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  • C'est vrai que sa perd de son dynamisme !

    Spoiler:
    et j'ai envie de jouer moi !

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    • Bon j'ai bien avancé aujourd'hui (j'ai la mi-cinquantaine). Petite nouvelle en passant : je suis empereur !

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      • Bon ben, fini ! (J'espère que vous ne m'en voudrez pas d'avoir utilisé les codes pour suicider le personnage d'Aikiko, j'avais envie de partir sur le mien propre .)


        Alors :


        En ce second jour mois de décembre glacé de l'an de grâce 1245, moi Spytko I le Grand, empereur wende, sur mon lit de mort, vais vous conter l'histoire de mon règne. Un règne glorieux, et un règne guerrier. Hélas, ma mémoire jouant des tours au vieil homme fatigué que je suis devenu, je crains malheureusement de ne pouvoir vous donner les dates précises des événements que j'ai vécu.

        Tout commença à la mort de mon père, Miroslaw I le Querelleur. Ma première action fut de réorganiser le royaume. Je voulais un état propre, où mes vassaux posséderaient les terres qui leur reviennent de droit, pas un comté de plus, ni un comté de moins d'ailleurs. À chacun, je réattribuai ses territoires de jure. Certains m'en voulurent, au début, mais c'était pour le bien du royaume. Je pris ensuite la lourde décision d'abandonner nos possessions espagnoles, que je jugeais trop lointaines pour être défendues efficacement et trop petites pour être dignes d'un réel intérêt. Dès que ces formalités administratives furent terminées, je m'empressai déclarer la guerre au duché voisin de Mecklenbourg, appuyant la revendication d'un de mes courtisans, héritier légitime de ces terres chassé par des rebelles sans foi ni loi. Une guerre facilement remportée ; hélas, j'étais jeune et naïf, et je crus que cet ingrat de duc me prêterait allégeance avec reconnaissance. Il n'en fut rien !
        Passablement énervé, je déclarai la première guerre sainte pour Grodno au Sultanat Jabiride voisin. Folle jeunesse, encore une fois je m'étais laissé emporter sans réfléchir, oubliant les immenses territoires possédés par les mahométans au nord de la mer Caspienne. Qui plus est ce lâche, déjà trois fois plus puissant que moi, s'entoura de quatre alliés. Qu'à cela ne tienne, il ne m'aurait pas si facilement ! Je profitai de l'éloignement du gros de ses terres pour défaire maintes fois ses armées locales et ses perfides alliés. Quand enfin, son armée arriva, ce fut pour les trouver piteux et déconfits. Oh, certes, il m'infligea d'abord une défaite cuisante, mais cela n'était que partie remise. J'engageai les compagnies mercenaires Bretonne et Suisse et l'écrasai en rase campagne, parvenant à lui arracher la paix blanche.

        Ruminant ma revanche, je rentrai en Haute-Silésie. Je fis passer sans trop de difficulté une loi pour demander aux bourgeois oisifs des impôts exorbitants et par là même soutenir mon futur effort de guerre. Quelques mois plus tard, un messager arrivait pour m'avertir de la rébellion de la Prusse contre son suzerain jabiride ! Je sautai sur l'occasion et envahit le pays qui n'eut d'autre choix que de se soumettre à ma puissance ! Durant la campagne, je fis passer une autre loi enjoignant à mes vassaux de m'envoyer la totalité de leurs troupes, toujours dans cette optique de conquête qui alimentait mes rêves. Un jour je serai empereur, me disais-je !
        La guerre à peine finie, sans même desseller mon cheval, j'en déclarai deux autres pour des terres qui, en tant que roi de Pologne et futur empereur wende me revenaient de droit : une contre Nyitra pour le comté de Chelmno et une contre le fourbe duc de Mecklenbourg pour le comté de Wolgast. Rien de bien dangereux, je les remportai haut la main.
        Une fois rentré, je réduisis aussi les taxes féodales à néant pour m'attirer les bonnes grâces des féodaux. Visiblement, cela ne suffit pas puisque un obscur petit compte jugea bon de se rebeller contre mon autorité, proclamant que mon frère cadet était le véritable roi ! Plusieurs de mes vassaux le suivirent, mais pas l'intéressé. Je dois avouer que des décennies plus tard je n'ai toujours pas compris le pourquoi de cette affaire puisque tous m'adoraient... Qu'importe, je pus conclure une paix blanche sans trop de problème. Oh, j'aurais pu les écraser, mais le royaume était entouré d'ennemi, et moins longtemps il serait divisé, mieux cela vaudrait.
        Cet épisode passé, le roi de Bohème, suzerain de ma femme, jugea bon de m'attaquer ! Je les repoussai heureusement sans trop de problème.

