[L'historien du dimanche]

J’espère que le règne de Providence "I" (plutôt II) fut providentielle "désolé" pour la dynastie des de savoie , je suis sur que ton grand père sera fière de toi!

[Magazin3D]

Alors Aikiko t'es pret ?

[Aikiko]

J'ai peur pour la suite mais j'ai hâte de voir le AAR de Hypo

[Hypocrite]

Comment se fait-il qu'il soit nommé Providence I alors que c'est le second ?

Parce que je suis le premier Providence du duché de Dalmatie, alors que mon grand-père était un Providence du royaume de Bourgogne.

J'en suis au tier de mon AAR, je le publierai tardivement ou matinalement, avec la sauvegarde.

[Aikiko]

Trop de "Providence" à mon goût!
Enfant d'un possédé, nom de possédé, logique

[L'historien du dimanche]

Providence est un très bon nom , fait pour les grands rois!

[Carnassier]

En plus quand tu regardes vite fait l'histoire les dirigeants ayant trop fait confiance à la divine providence n'ont pas très bien finis niark niark niark

[Aikiko]

Faut se la jouer "RP" donc je propose de renommer certaines villes histoire de vraiment rentrer dans le personnage?

[Magazin3D]

Hey 'saurai été plustot cool que le joueur avant nous nomme en fait son fils/héritier du nom du prochain joueur , je sais que parfois un héritier peux changer mais apres en revoyant tous les AAR au moin ce deviendrai simple de bien distinguer les différents reigne.
Ex: Hypo aurai nomer son fils Aikiko and Aikiko nomerai son fils du nom du prochain player , mais si on passe en elective alors ca donne rien la mais bon , juste un idée j'ai comme ca , au pire quand ce sera mon tour je peux aller dans le save et changer le nom :P Magazin I

[Aikiko]

Moi ça sera Lilith (si c'est une fille) ou Samaël pour un garçon, Satan est de retour et pour les villes je verrais :3

[Carnassier]

hé hé Magazin3d est trop chaud , il est placé ds les starting blocks

[Mékaz]

Si j'hérite d'un gamin ou de villes qui portent pas des noms "normaux", je les fais cramer tout les deux.

[L'historien du dimanche]

Et au fait je pense que pour la Bourgogne.....c'est mort

[Hypocrite]

Avant l'AAR, juste à conseil à mon successeur : fait gaffe à la Bourgogne, assure-toi que ta femme hérite puis ton fils (donc empêche si tu peux les guerres civiles de prétendants ou pour changer de loi de succession). Pour l'instant il y en a une, de guerre civile, mais la Bourgogne commence à la gagner.
Sinon bah, un règne sous le signe de la religion puis de la lente décadence vers le meurtre. Mais aussi un règne assez prestigieux, avec une relative bonne estime des vassaux, malgré quelques révoltes.

AAR de Providence Ier de Croatie

Spoiler:

A la mort de mon père, Petar l’Aveugle -celui qui avait perdu la Bourgogne, celui qui n’avait pu assurer sa succession- le 23 avril 1153, moi, Providence, 36 ans, devins duc de Dalmatie, vassal du nouveau roi de Croatie. Je savais que ce trône me revenait, mon père l’avait détenu et j’espérais bien le récupérer un jour, serait-ce le combat de tout une vie.

Spoiler:

Dans les jours qui suivirent, j’ai nommé mon frère, Thierry, maitre-espion. La fidélité d’un frère à son ainé était assurée et ce frère est bon intriguant. En outre, afin de marquer mon amitié, j’ai offert à à Thierry un cadeau en monnaie sonnante ainsi que le titre d’échanson.

