DISCLAIMER :
Lors de cet AAR je vais parfois critique d’autres pays, il ne faut pas y voir une critique des joueurs mais plutôt une exagération dans un but de RP.
Comme ça fait un moment que je n’ai plus fait de GPO, j’ai oublié de faire des screens, donc ce premier épisode sera plutôt porté sur la diplomatie et le descriptif.
Session I – L’affirmation en tant que puissance locale
Introduction :
Le Maasaï, ou Massaï en ancienne graphie, est un people à l’origine purement pastoral qui a décidé de s’établir avec une majorité de la population se tournant vers l’agriculture et seulement l’élite militaire du pays restant pastorale. Bien que le pays ne sera jamais une super puissance, il aura la capacité à être un majeur régional (pas dur quand il n’y a que trois pays dans la région), mais également un acteur de l’Afrique de l’Est et de l’Océan Indien, bénéficiant d’un territoire très complexe à envahir pour les armées n’ayant pas une connaissance très poussée de la région.
Diplomatie pré-session :
Très rapidement des relations diplomatiques ont été démarrées avec les voisins Zoulou et Cathare tandis qu’une simple amorce a été entamée avec le Libertalia. Les relations avec le Saba sont inexistantes avant le début de la partie.
Un accord est rapidement trouvé avec le Zoulou et le Cathare, qui sanctifie des contrées que chaque pays considère comme lui appartenant. Entre chaque pays il y a plusieurs contrées tampons qui appartiendront au premier servi. L’optique étant d’éviter à la fois une coopération ne pouvant mener qu’à la décadence ainsi qu’à des guerres éternelles ne pouvant signifier que la ruine de nos pays.
Début de session :
Comme prévu les accords avec les voisins d’Afrique centrale sont maintenus et les échanges diplomatiques sont amicaux. Il apparaît assez rapidement que le dirigeant Zoulou est inexpérimenté et impétueux, mais ses prouesses guerrières ainsi que ses très nombreuses mines d’or lui permettent d’assoir son pouvoir dans sa sous-région. Le dirigeant Cathare est plus mesuré et encore plus inexpérimenté mais il va compenser cela par de bons conseillers et grandir progressivement mais sûrement.
Le dirigeant du Saba a entamé les relations diplomatiques en 1444 et sera très verbeux. Il va envoyer de nombreux conseiller auprès de l’émir du Zoulou et du duc de la Catharie. Rapidement des conseillers Maasaï seront également envoyés, une fois que ceux-ci ont considéré qu’ils n’avaient pas de retard fondamental.
Une première guerre sera menée contre le Busoga et son allié le Burundi. Au terme de cette guerre simple mais longue, à cause des sièges, la victoire est emportée. Le Busoga est annexé tandis que le Burundi est vassalisé. Ceci fut une énorme erreur du roi Maasaï qui du coup se retrouve dans deux guerres, une contre le Buha et une contre le Rwanda. Malheureusement les réserves militaires sont proches de l’épuisement à cause de nombreuses maladies de la zone tropicale, ce qui mène à une paix blanche avec le Buha. Suite à cela, et malgré une infériorité à cause d’une armée plus petite, la victoire contre le Rwanda est emportée avec l’aide du Buganda. Le Rwanda acceptera sa vassalisation et tout comme le Burundi il est transformé en marche. Les guerres ont obligé la prise d’emprunts et ont fortement puisé dans les réserves nationales.
Pendant ce temps le royaume du Saba a déclaré la guerre à deux voisins mineurs qui arriveront à mettre le Saba à genoux avec l’aide de l’Éthiopie, ce qui remet en question les accords passés entre nos deux pays. Néanmoins le Saba développe son pays et une nouvelle institution prends le pas sur le pays et garder de bonnes relations va permettre de l’obtenir plus facilement dans nos contrées,
Une deuxième guerre sera menée, contre le Mélinde et ses alliés le Kilwa et le Paté, Kilwa qui sera un cobelligérant et qui amènera en plus le Sofola. Cette guerre était voulue par l’émir du Zoulou et servait également les intérêts Maasaï. Néanmoins l’émir eut raison de la prudence du roi Maasaï et une guerre séparée est lancée. Le Zoulou attaque en premier avec l’aide d’un de ses alliés. La guerre fut difficile pour eux avec de nombreux territoires occupés et l’incapacité à prendre l’initiative sur les armées adverses. Pendant ce temps le Paté et le Mélinde sont entièrement occupés et une première bataille est gagnée grâce aux armées des marches. Le siège de Kilwa sera rapidement établi, notamment parce que Mombassa et Ajuran vont attaquer le Kilwa pour s’accroître. Malheureusement des rebelles vont libérer le fort du Kilwa occupé par le Maasaï, permettant à l’Ajuran d’occuper la province. Les traités de paix sont trainés en longueur volontairement pour éviter de mettre le Zoulou dans une impasse après que son allié ait dû mettre un terme à la guerre.
Conclusion :
À la fin de cette session la position du Maasaï est plus confortable qu’en 1444 et l’avenir du pays s’annonce radieux avec des conquêtes aisées à faire et un réseau de marches à constituer.
Deux incertitudes restent, avec les difficultés à prévoir pour convertir les provinces musulmanes ainsi que la possibilité des raids des pirates maintenant que nous possédons des territoires côtiers. Les locaux nous ont prévenu d’un regroupement de pirates dirigés par un chef schizophrène.
