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  • #16
    Waw ton AAR chapeau ! Je prends du plaisir à lire un ARR enfin un truc ou le gars c'est pas le super héro qui gagne toute ses baitailles après peut-etre que je suis mal renseigné ! Mais bon là y'a de l'intrigue de l'histoire ! J'adore le style d'écriture si seulement y'avait plus d'ARR comme ça !

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    • #17
      Cool .

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      • #18
        Merci pour vos encouragements, ça fait plaisir. Oui je pense essayer de former l'Empire Wende, en espérant aller assez loin pour faire face aux Mongols le jour où ils vont débarquer. Mais pour ça j'ai le temps encore.

        J'ai eu une panne de net pendant 2 jours, ce qui m'a permis d'avancer pas mal dans la partie......mais j'ai quand même continué l'écriture en essayant de pas prendre trop de retard.

        La suite dans quelques minutes, le temps d'hoster les images et mettre les liens, en espérant que ça vous plaise!

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        • #19
          Mars 887:

          Dans quelques mois je compte déclarer la guerre à Ludusz et à la Basse Silésie pour faire d'une pierre deux coups. Mais pour l'instant il me faut de la chair à pique haha!



          Qui sait, mon neveu sera p'tet héritier un jour, vu que j'ai toujours pas de minot, alors je le prend sous ma coupe pour l'éduquer à la dure, comme les vrais. Et puis tiens, autant prendre son frangin aussi, ça mange pas de pain, vu que Cieszko est pas contre. Parlons en de mon frère d'ailleurs....encore papa, d'un petit Boguchwal, quelle chance il a.....

          Le 14 Mai, alors que je profite du printemps par une ballade en forêt, mon cheval prend peur face à un ours qui déboule de nulle part, et me désarçonne. J'ai pas le temps de dire ouf que la bête me lacère l'abdomen. Heureusement, Maslaw, mon chancelier, lui fait face courageusement avec son épée, et finit par lui une belle estafilade sur le museau. L'ours est en fuite, ouf....
          Merci Maslaw, je lui dois la vie, et je saurais m'en souvenir. On me transporte au château en vitesse pour les premiers soins. J'ai perdu beaucoup de sang mais je tiens bon.



          Les membres de la famille me rendent visite souvent...j'en peux plus de rester au lit toute la journée. Ma blessure me fait grogner tout le temps. Maslaw m'apprend que le petit peuple me surnomme à présent "le Juste". Peut être regrettent ils déjà ma justice?



          Janvier 888:

          Je traine cette foutue blessure depuis des mois. Malgré l'énorme cicatrice qui s'est refermée, ma peau garde une couleur jaunasse qui me déplait, et je traine la patte....
          Mais c'est certainement pas en restant sans bouger que je vais guérir.

          Il est temps de passer à l'action, c'est pas un maudit ours qui va se dresser face à mes projets! Le 6, je déclare la guerre comme prévu. Aux 1200 hommes de mon ost viennent s'ajouter les 1500 finlandais qui ont parfaitement bien travaillé la fois dernière. Si tout va bien, je devrais l'emporter franchement face à l'ennemi qui aligne respectivement 600 et 1000 hommes, même si mon cher ami Gardomir fait appel à son alliée Vradislava de Wologoszcz...



          Mon ost est à peine regroupé que j'apprend la venue de la meneuse Poméranienne. Hors de question de la laisser regrouper ses 500 hommes avec l'ennemi. Je choisis donc de foncer en Poznan pour lui couper la route au plus vite.



          Alors que nos armées vont se faire face, j'apprend une grande nouvelle....ma femme est enceinte! Enfin!



          Vradislava est écrasée à la bataille de Szezeccin. Bjarnat Z Luzye, héritier de Ludusz, dont l'armée avait choisit de camper bêtement devant Ludusz, subit le même sort à la bataille de Krosno. Une boucherie.



          L'armée ennemie éliminée, notre ost commence à pacifier le comté de Ludusz, alors que l'armée Silésienne reste en position défensive. En septembre, alors que nous mettons à mal les dernières poches de résistance de la région, j'apprend la venue au monde de la petite Kenna. Mouarf.....une fille, mais c'est déjà ça....



          Décembre 888:

          Lubusz est tombée, beau joueur j'offre le comté à Cieszko, qui cette fois n'en demandait pas tant.



          Ce dernier quittant la cour pour régner en son domaine, je nomme à son poste de maréchal le redoutable Bezprym de Krotoszyn, ravi de prendre la tête de l'ost dès son arrivée.

          Sans tarder nous faisons route sur la Haute Silésie. A 2500 contre 1000, notre victoire ne fait aucun doute pour moi. La bataille aura lieu en plaine devant la ville. Le chef des mercenaires Finlandais mènera le centre, son bras droit le flanc droit, et mon nouveau maréchal le flanc gauche, qui me certifie qu'il percera la ligne sans problème. C'est le moment de faire ses preuves. Ma blessure me fait toujours autant souffrir, je préfère regarder l'assaut de loin.



          Chose promise chose due, menant la charge lui même, mon maréchal explose la ligne de défense, et après seulement quelques minutes c'est une véritable débandade, qui lui permet de flanquer le centre de l'armée Silésienne. Une belle victoire!
          Nous reprenons la route de la Basse Silésie pour prendre le contrôle de la région.



          Septembre 889:

          Enfermé dans son château, Gardomir mobilise 200 et quelques courageux pour nous faire face, en Haute Silésie, alors que le château de Glogow vient de succomber sous l'assaut de mes hommes. La vue est belle du haut des remparts haha! Je fais prisonnier deux nobles femmes, une gamine que je fais libérer peu après, et une belle courtisane nommée Ewa. Celle là je lui mettrai bien le glaive dans le fourreau!

          Le comté pacifié, nous mettons les bouts droit vers le sud à la rencontre de Gardomir, qui n'a jamais aussi bien porté son surnom de "Malavisé" qu'à présent. Ses quelques hommes nous prennent en embuscade dans le bois à Brzeg. L'instant de surprise passé, nous les massacrons sans pitié.



          C'est ainsi que Gardomir dépose les armes, alors que mon ost s’apprêtait à l'assiéger personnelement. Boguchwal, mon neveu qui arrive second en ligne de succession de mon frère, hérite de ce nouveau comté. C'est qu'un gosse, mais au moins il y aura pas de jaloux.

          Rentrant tranquillement à la capitale après cette fructueuse campagne, mon chambellan me me fait part d'un courrier de mon chancelier Maslaw tout droit venu de Boleslav, en Bohème. Bonne nouvelle, la revendication que je lui avais ordonné de faire est désormais officielle. Vu que je lorgne toujours sur Opole, voilà une bonne occasion de prendre deux comtés d'un coup lors de ma prochaine campagne.



          Mais le lendemain de la lecture de ce pli de mon sauveur, le vieil ours se rappelle à moi. Soudain pris d'un coup de chaud lors d'une marche, je glisse lentement à bas de mon beau canasson. Il parait que je suis tout blanc, et mon médecin dit que c'est ma blessure qui fait des siennes. Ça pue, ça s'est infecté, j'ai mal....



          Novembre 889:


          Voilà des mois que j'ai pas mis les pieds dehors. Ces médecins valent rien, pas un pour rattraper l'autre. Je vis un calvaire quotidien. Mais c'est finalement avec la seule présence de mon archiprêtresse mystique de femme que je vais m'en sortir. Je me suis accroché autant que j'ai pu, et fin Novembre, mon état semble s'améliorer.



          Avec les beaux jours, ma femme repart dans son temple, à mon grand regret. Voilà des lustres que je suis pas descendu aux geôles. J'avais totalement oublié la belle Ewa qui pourrissait là depuis un bail. Malgré son teint palot elle a été bien traitée. Elle me déteste, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. J'ai encore plus envie de la déflorer. Ordre est donné à mon chambellan de la libérer pour en faire ma concubine, malgré ses mises en garde.

