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ere41
Maia dans le business
Tacticien incompris
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#1
Vos extraits favoris
01-11-2014, 14h14
Bonjour à tous, Hommes, Elfes, Nains, Hobbits et autres petites créatures jaillies de l'imagination sans limite du grand Ilúvatar, qu'en Arda on appelle JRR Tolkien. Si j'écris ce sujet, c'est pour connaître les passages préférés de chacun, que se soit dans les livres comme dans les films, de la plus petite phrase jusqu'au plus long chapitre.
Personnellement, j'en ai cinq préférés :
1-La destruction de Minas Tirith à Tol-in-Gaurhoth par Lúthien
, Le Silmarillion - Chapitre 19; Beren et Lúthien; Page 251 :
"
Lúthien, debout sur le pont, proclama son pouvoir et défit l'enchantement qui tenait pierre sur pierre. Les portes s'écroulèrent, les murs s'ouvrirent et les cachots furent mis à nu. Un grand nombre d'esclaves et de prisonniers émerveillés s'avancèrent en pleine confusion, se protégeant les yeux de la pâle lumière de la lune, ayant si longtemps connu la nuit de Sauron.
"
2-L'arrivée de Turgon à la Bataille des Larmes Innombrables
, Le Silmarillion - Chapitre 20; La Cinquième Bataille; Page 274/275 :
"
Un cri monta soudain, repris de vallée en vallée par le vent du sud, et les Elfes comme les Humains crièrent de surprise et de joie. Sans qu'on l'eût appelé, sans avoir prévenu, Turgon avait brisé l'isolement de Gondolin et était venu à la tête de dix mille soldats aux armures brillantes dont les lances et les épées faisaient comme une forêt. Quand Fingon entendit au loin la trompe de son frère Turgon, l'ombre de son coeur fut dissipée, et il s'écria :
-Utulië'n aurë ! Aiya Eldalië ar Atanatári utulië'n aurë ! Le jour est venu ! Voyez, peuple des Elfes, père des Humains, le jour est venu !
Et tous ceux qui entendirent sa grande voix résonner sur les collines s'écrièrent en réponse :
-Auta i lomë ! La nuit va finir.
"
3-Yavanna, celle qui apporte les Fruits
, Le Silmarillon - Valaquenta; Page 29 :
"
Sous forme humaine c'est une grande femme vêtue de vert, mais elle prend parfois d'autres apparences. Certains l'ont vue comme un arbre dressé vers le ciel, couronné par le soleil, ses branches déversaient une rosée d'or sur la terre stérile aussitôt couverte par le blé en herbe. Les racines de l'arbre plongeaient dans les eaux de Ulmo et les vents de Manwë murmuraient dans ses branches. Chez les Eldar, on l'appelle Kementári, la Reine de la Terre.
"
4-Gandalf a parlé
, Le Hobbit : Un voyage inattendu :
"
-Le vrai courage n'est pas de savoir quand supprimer une vie, mais quand en épargner une.
"
5-Gandalf § Galadriel
, Le Hobbit : Un voyage inattendu :
"
Galadriel
: Mithrandir, pourquoi le Semi-Homme ?
Gandalf
: Je ne sais pas... Saroumane pense que seul un grand pouvoir peut tenir le mal en échec. Mais ce n'est pas ce que j'ai découvert. Je crois que ce sont les petites choses, les gestes quotidiens des gens ordinaires, qui nous préservent du mal. De simples actes de bonté et d'amour... Pourquoi Bilbon Sacquet ? Peut-être est-ce parce que j'aie peur, et qu'il me donne du courage.
"
Bombur
L'Écraseur
Stratège avancé
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#2
01-11-2014, 15h12
J'aime beaucoup un passage de la fin du conte d'Aragorn et d'Arwen dans les appendices du SDA, mais j'ai la flemme de recopier maintenant, peut-être plus tard
.
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Strabon
Tacticien incompris
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#3
02-11-2014, 14h55
Dommage je n'ai plus le livre, la flemme de donner un passage précis puisque le livre entier m'a plu, du moins, les livres !