Le conseil du royaume voit également des remaniements avec ce nouveau roi, et le 14 mai je me voit offrir le titre de maréchal de Croatie, ce que j’accepte. Dans le même temps j’ai fait annuler un complot que menait du temps de mon père, ce complot visait à assassiner un rival, Renaud de Savoie. Mais les risques n’en valent pas la peine, ce ridicule de Renaud n’est qu’un courtisan.
Peu après j’ai décidé d’accepter la hausse de l’autorité de la couronne en Croatie, celle-ci devient faible. Mais si je suis maréchal de Croatie, si j’accepte cette loi du roi, je ne me désigne pas moins héritier au royaume, malgré le peu d’espoir quant à mon élection. Je créé également une faction en ma faveur.
En 1154, j’ai confirmé au yeux des courtisans et vassaux du royaume ma compétence militaire et mon poste de maréchal en décochant la troisième place du grand tournoi de Croatie.

L’année suivante le roi de Croatie perd le comté de Veglia au profit de Pise, la Lombardie acquiert son indépendance pacifiquement grâce à une faction, le faible roi ayant cédé aux demandes lombardes. Quant à moi, je tente d’envahir Zeta, que mon excellent chancelier a permis de revendiquer, mais je me fais devancer et vaincre par un duché byzantin clamant également ses droits sur le comté. Ce duché byzantin deviendra le royaume de Serbie immédiatement après. J’ai donc préféré me venger sur le duché de Bosnie, composé du seul comté de Rama, revendiqué grâce au chancelier en l’espace de quelques semaines. Le 14 novembre 1157, le duc de Bosnie n’est plus que comte de Rama, et doit jurer allégeance au nouveau duc. Mais rapidement c’est la désillusion, très peu de temps après cette victoire, l’Empire byzantin déclare la guerre de jure de Rama à la Croatie. La défaite est inévitable et le comté est perdu.
S’ensuit une autre guerre interne pour un autre comté, mais cette guerre se termine, faute de Casus Belli, lorsque le roi de Croatie, personnage non seulement faible, usurpateur, mais également immonde traitre et tyran, m’impose l’annulation de mon titre de duc de Dalmatie. Ne pouvant accepter un tel coup de force, la guerre entre le duc et le roi est déclarée… Des mercenaires sont engagés…

Spoiler:

[J’ai eu un crash peu de temps après, changeant une partie de l’histoire vu que l’empereur byzantin m’a déclaré une guerre de jure dans le dos, mais pas lorsque j’ai rechargé la sauvegarde après le crash, il le fera bien plus tard dans la partie.]

Le 25 mars meurt dans la bataille ce perfide roi de Croatie, c’est le prix de la tyrannie ! Il y a désormais un nouveau roi, mais la guerre continue, et le 8 décembre 1160, ce roi est contraint d’abdiquer par les victoires de mes armées. Mon duché est sauvé et Detrich Ier, enfant de 13 ans, règne. N’ayant aucune trêve avec de bambin, sûr de ma puissance, ayant toujours mes mercenaires, revendiquant le trône, je lui déclare la guerre le 15 janvier 1161 alors qu’un duc hongrois attaque par le nord, ce duc voulait un comté de Croatie. Je suis rapidement rejoint par mon oncle, le roi de Bourgogne, Adrien au cœur de Lion, ainsi que par le duc Humbert de Suse, autre oncle à moi, et également vassal de Croatie.
La victoire sera totale : dès la première bataille, non seulement les forces de l’usurpateur sont brisées, mais en outre nos hommes capturent le Prince Bretislav Premyslid, la grand frère et héritier du roi. [Cela me donne 50% de score de guerre.] Durant la guerre, le pape appelle à la guerre sainte pour reconquérir le royaume de Jérusalem, cela devra attendre la fin de ma guerre. Et malgré le renvoi des mercenaires faute d’argent pour les payer plus longtemps, je récupère ma couronne légitime de Roi de Croatie le 1er décembre 1162. A moi l’héritage de mes ancêtres ! La loi de mon duché s’applique de facto au royaume qui est désormais en partage salique.

