[Subliz]

Affrontons le !

[Ergezad]

laissons la voiture nous dépasser et allons voir le cavalier

[Pethesoukhos]

Allons à la rencontre du cavalier, cela peut-être intéressant de savoir ce qu'il nous veut.

[Tatane38]

On va embrocher le cavalier

[Godwinsson]

Continuons la route.

[Archange]

Vous dégainez votre pistolet et laissez la carriole prendre les devants. Au passage, le comte vous adresse un sourire crispé, et celui que vous lui retournez est tout aussi tendu. Le cavalier s'est arrêté, et il crie au comte de faire halte. .

On lui tire dessus (jet de dé) ou on ne lui tire pas dessus ?


Le perso :

Spoiler:

Le frêle nobliau, plus intéressé par les salons que par les sanglantes mêlées :

Force : 5

Agilité : 5

Chance : 10

Diplomatie : 12

Adresse : 9

Habileté : 5

Equitation : 6

Endurance : 3

[flo463]

truffons-le de plomb!!!

[ludor]

Tirons lui dessus, plus vite c'est fini, plus vite on arrivera à Calais.

[Pethesoukhos]

Quand faut y aller, faut y aller, abattons le !

[pol_ak 47]

Hmm, nouveau dilemme ... Si l'on s'arrête, il y a peut-être moyen de donner le change et d'éviter toute confrontation dans l'immédiat. D'un autre côté, le plus probable est qu'il soit d'humeur à nous taper, et dès lors plus en mesure de le faire. Mais, si l'on tire, c'est la chasse garantie et on ameute le quartier. Mais en même temps, ça peut résoudre le problème en nous épargnant tout risque dans l'immédiat. Dans le doute, tirons. Dieu reconnaîtra les siens.

[Thaut]

Voyons voir.. La garde n'aurait jamais envoyé un homme seul, donc soit c'est un copain, soit il a de mauvaises intentions mais pour des raisons plus "personnelles". Peut-être nos compagnons de voyage ont-ils lésé quelque riche marchand qui voit dans l'agitation ambiante une belle occasion de se venger ? Dans le premier cas, on est bien baisés si l'on tire; mais dans le second, on est probablement mort si l'on ne tire pas. Donc bon, flinguons et barrons-nous vite fait.

[Archange]

On fonce sur le cavalier dans le noir, pistolet à la main... *jet de dé* ... On lui colle une bastos en pleine tête avant de faire prestement demi-tour et revenir sur la carriole.


En arrivant à la porte, vous découvrez que le sergent Valmy, au lieu d'attendre tranquillement votre venue, a un genou en terre et un fusil braqué sur vous. Le bruit des coups de feu a dû le faire changer d'avis, et il n'est plus disposé à vous aider. Il tire et vous manque. Une escouade de soldats, qui s'était embusquée à proximité, arrive en courant à la rescousse.

Ca se gâte ! Nous avons déjà tirer ! Impossible d'abattre Valmy !

Allez-vous diriger votre cheval droit sur la porte ou vers les gardes qui essayent d'intercepter la carriole ?

[pol_ak 47]

Hmm ... Il a été convenu que l'on sacrifierait qui ne pouvait suivre. La carriole ne peut suivre le cheval ? Dès lors, il convient d'abandonner la carriole, tant pis pour ses occupants s'ils sont pas fichus de se dépatouiller seuls comme des grands. Ce sont les règles qu'ils ont eux même édictées. Et puis, pardon, mais on a déjà fait beaucoup en abattant un garde au péril de notre chemise. En somme : courage, fuyons !

[Angelus]

La question ne se pose pas, nous sommes un aristocrate, pas un héros, on fonce !

[ludor]

Fuite solitaire en perte et fracas !