          La donzelle se montre farouche, surtout au lit. Rien de tel que retrouver la forme en troussant du jupon. Deux mois ont passé lorsque ma muse m'annonce de mauvais gré qu'elle est enceinte! Comme quoi....



          La bonne fortune me souriant décidément, mon intendant m'annonce une dime spéciale de 26 pièces d'or qui vient gonfler le maigre contenu de mes coffres.



          Juillet 890:

          J'ai un fils, enfin! Il a beau être né bâtard, Bogumil est mon héritier. J'ai 47 ans, le poids des ans commence à se faire sentir, je pense qu'il était temps. Je me sens soulagé d'un sacré poids, même si ma dynastie n'était pas en danger.



          Depuis la naissance de Bogumil, je me sens de mieux en mieux, comme si la douleur de ma blessure s'en était allée avec sa venue. Il m'en restera une fameuse cicatrice. Je peux enfin me tourner vers mon prochain objectif, le voisin Morave, et ses deux comtés revendiqués depuis des perpette.



          Mai 892:

          J'ai retrouvé le sourire, et mes 4 pièces d'or de revenu chaque mois me permettent d'envisager cette nouvelle guerre sans être inquiet. La bande finlandaise a changé de chef, et il parait qu'elle fait campagne loin dans l'est. Maslaw me conseille de me tourner vers la Bande Bulgare, dont la renommée de son vieux commandant, Radu "le Bon", a dépassé toutes les frontières.



          A présent j'ambitionne de devenir un jour Roi de Pologne, ni plus ni moins. Cette chienne d'Ewa me regardait de plus en plus de travers. Pas eu envie de me prendre un coup de poignard bien placé, alors je l'ai mise aux cuisines. Maslaw travaille à mes bonnes relations avec mon frère et son fils. Grand bien lui fasse, il est meilleur que moi pour ça.

          Janvier 893:

          Le Saint Empire romain a déclaré la guerre à la Grande Moravie pour lui ravir de jure le comté de Znojmo. Ca pouvait pas mieux tomber. Mais devant l'énorme armée impériale, l'ost du Morave refuse le combat, et ses 1350 hommes stationnent à l'est du pays.
          De mon côté, après avoir déclaré la guerre et levé mon ost, qui sera accompagné de la Bande Bulgare, je fond sur Opole à la tête de 3000 hommes.



          Le Roi Arnost sollicite l'aide de son allié le Duc de Salerne. S'il veut jouer à ça, et bien soit allons y. Mes alliés les Chefs de Tchernigov et de Briansk entrent en guerre à mes côtés.
          Mais je ne les attendrai pas pour passer à l'attaque. Le 20 février, nous repérons l'ennemi en ordre de bataille sur la berge opposée de l'Elbe, au guet d'Unicov. Sa position l'avantage, mais le commandant Radu est confiant. Nous avons l'avantage du nombre, et il a un plan. Ce dernier fait charger l'infanterie lourde au centre avec les piquiers. Nos braves soldats ont bien du mal à traverser la rivière sans dommage, pris sous le tir des arcs ennemis, et ils ont à peine le temps de mettre pied à terre sur la berge, qu'ils se font engager souvent à 3 contre 1.
          Mais ce n'était qu'une diversion! Sur les ailes, notre cavalerie est menée par les Bulgares. Traversant à la nage non loin de là, elle prend à revers l'ennemi trop occupé au guet sous une charge dévastatrice! Je participe à la cavalcade avec un certain plaisir. Me voilà quitte pour une leçon militaire de choix pour prendre avantage du terrain. Je saurai m'en souvenir pour la prochaine fois.



          Grisés par le succès, nous prenons en chasse l'armée en déroute jusqu'au Boleslav. Nos pertes ont été minimes, aussi je donne l'ordre de donner l'assaut sur Glatz, Jicien et Hradiste.



          Alors que le Boleslav tombe, j'apprend que la guerre fait rage fait à l'est de mes terres. Le Roi Halfan de Konugardr est en train de perdre sa guerre d'invasion contre une coalition massive de comtés Romuva. Un aventurier nommé Batir tente également de faire chuter la petite Pologne.



          Bogumil grandit, à 3 ans il est déjà très appliqué et cherche à se rendre utile. Il doit tenir ça de sa mère haha!



          Le Boleslav pacifié nous faisons volte face direction Opole. Les renforts promis par le Chef de Tchernigow sont annoncés à nos frontières.



          Mars 894:

          Lors de l'assaut donné sur Czestochowa, je fais encore prisonnier deux nobles femmes. La gamine, Botislava, est relâchée. Elle peut remercier mon neveu Jacek, qui m'a demandé de faire preuve de clémence, car c'est sa demi sœur...mais j'ai envie de m'amuser un peu avec Jolanta, la mère. J'en fais cadeau à ma soldatesque pour quelques heures, qui s'en donne à cœur joie, avant de la faire exécuter sous mes yeux, juste pour le plaisir de l'entendre couiner.



          Au nord ouest, une révolte a éclaté en Poméranie. Les Poméraliens se révoltent, et leurs armées se battent sur mes terres. J'apprend la mort de Dabrovka, ma sœur, dans les geôles d'un obscur cachot. Son mari le Chef de Briansk avait pourtant les moyens de payer la rançon.

          Les renforts de Tchernigow reçus, nous donnons l'assaut sur la cité de Kozle sans tarder. Qui peut bien m'arrêter? Haha!



          Les 400 hommes en renfort de Briansk arrivent enfin. Au sud ouest de la Moravie, le Saint Empire a gagné sa guerre pour Znojmo. Lors du siège d'Ostram, j'apprend la mort de mon frère Cieszko, d'une grave maladie. En quelques semaines, je suis le dernier de ma fratrie...

          Mon maitre espion m'informe qu'Ewa, mon ex concubine, a monté un complot pour me tuer. Je la fais emprisonner sur le champ. Mais j'ai pitié d'elle. Que dira mon fils si un jour il apprend? Finalement je la fais libérer, mais elle est bannie de ma cour.

          Mars 895:

          Le Roi Arnost de Grande Moravie n'a d'autre choix que de rendre les armes. A moi la victoire! J'offre sans tarder mes nouvelles possessions à mes deux derniers neveux sans terre, Bezrym et Jacek.
          Cette guerre m'a permis d'accroitre nos connaissances en siège et en donjon.



          De retour à la cour, Maslaw me fait cadeau d'un très joli parchemin pour mon anniversaire, il représente toute la famille. Il y aurait donc 14 membres vivants dans notre famille de Golensizi.

          Mais il y a plus important, le conseil m'a fait part de ses profondes réflexions. Je suis à présent en mesure d'usurper le titre du duc de Silésie, puisque je possède les trois quarts de ses terres de jure. Si jamais j'y arrive, ma femme, qui est archiprétresse oublions pas, m'assure de pouvoir me faire couronner Roi de Pologne.
          Bien sur, tout ça va me demander de sacrés fonds, entre pots de vin et cérémonie, tout le tintouin habituel. D'ici quelques années, c'est tout à fait faisable.





          Un cartographe de passage à la cour me fait cadeau de son œuvre. Son travail est sans grand intérêt, mais il m'apprend quelques nouvelles intéressantes. Le Royaume d'Aquitaine a refait son apparition, Les Asturies se déchirent, les Vikings du Sudreyar tiennent toute l'Ecosse et les Danois se sont installés en Angleterre. C'est loin tout ça et je situe pas bien toutes ces contrées. Plus près, des guerres civiles ravagent l'Empire Byzantin et la Hongrie, et les Poméraliens ont finalement vaincu. La Poméranie est donc scindée en deux.