Immédiatement s’ensuit ma volonté de rejoindre la Croisade ! On me traitre souvent de zélé, qu’à cela tienne, Dieu est grand ! Dieu le veut ! Deus Io Vult !
Dans le même temps j’ai pris la décision de refuser de rembourser les préteurs, ces âmes damnées ne pensent qu’à l’usure ! J’ai également fait un choix difficile, celui de divorcer de ma femme. Le pape voyant un nouveau roi s’engager dans sa Croisade ne pouvait me refuser cette faveur. Désormais c’est comme si le mariage n’avait jamais exister. Quant à mon fils, il est entièrement asservi à la cause de sa mère, je me devais de chercher à réunir notre grande dynastie. C’est ainsi que j’ai épousé sans plus attendre Brunilde de Savoie, fille de Margaret d’Angleterre (elle-même sœur et héritière probable de la reine d’Angleterre, Mildrith la Lionne, marié à mon cousin, l’héritier bourguignon). Margaret est également la femme de mon frère Thierry. Mais apparemment le pape n’eut aucun commentaire sur ces épousailles avec celle qui est donc aussi ma nièce de 17 ans.

Spoiler:

(On voit également le puissant royaume de Bavière, indépendant.)

Enfin, avant de partir pour la terre sainte je fais hausser l’autorité de la couronne à faible (celle-ci avait rechuté du fait des guerres civiles). Et nous voilà partis, et le 30 mars me voilà menant 5000 hommes en terre sainte, flanqué de mon maréchal et d’un courtisan de mon sang, un rival également, certes, mais un bon combattant. Après quelques victoires faciles, mais faisant de moi un fier croisé, j’apprends le 21 septembre 1163 la révolte du duc de Croatie, celui-là, alors même que son suzerain combattait les infidèles, décida de revendiquer le trône. Ainsi je dois réembarquer en urgence et marcher sur mon propre royaume. La victoire est rapide, le 4 juin l’armée du traitre est écrasée, la paix est signé peu après sans avoir eu à s’enliser dans un siège. Le traitre est toutefois pardonné et ne subira pas ma colère. Le pardon est une valeur qu’il faut parfois exercer en tant que suzerain.
Le 2 octobre, alors que nos hommes renforcés par de nouvelles levées, se préparaient à réembarquer pour Jérusalem, nait un enfant de mon union avec Brunilde. Alléluia ! Il se dénommera Chrétien de Savoie, nom de rigueur dans ce contexte. Fier de cette réussite c’est avec désormais 6000 hommes que je repars. Toutefois la croisade sera de courte durée, mes armées et celles de mes alliés sont vaincues à de multiples reprises par les hordes d’infidèles, et nous sommes contraints de rentrer chez nous. Si la croisade est perdue, notre honneur est sauf, toujours nous serons fier d’être des vétérans, des croisés.


La paix est une chose de courte durée dans mon univers, le 31 juillet 1165 les Byzantins me déclarèrent la guerre pour Zachlumie, guerre évidemment rapidement perdue.
Afin d’éviter d’autres conflits du genre, mon royaume étant revendiqué en entier par l’Empire byzantin, j’ai décidé, malgré les différences religieuses et mon zèle, de vassaliser mon royaume à cet Empire. Ainsi j’éviterai de perdre de voir mon royaume progressivement disparaitre et je pourrai également revendiquer des territoires au sein même de l’Empire d’orient.
Ainsi, peu de temps après l’acceptation de la défaite par le pape et la mort de ma mère (me faisant hériter du comté de Cagliari, en Sardaigne), me voici vassal d’un empereur.
Cela permet une succession de guerre interne : contre le roi de Serbie pour le duché de Dioclée dans un premier temps.

