Siecieh I Le Sage Dunin de Navarre
C’est le 18 Septembre 1137, durant le siège de Jarocin, que mon père Dobieslaw Le Juste s’éteint des suites d’une pneumonie.
Le même jour, moi, Siecieh, son fils bâtard, lui succède dans tous ses titres et responsabilités.
Le contraste entre mon père et moi-même est saisissant, autant Dobieslaw « le juste » était un être pragmatique, cruel, dur et ambitieux, un homme de son temps, irrémédiablement destiné à la gloire, autant je fut homme plus sage ayant comme principes de borner mes ambitions à mes besoins et de rechercher plutôt que la gloire une existence paisible.
Malheureusement pour moi, l’ombre de Dobieslaw Le Grand -le roi qui s’est couronné seul- planera sur tout mon règne.
Ainsi, dans un premier temps, lié par mon devoir pour mes vassaux ayant vaillamment combattu, je fit tomber la forteresse de Jarocin et m’arrogea au détriment du Royaume de Pologne le conté de Kalisz.
Afin de ménager mes sujets je décrétais par la suite une baisse des impôts touchant les nobles féodaux, lourdement taxés durant le règne de mon père.
Si la situation fut simplement résolue dans mes possessions polonaise, les terres au deçà des Pyrénées étaient sujettes à invasion, le roi de Castille voulant s’arroger mon conté de Tarragone, cette guerre lointaine pour un petit conté contre un ennemi puissant à l’issue incertaine fut conclue par un traité honorable qui remettait au roi de Castille le dit conté.
Dans le souci d’apporter à mon royaume la paix civile, et pour complaire aux attentes de certains après le mort de mon père, je décidais aussi de libérer le duc de Valence et le seigneur-maire de Cracovie des geôles ou mon père les avait enfermés.
Pour marquer la fin des combats et le début de mon règne qui, je l’espérais serait des plus paisible et prospère, j’organisait un grand festival d’été en haute-Silésie, terre de mes origines. Comble du bonheur, ma femme tomba enceinte au même moment d’un deuxième enfant. Il sera nommé Wlost, en l’honneur de mon grand père, une homme vertueux, ami de son souverain et respectueux des lois (le premier étant nommé Dobieslaw).
Ce court moment de bonheur fut bousculé par le seigneur-maire de Cracovie de nouveau en révolte contre l’autorité de son souverain, accompagné en cela par le grand maitre d’Obolst : les insurgés furent vaincus à la bataille de Kozle, puis à la bataille de Cracovie et les villes rebelles furent soumissent à rude siège.
Cette révolte, cependant me plongea dans une profonde réflexion, j’avais voulu me montrer clément en libérant le seigneur maire de Cracovie, pour le bien du royaume, mais celui-ci avait pris les armes aussitôt que ses mains furent libérées des chaines, pourquoi cette trahison ?
Un événement plus grave encore, et d’autant plus compromettant se produisit alors en Espagne : Le Duc Sancho de Valence, que j’avais lui aussi libéré à la mort de mon père pris les armes contre son souverain, dans le but de s’arroger le trône de Navarre.
Là aussi les armées insurgées furent vaincues, et au moment précis ou la forteresse de Valence fut de nouveau sujette à mon règne, le duc Gomez d’Aragon, mon chancelier, trahis lui aussi son souverain.
Ces révoltes mirent en exergues ce qui allait être les plus grande faiblesse du royaume de mon père : un domaine royal trop vastes pour ne pas susciter l’envie, des terres trop dispersées pour ne pas encourager à la révoltes, et surtout le règne de ma famille Polonaise sur de puissants vassaux basques et catalans qui voient mon règne comme une humiliation. Ainsi je décidais de prendre des mesures fermes pour sortir du chaos :
- le conte Gomez et ses descendants seront spoliés du titre de duc d’Aragon que je m’arrogerais.
- Le duc Sancho Le gros et ses descendants seront spoliés de leur titre de duc de Valence que je m’arrogerais.
- Les seigneurs de Cracovie et d’Oblost, mes derniers grands vassaux polonais seront exécutés, les villes de Cracovie et d’Oblost seront remisent à un seul vassal.
- L’autorité de la couronne est renforcée et les vassaux doivent désormais fournir toutes leurs troupes à leur suzerain en temps de guerre, en contrepartie, les nobles sont exemptés d’impôts.
