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  • Depuis quand est on imprudent ? On patiente pour voir ce qui va se passer, puisque la baraque était pleine d'ennemis, bien le diable si l'un ou l'autre ne nous a pas suivi.

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    • Puisque le lieu de rencontre semble être dénué de toute habitation/ruelle, semons notre possible poursuivant en rase campagne.

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      • Soyons sage et prudent , semons nos éventuel poursuivent.

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        • Vous regagnez la grand-rue et faites force détours dans le centre de la ville avant de repartir vers le sud de l'enceinte. En arrivant à un carrefour, vous apercevez dans la rue de gauche, juste après le croisement, ce que vous cherchiez depuis un moment : un porche suffisamment profond et sombre pour que vous puissiez vous y dissimuler. Aussitôt, vous tournez le coin et courez vous y cacher. Tapi dans l'obscurité, vous attendez. Votre patience ne tarde pas à être récompensée. Un homme prend le virage en courant, s'immobilise et inspecte les deux côtés de la rue. Il a le souffle court, et deux pistolets dépassent de sa ceinture.

          Vous :

          -décidez de tirer.
          -préférez attendre de voir ce qu'il va faire.

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          • 3-Charge à la baïonnette!

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            • Nous préférons attendre, nous n'allons pas pouvoir semer nos poursuivants indéfiniment.

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              • C'est moi où le gringalet qui sert de héros passe son temps à tirer sur des inconnus ? On se croirait dans fast and furious.
                Plus sérieusement, on attend !

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                • On attend pour peut-être éviter même d'avoir à se battre. On ne perd jamais rien à attendre.

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                  • Et on pourrait pas lui braquer un flingue sous le gonfalon avant de lui demander poliment ce qu'il peut bien foutre là à nous coller aux miches ?
                    En l'absence de plus de choix, on attend quand même.

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                    • Attendons, si nous ne sommes pas assez rapides, le gandin pourrait bien dégainer avant nous.

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                      • Envoyé par Elanion Voir le message
                        3-Charge à la baïonnette!
                        Je plussoie ce bon monsieur !

                        Plus sérieusement, on attend, il y a peut être d'autres gars derrière lui!

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                        • On est un nobliau frêle et chétif, ça ne doit pas être dur de passer inaperçu. Il suffit de se mettre derrière un lampadaire. Comment ? Un porche ? Bah on prend, c'est mieux que rien.

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                          • On est presque en Ecosse ! Faut tout donner !!!


                            Retenant votre respiration, parfaitement immobile, vous regardez l'homme réfléchir. Il scrute les portes de toutes les maisons, des deux côtés dé la rue, mais l'obscurité vous dissimule à ses regards.. Il finit par prendre une décision et repart en courant. Vous attendez qu'il ait disparu pour revenir rapidement sur vos pas.

                            n revenant par les rues tortueuses de Calais, vous prenez toutes les précautions voulues pour vous assurer que personne ne vous suit. Quand vous parvenez à l'endroit où vous avez laissé vos compagnons, vous les mettez au courant des derniers événements qui se sont déroulés dans la ville. Vous attendez que la nuit soit complètement tombée pour monter à cheval et longer la côte en direction de votre point de rencontre.

                            La carte que vous a montrée votre correspondant est bien gravée dans votre esprit, et, malgré l'obscurité, vous parvenez à conduire vos compagnons au lieu exact du rendez-vous sans perdre trop de temps. Lorsque vous arrivez à l'endroit de la falaise d'où un étroit sentier permet d'atteindre la plage en contrebas, vous mettez pied à terre et recommandez à vos compagnons de vous attendre pendant que vous allez en reconnaissance. La grève étant déserte, vous faites signe aux autres de vous rejoindre. Il y a du bois flotté en abondance sur le rivage, et vous en ramassez suffisamment pour allumer un petit feu. Lorsque votre montre vous apprend qu'il est une heure du matin, vous battez le briquet et le feu ne tarde pas à flamber. Protégeant vos yeux de l'éclat des flammes, vous scrutez le large. Pendant un moment, vous ne voyez rien. Et puis le comte vous saisit par le bras.
                            — Là-bas ! dit-il en tendant le doigt. J'aperçois une lumière.
                            Suivant la direction de son geste, vous sondez les ténèbres. Il y a effectivement une lanterne. Elle brille une fois, deux fois, quatre fois : une lueur longue suivie de trois lueurs courtes. Sans perdre un instant, vous allumez votre propre lanterne et émettez le signal de réponse. La lumière du vaisseau clignote avant de s'éteindre, et vous comprenez que l'on vous a vus.




                            TEST DE CHANCE : Réussite.

                            Malgré les craquements du feu, vous entendez un léger tintement de métal contre la pierre. Or, il n'y a aucune pierre sur la plage. Les plus proches se trouvent sur le sentier qui descend de la falaise, et vos compagnons sont tous auprès de vous. Seule conclusion possible : vous avez été suivis ! Vous rassemblez hâtivement les hommes du groupe et, à voix basse, vous leur faites part de ce que vous avez entendu. De la mer vous provient un bruit de rames battant l'eau. Le canot approche. Après avoir envoyé femmes et enfants au bord de l'eau, vous disposez votre pitoyable troupe en ligne derrière le feu et vous vous préparez à affronter vos adversaires.

