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Ejmir
Chef éplucheur
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#1
Fredome Is A Noble Thing - l'Ecosse de Robert Brus
11-03-2015, 18h13
Fredome Is A Noble Thing
1296 - ?
Sommaire et Prélude
Sommaire
:
0
03/2015 -
L'annonce du AAR
1
03/2015 -
Session première: la Dixième Croisade
Rang : William Wallace: 10+ points ou 1er au classement
Marcus Miragos (3)
Rang: Aspirant William Wallace: 7-9 points
Rang: Véritable buveur de Whisky: 4-6 points
Rang: True Scot: 1-3 points
Kashkavall (1), Mat (3), Punkbreizh (2), Ser Oberyn Martell (1), Dark_Imperator (1)
Rang: Vendeur de Haggis: 0
Nijato, L'historien du dimanche
Rang: Traître: -1 à -3 points
Rang: Anglais: -4 points ou moins
Prélude : Une présentation concise des acteurs principaux
L’Écosse et sa situation en Europe du Nord au temps de Robert de Brus
Billet de commémoration des 700 ans du couronnement de Robert the Bruce
Robert n'est ainsi pas encore officiellement couronné en 1296, mais sa légitimité est déjà établie.
L’Écosse (1)
connaît malgré les crises de succession une période d'expansion et d'opulence. Après une récente unification et l'absorption du royaume de
Moray (2)
(1235), son pouvoir s'est récemment étendu sur
les Hébrides (4)
et
l'île de Man (3)
, territoires repris aux Norvégiens, et il s'en est fallu de peu que
les Orcades et Ross (6)
ne reviennent aussi au lion écossais.
Parallèlement, l’Écosse commence à s'imposer sur la scène européenne en s'alliant à
la France (7)
contre l'Angleterre pour la première fois, augurant une longue amitié, que les écossais nomment «*the Auld Alliance*», la Vieille Alliance.
Mais l’Écosse est loin de n'avoir que des alliés : Les Norvégiens tiennent encore le nord du pays, la femme du roi de
Norvège (8)
Erik II, Isabel de Brus, la sœur de Robert, pourrait mettre au monde un nouveau prétendant pour l’Écosse. Et surtout, la grande menace vient de
la perfide Albion (666)
, qui convoite les terres au-delà du vieux mur d'Hadrien, et la mémoire de la rébellion de William Wallace est encore fraîche, et Edward en a profité pour récupérer l'île de Man...
Les Irlandais (9)
qui ne sont pas sous domination anglaise, à l'est, sont faibles et divisés. Hostiles aux anglais comme aux Écossais, ils constituent des cibles faciles sur lesquels lorgnent déjà les deux frères de Robert : Neil et Edward.
Les principaux protagonistes
En Écosse:
Robert de Brus et son père, Robert de Brus
Il n'a pas d'enfants et sa femme, Isabel de Mar, fille d'un petit seigneur, a déjà 33 ans. L'héritier du Royaume n'est pas l'un de ses frères, mais son père Robert, qui pour l'heure garde les Marches d'Angleterre.
Hébrides
En 1296 le trône d’Écosse est abandonné par Jean de Baillol «*Emptycoat*» («tunique vide», on dirait aujourd'hui «marionnette»), dans des circonstances indignes du roi des Écossais.
John de Baillol
En effet ce roi au nom normand avait été mis sur le trône par les anglais, qu'il a ensuite trahis au profit des français. Après avoir pillé sans retenue le nord de l'Angleterre, il s'enfuit devant les armées anglaises, plus remontées que jamais devant les traîtres écossais. Capturé, il s'empresse alors de renier l'alliance avec la France et de condamner sa propre rébellion.
Les versions sur la suite de son histoire divergent. Toujours est-il qu'on le retrouve à Finlaggan dans les Hébrides, à la cour du jeune Angus Somhairle, troisième du nom, duc des Hébrides, dont il est le maréchal. Johnn de Baillol a un fils de 12 ans, Edward. Naturellement ils saisiront toute les occasions pour revenir sur le devant de la scène (je leur ai ajouté à chacun une revendication sur l’Écosse)
Moray :
Malgré sa récente intégration l'ancien royaume de Moray semble toujours être réfractaire au pouvoir central. John Comyn de Moray est ainsi marié à Eleanor de Baillol, et à la mort du vieillard, leur unique enfant (John de Comyn) n'est pas l'allié le plus sûr pour les Brus – une menace d'autant plus grande qu'il est doué au combat, et qu'il dispose d'une revendication sur l’Écosse (ajoutée manuellement) transmise par sa mère.
John of Comyn
Robert peut néanmoins compter sur le soutien de ses vassaux qui voient en lui le premier souverain écossais après la domination normande, et il peut tout spécialement se reposer sur les amis de son père, comme Patrick de Dunbar, qui est à demi Brus, William Mac un tSagairt, qui doit son titre et ses terres à Robert, ainsi que James Stewart, membre de la dynastie des Stuart (historiquement, son fils Walter épousera la fille aînée de Robert de Brus et c'est leur enfant Robert qui sera le premier roi Stuart).