          A l'ouest, la phtysie(tuberculose), maladie qui fait cracher du sang, fait des ravages.

          Le duc de Bohème aurait parait il des prétentions sur le Boleslav. J'en ris encore...comme s'il me faisait peur? Hahahaha.



          Mars 897:

          Un matin mon chambellan déboule pour me prévenir du retour d'Ewa à la cour. Une chose est sure vu le regard qu'elle me jette au banquet, elle me hait toujours. Mais elle tente de se faire toute petite. Dans ma grande bonté, je laisse faire, mais j'en touche un mot à mon maitre espion pour qu'il la garde à l’œil.



          Mon neveu et pupille Cirzpibog atteint l'age adulte. Je suis fier de lui, c'est devenu le meilleur intendant que j'ai jamais vu, et pour le reste aussi, l'élève a dépassé le maitre. J'en profite pour prendre en main l'éducation de mon fils Bogumil.

          Maslaw me demande la main de ma nièce, cette imbécile de Beata. Je ne peux le lui refuser.

          Au sud, la Grande Moravie est devenue Bohème.



          Mon intendant me fait remarquer que nous avions mal compté....la dernière quinzaine nous a crédité d'une soixantaine de pièces d'or. Gné? Ce serait il pas Cirzpibog le bâtisseur de fortune? Baaaa, toute façon prenons les, et dépensons les sans tarder. Me voilà Grand Chef de Silésie, au grand damn de ce vieux Gardomir.



          Fallait que je les dépense pour que ces foutus bourgmestres viennent chouiner pour une réduction d’impôts. Et puis quoi encore? Jamais!
          Dans le même temps, j'ai tenté d'améliorer mes relations avec le Pape, mais Maslaw s'y ai pris comme un manche, et voilà qu' il me déteste encore plus. De toute façon pour l'importance que ça a....



          Novembre 898:

          Le Boleslav est victime d'un soulèvement de Catholiques. Et merde....



          Mon ost peut aligner 1250 hommes. En face ils sont plus de 1800, mais pas question d'acheter des mercenaires, ça me mettrait sur la paille. Il va me falloir faire confiance à mon maréchal Bezprym, qui me rassure comme il peut. D'après lui nos commandants sont bien meilleurs.

          Pourtant lorsque 1200 de leurs soldats font mine d'attaquer mes positions alors que je n'ai même pas regroupé mes troupes, il y a de quoi s'inquiéter. Mais mon maréchal avait raison. Pour je ne sais quelle raison, un de leurs deux bataillons, fort de 600 hommes, fait demi tour pour le Boleslav.
          Lorsque les attaquants arrivent, nous sommes 850 à défendre, en mur de bouclier derrière un guet. L'ennemi a compris son erreur trop tard. La bataille est sur le point de commencer lorsque ses 1200 hommes de plus se décident à venir nous combattre.
          Sans organisation, les catholiques ont décidé de franchir le guet. Bande de fous! nous les accueillons comme il se doit par des volées de fléches. Je commande le flanc droit non sans mal. Leur moral est un moment au plus bas alors que nous recevons des renforts providentiels.



          Encerclés sur la berge, nous les repoussons à l'eau dans une charge héroïque. Leurs renforts pourtant nombreux sont gênés par la déroute des premiers attaquants. Dans la confusion, Bezprym décide de lancer la cavalerie, qui fait un véritable carnage.



          Nous traquons les centaines de fuyards pendant plusieurs semaines vers le nord. Le bourreau exécute leur chef qui s'est rendu, Chval, et même si je doute de son efficacité, j’envoie mon devin en Boleslav, pour tenter de convertir la population à la foi slave. Nous avons vaincu.



          Mon retour à la cour m'apprend que la femme de Jacek, Rzepicha, complote pour faire tuer Bogumil. Allez hop, au trou! Mon neveu a de l'argent....autant tirer parti de cette situation, je lui rend sa femme contre 26 pièces d'or.



          Septembre 899:

          Je viens d'avoir 56 ans, et pour fêter ça, rien de tel qu'une bonne guerre de jure! Mon ost n'a pas trop souffert contre les catholiques, il en sera quitte pour une ballade de santé en Haute Silésie. Gardomir devait s'ennuyer de moi, le pauvre.



          Mais à peine mes troupes levées, Gardomir m'attaque à Krosno, où il me tue 50 hommes....grrrrrr! Ce fourbe ne paye rien pour attendre! Lors du dernier conseil d'avant campagne, mes conseillers me font remarquer que j'ai totalement oublié de regarder les dernières alliances forgées par mon vieux rival.
          Gloups...les Dragovitch à l'est, et les Poméraniens viennent d'entrer en guerre à ses côtés. Voilà qui change le rapport de force.

          Brezpryn me conseille d'attaquer sans tarder Gardomir sans lui permettre de regrouper ses forces. Il a raison, comme souvent, et dès novembre, nous voilà devant Glogow avec nos 1500 hommes, pour défaire les 700 hommes de Gardomir.
          Le plan de bataille est simple, mais je n'en doute pas, il sera efficace.
          Toute notre infanterie s'engage après le traditionnel duel d'archers. Une fois la mêlée engagée, la cavalerie flanque leurs lignes des deux côtés. Nos pertes sont minimes, c'est une belle victoire.



          Le combat est à peine terminé, que des éclaireurs nous signalent l'intrusion de l'armée Poméranienne au nord. Un millier d'hommes viennent à nôtre rencontre. Nous avons beau être fatigués, le moral est au beau fixe, et c'est non loin de Poznan que nous les interceptons, au beau milieu d'une plaine.
          Cette fois, la différence se fait grâce au nombre, et à notre infanterie lourde, dont je deviens un expert au maniement. Sans oublier nos commandants, mais ça, c'est habituel....



          Mon maitre espion me fait parvenir un pli inquiétant. Ma femme, de retour à la cour, projetterait de tuer Bogumil. Sans doute pour faire hériter Kenna. Heureusement, mon fils m'a suivit en campagne. Il sera sans doute plus en sécurité qu'aux côtés de cette harpie qui ne veut rien savoir, et me fait piquer des colères noires à chaque lettre reçue.

          Octobre 900:

          Mon ost victorieuse, qui n'a plu que 1100 hommes assiège la Haute Silésie lorsque je reçois un nouveau pli. Coup de tonnerre! Arnost de Bohème me déclare une guerre sainte pour reprendre le comté de Boreslav. Cette fois, ça sent le pâté...



          Mais contre toute attente de ma part, les différents dirigeants slaves qui ont vent de cette affaire me proposent leur aide. Je ne compte plus mes alliés. Stanislav de Kiev, Ctibor de Beresty, Wojciech de Mazovie, Browislav de Lendians me rejoignent dans un premier temps, bientôt suivis par Igor de Torki, Swietopelk de Abodites, et Kolman de Rana. De son côté, Arnost ne peut compter que sur le Duc de Salerne.

          Confiant avec tous ces renforts potentiels, je choisis de continuer d'assiéger Gardomir, en gardant ma position, même si l'armée Bohémienne de 1300 hommes assiège désormais le Boleslav juste au sud. Le château de Zmigrod finit par tomber. La femme de Gardomir est faite prisonnière, et je la rançonne pour 10 pièces d'or, c'est toujours ça.



          A quelques miles à l'ouest, l'armée Abodite forte de 1800 hommes est annoncée se dirigeant vers le Boleslav. Hahahahaha! Comprenant qu'il a peut être laissé passer sa chance, le Roi Arnost tente de se dérober pour venir m'affronter mais son arrière garde se fait reprendre de peu aux abords de Jicin.
          Alors que la bataille fait rage, mon ost qui n'a pas pris le temps de fêter sa victoire à Zmigrod se joint à la baston, et une victoire dans la douleur se transforme en boucherie! Gloire à la Pologne!



