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  • On ne fuit pas enfin, on bat en retraite messieurs, en bonne et due forme !

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    • Valmy s'écarte d'un bond et vous passez la porte au galop. A quelques centaines de mètres de l'enceinte, vous faites halte et vous vous retournez sur votre selle. La carriole a réussi à franchir la porte, mais l'un des gardes est parvenu à s'agripper à l'arrière, et il grimpe sur la capote pour atteindre le comte. Qu'allez-vous faire ? Revenir sur vos pas pour prêter main-forte aux passagers de la voiture ou continuer votre route pour vous mettre en sûreté ?


      Le perso :

      Spoiler:
      Le frêle nobliau, plus intéressé par les salons que par les sanglantes mêlées :

      Force : 5

      Agilité : 5

      Chance : 10

      Diplomatie : 12

      Adresse : 9

      Habileté : 5

      Equitation : 6

      Endurance : 3

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      • prêter main -forte.

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        • on retourne sur nos pas pour les aider

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          • Si on ne risque plus rien, prêtons main-forte.

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            • Si c'est l'dernier, prêtons main-forte ...

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              • nous revenons aider la carriole

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                • Hmm ... Malgré les risques, soyons fous, allons les tirer de ce péril. Le maraud est seul, il y a des demoiselles pleines aux as, et nous sommes un nobliau désargenté et aimant les femmes autant que l'or, en bon mondain. Après une courte hésitation parce que quand même, ils pourraient se débrouiller seuls et puis zut, merdre pour les retardataires, cravachons donc notre canasson pour revenir vers eux ...

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                  • Si il est tout seul, on ne risque probablement rien si ce n'est un acte d'éclat devant les Dames, donc on y retourne.

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                    • En piquant des deux pour rejoindre la carriole, vous réalisez que vous n'avez pas rechargé votre pistolet. Vous amenez votre monture au niveau de la voiture et criez au comte de fouetter ses chevaux. Il le fait, et la carriole bondit en avant. Pris au dépourvu,
                      
                      le soldat lâche prise et tombe. La carriole poursuit sa route, et vous galopez à côté d'elle.

                      Vous vous éloignez de la ville à bonne allure et atteignez bientôt la forêt dans laquelle Madeleine vous a dit que l'on viendrait vous chercher. Dans l'obscurité, vous quittez la route et dissimulez la voiture sous le couvert. Tout le monde met pied à terre, et vous
                      
                      attendez, dans les ténèbres, l'arrivée de vos guides.

                      Dans l'obscurité, vous entendez marcher sous les arbres. Lorsque les bruits de pas se rapprochent, vous voyez, à la pâle lueur de la lune, qu'il s'agit de deux hommes amenant des chevaux frais. Ils vous saluent et vous expliquent que votre prochaine étape est une ferme située à près d'une journée de cheval de là. Vous vous mettez en selle — avec une certaine difficulté, en ce qui concerne le marquis de Serval — et vous vous enfoncez plus profondément dans la forêt. Le voyage est long et fatigant. Les femmes et les enfants semblent le supporter assez bien, mais la santé du marquis de Serval est pour vous un souci constant. Ses forces déclinent d'heure en heure, et vous commencez à le soupçonner d'être atteint d'un mal plus grave que la goutte. A la fin de l'après-midi, vous atteignez une petite ferme, quelque part entre Paris et Calais. Vos guides vous y font entrer, et vous sombrez dans un sommeil agité aussitôt après avoir posé la tête sur l'oreiller.

                      Le lendemain matin, l'état du marquis de Serval s'est aggravé. Il semble que, en plus de la goutte, il ait également de l'arthrite et une maladie de cœur. Il lui est manifestement impossible de reprendre immédiatement la route, mais vos hôtes vous préviennent qu'un navire doit venir vous chercher le soir même sur la côte, non loin de Calais. Il faut vous mettre le plus rapidement possible en relation avec le correspondant local, qui prendra soin de vous.
                      En entendant cela, le marquis insiste pour que vous l'abandonniez. — Je vous suivrai dans quelques jours, dit-il.


                      Vous :

                      -Acceptez de le laisser là.

                      -Refusez et restez à son chevet jusqu'à ce qu'il reprenne des forces.

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                      • Rah, on peut pas le ramener avec sois ?

                        Moi j'dis on accepte qu'il reste la!

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                        • Il n'y a pas de temps à perdre avec quelqu'un qui n'en a plus pour longtemps, et puis dans les films de zombies se qui se font contaminer sont se qui restent
                          avec les malades ! Nan plus sérieusement, réalisons le souhait d'un mourant, laissons le.

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                          • Laissons le, commandant !

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                            • Abandonnons-le ici, il était convenu qu'il n'y aurait aucune pitié pour les boulets .

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                              • Il sert à rien, il ralentit, il en a conscience, il propose qu'on l'abandonne ... Qu'il survive deux mois sous la pluie anglaise ou que la guillotine lui ôte le peu de vie qui lui reste, quelle différence ? Alors, respectons son choix en pleine adéquation avec les règles du groupe : qu'il crève, fichons le camp d'ici et sauvons ceux qui peuvent l'être (et surtout nous !)

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