Pour ce qui est de Bilbo, le livre, le moment ou Bilbo avoue enfin son crime d'avoir volé la pierre m'a bien marqué. C'est, je pense, la manière dont l'avidité surpasse l'amitié. Thorin se renferme sur lui même et projette sa rage sur le pauvre Bilbo, ce passage reste et demeure à mes yeux une belle révélation de la cupidité des nains et surtout de Monsieur Thorin.
Dommage, encore une fois, je n'ai pas le livre !
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Aragorn
Isildur's Heir
Tacticien théorique
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#4
06-11-2014, 19h10
J'ai aussi la flemme de rechercher dans le livre ^_^, mais je dirais que les devinettes entre Bilbo et Gollum et les paroles de Smaug à Bilbo sont les plus mémorables, que ce soit dans le livre ou dans les films (ils les ont d'ailleurs bien respecté
.
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Peredhel
Tacticien de bibliothèque
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#5
07-11-2014, 11h56
J'en ai pas mal, je les mettrais quand j'aurais les bouquins avec moi.
Serait-ce trop demander que de séparer extraits du film et du livre ?
C'est mon coté maniaque mais en lisant l'avant-dernière je me suis dit "mais ce n'est pas une citation exacte" (et effectivement : c'est un grossier résumé d'un passage du
Seigneur des Anneaux
) et arrivé à la dernière "mais Tolkien n'a jamais écrit une telle stupidité" (pardon si je heurte ta sensibilité Ere41, d'autant que j'aime bien tes autres extraits, mais je trouve ce passage des films assez niais).
Envoyé par
Strabon
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C'est, je pense, la manière dont l'avidité surpasse l'amitié. Thorin se renferme sur lui même et projette sa rage sur le pauvre Bilbo, ce passage reste et demeure à mes yeux une belle révélation de la cupidité des nains et surtout de Monsieur Thorin.
Dommage, encore une fois, je n'ai pas le livre !
A savoir que les Hommes, les Orques, les Nains et les Elfes de Tolkien sont des archétypes... humains. La cupidité des Nains n'est rien d'autre que la nôtre. Ce qui rend cette révélation d'autant plus symbolique.
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Lord Perhaps On The Roof
Tailleur de crayons
Stratège du dimanche
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#6
07-11-2014, 14h03
D'autant plus symbolique que Tolkien rattachait les Nains aux Juifs
(please pas taper, ça ne signifie
pas
que c'était un méchant nazi, simplement qu'il avait intégré les stéréotypes des Juifs riches et banquiers), comme il l'a dit lui-même à propos de leur langue et de leur situation démographique dispersée après la chute des grandes dynasties de la lignée de Durin : "Toujours étrangers en leurs terres, parlant leur propre langue, et celle de leurs hôtes avec un accent bien à eux". Dans cette phrase, on la diaspora juive/naine après la perte de la Moria et d'Erebor et le singularisme de la langue (le yiddish, le ladino, et surtout l'hébreu qui n'était compris que des Juifs). Il mentionne par la suite explicitement le lien entre les Nains et les Juifs dans une lettre. Le khuzdul est au passage basé sur la synatxe hébraïque, que Tolkien connaissait bien, puisqu'il avait participé à une retraduction de la Bible depuis l'hébreu. Si on rajoute à ça l'avarice, on obtient un portrait mental stéréotypé du Juif parfait
.
C'est moins une certitude, mais je crois qu'on peut rajouter à l'analyse le fait que les Nains sont un peuple particulièrement secret et jaloux de ses traditions anciennes et incomprises...
Dernière modification par
Lord Perhaps On The Roof
,
07-11-2014, 14h04
.
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ere41
Maia dans le business
Tacticien incompris
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#7
07-11-2014, 18h36
Envoyé par
Peredhel
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J'en ai pas mal, je les mettrais quand j'aurais les bouquins avec moi.
Serait-ce trop demander que de séparer extraits du film et du livre ?
C'est mon coté maniaque mais en lisant l'avant-dernière je me suis dit "mais ce n'est pas une citation exacte" (et effectivement : c'est un grossier résumé d'un passage du
Seigneur des Anneaux
) et arrivé à la dernière "mais Tolkien n'a jamais écrit une telle stupidité" (pardon si je heurte ta sensibilité Ere41, d'autant que j'aime bien tes autres extraits, mais je trouve ce passage des films assez niais).