        Alors que j'étais sur le chemin du retour, un émissaire du pape m'avertit que ce dernier avait appelé à la croisade pour reprendre l'Andalousie aux musulmans. Après avoir réfléchi quelques mois (mon royaume sortait d'une période de guerre ininterrompue), ma foi de catholique convaincu l'emporta et je décidai de faire tâter aux Arabes l'acier froid de la Pologne ! J'embarquai pour l'Espagne, où nous écrasâmes les infidèles. Cet idiot de pape décida hélas de confier les terres libérées au duché de Mecklenbourg, l'ennemi de longue date ! Qu'importe, me dis-je, ce prétentieux était bien trop insignifiant pour les garder sous son contrôle, et la suite devait me donner raison. Je pestais toutefois contre le gâchis d'une si belle conquête.

        À peine rentré, je déclarai aux mahométans de Courlande une guerre sainte pour le duché de Zemaiteje, encore une fois remportée sans problème. Constatant que la Hongrie couplée aux Mongols de l'Ilkhanat, fraîchement arrivés en Europe, posaient de graves problème aux Jabirides, je décidai de prendre ma grande revanche : je déclarai la seconde guerre sainte pour Grodno et cette fois leur ridicule coalition ne put rien faire pour m'empêcher de les jeter hors des frontières du duché à grands coups de pieds.
        Sur ce, je mariai mon héritier à la duchesse d'Autriche, fit passer une loi pour obtenir du clergé des taxes moyennes et augmentai l'autorité de la couronne. Dorénavant, j'étais un monarque absolu et nul ne me contredirait plus jamais !
        Après quoi, je déclarai une nouvelle guerre sainte à l'encontre de la Courlande et mis un terme à l'existence misérable de cet état faible et pitoyable. Je mariai ensuite mon deuxième fils à l'une des princesses de France, me faisant ainsi un puissant allié.

        Ma décision suivante fut de créer le royaume de Lituanie, d'en faire mon titre principale et de déplacer la capitale sur les terres de la Courlande fraîchement conquise. Après tout, notre famille avait embrassé la culture lituanienne.

        Puis, usant d'une revendication fabriquée par mon fidèle chancelier, je déclarai la guerre pour Slupsk (un nom amusant s'il en est) au duché de Mecklenbourg. Pour ce faire, je demandai l'aide de tous mes alliés car l'ennemi disposait encore à cette époque de la majeure partie de son territoire andalou. J'aurais sans doute pu me débrouiller seul, mais mes erreurs passées m'avaient appris que Prudence est mère de sûreté. Sur ces entrefaits, ma première fille ayant atteint l'âge de seize ans, je pus la marier au prince de Norvège
        (en plus j'ai failli réussir le matrilinéaire, j'avais arrangé ce type de fiançailles, mais l'ancien roi de Norvège est mort juste un peu trop tôt et du coup son petit-fils est devenu l'héritier du royaume, du coup ils voulaient plus ).

        Les festivités closes, je déclarai une guerre sainte finale (DEUS LO VULT !) au dernier reliquat des possessions jabirides (ces chers Mongols s'étant approprié le reste) et mis définitivement fin aux possessions musulmanes en mer Baltique avec la conquête de la Livonie, où je créai la république homonyme dans le but de combattre l'influence grandissante de la Hanse (chose sans grande utilité puisqu'elle disparaîtra peu après, conquise) et surtout de faire rentre l'argent dans les coffres ! Héhé.