                            Vous vous laissez tomber sur le sol en dégainant votre pistolet. Le comte vous en passe un second et s'allonge à vos côtés. Derrière vous, les femmes et les enfants descendent jusqu'au bord de l'eau pour attendre anxieusement l'arrivée du bateau. La plage est complètement obscure, en dehors du cercle de lumière vacillante qui entoure le feu. Vous voyez quelque chose bouger à la lisière de cette zone éclairée et vous tirez. Ignorant si vous avez ou non atteint votre cible, vous rechargez fébrilement votre pistolet et scrutez les ténèbres, guettant un autre mouvement. Près de vous, vos compagnons déchargent également leurs armes.

                            Plusieurs hommes surgissent dans le cercle de lumière projeté par le feu et foncent sur vous. Vous déchargez vos deux pistolets, et l'un des assaillants s'écroule sur le sable. Et puis l'ennemi est là, et vous avez tout juste le temps de dégainer avant qu'il ne vous attaque. Du coin de l'œil, vous voyez le vieil aristocrate laisser tomber ses pistolets sur le sol et battre précipitamment en retraite derrière le feu ; vieux et faible comme il l'est, il sait qu'il vous gênerait plus qu'il ne vous aiderait dans un combat à l'épée. Le comte et vous affrontez deux adversaires chacun, et six Assauts au moins se succéderont avant que des secours ne puissent vous parvenir du canot. Il vous faut donc tenir vos ennemis à distance jusque-là ou mourir les armes à la main.




                            Combat trés difficile à l'épée contre 4 adversaires alors que nous ne sommes que deux !!!!

                            Deux agresseurs nous sautent dessus, l'un a un sabre de cavalerie, l'autre une dague. De l'autre côté du feu deux se précipitent sur le comte qui dégaine comme nous son épée.

                            Nous nous portons à la rencontre de celui armée du sabre et tentons une feinte apprise aux entrainements : mais nous trébuchons sur le sable et manquons de tomber, l'homme au sabre en profite pour nous porter un coup qui nous entaille le flanc droit !!!

                            L'autre tente aussi de frapper, un peu gêné par son collègue mais nous parvenons à reculer à temps !

                            Vous entendez que le comte ferraile lui aussi sec dans notre dos, et des cris de douleur retentissent déja.

                            Cette fois ci nous décidons de privilégier la défense, et nous tentons simplement de frapper pour tenir les hommes à distance, toujours sur celui armé d'un sabre, qui semble un peu plus chétif que son compère à la dague. Nous donnons donc un coup de taille en sa direction tout en reculant un peu, celui ci tente néamoins de se jeter sur nous, mais nous nous sommes suffisamment écarté. L'homme à la dague nous contourne sur la gauche ! Mais nous pointons notre épée dans sa direction et il n'ose pas s'approcher du fait de son manque d'allonge !


                            Notre coeur bat aussi fort que possible ! La peur et la douleur brouille notre esprit !

                            Dans notre dos on entend un gargouilli désarticulé suivi du bruit d'un corps qui s'effondre au sol ! Le comte est-il mort ????

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                            • peut etre qu'il est mort le vieux, allez savoir

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                              • Mais ce n’est pas le moment ! Il faut continuer à se défendre ! Les autres ne nous laisse aucuns répis. Nous retentons de porter une estocade à l’homme au sabre, mais sans réelle conviction et en fermant les yeux. Notre flanc nous fait souffrir !

                                Mais nous adversaires semblent hésiter, comme perturber par le combat qui se déroule derrière nous. Le comte n’est visiblement pas mort, car nous entendons toujours des bruits de ferraille !

                                Nous continuons alors de reculer vers la côte en livrant notre petit duel le plus prudemment possible.

                                Un coup sans aucune élgance porté devant nous de haut en bas stoperra net l’homme au sabre dans son attaque, en revanche, son compagnon fonce sur nous, écarte notre épée d’un revers de main et nous enfonce sa dague dans le ventre !

                                Le temps s’arrête alors, nous voyons le comte, dont l’un des adversaires gît dans son sang à ses pieds, continuer un duel féroce avec un révolutionnaire lui même équipé d’une épée de duel et sachant s’en servir. Le compte souffre de multiples blessures mineures mais parvient tout de même à entailler le bras porteur de l’épée de son ennemi. Mais ce dernier lui envoi un violent coup de point de son autre main en pleine tête ! Le comte est alors projeté tête la première dans le feu, s’en suit un horrible hurlement de douleur.



                                Vous vous êtes bien battu, mais vous aviez affaire à trop forte partie. Votre sang se répand sur la plage de la petite crique, et vous rendez le dernier soupir. C'est là que votre aventure se termine, si près et néanmoins si loin du refuge.




                                C’est pas de chance… On s’est prit un coup critique…

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