Ça passe mieux à l'écran et avec la mise en scène, parce que, oui, ça fait vraiment niais à l'écrit
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Strabon
Tacticien incompris
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#8
07-11-2014, 23h10
Envoyé par
Lord Perhaps On The Roof
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C'est moins une certitude, mais je crois qu'on peut rajouter à l'analyse le fait que les Nains sont un peuple particulièrement secret et jaloux de ses traditions anciennes et incomprises...
Cela me fait penser aux Gobelins dans Harry Potter, l'attitude est exactement identique, bizarrement on trouve même des similitudes sur la façon de façonner les armes (épée de Godric Gryffondor, les sorciers sont incapables de reproduire une épée aussi bien que les Gobelins, tout comme les hommes ou des elfes à l'égard des nains), sur la conscience, sur la manière d'interpréter les choses (l'inquiétude et la méfiance, la jalousie et la comparaison, la supériorité et le désir de renommée)
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Peredhel
Tacticien de bibliothèque
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#9
08-11-2014, 14h41
Alors allons-y :
1-La charge de Théoden aux Champs du Pelennor, Le Seigneur des Anneaux - Livre V ; La chevauchée des Rohirrim :
« Il paraissait emporté par la folie, ou la fureur de bataille de ses pères courait comme un nouveau feu dans ses veines, et il était porté par Nivacrin comme un dieu de jadis, voire comme Oromë le Grand à la bataille de Valar, quand le monde était jeune. Son bouclier d'or découvert brillait telle une image du soleil, et l'herbe flamboyait de vert autour des pieds blancs de son coursier ».
2-La plainte d'Andreth ou La douleur des mortels, L'Anneau de Morgoth - Athrabeth Finrod ah Andreth :
"Je n'ai pas demandé de réconfort," dit Andreth. "Pour quelle raison en aurais-je besoin ?"
"Pour la destinée des Hommes qui vous a atteinte en tant que femme," dit Finrod. "Pensez-vous que je ne le sais pas ? N'est-il pas mon frère bien-aimé ? Aegnor : Aikanár, la Flamme vive, rapide et ardente. Et les années ne sont guère longues depuis que vous vous êtes rencontrés pour la première fois, depuis que vos mains se sont touchées dans les ténèbres. Pourtant vous étiez alors une jeune fille, courageuse et ardente, dans le matin sur les hautes collines de Dorthonion."
"Continue !" dit Andreth. "Dis-le : qui n'êtes maintenant plus qu'une Sage, esseulée, et l'âge qui ne le touchera pas a déjà teinté vos cheveux du gris de l'hiver ! Mais ne me dis pas vous, car il l'a fait une fois !"
"Hélas !" dit Finrod. "C'est là de l'amertume, adaneth bien-aimée, femme des Hommes, n'est-ce pas ? qui se cachait derrière tous tes mots. Si je pouvais te dire des paroles de réconfort, tu les jugerais hautaines de la part de quelqu'un qui est de mon côté de la destinée. Mais que puis-je dire, excepté te remémorer l'Espoir que tu viens de te révéler ?"
"Je n'ai jamais dit qu'il s'agissait de mon espoir", répondit Andreth. "Et même si c'était le cas, je pleurerais toujours : pourquoi cette douleur revient-elle sans cesse ? Pourquoi devrions-nous vous aimer, et vous nous aimer (si c'est le cas), et pourtant mettre ce fossé entre nous ?"
"Parce qu'ainsi avons-nous été faits, proches parents," dit Finrod. "Mais nous ne nous sommes pas faits nous-mêmes, et donc nous, les Eldar, n'avons pas mis le fossé entre nous. Non, adaneth, nous ne sommes pas arrogants en cela, mais compatissants. Ce mot vous déplaira. Pourtant la pitié est de deux sortes, l'une de parenté reconnue est proche de l'amour; l'autre découle d'une différence de chance perçue, et est proche de la fierté. Je parle de la première."