        Enfin, j'avais acquis assez de terres et de pouvoir pour me faire sacrer empereur wende ! J'avais accompli mon rêve ! Tout comme le barbare évoqué par un conteur fou de mon enfance, j'étais devenu roi de mes propres mains ! Enfin, empereur dans mon cas, je l'avais donc surpassé ! Douces sont la gloire et la victoire.

        Pour compléter mon territoire, je déclarai une guerre sainte à Polotsk pour le duché homonyme, mais, malgré la victoire qui fut de mon fait seul, la république de Russie, déjà en guerre contre eux, osa me soustraire le comté du même nom ! pendant la brève période de paix qui suivit, je cédai un prieuré à l'ordre Teutonique, sans trop savoir si cela me servirait plus tard. Au mieux ils me seront reconnaissant et cela me sera utile, au pire ce n'était qu'un fief ecclésiastique mineur...
        Finalement, je déclarai (et gagnai) à la Hongrie une guerre de jure pour Denzig et une autre à la Russie pour leur prendre mon comté et mariai ma troisième fille à l'empereur byzantin lui-même !

        La fin de mon règne ne fut qu'une longue et paisible paix. Sans danger, certes, mais guerre exaltante. Elle manquait de ce sel, ce piquant, qui fait de la vie une chose qui vaut la peine d'être vécue.



        Quelques infos :
        • L'argent rentre très bien ! J'avais plus de 2000 mais j'ai dépensé pas mal en constructions.
        • Ma femme est passée de duchesse de Bohême à reine de Bohême, mon successeur est donc héritier d'un royaume supplémentaire !
        • Faites quand même gaffe à la Horde d'Or, elle a beau m'avoir été très utile, elle est à présent dangereusement proche de nos territoires.
        • Si j'ai une volonté à léguer, c'est celle d'une union avec la Hongrie pour former un grand empire d'Europe de l'Est .
        • L'Empire Byzantin est plutôt du genre vigoureux, donc c'est une alliance intéressante .
        • J'aurais tellement voulu partir en croisade à Jérusalem .



        Quelques captures :

        Ma mort :


        Notre territoire au début de mon règne :


        Notre territoire au début du règne de mon successeur :


        Ma petite protégée, mon bébé, mon joyau, mon bijou, la république de Livonie :


        Le monde en 1245 :



        La sauvegarde !

        https://mega.co.nz/#!gA5F2Qzb!FIbmKR...TvbIYFd_TWKyvY
        Dernière modification par Bombur, 02-09-2013, 20h04.

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        • Mouai je préfère mon Royaume de Bourgogne-Croatie!
          Je rigole belle partie mais j’espère que tu as préparer la succession sinon ton empire s'en retrouvera déchirer a cause d'une guerre de succession!
          D'ailleurs j'ai un nom pour la possible guerre de succession "La danse des barbares".

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          • Il y avait des musulmans en baltique ?

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            • Ouais, plein ! Mais plus maintenant .

              Sinon Pantagruel a pas de trop mauvaises stats il me semble. Tu veux dire quoi par préparer la succession ?
              Dernière modification par Bombur, 02-09-2013, 22h43.

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              • Beau petit empire de Wende ! Ma dernière partie était un peu similaire, commencer avec un duc de pologne (mais j'avais pris celui de Grande Pologne il me semble)... avoir l'empire avec le p'tit fils ; conquérir la Suède et prendre (je ne sais plus comment d'ailleurs, je crois que c'était par des fiançailles antérieures et donc récupération par succession) le Royaume de Norvège (qui avait de manière fantaisie une partie de l'Angleterre), et commencer l'annexion du Danemark. J'ai fait comme toi en rééquilibrant le pays (donner des comtés et ducs par jure...) et tout le monde m'aimait... Pareil avec une demoiselle qui prît la succession (alors que c'était mal engagé) ; mais le suivant fut dégagé vite fait parce que personne ne l'aimait...

