans dommage. A quelques centaines de mètres des grilles de la caserne, un autre piéton vous accoste.
— Attendez, citoyen ! vous lance-t-il depuis le porche sous lequel il se dissimulait.
Vous arrêtez votre cheval et posez la main sur votre pistolet. L'homme semble être seul, mais il pourrait s'agir d'un traquenard. Il s'approche presque à toucher le mors de votre étalon.
— Vive le roi ! chuchote-t-il.
Il vous faut prendre une décision. Cet homme est-il un révolutionnaire qui vous tend un piège ou ce qu'il paraît être : un authentique partisan de la monarchie ?
Vous :
- Décidez de passer votre chemin sans lui répondre.
- Préférez écouter ce qu'il a à vous dire.
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Angelus
MacAngelus Deus Maximus
Expert tacticien
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#88
17-07-2013, 16h21
Discutons
. Si on se bat avec le gueux, ses compères nous tomberont sur le râble dans les minutes qui suivent, et si nous fonçons, on se heurtera au peuple agglutiné dans les rues de Paris.
Edit : Merde, grilled.
Alors, ne l'écoutons pas, nous avons eu de la chance plus tôt, mais la situation reste critique.
Dernière modification par
Angelus
,
17-07-2013, 16h22
.
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L'historien du dimanche
Still Alive
Tacticien théorique
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#89
17-07-2013, 16h22
Passe ton chemin si tu veux vivre!
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Ergezad
Tacticien incompris
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#90
17-07-2013, 16h27
EDIT: oula o_O
Ecoutons le, il est seul et la populace en colere ne peut entendre un homme parlant a une centaine de mètre ....
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Ergezad
,
17-07-2013, 16h47
.
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