Je vais répondre à moi même, Strabon (
), aucune confiance dans la BA des sept mercenaires, film qui continue le mouvement des remakes, parce qu'on remet au goût du jour des métrages anciens mais pas forcément révolus. Je ne m'attends à rien d'autre qu'un salmigondis inexpressif, mais voyons ça en fin de semaine prochaine. Que penser de la légende Ben-Hur, également revisitée ?
Difficile de ne pas lâcher un rire nerveux lorsqu'on voit le pauvre Morgan Freeman transformé en espèce d'homme des cavernes. Le film peut être accueilli de deux façons: en considérant, ou en ne considérant pas, le sublime péplum de 1959 (à l'époque, on redécouvrait l'antiquité sous l'angle du cinéma), qui avait valu à Charlton Heston une empreinte inaltérable, comme Elyzabeth Taylor quatre ans plus tard. La sublimité reposait essentiellement sur la splendeur des décors, et lorsque l'acteur possédait un charisme, un charme, il emportait avec lui tous les spectateurs. Aujourd'hui, notamment dans la merdasse de Timur Berkmanbetov, réalisateur désolant (car ce n'est pas sans rappeler le mixeur d'effets spéciaux pourri réalisé par Alex Proyas dans Gods of Egypt, film qui aura choqué la génération la momie et le retour de la momie), dont le travail est à peu près égal à zéro (sauf peut être pour la fin ou il réussit à reproduire la force du quadrige dans un hippodrome, hippodrome qui fait sniffer le fond vert à des kilomètres), on doit se contenter de projets largement vaseux sur le fond, et presque fonctionnels uniquement sur l'apport des effets spéciaux. Tout ça pour dire que la reprise de films grandioses aboutit généralement sur une marchandise de mauvaise qualité, marchandise qui devrait faire l'objet de contrôle. J'espère, sérieusement, que King Kong assurera l'année prochaine parce que sinon...%&%!

Difficile de ne pas lâcher un rire nerveux lorsqu'on voit le pauvre Morgan Freeman transformé en espèce d'homme des cavernes. Le film peut être accueilli de deux façons: en considérant, ou en ne considérant pas, le sublime péplum de 1959 (à l'époque, on redécouvrait l'antiquité sous l'angle du cinéma), qui avait valu à Charlton Heston une empreinte inaltérable, comme Elyzabeth Taylor quatre ans plus tard. La sublimité reposait essentiellement sur la splendeur des décors, et lorsque l'acteur possédait un charisme, un charme, il emportait avec lui tous les spectateurs. Aujourd'hui, notamment dans la merdasse de Timur Berkmanbetov, réalisateur désolant (car ce n'est pas sans rappeler le mixeur d'effets spéciaux pourri réalisé par Alex Proyas dans Gods of Egypt, film qui aura choqué la génération la momie et le retour de la momie), dont le travail est à peu près égal à zéro (sauf peut être pour la fin ou il réussit à reproduire la force du quadrige dans un hippodrome, hippodrome qui fait sniffer le fond vert à des kilomètres), on doit se contenter de projets largement vaseux sur le fond, et presque fonctionnels uniquement sur l'apport des effets spéciaux. Tout ça pour dire que la reprise de films grandioses aboutit généralement sur une marchandise de mauvaise qualité, marchandise qui devrait faire l'objet de contrôle. J'espère, sérieusement, que King Kong assurera l'année prochaine parce que sinon...%&%!
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