"Ne me parle d'aucune des deux !" dit Andreth. "Je n'en désire aucune. J'étais jeune, et j'ai regardé sa flamme, et maintenant je suis vieille et perdue. Il était jeune et sa flamme s'avançait vers moi, mais il s'est détourné, et il est toujours jeune. Les bougies s'apitoient-elles sur les papillons de nuit ?"
"Ou les papillons de nuit s'apitoient-ils sur les bougies, lorsque le vent les éteint ?" dit Finrod. "Adaneth, je vous le dis, Aikanár la Flamme vive vous aimait. Pour vous à présent il ne prendra jamais la main d'aucune fiancée de son propre peuple, mais vivra seul jusqu'à la fin, se souvenant du matin dans les collines de Dorthonion. Mais trop tôt dans le vent du nord sa flamme s'éteindra-t-elle ! La prévue est accordée aux Eldar en ce qui concerne de nombreuses choses non éloignées, bien que rarement joyeuses, et je vous dis que vous vivrez longtemps pour votre peuple, et il disparaîtra avant vous, et il ne désirera pas revenir."
Alors Andreth se leva et étendit ses mains vers le feu. "Alors pourquoi s'est-il détourné ? Pourquoi m'avoir quittée alors que je disposais encore de plusieurs bonnes années à vivre ?"
"Hélas !" dit Finrod. "Je crains que la vérité ne vous satisfera pas. Les Eldar sont d'une espèce, et vous d'une autre; et chacun juge les autres d'après la sienne - jusqu'à ce qu'ils apprennent, pour peu d'entre eux. Nous sommes en temps de guerre, Andreth, et durant de tels jours les Eldar ne se marient ni ne conçoivent d'enfant ; mais ils se préparent à la mort - ou à la fuite. Aegnor n'a aucune confiance (tout comme moi) dans le siège d'Angband qui ne durera pas longtemps; et alors qu'adviendra-t-il de ce pays ? S'il écoutait son cœur, il souhaiterait vous prendre et fuir au loin, à l'est ou au sud, abandonnant son peuple, et le vôtre. L'amour et la loyauté le lient à son peuple. Qu'en est-il, quant à vous, pour le vôtre ? Vous avez dit vous-même qu'il n'y a pas d'issue par la fuite dans les limites du monde."
"Pour un an, un jour de la flamme j'aurais tout donné : peuple, jeunesse, et espoir même : adaneth suis-je," dit Andreth.
"Cela, il le savait," dit Finrod ; "et il s'est retiré sans prendre ce qui était à portée de sa main : elda est-il. Car de tels échanges se paient d'une angoisse qui ne peut être devinée, jusqu'à ce qu'elle survienne, et d'ignorance plus que de courage les Eldar jugent-ils qu'ils sont faits.
"Non, adaneth, si un mariage peut survenir entre notre peuple et le vôtre, alors il surviendra pour une importante raison de Destin. Bref sera-t-il et cruel à la fin. Oui, le sort le moins cruel qui pourrait lui arriver serait que la mort y mette fin rapidement."
Bon le deuxième extrait est particulièrement long (l'autre aurait pu être étoffé mais la flemme) donc je vais m'arrêter sur un dernier, en anglais, que tout le monde connait, juste parce que, vous le savez bien, c'est là que tout a commencé :
3-The Hobbit, or there and back again - An unexpected party :
"In a hole in the ground, there lived a hobbit. Not a nasty, dirty, wet hole, filled with the end of worms and a oozy smell, nor yet a dry, bare, sandy hole with nothing in it to sit down on or to eat : it was a hobbit-hole, and that means comfort."
Au passage, si Jackson avait débuté par là, et réalisé un véritable prequel on aurait peut-être eu une nouvelle trilogie à la hauteur de la première...