Il est désormais temps de parler de l’heure sombre de mon règne. Mon neveu, fils de Thierry, Lodovico de Savoie, le petit frère de ma femme. Il avait 17 ans, et, Dieu me pardonne, mais l’intérêt de toute la famille passe avant celui d’un seul de ses membres. Nous retiendrons donc tous cette date du 25 octobre 1167 où un assassin, en mon nom, tua ce jeune homme. Hélas pas dans la plus grande discrétion, et sous la torture il parla. Me voilà désormais haït de ma dynastie, alors que j’œuvre pour son bien ! Mon frère évidemment me déteste désormais, il ne peut plus rester maitre-espion. Chose curieuse ou vengeance divine, deux jours plus tard c’est la mère de Lodovico, l’héritière anglaise, la femme de Thierry qui décède. De mort naturelle. Brisant tous les espoirs que j’avais placé sur l’assassinat de ce neveu. Car si Margaret n’hérite pas, sa fille, ma femme, n’héritera pas, mais une autre sœur (les joies des successions en partage salique).
De base je voulais marier mon premier fils à la seule fille et héritière issue du mariage entre la reine anglaise et l’héritier du royaume de Bourgogne, ainsi réunir les deux branches de notre dynastie, bourguignonne et croate, avec en outre l’Angleterre. Mais il semblerait que toujours tout tourne mal. Cette fille est morte assassinée par je ne sais qui. Quant à la couronne anglaise, elle nous échappe, la mort de Margaret la rendant impossible. Deux jours après un si couteux meurtre…
Dans ce malheur nait un deuxième enfant de ma femme, mon troisième si l’on n’oublie pas mon ainé, infiniment dévolu à son horrible mère. C’est donc Pierre de Savoie, le 17 août.

Peu après me voilà abandonnant tout regard sur l’Angleterre, embourbée dans des guerres civiles, changeant constamment de dynastie régnante. Ma Grandeur se refera dans les Balkans. Aussi je m’en prends à Zachlumie (comté que l’empereur m’avait annexé quand j’étais indépendant, il n’a donné à son héritier, qu’importe ! je prends le risque !). Mais peu de temps après, l’hériter devient l’empereur, son père est mort jeune… impossible de le défier désormais.
Je me tourne contre Kyrikan (ex comté de Veglia que l’empereur a récupéré à Pise), aucun problème ne se pose.
Toutefois il semblerait que mes suzerains se suivent et se ressemblent, l’empereur décide de me retirer la vassalité de mon duc de frère Thierry, seul, j’ai n’ait pas d’autre choix que d’accepter. Ainsi je perds un comté (son duché étant petit). Mon frère se rebellera plus tard contre l’empereur et vaincu se verra retirer son comté, que l’empereur conservera.

Si l’année 1171 voit la révolte du duc de Slavonie pour la couronne, il ne sera pas pardonné et enfermé, elle voit aussi la naissance de Marguerite, ma fille, le 2 septembre. Ainsi qu’une guerre victorieuse pour Rama. Peu de temps après, le 2 juillet 1172, je décide de faire passer le royaume en monarchie élective, mes vassaux m’aiment, cela ne posera aucun soucis. Et je désigne Chrétien de Savoie comme mon héritier unique, au grand dam de mon ainé, Péter, duc de Pest, en Hongrie depuis la mort de mon ancienne femme, et refusant toujours MON choix de mariage pour lui ! Fils indigne !
Une autre fille nait le 17 janvier 1173 : Valence de Savoie.

En mars 1174 je sens que malgré l’assurance de l’élection de mon fils après moi, je préfère ne prendre aucun risque. Aussi je prends la décision de faire enfermer le duc de Croatie, de lui retirer son poste de chancelier, arguant son ancienne trahison. Cela se fera sans soucis vis-à-vis de mes vassaux. En outre je lui retire son titre de duc, je fais de même avec le duc de Slavonie, déjà enfermé. Ainsi il ne reste qu’une seule duchesse dans le royaume de jure (le duc de Suse n’a aucun pouvoir électif en Croatie) et me voilà assuré de posséder 50% des voix. La succession est désormais certaine. Et mes vassaux m’aiment toujours assez.
Milieu 1174 j’apprends l’existence du jeune Othon de Savoie, frère de Béatrice et fils d’Armaury, deuxième héritier du trône de Bourgogne (son frère ayant une femme trop âgée). Cette naissance (d’une femme de plus de 40 ans !) vint briser mes espoirs de réunion des deux couronnes des de Savoie. En effet Béatrice, jusqu’alors héritière après son père, est fiancé à Chrétien, mon héritier. Aussi, comme je dû, certes inutilement, le faire pour Lodovico, j’ordonnai l’assassinat du jeune Othon. Pour l’intérêt de la famille. Il avait 4 ans. Cela se passa sans problème le 1 octobre 1174.
Afin d’assurer définitivement la réunion des couronnes, je me devais de faire de même avec l’ainé, d’Amaury (qui pouvait très bien mourir avant), Jaufré de Savoie, époux sans héritier (une fillette morte) de l’ex reine d’Angleterre, ayant perdu son trône. Ainsi le 18 avril 1175 Jaufré quitta cette terre. Encore une fois sans autre problème.