          Mai 901:

          Les fuyards sont impitoyablement poursuivis vers le nord. Ça tombe bien, nous voilà de retour à Zmigrod où Gardomir dépose cette fois officiellement les armes. Mon maitre espion a eu le temps de rassembler des preuves de la traitrise de Gardomir, de l'époque où il était Grand Chef, et où il revendiquait mon comté de Cziezyn.
          Et si....ma foi.... Gardomir est encore chef du comté, mais il n'a plus d'armée, alors que la mienne est sur place.Qu'est ce que je risque à tenter de le faire emprisonner en jouant les tyrans? Rien, car sa rébellion n'aurait aucune force, et toute façon ma réputation est excellente auprès de mes vassaux.



          Le Malavisé est pris alors qu'il s’apprêtait pour le repas. Il finira son diner au pain sec et à l'eau dans ses propres geôles. Prenant possession de sa suite, je découvre dans ses coffres 312 pièces d'or, rien que ça! Oh le vieil avare!
          Plutôt que le faire exécuter, je choisis de le bannir de Pologne. Et selon la loi, son trésor me revient de droit. Qu'il aille donc crever sans le sou au détour d'un chemin, ça vaut mieux pour moi haha!



          Me voilà comte de Haute Silésie, et riche comme jamais! Ma guerre sainte est mise de côté quelques jours pour me permettre de réaliser ma consécration, mon couronnement en tant que Roi de Pologne! L'histoire d'une journée, le 15, nous mettons les petits plats dans les grands. Le banquet est grandiose, ma femme Gorislava qui a été faite Hierophante quelques heures plus tôt dans son temple, me dépose la couronne sur le chef.



          Dans les heures qui suivent, Maslaw fait parvenir au Grand Chef Gaudenty de Cujavie notre offre de vassalisation. La réponse ne tarde pas après quelques jours, c'est oui! Pour les autres seigneurs de jure Polonais, nous attendrons que la guerre se calme à l'est.
          Kreslav de Poméranie me fait également part de son soutien pour la guerre sainte de Boleslav.

          Enfin, je remarque que Bogumil est devenu bien plus sociable avec toutes ces cérémonies, tant mieux!



          L'armée du Duc de Salerne est alors signalée faisant route vers Plzen. Un milier de soldats tout au plus, rien à craindre de nôytre côté nous sommes 1800 avec les renforts de Mazovie et Poméralie.

          Le 6 septembre, malgré une tentative de fuite, nous arrivons à rattraper le Duc de Salerne, et la victoire n'est qu'une formalité, avec les renforts Abodites venus du nord qui doublent nos effectifs.

          Janvier 902:

          Après une poursuite sans merci des fuyards qui dure des semaines, nous sommes de retour devant Plzen, où je décide de donner l'assaut. Rokycany et Stribo subissent le même sort. Mon armée est fourbue, nos pertes sont élevées lors du dernier assaut, mais je souhaite finir cette guerre au plus vite.



          Pour en finir, il me suffira de battre ce qui reste de l'armée du Roi Arnost. Une bande de pillards qui ravage mes terres au nord, même pas 200 gugusses dont je ferais qu'une bouchée.
          Nous les attaquons en Haute Silésie, mais mon maréchal Bezpryn commet une grosse erreur. Trop confiant, il ordonne de charger sans préavis, à la tête de nos 800 hommes. Mais il ne nous reste que trop peu de cavalerie, et ce dernier se retrouve isolé au cœur des rangs ennemis. La rumeur voudra que c'est le Roi Arnost lui même qui lui donnera le coup de grâce.
          Une perte regrettable, mais nous gagnons la bataille, et l'ennemi vaincu dépose enfin les armes.



          Juin 902:

          De retour aux affaires du Royaume, je nomme...Bezprym, mon neveu, comme nouveau maréchal. J'ai bientôt 60 ans, un age respectable, et je commence à fatiguer. Mais j'ai encore toute ma tête pour régner comme il faut. Wojciech de Mazovie accepte mon offre de vassalisation, tandis que Bronislav de Lendians refuse.



          Pour mes 60 ans, Maslaw m'offre une carte de l'Europe Occidentale



          Sans guerre, je me décide à faire régner l'ordre en mon domaine, et met en place de nouvelles lois limitant un peu l'autorité de mes vassaux, un bien pour pour le Royaume de Pologne!



          Mes jambes de plus en plus fatiguées ne me permettent plus de bouger autant que je voudrai. La lecture de quelque ouvrage antique est intéressante d'un point de vue militaire. Pourquoi n'y ai pas pensé plus tôt?



          La vieillesse me permet de passer plus de temps avec mon fils. Hier il a eu 12 ans, et il a grandit trop vite. Un bon petit bonhomme qui fera un bon Roi j'en suis sur.



          Novembre 903:

          Sans guerre à mener, avec ces 6 pièces d'or qui tombent chaque mois, je décide dans ma grande bonté de construire un bourg fortifié dans la capitale. J'ai envie que le peuple garde un bon souvenir de son souverain.

          Au sud, une guerre civile a éclaté entre l'est et l'ouest d'une bohème dévastée.



          A un conseil mon maitre espion me prévient que les grands chefs Gaudenty et Wojciech s'agitent de plus en plus. Je n'ai pas envie de débourser quelque piécette pour les calmer, aussi, je préfère les décorer comme champion et échanson. Mon neveu Boguchwal un peu trop proche d'eux devient quant à lui maitre de la lame.

          Maslaw séjourne à Passau, devenue capitale du Saint Empire, où il travaille à mes bonnes relations avec le Kaiser.



          Mais je reçois bientôt une missive du chambellan impérial m'informant que mon chancelier est mort de la rougeole. Paix à ton âme, mon vieil ami. Je nomme Gaudenty nouveau chancelier.

          Kenna atteint l'age adulte. C'est devenu une belle jeune femme, avec les mêmes qualités que son père. Je suis fier de toi ma fille, tu feras une bonne épouse.



          A l'ouest, une guerre civile a éclaté dans le Saint Empire contre la tyrannie du Kaiser. Les Franconniens en profitent pour demander leur indépendance.

          Février 906:

          Las de vieillir dans l'inactivité, j'ai cédé face au conseil qui me poussait à faire une guerre de jure pour récupérer le comté de Sacz.
          Notre ost a beau avoir 2400 hommes, l'ennemi a comme alliés Stanislav de Oleshye, et Beremir de Briansk.
          Mais je reste confiant, j'ai de bons officiers, et lorsque nous marchons sur le comté de Vladimir Volysnski défendu par 1000 hommes, l'issue ne fait aucun doute.
          Pour une dernière fois, j'ai envie de commander mes soldats, et prend le commandement de l'aile droite. Mes hommes se battent bien, mais cette fois c'est au centre que se fait la différence. Nous enfonçons leur ligne avec brio et c'est la déroute. Une fois encore, les fuyards seront poursuivis sans pitié.



          Bogumil fête sa majorité à mes côtés en pleine campagne. Lui aussi a les mêmes qualités que moi, mais l'élève a dépassé le maitre. Aucun bon parti pour un mariage en vue, il attendra un peu.



          Mon neveu Boguchwal, que j'avais sauvé d'un complot mené par sa femme, voudrait parait il me prendre le duché de Silésie. Je crois rêver, mais je me fais vieux, et seul le siège du Sacz m'intéresse, alors je laisse pisser.

          Le Grand Chef de Kiev ayant sentit une opportunité, il déclare la guerre à son tour au Lendians pour prendre le comté du Vladimir Volysnski

          J'en profite pour rançonner le chef du Sacz de 26 pièces d'or en échange de sa fille qui a été arrêtée.



