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  • #91
    Passons notre chemin.

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    • #92
      L'homme est seul, sans buste de Necker, pas menaçant et nous sommes armé. Pourquoi ne pas écouter ce que ce bougrillon a à nous dire, quitte à se rétracter ensuite, ou à lui tirer dessus au besoin ? Nos talents oratoires peuvent servir si la conversation se poursuit et le pistolet peut suppléer ... Un frêle gandin a peu de chances de s'en tirer seul éternellement, autant chercher des alliés, puisque pour éviter d'attirer l'œil c'est sans doute raté (nous n'allons tout de même pas aller jusqu'à chausser des sabots). S'il en tombe du ciel, tant mieux.

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      • #93
        Ecoutons le

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        • #94
          Écoutons ce qu'il a à dire, dans l'optique d'une recherche d'alliés potentiellement salutaire. Sinon, un coup d'arme dans les abats et on en parle plus.
          Au fait, qu'est-ce qu'on a comme armes à part un pistolet ?

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          • #95
            Un pistolet et une épée.

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            • #96
              Bah je pense qu'on doit l'écouter mais s'il s'agit d'une félonie, on lui enfonce notre fine lame dans la carotide.

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              • #97
                On passe.

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                • #98
                  On passe !

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                  • #99
                    On passe notre chemin

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                    • En vous éloignant de l'homme qui vous a abordé, vous ne tardez pas à vous égarer dans un labyrinthe de ruelles. Votre cheval et vous-même attirez bien des regards soupçonneux, et vous comprenez que vous avez intérêt à vous débarrasser au plus vite de votre monture. Vous mettez pied à terre dans un passage discret, retirez vos affaires des fontes de votre selle et partez résolument à pied, sans savoir ce que l'avenir vous réserve.

                      En déambulant dans les rues malpropres de Paris, vous passez par hasard devant une taverne, et vous décidez d'y entrer, espérant y glaner quelques renseignements. Peut-être même vous y offrira-t- on un lit pour la nuit, car il se fait tard et vous ne savez où coucher. Une fois à l'intérieur, vous commandez un verre de gros rouge et vous vous installez dans un coin, afin d'écouter les conversations des autres consommateurs. Il semble que le roi Louis XVI ait essayé de s'enfuir de la capitale, mais qu'il ait été arrêté non loin de la frontière autrichienne. La France est en guerre avec l'Autriche et la Prusse, et le peuple prend très mal l'initiative de Louis XVI. Les forts en gueule de l'assistance réclament à grands cris la mort de tous ces « traîtres d'aristos ». La guillotine a déjà fait passer de vie à trépas plusieurs des nobles de la cour. A une table voisine de la vôtre, l'un des buveurs se lève et approuve bruyamment. Puis son regard tombe sur vous, et il s'approche de votre table.
                      — C'est la première fois que je vous vois, citoyen, dit-il d'une voix avinée. Seriez-vous l'un de ces fumiers d'aristos ?
                      Vous remarquez que ses compagnons, derrière lui, vous observent également. Comment allez-vous vous tirer de ce mauvais pas ? Par la parole ou par l'épée ?


                      Le perso :

                      Spoiler:
                      Le frêle nobliau, plus intéressé par les salons que par les sanglantes mêlées :

                      Force : 5

                      Agilité : 5

                      Chance : 10

                      Diplomatie : 12

                      Adresse : 9

                      Habileté : 5

                      Equitation : 6

                      Endurance : 3

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                      • Par la parole évidemment

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                        • La parole est plus prudente que l'épée, sauf s'ils sont complètement bourrés
                          Car cela restreindrait leurs capacités, un désaccord pourrait provoquer
                          Mais à la lame affûtée, moins aisément ils pourraient répliquer
                          S'ils sont tous vraiment finis, ils n'accepteront point les paroles
                          Si trop nombreux ils sont tant pis, ces rimes ne veulent rien dire et ne sont pas drôles.

                          En gros, c'est compliqué, ils sont trop saouls pour comprendre une explication foireuse, mais ils sont sûrement trop nombreux pour l'épée. Bon... La parole, autant utiliser une arme qu'on maîtrise.
                          Dernière modification par Khelian, 17-07-2013, 19h15.

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                          • Encore une fois, par la parole, pardieu !

                            Drôle voulu être Khaelian,
                            Mais d'humour, il tombas en panne.
                            Dernière modification par Angelus, 17-07-2013, 19h15.

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                            • On taille son chemin à la pointe de l'épée, se ne sont que des poivraux, ils ne comprendront pas se qu'ils arrivent, de toute façon ils seront incapables de viser correctement.

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                              • Avec un autre perso j'aurai été tenté de dire: par l'épée, une bonne bagarre résout tout !

                                Mais essayons la parole, car il est bien frêle le nobliau, et avec son incroyable chance cela peu passer !

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