Pendant ce temps, le pape s'amuse :

Spoiler:

Pendant ce temps, calme plat en Croatie, je mène des troupes pour mon suzerain contre des rebelles, dans les conflits orientaux de l’Empire.
Et après un règne long et glorieux, 4 mai 1178, à 78 ans, meurt mon oncle le roi de Bourgogne « au cœur de Lion ». Amaury hérite du royaume, Béatrice devient l’unique héritière.

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Le même jour l’empereur me nomme maréchal (stratège selon la nomination byzantine). J’étais déjà « César », titre honorifique mais prestigieux, me voilà désormais à la cour impériale.
Je réussi finalement à récupérer militairement Zachlumie après plusieurs guerres avortées, je vous en épargne le récit de plusieurs.
Le 5 mars 1183 nait Providence, mon petit-fils, et fils de Chrétien de Savoie, mon héritier. J’aurai aimé avoir le choix du nom, mais l’amour que je porte pour mon fils me fait m’effacer.
Dans le reste de l’Europe, en février 1184, on peut constater la réunification du Saint Empire Romain Germanique, après plusieurs décennies de séparation, le très puissant royaume de Bavière réintègre le SERG du fait de la nomination de son roi comme empereur.

Le 7 juillet 1184, le duc de Provence, vassal du roi de Bourgogne, m’informe qu’il a envoyé un ultimatum à son roi afin de me donner la couronne de Bourgogne.

Spoiler:

J’apprends cette nouvelles après trois décennies de travail de réunion des deux grandes branches dynastiques, travail accompli par le mariage de mon fils, désormais majeur, avec Béatrice de Savoie. Cruelle ironie. Quoi qu’il en soit, je rejoins le duc de Provence dans sa guerre, puis-je faire autrement ? Et dans le même temps, sentant ma fin approcher, le prépare mon fils à la succession en le nommant duc.
Aux portes de la mort, à 67 ans, je donne naissance à mon dernier fils, Ludovic.
Mais à 69 ans, de grand stress, le 29 septembre 1186, voilà que je décède. Cela terminera de facto la guerre du duc de Savoie, n’ayant plus de prétendant. Mais je sais que l’union se fera, par mon fils et mon petit-fils.
Sur le lit de mort hélas, je comprends que mon fils, bien que marié à l’héritière de Bourgogne, possédant royaume aux caisses pleines d’or, et d’un père fervent défenseur de la Foi, ce fils, ce fils est possédé par le démon. Ma lente descente du zèle certain d’un croisé à la folie de trois assassinats de mon propre sang aurait-elle conduit Dieu à se venger ainsi ?

Situation de mon fils et de sa femme :

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La sauvegarde : http://www52.zippyshare.com/v/61822852/file.html

Bonne chance , que ton papa soit fier de toi, il a déshérité son fils ainé pour toi .

[L'historien du dimanche]

Snif tout ces Providence ça me fait plaisir et en plus tu es en train d'accomplir le rêve de Providence 1 de Bourgogne a savoir réunir les couronnes Croates et Bourguignonne dans les mains d'un seul homme , d'un de Savoie!