          Mars 907:

          Au détour d'une inspection quotidienne au camp, mon chambellan me fait remarquer qu'une des femmes de joie vient d'accoucher. Le fils serait de Bogumil, il en est sur. Je suis estomaqué et fait venir mon fils qui ne nie point. Pris d'un accès de colère, malgré ses protestations sur le fait que c'est un fils, je lui colle une dérouillée devant toute la cour. Ça lui apprendra à faire n’importe quoi avec une catin.
          Bogumil est furieux, et braille à tout va que quand il sera roi, il fera bien ce qu'il veut.



          J'ai beau être en guerre, l'argent coule à flot, alors je décide de faire construire un bourg fortifié à Kalisz. Mais ai je eu raison de prendre cette décision. Quelques jours plus tard, j'apprend que les Abodites sont entrés en guerre contre moi aux côtés du Lendians, alors qu'il ne reste que 1800 hommes dans mon ost, et que les 3 alliés de mon ennemi ne sont toujours pas venus au combat. Il va falloir terminer cette guerre au plus vite.

          Quelques semaines plus tard, nouveau pli me prévenant que les Abodites tentent d'assiéger Ludusz, pour l'instant sans succès.



          Dans un premier temps, je décide de traverser mes terres pour aller régler le compte à cette armée. Mais finalement, l'arrivée de l'armée du Briansk en Lendians m'en empêche.



          Si je bat cette armée, ça en sera finit du conflit. Mais les soldats du Briansk refusent un moment le combat et prennent la fuite en apprenant ma venue. Je décide donc d'assiéger Sandomierz pour gagner cette guerre.
          Prévenus de mon action, l'armée de Briansk fait volte face et fond sur le Sacz, tandis que les Abodites viennent traversent nos terres pour venir à ma rencontre.
          L'armée de Kiev, mon alliée de circonstance, qui a elle même reçu des renforts de Beresty et Peresechen, me rejoint en Sandomierz. C'est parfait, nous alignons désormais 4000 hommes, et l'armée des Abodites s'étant dangereusement rapprochée, il est temps d'en finir.
          Je fais donner l'assaut au plus vite, et c'est enfin la victoire! La meneuse de Sacz est en prison, et le comté vassalisé.



          Février 908:

          De retour à la capitale, à la demande de ma fille, je lui cherche un bon parti pour un mariage matrilinéaire bien entendu. imaginons qu'il arrive quelque chose à Bogumil hein....Mis à part Suligost de Slezanie, héritier du duché de Poméranie, je ne vois pas, l'affaire est donc entendue, d'autant que cette alliance est intéressante.

          Bogumil voyant cela me réclame lui aussi une femme. J'ai pas envie qu'il recommence avec une putain, alors je lui promet des fiançailles avec Yevdokia, une courtisane russe recommandée par Gorislava pour son génie, qui nous donnera une alliance avec le Beresty.

          Mon maitre espion me prévient à un conseil qu'une faction pour faire baisser mon autorité sur les vassaux a vu le jour depuis un moment. Elle est menée par le vieux Piast "le Juste", qui a plus de 70 ans...s'il pouvait clamser celui là. Mais c'est Arnost de Bohème qui meurt d'une grave maladie, et qui lègue à son fils de 3 ans sa guerre civile qui dure.

          Quelques semaines passent, et je fais construire à Poznan un nouveau bourg fortifié pour passer le temps. Et le temps c'est de l'argent comme dit Bogumil.

          Mes prières sont entendues avec la mort du vieux Piast. Je dois pas être beaucoup plus vaillant, j'ai de plus en plus de mal à me lever, mais lui aussi je l'aurai eu! Mon vieux maitre espion meurt quelques jours plus tard, je le remplace par mon beau fils Suligost, dont j'apprend quelques jours plus tard, que c'est lui qui l'a fait assassiner. En voilà un qui sait ce qu'il veut.

          Décembre 908:

          J'arrive plus à me lever, j'ai perdu l'appétit...




          MORT DE BOLKO "LE JUSTE" DE GOLENSIZI LE 23 DECEMBRE 908 A 65 ANS.
          Dernière modification par Dragan, 08-07-2014, 16h56.

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          • #20
            La suite avec mon nouveau souverain..hésitez pas à laisser vos commentaires

            Janvier 908:

            Moi, Bogumil 1er, vient d'être sacré nouveau Roi de Pologne. Le Roi est mort, vive le Roi! Mon père n'avait beau pas être bien malin, il s'était bien entouré, et m'a légué un beau Royaume que j'espère agrandir, mais ma priorité sera de le faire prospérer. J'espère que ce rhume chronique va me lâcher un peu, à présent que je croule sous les responsabilités.



            Je commence par prendre à mes côtés mon ami et parent Bezprym pour l'éduquer. Ainsi nous passerons autant de temps ensemble que nous le voudrons. Ma mère, Ewa, de retour en grâce à la cour, est ravie, mais elle n'a pas manqué de me prévenir qu'il allait me falloir amadouer ce nid de vipères.
            Sur ses sages conseils, je décide de nommer le Grand Chef Gaudenty chancelier. Mes cousins Bezprym et Cirzpibog seront respectivement maréchal et intendant. Je sais qu'ils ne me portent pas dans mon cœur, alors je l'en nomme un maitre de l'arc, et offre 32 pièces d 'or à l'autre.



            Je peux me le permettre, d'autant que la meneuse Geira de Nisani qui pourrissait dans nos geôles a enfin réunit la somme de 70 pièces d'or requise pour pouvoir sortir.



            Les villageois du Cienzyn crèvent de faim et ont réunit une délégation pour me demander de l'aide. Ces pauvres bougres se sont sans doute dit qu'avec un nouveau souverain ils obtiendraient ce qu'ils demandent. Ces miséreux me font peine, et après les avoir écouté longuement, je leur offre 13 pièces d'or pour améliorer leur piètre quotidien.



            Juin 909:

            Ma succession se passe bien. J'ai pris mes marques durant ces quelques mois en restant prudent.

            Histoire de continuer ce qu'avait commencé mon père, je fais bâtir un bourg fortifié, dans le nord à Guesne.

            Mais lors d'une visite des travaux, j'apprend la mort de ma mère. La pauvre a été victime d'une forte fièvre à 50 ans. C'est cruel, elle n'aura pas profité de sa nouvelle position à la cour bien longtemps.



            Ces foutus bourgmestres ont eu le même réflexe que les paysans. Qui dit nouveau souverain dit peut être opportunité? Et puis quoi encore? Pourquoi baisser les impôts de ces gras messieurs? Je les flanque à la porte sans même prendre le temps de les recevoir. J'en ai assez de faire des courbettes, c'est moi le Roi!



            Ma sœur a eu une fille, qu'ils ont nommée comme elle, Kenna. Voilà qui me donne des idées mais j'ai le temps, et avant je compte bien m'amuser, à présent que c'est moi qui commande.

            Bozena a grandit avec moi, c'était une amie et parente, mais depuis quelque temps, à la voir rouler des hanches devant moi, j'ai de plus en plus envie de la prendre. Un soir où je ne dormais pas, je la croise dans un couloir du château, en petite tenue. Soufflant sa chandelle, je lui ordonne fermement de me suivre dans ma chambre. La belle se laisse faire, et y prend visiblement du plaisir. Dès que je peux, je vais remettre ça.



            Novembre 910:

            Je viens de déclarer une guerre de jure au Grand chef Fédot du Lendians pour la comté de Sandomierz. Malgré ses nombreux alliés, je suis confiant, mais demande tout de même le renfort des troupes de mon alliée Vradislava, la Grande Meneuse de Poméranie.
            En quelques jours, les choses se précipitent, les Abodites comme je le pensais entrent en guerre contre moi, mais alors que j'en suis encore à rassembler mon ost, j'apprend que le chef de Beresty vient également de déclarer la guerre à mon ennemi.