C’est le 18 Septembre 1137, durant le siège de Jarocin, que mon père Dobieslaw Le Juste s’éteint des suites d’une pneumonie.
Le même jour, moi, Siecieh, son fils bâtard, lui succède dans tous ses titres et responsabilités.
Le contraste entre mon père et moi-même est saisissant, autant Dobieslaw « le juste » était un être pragmatique, cruel, dur et ambitieux, un homme de son temps, irrémédiablement destiné à la gloire, autant je fut homme plus sage ayant comme principes de borner mes ambitions à mes besoins et de rechercher plutôt que la gloire une existence paisible.
Malheureusement pour moi, l’ombre de Dobieslaw Le Grand -le roi qui s’est couronné seul- planera sur tout mon règne.
Spoiler:
Ainsi, dans un premier temps, lié par mon devoir pour mes vassaux ayant vaillamment combattu, je fit tomber la forteresse de Jarocin et m’arrogea au détriment du Royaume de Pologne le conté de Kalisz.
Afin de ménager mes sujets je décrétais par la suite une baisse des impôts touchant les nobles féodaux, lourdement taxés durant le règne de mon père.
Si la situation fut simplement résolue dans mes possessions polonaise, les terres au deçà des Pyrénées étaient sujettes à invasion, le roi de Castille voulant s’arroger mon conté de Tarragone, cette guerre lointaine pour un petit conté contre un ennemi puissant à l’issue incertaine fut conclue par un traité honorable qui remettait au roi de Castille le dit conté.
Dans le souci d’apporter à mon royaume la paix civile, et pour complaire aux attentes de certains après le mort de mon père, je décidais aussi de libérer le duc de Valence et le seigneur-maire de Cracovie des geôles ou mon père les avait enfermés.
Spoiler:
Pour marquer la fin des combats et le début de mon règne qui, je l’espérais serait des plus paisible et prospère, j’organisait un grand festival d’été en haute-Silésie, terre de mes origines. Comble du bonheur, ma femme tomba enceinte au même moment d’un deuxième enfant. Il sera nommé Wlost, en l’honneur de mon grand père, une homme vertueux, ami de son souverain et respectueux des lois (le premier étant nommé Dobieslaw).
Ce court moment de bonheur fut bousculé par le seigneur-maire de Cracovie de nouveau en révolte contre l’autorité de son souverain, accompagné en cela par le grand maitre d’Obolst : les insurgés furent vaincus à la bataille de Kozle, puis à la bataille de Cracovie et les villes rebelles furent soumissent à rude siège.
Spoiler:
Cette révolte, cependant me plongea dans une profonde réflexion, j’avais voulu me montrer clément en libérant le seigneur maire de Cracovie, pour le bien du royaume, mais celui-ci avait pris les armes aussitôt que ses mains furent libérées des chaines, pourquoi cette trahison ?
Un événement plus grave encore, et d’autant plus compromettant se produisit alors en Espagne : Le Duc Sancho de Valence, que j’avais lui aussi libéré à la mort de mon père pris les armes contre son souverain, dans le but de s’arroger le trône de Navarre.
Là aussi les armées insurgées furent vaincues, et au moment précis ou la forteresse de Valence fut de nouveau sujette à mon règne, le duc Gomez d’Aragon, mon chancelier, trahis lui aussi son souverain.
Spoiler:
Ces révoltes mirent en exergues ce qui allait être les plus grande faiblesse du royaume de mon père : un domaine royal trop vastes pour ne pas susciter l’envie, des terres trop dispersées pour ne pas encourager à la révoltes, et surtout le règne de ma famille Polonaise sur de puissants vassaux basques et catalans qui voient mon règne comme une humiliation. Ainsi je décidais de prendre des mesures fermes pour sortir du chaos :
- le conte Gomez et ses descendants seront spoliés du titre de duc d’Aragon que je m’arrogerais.
- Le duc Sancho Le gros et ses descendants seront spoliés de leur titre de duc de Valence que je m’arrogerais.
- Les seigneurs de Cracovie et d’Oblost, mes derniers grands vassaux polonais seront exécutés, les villes de Cracovie et d’Oblost seront remisent à un seul vassal.
- L’autorité de la couronne est renforcée et les vassaux doivent désormais fournir toutes leurs troupes à leur suzerain en temps de guerre, en contrepartie, les nobles sont exemptés d’impôts.
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