                M'enfin tout ça pour dire que c'était très plaisant à lire, ton règne a permis à la dynastie de franchir un grand pallier.

                Mais ça peut vraiment être problématique comme tu l'as suggéré avec les Mongols (heureusement dans ma partie, grosse fantaisie, la horde était devenu chrétienne donc plus de possibilité d'expansion... Mais elle faisait la guerre à son camarade tengri [j'ai oublié le nom de ces arrivants mongols...]).

                Comment tu t'es débrouillé en ce qui concerne les deux royaumes de ton empire ? Tu t'en es toujours gardé un en plus de ton titre d'Empereur et pour ton successeur (Lituanie) ? T'as nommé qui comme Roi de Pologne ?

                Le Saint-Empire était comment ? Il n'a pas cherché le conflit avec toi d'une quelconque manière (un CB d'un duc ou autre ?) Byzance se fait pas trop embêté par les musulmans ? Et les Mongols ? En tout cas la suite risque d'être bien haletante ; un nouvel héritier et des Mongols assoiffés de victoire(s) aux portes de l'empire...

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                • Merci, merci .

                  Bon alors, pour tes questions : j'ai toujours les deux titres de royaume (avec un duché complet dans chacun), le SERG est très gentil, il ne m'a jamais embêté (enfin, y a bien eu son vassal roi de Bohème qui m'a attaqué, mais c'était juste lui, pas le SERG entier), c'est plutôt Byzance qui embête les musulmans , elle a juste perdu quelques comptés sous la pression de la première vague de l'Ilkhanat (dont un récupéré depuis) mais depuis plus rien et elle a mangé une grosse partie de la Mésopotamie. Pour les Mongols l'Ilkhanat semble s'être un peu calmé, ils font plus grand chose (cela dit ils sont toujours tengri, donc ils pourraient encore être méchants mais de toute façon ils sont loins de nous) ; la Horde d'Or, quant à elle, semble ne s'est aps encore ralentie et est toujours très active, c'est pour ça que je m'inquiète. Elle a même bouffé un royaume de jure (Bulgarie de la Volga, je crois, mais pas sûr) à ses cousins du sud (peut-être pour ça que ses derniers se sont calmés d'ailleurs).


                  Sinon il y a toujours le duché Mecklenbourg qui n'est pas à nous alors qu'il fait de jure partie de notre empire, mais j'attendais qu'il soit en paix pour voir s'il voulait bien se vassaliser (il a plein de guerres à répétition en Espagne parce qu'il est pas assez puissant pour tenir les terres qu'il a gagné avec la croisade, déjà en bonne partie reprises). Et y a un autre petit problème avec ce duché, c'est qu'un de ses comtés appartient au SERG, et j'ai aps trop osé les attaquer . J'aurais bien voulu profiter d'un de ses éclatements mais il est toujours resté loyal .
                  Dernière modification par Bombur, 03-09-2013, 03h15.

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                  • Qui a pris la suite ?

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                    • Aucune idée, c'est à Mékaz de nous dire ça vu que le fil de succession ne semble pas être respecté

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                      • Je crois que c'est au tour de Caron.

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                        • Mon fils c'était un guerrier, j'avais jamais eu un fils avec 16 en martial dès qu'il est devenu adulte.
                          Par contre la Horde d'Or va faire très mal, l'Empire ne survivra pas à ce choc...

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                          • D'ici à ce que mon tour arrive je fais savoir à travers mon avatar mon refus des pratiques racistes de Mékaz.

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                            • Stilgar

                              Caron n'étant pas disponible pour le moment, c'est à Ergezad !

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                              • Ok ! Je note et je m'y met !
                                Je travaille de nuit en ce moment, je compte (et j'espère) vous donner la sauvegarde ainsi que le résumé d'ici demain ou après demain

                                PS: C'est toi qui a choisi le nom de ton successeur Bombur ? (Pantagruel) Ou ca c'est fait tout seul ?

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