            Traitre! Les fiançailles avec sa fille sont pourtant arrangées depuis des années déjà, et ce chien me grille la politesse! L'ennemi n'a aucune armée, et le chef de Beresty est déjà sur place à l'assiéger. je n'ai d'autre choix que renvoyer mes vassaux à leurs affaires pour l'instant.

            Les semaines passent, et je m'apprête à renvoyer mon armée, et mon maitre espion Suligost me fait part d'une nouvelle cocasse. Mon cousin Boguchwal, qui avait échappé à un complot mené par sa femme, vient de la raccourcir pour se venger. Ainsi va la vie.
            Mais il y a plus intéressant: Mon ambitieux cousin Cirzpibog complote pour me prendre mon titre de Grand Chef de Pologne.



            Je ne suis pas un barbare, et je préfère le raisonner par missive. Mais pour qui se prend il avec pareil ton? A qui croit il parler. Ce vermisseau devrait ramper devant moi et implorer mon pardon, mais que nenni!
            Soit, il a fait son choix, il devra assumer. Et puis plus j'y réfléchis, plus je me dis qu'en fin de compte c'est parfait, j'ai un prétexte tout trouvé pour agrandir mon domaine. Au pire mon ost est déjà levé, et ma supériorité numérique est flagrante.
            Mes gardes sont donc envoyés en Lubusz pour le faire arrêter, mais leurs têtes me sont renvoyées dans un panier. Très bien, ce sera la guerre.



            Un nouvel intendant est nommé à sa place pour le Royaume. Pas aussi compétent, mais il fera l'affaire.

            Le conseil terminé, notre ost de 1900 hommes fait route vers le comté de Ludusz. Malgré ce fichu rhume qui par moment dégénère, j'ai choisit d'être du voyage. Devant la ville, nous trouvons l'armée adverse recroquevillée sur une colline. Même pas 500 hommes d'après mon maréchal, qui prend la décision d'encercler totalement leur position, avant de mener la charge.
            Victoire!



            La bataille gagnée, nous assiégeons le château sur de nôtre entreprise. Bozena m'a rejoint au campement le ventre rebondit. Aucun doute là dessus, c'est moi le père.
            D'après elle, depuis quelque temps avec les responsabilités j'ai appris à mettre de l'eau dans mon vin. C'est vrai, mes accès de colère se font rarissimes.



            Le siège se prolonge, et Bozena est malade, malgré les soins prodigués dans ma tente. Un soir, nous faisons venir une vieille femme pour l'aider à accoucher. Une fille! Je l'appelle Samboja, et choisit de la reconnaitre...mais sa mère déjà malade, est trop affaiblie après son accouchement et mourra une semaine plus tard, à seulement 17 ans, je suis si triste.....

            Septembre 911:

            J'ai enfin reçu des renforts Poméraniens, mais le siège tire à sa fin, et en cet été indien, Cirzpibog dépose enfin les armes.



            Mon cousin est jeté en prison et déchu de son titre de chef du comté, qui me revient de droit. C'est un traitre, donc mes vassaux n'y voient rien à redire.


            Alors que je m'apprête à reprendre la route, je suis prévenu de l'arrivée à ma cour d'une partie de ma famille. En effet, mon cousin Pelka, leur patriarche, a été fait prisonnier dans l'est. Sa femme et ses cinq enfants m'implorent de payer la rançon. Nous verrons cela plus tard, s'il n'est pas relâché, et s'ils se comportent bien.

            A l'est, le chef de Beresty a gagné sa guerre qu'il m'a volé. Ces derniers temps, les mots d'oiseaux ont fusé entre nous par missive. Il l'aura voulu, je continue de revendiquer cette région, c'est la guerre.....

            Je choisis dans un premier temps de faire route vers le nord ouest, à la rencontre de l'armée Poméralienne, qui est entrée en guerre à ses côtés.

            Gouverner à distance n'est pas chose aisée. Je reçois les dernières nouvelles de mon chambellan. Il a fait commencer les travaux pour fortifier les murailles à la capitale comme je l'avais ordonné, mais le conseil est unanime, ils me conseillent de transférer ma capitale à Wroclaw. Le château y est parait il plus grand, mieux développé, et il est également plus proche de l'ensemble de mes terres. Intéressant, la décision est donc prise, adieu le trône à Cieszyn et bienvenue Wroclaw.





            Novembre 911:

            Lorsque nous arrivons enfin à bon port, il me faut calmer l'ardeur de nos alliés Poméraniens, trop contents de livrer bataille à leurs vieux rivaux de Poméralie. Je préfère réfléchir une nuit. L'armée Abodite, ennemie elle aussi, et forte d'un millier d'hommes, a établit son campement non loin de là.
            Mais avec 3400 hommes, y a t il seulement à hésiter? A l'aube, nous donnons l'assaut, et la bataille s'avère être une formalité. Le chef Ploni, qui mène les troupes, a été capturé.

            Quelques jours plus tard, c'est au tour des Abodites de subir les affres de la défaite. S'ils s'étaient unis avec les Poméraliens, peut être auraient ils eu une petite chance?





            Mars 912:

            Il est temps de faire route pour l'est pour aller battre l'armée de Beresty. Faisant étape à Ludusz, mon cousin Cirzpibog me demande un meilleur traitement, qui sied plus à son rang. Décidément celui là, il manque pas de culot. Je le récompense d'un séjour à durée indéterminée dans les oubliettes.



            Le trajet à marche forcée aura duré près de 3 mois lorsque nous arrivons aux frontières du Sandomierz. J'apprend que les 500 hommes du Beresty, avertis de nôtre arrivée, ont pris la fuite, abandonnant leurs 1300 alliés de Kiev. Encore une erreur stratégique qui va me faciliter la tache, même si avec nos 3000 hommes nous ne risquions pas grand chose.



            L'ennemi se défend vaillamment, nous attendant à la sortie d'un guet à Koprzywnica. Ils se battront jusqu'au bout, comme des braves. Mais une fois encore, l'armée Polonaise fait la loi. Ça devient une habitude héhé.



            Dans la foulée, nous attaquons la faible armée du Beresty au sud, qui cette fois ne fuit pas. Ces idiots se font massacrer.



            Arrêtons un instant les combats pour nous recentrer sur la gestion du Royaume. Je reçois de bonnes nouvelles de mon intendant. Il a réussit à amasser une dime supplémentaire cette année. Plus de 50 pièces d'or, rien que ça!



            Voilà qui nous aidera à financer le bourg fortifié indispensable à mes yeux dans ma nouvelle capitale.



            A quelques miles à l'est, une guerre civile fait rage en Dragovitch, tandis qu'Abodites et Poméraliens auraient remonté une armée, cette fois unie, qui assiègerait mes amis Poméraniens.

            Enfin, bonne nouvelle, ma sœur Kenna vient d'avoir une seconde fille.

            Janvier 913:

            Les batailles remportées, nous assiégeons l'ennemi en Sandomierz, mais ce dernier choisit rapidement de capituler devant mon offre de réconciliation. En effet, sa fille Yevdokia qui m'était promise vient d'atteindre sa majorité. C'est devenu une belle femme, avec une intelligence de génie.





            J'allai oublier, je suis chef du Sandomierz. Le lendemain de ma nuit de noces, mon maitre espion vient me trouver le sourire aux lèvres....mon cousin Boguchwal s'est fait prendre à vouloir corrompre les gardes des geôles de Ludusz pour tuer son frère qui m'avait trahit il y a peu.
            Ce dernier n'a pourtant plus rien, alors pourquoi? Je me demande bien....

            Mais devant les yeux malicieux de Suligost, je comprend instantanément à quoi il pense. Héhéhéhé, j'ai donc un prétexte pour jeter en prison mon second cousin, et lui confisquer ses terres pour continuer d'agrandir mon propre domaine. Si jamais il se rebelle, il lui en cuira.



