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  • Faras
    a répondu
    Bayard, le chevalier sans peur et sans reproche. Voila un vrai homme.

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  • Dragoris
    a répondu
    ça dépend, la cavalerie lourde européenne se basait un minimum sur l'honneur, d'où les joutes, etc. Il y a parfois des sentiments dans la guerre. Surtout si l'on compare avec l'armée mongole

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  • lombrenoire
    a répondu
    C'est vrai !

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  • Joarius
    a répondu
    La guerre ne se fait pas avec de beaux sentiments...
    Seuls les vainqueurs écrivent l'histoire, et donc ensuite peuvent se targuer d'avoir été courageux, nobles, etc...
    Donc c'est une tactique lâche si tu perds, pas si tu gagnes...

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  • tumas
    a répondu
    C'est une tactique un peu lâche...

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  • Empereur O'Higgins
    a répondu
    Assez d'accord avec sa majesté
    Purée j'ai retrouvé Tony Curtis =D

    Oui évidemment la reconnaissance, la bonne connaissance de l'adversaire jouent un grand rôle. l'armée est trop faible? Faites croire que vous vous enfuyez, que votre armée a peur et prenez en embuscade l'ennemi trop confiant ou attaquez massivement son campement la nuit.

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  • lombrenoire
    a répondu
    Et voilà ! Mais là on parle du XVème siècle ! Les spartiates n'existent plus et la terrible Lacédémone a été rasée !
    D'ailleurs face à ça j'oppose 5000 mousquetiers et 5000 soldats suisses ! Les pauvres petits boucliers vont péter facile !

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  • Faras
    a répondu
    10000 spartiates cul nus.
    On peut fermer le topic.

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  • el_slapper
    a répondu
    Assez d'accord avec sa majesté. Blague des AH64 mise à part, soit on faut une armée "typée" terriblement efficace dans certaines circonstances, mais radicalement vulnérable dans d'autres, soit ont fait une armée équilibrée, et on risque de se faire retourner par une armée correctement typée.

    D'ailleurs, face à une armée de Shilka, mes AH64, ils ne valent rien..... Pareil pour les archers de cavalerie face à une infanterie lourde, bardée de boucliers et d'armure, surtout sur terrain lourd(jurisprudence Poitiers).

    Je pense quand même que l'empereur O'Higgins(son nom soit-il mille fois chanté sous un déluge de pétales de roses) oublie un point crucial : la communication et la reconnaissance. Mon infanterie lourde, si elle, ne voit pas arriver l'archerie montée, ou n'est pas prévenue de son arrivée, passera à la casserole quand même.

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  • Empereur O'Higgins
    a répondu
    Chaque armée aura sa némesis. Le point principal reste l'entraînement et l'expérience des troupes, la souplesse dans le commandement et la bonne gestion du terrain.

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  • Dragoris
    a répondu
    Bof, Pyrrhus avait bien apporté des Éléphants en Italie, la preuve que c'est bien l'Europe. Mais de là à élever 5000 éléphants...
    La seule armée réellement polyvalente, qui peut aller sur tout type de terrain, c'est celle basée sur l'infanterie. Et encore, à condition d'avoir des manipules à la romaine, parce que les phalanges, quand c'est pas sur terrain plat... Ça ne vaut pas grand chose.

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  • lombrenoire
    a répondu
    Sans éléphants pour protéger car dans l'Europe !

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  • Empereur O'Higgins
    a répondu
    En comptant un accident de tir pour 20 boulets tirés, mouais :P

    Ps: La Mitraille n'existe pas au moyen age... Ouuuuh la charge de cavalerie légère...

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  • lombrenoire
    a répondu
    Ca fait quand même mal !!

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  • Empereur O'Higgins
    a répondu
    Dans l'artillerie napoléonnienne, on distingue trois types d'unité : la compagnie d'artillerie à pied, la compagnie d'artillerie à cheval et la compagnie du train. Certains auteurs utilisent l'appellation batterie plutôt que compagnie (le terme de compagnie est la désignation administrative de l'unité, la batterie étant cette unité déployée sur le terrain). Les compagnies d'artillerie à pied ou à cheval assurent la mise en oeuvre des pièces (le tir) tandis que les compagnies du train sont en charge de leur transport. Les compagnies d'artillerie à pied ont un effectif de 120 hommes (4 officiers, 10 sous-officiers et 106 hommes de troupe) et n'ont aucun cheval de selle, mais bien d'attelage. Les compagnies d'artillerie à cheval ont un effectif de 100 hommes (4 officiers, 10 sous-officiers et 80 hommes de troupe). Chaque homme dispose d'un cheval de selle. Les compagnies du train ont un effectif théorique de 141 hommes (1 officier, 14 sous-officiers, 126 hommes de troupe). Elles disposent de 20 chevaux de selle et de 230 chevaux de trait. Cette organisation a pour but de ne pas laisser les chevaux de trait trop près des pièces lors de la bataille.

    Les pièces d'artillerie comprennent des canons dont le calibre peut être de 4, 6, 8 ou 12 livres et des obusiers de 5 ou 6 pouces.

    La batterie à pied met en œuvre 6 canons et 2 obusiers ; la batterie à cheval 4 canons et 2 obusiers. L'attelage d'un canon ou d'un obusier est de 4 chevaux de trait sauf pour le canon de 12 livres qui en requiert 6. Les caissons à munitions sont tirés par 4 chevaux. Généralement, 3 caissons à munitions sont prévus par pièce.
    On parle içi de canons médiévaux, lourds et archaïque, comptons 6 canons pour 120 hommes.

    Pour 10 000 hommes nous avons... 500 canons.
    Pour 5 000 hommes... 250 canons

    ça y est calmer les kikitoudour avec leurs armées d'artillerie? =P

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