Lors de cet AAR je vais parfois critique d’autres pays, il ne faut pas y voir une critique des joueurs mais plutôt une exagération dans un but de RP.
Comme ça fait un moment que je n’ai plus fait de GPO, j’ai oublié de faire des screens, donc ce premier épisode sera plutôt porté sur la diplomatie et le descriptif.
Session I – L’affirmation en tant que puissance locale
Introduction :
Le Maasaï, ou Massaï en ancienne graphie, est un people à l’origine purement pastoral qui a décidé de s’établir avec une majorité de la population se tournant vers l’agriculture et seulement l’élite militaire du pays restant pastorale. Bien que le pays ne sera jamais une super puissance, il aura la capacité à être un majeur régional (pas dur quand il n’y a que trois pays dans la région), mais également un acteur de l’Afrique de l’Est et de l’Océan Indien, bénéficiant d’un territoire très complexe à envahir pour les armées n’ayant pas une connaissance très poussée de la région.
Diplomatie pré-session :
Très rapidement des relations diplomatiques ont été démarrées avec les voisins Zoulou et Cathare tandis qu’une simple amorce a été entamée avec le Libertalia. Les relations avec le Saba sont inexistantes avant le début de la partie.
Un accord est rapidement trouvé avec le Zoulou et le Cathare, qui sanctifie des contrées que chaque pays considère comme lui appartenant. Entre chaque pays il y a plusieurs contrées tampons qui appartiendront au premier servi. L’optique étant d’éviter à la fois une coopération ne pouvant mener qu’à la décadence ainsi qu’à des guerres éternelles ne pouvant signifier que la ruine de nos pays.
Début de session :
Comme prévu les accords avec les voisins d’Afrique centrale sont maintenus et les échanges diplomatiques sont amicaux. Il apparaît assez rapidement que le dirigeant Zoulou est inexpérimenté et impétueux, mais ses prouesses guerrières ainsi que ses très nombreuses mines d’or lui permettent d’assoir son pouvoir dans sa sous-région. Le dirigeant Cathare est plus mesuré et encore plus inexpérimenté mais il va compenser cela par de bons conseillers et grandir progressivement mais sûrement.
Le dirigeant du Saba a entamé les relations diplomatiques en 1444 et sera très verbeux. Il va envoyer de nombreux conseiller auprès de l’émir du Zoulou et du duc de la Catharie. Rapidement des conseillers Maasaï seront également envoyés, une fois que ceux-ci ont considéré qu’ils n’avaient pas de retard fondamental.
Une première guerre sera menée contre le Busoga et son allié le Burundi. Au terme de cette guerre simple mais longue, à cause des sièges, la victoire est emportée. Le Busoga est annexé tandis que le Burundi est vassalisé. Ceci fut une énorme erreur du roi Maasaï qui du coup se retrouve dans deux guerres, une contre le Buha et une contre le Rwanda. Malheureusement les réserves militaires sont proches de l’épuisement à cause de nombreuses maladies de la zone tropicale, ce qui mène à une paix blanche avec le Buha. Suite à cela, et malgré une infériorité à cause d’une armée plus petite, la victoire contre le Rwanda est emportée avec l’aide du Buganda. Le Rwanda acceptera sa vassalisation et tout comme le Burundi il est transformé en marche. Les guerres ont obligé la prise d’emprunts et ont fortement puisé dans les réserves nationales.
Pendant ce temps le royaume du Saba a déclaré la guerre à deux voisins mineurs qui arriveront à mettre le Saba à genoux avec l’aide de l’Éthiopie, ce qui remet en question les accords passés entre nos deux pays. Néanmoins le Saba développe son pays et une nouvelle institution prends le pas sur le pays et garder de bonnes relations va permettre de l’obtenir plus facilement dans nos contrées,
Une deuxième guerre sera menée, contre le Mélinde et ses alliés le Kilwa et le Paté, Kilwa qui sera un cobelligérant et qui amènera en plus le Sofola. Cette guerre était voulue par l’émir du Zoulou et servait également les intérêts Maasaï. Néanmoins l’émir eut raison de la prudence du roi Maasaï et une guerre séparée est lancée. Le Zoulou attaque en premier avec l’aide d’un de ses alliés. La guerre fut difficile pour eux avec de nombreux territoires occupés et l’incapacité à prendre l’initiative sur les armées adverses. Pendant ce temps le Paté et le Mélinde sont entièrement occupés et une première bataille est gagnée grâce aux armées des marches. Le siège de Kilwa sera rapidement établi, notamment parce que Mombassa et Ajuran vont attaquer le Kilwa pour s’accroître. Malheureusement des rebelles vont libérer le fort du Kilwa occupé par le Maasaï, permettant à l’Ajuran d’occuper la province. Les traités de paix sont trainés en longueur volontairement pour éviter de mettre le Zoulou dans une impasse après que son allié ait dû mettre un terme à la guerre.
Conclusion :
À la fin de cette session la position du Maasaï est plus confortable qu’en 1444 et l’avenir du pays s’annonce radieux avec des conquêtes aisées à faire et un réseau de marches à constituer.
Deux incertitudes restent, avec les difficultés à prévoir pour convertir les provinces musulmanes ainsi que la possibilité des raids des pirates maintenant que nous possédons des territoires côtiers. Les locaux nous ont prévenu d’un regroupement de pirates dirigés par un chef schizophrène.
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