            Raté! Cette raclure réussit à fuir Ludusz au dernier moment. le Voilà hors la loi, mais avec tout juste 300 hommes pour se défendre, que peut il espérer?
            Une bonne nouvelle arrive en même temps du nord, mon chancelier a enfin réussit à officialiser notre revendication sur le comté de Rana. pourquoi vouloir posséder cette ile vous allez me dire? C'est simple, puisqu'elle abrite un lieu de la foi slave. Vu que j'espère un jour réformer notre religion.....
            A présent, mon chancelier en sera quitte pour poursuivre cette tache à Kiev.



            Mars 913:

            Notre armée, en campagne depuis des mois, fait route vers Opole, où nous attendent les maigres forces de mon cousin. Complètement désorganisés et en nette infériorité numérique, ces sombres idiots sont balayés comme fétu de paille.



            Quelque temps après cette boucherie, ma femme m'annonce une grande nouvelle, elle est enceinte! Tout porte à croire que je lui ai fait son affaire pendant nôtre nuit de noces.....

            Dernière modification par Dragan, 08-07-2014, 20h15.

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            • #21
              Septembre 913:

              La femme de Boguchwal vient d'être arrêtée alors qu'elle tentait de fuir par une poterne du château de Glogow. Son mari s'est rendu quelques heures plus tard. Il a accepté de payer la rançon de 10 pièces d 'or pour faire libérer son épouse, mais j'ai pris grand plaisir à l'humilier en le faisant enfermer dans les geôles de Ludusz. Il occupera le cachot de son frère, libéré pour l'occasion, puisque c'était le prétexte de ma guerre. Je regrette de pas avoir été là pour voir la tête des deux frères de croisant.....





              Me voilà chef de la Basse Silésie, personne ne voyant d'inconvénient à ce que je revendique les terres d'un traitre. Mon domaine personnel continue de s'agrandir.

              Ne souhaitant pas m'arrêter en si bon chemin, je déclare la guerre au Chef Kolman de Rana. Mes alliés apprécient l'homme, et refusent de me porter assistance. Qu'à cela ne tienne, même avec l'aide de ses alliés Poméraliens...encore eux....je reste confiant.



              Alors que mon ost fait route vers le nord, je reçois une bonne nouvelle. Ma femme, qui est restée à Wroclaw, vient d'accoucher d'une fille, prénommée Anastazja, qui est parait il son portrait craché. J'aurai préféré un fils, mais ce n'est pas grave.



              Mon ost regroupé, j'intercepte des renforts ennemis en Szczecin, 500 hommes qui sont balayés sans ménagement.



              Alors que nous poursuivons les fuyards jusque devant Poznan, nos éclaireurs signalent une armée de renforts ennemis arrivant du Brannaburg, à l'ouest. Fort heureusement, c'est trop tard, et ce millier d'hommes choisit finalement de faire demi tour vers le nord, surement pour aller renforcer l'armée du chef de Rana qui ne s'est pas montré.



              Dommage, il va falloir envisager de débarquer sur l'ile de Rana. Voilà qui ne me plait guère, nous n'avons pas vraiment le pied marin, mais pour commencer, en route vers le nord!
              Arrivé sur les plages de la Baltique, je vois la mer pour la première fois. Impressionnant toute cette eau! Et ma femme qui n'est même pas là pour en profiter. Quand la chatte n'est pas là....
              Ma cousine Beata me plait, pas très maline, mais à croquer. Le soir même, je lui ordonne de me rejoindre sous mon chapiteau, histoire de lui montrer qui c'est le Roi. Brave petite, bien docile, comme je les aime.



              Nous prenons du bon temps quelques jours, le temps de régler les préparatifs de l'embarquement, lorsque je reçois des nouvelles de l'ennemi. Ce dernier a quitté son ile pour débarquer à quelques miles à l'est, et fait route vers nôtre Royaume.
              Pas question de le laisser manœuvrer à sa guise.



              La bataille aura lieu en Wologoszcz. Pour la première fois depuis un bail, je ne suis pas sur de l'emporter, les effectifs étant équilibrés avec 2000 hommes de chaque côté, même si je suppose avoir de meilleurs officiers.

              L'ennemi a choisit de renforcer son centre, sous l'égide de son meilleur commandant. Face à eux, nous avons choisit de placer moins d'hommes, que nous espérons compenser par la supériorité tactique de notre commandant. Nos ailes sont mieux garnies, sur un front pas large.



              Ce choix va s'avérer payant! Rapidement débordés par sur nos ailes, nous prenons en tenaille l'ennemi, qui se retrouve acculé de tous côtés. En quelques minutes, la bataille tourne au massacre, contre toute attente.



              La bataille terminée, nous nous tournons vers les ports locaux pour réquisitionner des navires. J'ai un peu de temps pour nommer un nouveau maitre espion, Suligost ayant enfin hérité du duché de Poméranie.



              Les finances sont excellentes, j'en profite pour décider de nouveaux grands travaux dans la capitale, en agrandissant le bourg fortifié.



              La traversée vers le comté de Rana s'est bien passée, et le siège également. Mais un matin surprise! Beata m'annonce qu'elle est enceinte de moi. Les mois passent, et la voilà qui accouche d'un fils. Il me ressemble, je le baptise donc Bogumil, et le reconnait. Mais pas question de le légitimer. Ma femme sera déjà assez furieuse comme ça.

              La fille du chef de Rana a été faite prisonnière dans un hameau. Nous la rançonnons contre 26 pièces d'or. Peu après, le chef de Rana se rend, et ses terres sont à moi. Victoire!
              Cette nouvelle possession en main, je décide de faire de mon ami Bezprym le chef du Sandomierz.



              Mars 915:

              Un chef Poméralien que j'avais fait prisonnier, Mieszko, peut enfin payer sa rançon de 70 pièces d'or. Une aubaine qui me permet de réaliser de nouveaux travaux, avec un bourg fortifié au château de Glogow, en Basse Silésie.



              J'ai décidé de passer l'été à la mer. L'air frais m'y réussit, et j'administre mon domaine de là. Mon rhume chronique a disparu, j'en suis ravi. J'en profite aussi pour lire quelque ouvrage entreposé dans le temple slave.





              De bonne humeur, je me décide à payer la rançon pour faire libérer mon cousin Pelka. A la fin de l'été, ma femme Yevdokia me rejoint. Une chose est sure, elle sait pour Beata, mais pas un reproche..rien. Elle est d'une dignité...
              Résolu à la consoler à ma manière, je la prend sur le bateau du retour.

              Quelques semaines plus tard, alors que nous sommes en vue de Wroclaw, elle m'annonce avec le sourire qu'elle est enceinte. Cette fois j'espère un fils!



              Je me rend compte que toute cette campagne m'a fait progresser en tactique militaire, logique.





              De retour à la cour, je continue de fréquenter souvent Beata. Ma femme se doute bien de quelque chose et commence à perdre patience. Pour l'amadouer, je lui offre de beaux bracelets en or. Espérons qu'elle s'en montre reconnaissante.




              Quelques semaines plus tard, Yevdokia accouche d'un fils! Stogniew est un peu chétif, mais je suis confiant s'il est aussi combatif que son père.

              Aout 916:


              La vie bat son plein à la cour, j'avais presque oublié ce que c'était. J'aide mon ami Bezprym, qui se fait harceler par les prêtres slaves.



              En Poméranie, une guerre civile éclate, alors qu'au sud, la guerre civile en Bohème n'en finit plus. Le Saint Empire en a d'ailleurs profité pour prendre le comté de Plsen.

              Je décide de suivre l'avis du conseil, et commence à développer ma capitale avec des bâtiments militaires.