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Lord Perhaps On The Roof
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D'autant plus symbolique que Tolkien rattachait les Nains aux Juifs
(please pas taper, ça ne signifie
pas
que c'était un méchant nazi, simplement qu'il avait intégré les stéréotypes des Juifs riches et banquiers)
Même pas sûr puisque Tolkien évoque les liens entre juifs et Nains sur des questions culturelles, pas sur la "personnalité" (que ça soit l'avarice ou l'honneur exacerbé), il se réfère à la langue et à leur rapport à la langue et au goût du secret partagé par les Nains et par les
kabbales juives
. L'avarice des Nains est présente déjà dans les mythes scandinaves (et jusqu'à preuve du contraire ceux-ci ne se sont pas inspirés des juifs de l'époque
) il n'y a donc aucune raison de penser que Tolkien l'a ajouté en s’inspirant des stéréotypes attachés aux juifs. Même si ça lui a probablement traversé l'esprit il a justement choisi de ne pas l'évoquer.
Et il n'y a pas de banquiers Nains en Terre du Milieu, ça c'est dans l'univers d'Andrej Sapkowsky (et lui est polonais et fait vivre les Nains dans des getthos donc on pourrait avoir des doutes...).
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Lord Perhaps On The Roof
Tailleur de crayons
Stratège du dimanche
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#10
08-11-2014, 14h51
Certes, mais les Nains sont perçus par les autres peuples de la Terre du Milieu comme des êtres bizarres, secrets, avares et partant de là cachant leur or aux autres. Ce ne sont pas des banquiers, mais c'est le même rôle. L'image du Nain fabriquant de la richesse est bien ancrée chez les Hommes. Je ne disais pas ça trop sérieusement, je trouvais juste la coïncidence drôle
.
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Bombur
L'Écraseur
Stratège avancé
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#11
08-11-2014, 16h54
3-The Hobbit, or there and back again - An unexpected party :
"In a hole in the ground, there lived a hobbit. Not a nasty, dirty, wet hole, filled with the end of worms and a oozy smell, nor yet a dry, bare, sandy hole with nothing in it to sit down on or to eat : it was a hobbit-hole, and that means comfort."
Au passage, si Jackson avait débuté par là, et réalisé un véritable prequel on aurait peut-être eu une nouvelle trilogie à la hauteur de la première...
À vrai dire, c'est le cas
.
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Peredhel
Tacticien de bibliothèque
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#12
15-11-2014, 14h08
Envoyé par
Bombur
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À vrai dire, c'est le cas
.
J'entendais : un film qui reparte de zéro tout en restant cohérent avec la précédente trilogie, pas un film qui fasse des clins d’œils constants et des remakes de scènes déjà-vu à une trilogie avec laquelle il n'est même pas cohérent.
Mais bon on ne va pas refaire cinquante fois ce débat, nos avis divergent trop.
Sinon un nouvel extrait (je suis en période Faramir) :
4-Faramir, Le Seigneur des Anneaux - Livre IV ; La fenêtre sur l'Ouest
« Mais ne craignez plus rien ! Je ne prendrais pas cet objet, trainât-il sur le bord de la route. Minas Tirith tombât-elle en ruine et fussé-je moi seul en état de la sauver, ainsi, en usant de l'arme du Seigneur Ténébreux pour son bien et pour ma gloire. Non, je ne souhaite pas de tels triomphes, Frodo fils de Drogo.
- Non plus que ne les a souhaités le Conseil, dit Frodo. Ni moi-même. J'aimerais n'avoir rien à voire avec pareilles affaires.
- Pour ma part, dit Faramir, j'aimerais voir l'Arbre Blanc fleurir de nouveau dans les cours des rois, revenir la Couronne d'Argent et Minas Tirith en paix ; Minas Anor, de nouveau telle qu'autrefois, emplie de lumière, haute et belle, comme une reine au milieu d'autres reines ; non la maîtresse de nombreux esclaves, non, fût-ce la maîtresse bienveillante d'esclaves volontaires. La guerre doit être, tant que nous défendons nos vies contre un destructeur qui nous dévorerait tous ; mais je n'aime pas le glaive luisant pour son acuité, ni la flèche pour sa rapidité, ni le guerrier pour sa gloire. J'aime seulement ce qu'ils défendent : la cité des Hommes de Númenor, et je voudrais qu'on l'aime pour ses souvenirs, pour son ancienneté, pour sa beauté et pour sa présente sagesse. Non crainte, sinon comme les Hommes respectent la dignité d'un homme âgé et sage. »
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