              A la cour, un nouveau jeu de carte a fait son apparition, j'y perd 7 pièces d'or....on ne m'y reprendra plus. Ma femme ayant accouché, je la besogne régulièrement pour mon plus grand plaisir. Quel homme je fais, la revoilà engrossée! Je vais pouvoir m'occuper du postérieur de Beata héhé.

              Quelques mois plus tard, ma femme accouche d'une fille, prénommée Kenna, comme ma sœur.



              Mes terres n'ont jamais été aussi prospères. Avec un revenu de 12 pièces d'or par mois, je continue les travaux dans la capitale.



              Un érudit à la cour me présente ses travaux, une carte de l'Europe Occidentale. J'y remarque que le Royaume de Sudreyar est devenu Royaume de Skotland. Les Omeyades ont pris la Catalogne aux Francs, tandis qu'au nord le Royaume de Norvège a été créé. La Suède de son côté, a beaucoup agrandit son territoire.



              Juillet 918:


              Ma récente politique m'a valu le surnom de Bogumil "Le Juste", au même titre que ma père. J'en suis fier, et pas qu'un peu.



              Pour fêter ça, je décide d'aller apporter ma justice dans cette Bohème déchirée, et régler ce conflit une bonne fois pour toute. Le Roi Jirik, qui a succéder au Roi Arnost, mort en pleine bataille, me voit lui déclarer la guerre pour le comté de Prague. Il est catholique, cette raison est suffisante.



              Quelques jours avant mon départ, ma femme m'annonce une bonne nouvelle, elle est a nouveau enceinte!



              En pénétrant dans le comté de Prague, quelques jours nous suffisent pour écraser les rebelles. Par chance, nous capturons leur chef, Tobias. Cet homme est riche avec toutes les razzias qu'il a faites, alors j'en profite, et lui fait payer sa libération pour pas moins de 250 pièces d'or, l'équivalent de 2 ans de revenu de mon Royaume!



              Tandis que j'assiège Prague, je reçois la nouvelle de l'accouchement de ma femme. Encore une fille, prénommée Swietoslawa.



              L'ennemi, qui n'a aucun moyen de se défendre, capitule rapidement.



              Les différents fiefs sont distribués au sein de ma famille, pour leur plus grand ravissement. De mon côté, je choisis de me tourner vers le comté d'Olomouc dans la Moravie de Tobias devenu duc, qui a finalement obtenu son indépendance de la Bohème grâce à mon intervention.



              Les finances allant bien, je fais bâtir des grandes écuries à Wroclaw, et investit dans les bourgs fortifiés de Lubusz et de Basse Silésie.



              Tobias reçoit l'aide inattendue du Duc de Bohème, qui possède encore une baronnie au sein de mon comté de Prague.



              Mon ost, qui s'était regroupé dans le Boleslav, reçoit la nouvelle des renforts de Tobias arrivant de Moravie pour se regrouper avec l'armée du Duc de Bohème.
              Mon maréchal me conseille de ne pas laisser faire, et nous fonçons à marche forcée sur Prague pour arriver avant....nous y parvenons de peu.
              Nos 2200 hommes engagent l'armée adverse, qui tient une ligne de crête. Mais à seulement 800, nous les enfonçons rapidement.



              Alors que la victoire ne va faire aucun doute, l'ennemi reçoit enfin ses renforts. Un moment, le front semble indécis, mais finalement, son flanc droit cède sur une charge de cavalerie. Victoire!



              Ma femme m'a rejoint au front s'ennuyant ferme à la cour, juste à temps pour poursuivre les fuyards vers le sud. Une fois n'est pas coutume, je lui fais son affaire hahahahaha! Je parie que ça sera encore une fille....





              En Olomouc, nous éliminons les dernières forces de Tobias avant de commencer à l'assiéger. M'ennuyant un peu, je prend part aux travaux de mon maitre espion, pour égayer mon quotidien. C'est fou ce qu'on apprend en fouinant un peu....

              Enfin ma femme accouche, ce sera un fils! Nous le prénommons Gaudenty, en hommage à mon fidèle ami duc de Mazovie.





              De Kiev, je reçois de bonnes nouvelles. La revendication de mon chancelier Gaudenty, honoré par mon geste, est enfin prête. Mon projet de réforme de la foi slave avance bien.



              Toutes ces conquêtes...je me fais peur à moi même haha. Après tout, pourquoi je m’embête à être un roi juste?



              Mars 921:

              Le Duc Tobias dépose enfin les armes, et je distribue les nouvelles possessions au sein de la famille. Mère semble ravie de recevoir le temple d'Olomouc. Lancé sur ma série irrésistible, je déclare la guerre au duc de Bohème pour le comté de Litomerice, puisque ce dernier qui a déchu le Roi Jirik s'est mêlé de ce qu'il n'aurait pas du.





              L'ennemi fait appel à son allié le Duc Tobias, mais à deux, ils ne sont guère capables de lever plus de quelques centaines d'hommes pour me faire face.



              Alors que nous assiégeons le comté de Litomerice, je lance l'agrandissement des écuries dans la capitale.



              Depuis des jours et des jours, je n'ai pas vu le soleil. Les hommes pataugent dans la boue, beaucoup sont malades, et mon horrible toux est de retour.



              Mon chambellan m'a prévenu de l'arrivée à la cour d'un évêque du kaiser. Ce dernier crache sur nos croyances, aussi ai je ordonné à ce qu'il soit enfermé. Il devra payer 25 pièces d'or pour être libéré.



              A son tour, le duc de Bohème se rend enfin. Une fois la distribution des terres faite, je décide de continuer à guerroyer malgré ce rhume chronique qui ne me lâche plus. Mon objectif: Kiev!





              Mars 922:

              J'ai jamais voulu éduqué de gamin, mais Stoigniew héritera un jour, alors je l'emmène dans cette campagne. Pour cette campagne, je fais appel à mon allié le Beresty, limitrophe de mon objectif.



              J'ai eu tort de me lancer comme ça, "vent du cul dans la plaine", comme dit ma femme. Si mon ost affiche 2100 hommes, l'ennemi en a de son côté 2500. Une fois encore la différence devra se faire grâce à mes commandants.



              J'ai placé mes hommes en ordre de bataille, mais je peux à peine me lever. Ma toux s'est aggravée, j'en peux plus...

              MORT DE BOGUMIL 1ER "LE JUSTE" A 32 ANS, LE 18 AOUT 922, D'UNE GRAVE MALADIE. STOIGNIEW 1ER, 6 ANS, LUI SUCCEDE

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              • #22
                Bon ba ça sent le paté la pour toi non?

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                • #23
                  Oui effectivement, mais je t'en dis pas plus(je suis rendu un peu plus loin )

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                  • #24
                    J'ai joué assez a ck II pour pouvoir dire qu'un roi qui meurt sans qu'on est prévue sa succession et dont l'un des fils hérite de toute les terres perso laissant au roi 2/3 territoire avec en plus tout les vassaux qui le détestent et le conseil de régance ça pue vraiment le paté. Maintenant va falloir investir dans les mercenaires mais je penses que tu as su t'en tirer

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                    • #25
                      Là le fils n'a hérité que de la moitié des terres(il y a un second fils) . Mais on est d'accord, une succession non préparée peut parfois se révéler catastrophique.

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                      • #26
                        J'avoue avoir la flemme de continuer par manque de motive et de temps. Si vous êtes plusieurs à vouloir la suite, j'essayerai de me motiver

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                        • #27
                          Fais comme moi, prend le temps entre chaque épisode, comme ça tu y reviens à chaque fois avec plus de motivation.

                          Par contre si tu pouvais mettre des images en spoiler, ça épargnera le looooong temps de chargement de tout cela

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                          • #28
                            Oui !

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