James Stuart/Stewart
Les Étrangers :
Erik Glingling
Erik II Yngling «*Prestehatar*» («*qui hait les prêtres*») est en 1296 réconcilié avec l’Église qui l'avait excommunié. Les relations avec le Danemark demeurent tendues mais il n'est plus question d'un conflit armé, si bien que le Roi, âgé de 27 ans, a les mains libres pour intervenir dans les Îles Britanniques. Il semble pour l'heure bien disposé envers le roi des Scots, dont il a épousé la sœur Isabel, mais si celle-ci devait avoir un autre enfant, qui sait quelles ambitions pourraient animer ce descendant de Viking a peine civilisé...
Philippe le Bel
Le roi de France Philippe IV, le roi de fer, commence lui aussi à contester le pouvoir du Pape. Mais rien n'est encore joué, car ce roi célèbre dans l'histoire de France pour avoir détruit l'ordre des Templiers n'en est encore qu'à construire une puissante administration et à fonder un pouvoir royal puissant et centralisé. Il a encore récemment accru l'influence de la France au Bar et son attention se porte désormais sur les territoires anglais qui subsistent dans le sud-ouest. Il pourrait constituer un bon allié opportuniste pour les Écossais.
Les méchants :
Edward Plantagenet «*Malleus Scottorum*» (le Marteau des Écossais), roi d'Angleterre, conquérant du Pays de Galles, est un souverain puissant – il a fait plier le Pape lui-même, si bien que ce dernier a autorisé la taxation du clergé en cas de nécessité – mais, il est usé par l'âge et les croisades, et son héritier Edward n'a que 11 ans. Ses principaux rivaux sont tous dirigés par de jeunes monarques puissants et modernes parmi lesquels il fait figure de vieillard et de fossile*: s'il devait mourir bientôt, qu'adviendra-t-il de l'Angleterre ?
Edward, après un passage par la commission de censure de Gowrie.
Les enjeux :
L’Écosse est clairement dans une position de faiblesse vis-à-vis de l'Angleterre. Un nouveau conflit ouvert ne sonnerait pas nécessairement sa perte mais l'affaiblirait son doute au point de la mettre à nouveau dans une situation de dépendance vis-à-vis des Anglais : et ça, jamais !
Les deux frères de Robert constituent des partis intéressants, d'autant plus que si Robert de Brus n'a pas d'enfants, ils sont d'importants prétendants du Royaume. Les marier permettrait à la fois d'assurer la succession (qui oserait se dresser contre un prétendant bénéficiant des armées de son royal beau-père ?) et de sceller des alliances.
Les sondages de la semaine :
Vous êtes maintenant, cher lecteur, le conseiller personnel et préféré du roi, le Baron Alexander. Vous êtes face à un choix (et rappelez-vous bien qu'il y a deux frères à marier !) : à qui faut-il marier les frères ? Faut-il seulement les marier ? Ne vaut-il pas mieux d'éviter une nouvelle crise de succession et faire rentrer l'un d'entre eux dans les ordres ? Après tout, Robert n'a que 21 ans et ses frères 19 et 17 ans : n'est-il pas préférable d'attendre ? D'un naturel confiant, Alexander serait plutôt enclin à laisser le temps faire les choses à son rythme...
Vous possédez maintenant l'esprit du chapelain de Cour Beathan. Celui-ci est tragiquement (c'est un peu une tragédie grecque dans sa tête) partagé entre son attachement à l'unité de l’Écosse et son respect des règles de l'Église déjà bien malmenée par les souverains européens. En effet, la reine n'a toujours pas d'enfant, et elle sera bientôt trop vieille pour donner naissance à un héritier. Que fera-t-il si ses craintes sont fondées ? Enverra-t-il une requête auprès du Pape en faveur du divorce ? Conseillera-t-il à Robert de se remarier ? N'y aurait-il pas un moyen plus détourné d'amener le roi à se remarier sans avoir à enfreindre – en apparence, du moins – les lois de l’Église ? Le chapelain est angoissé : il a déjà perdu nombre de parents lors de la récente crise de succession. Il se souvient encore de son père, blessé sur un brancard, exprimant toute sa fierté d'avoir un fils rentré dans les ordres... Non, plus jamais ça... Il faut une solution !
Au conseil restreint, maintenant. La situation est simple : l’Écosse est entourée par de puissants royaumes contre lesquels il faut se protéger, et par quelques miettes d'Irlande qui ne demandent qu'à se faire opprimer. Il n'est pas question pour le moment de se lancer dans des guerres – le pays a besoin de repos et seules les opérations militaires de faible envergure sont envisageables. Mais il faut décider d'une stratégie à long terme.
Les conseillers semblent s'accorder sur le fait qu'il faille récupérer la partie des Highlands contrôlée par la Norvège. Les avis divergent cependant sur le reste. Vous êtes restés silencieux jusqu'à ce que Robert en personne vous demande votre avis. Les discussions cessent, on vous écoute : faut-il envahir
la Pologne
l'Irlande ? Faut-il prendre les Orcades ? Qu'en est-il de l'Île de Man ? Quel sort réserver aux Anglais ? Est-il plus sage pour lancer un tronc de pousser par dessous ou de lui imprimer un mouvement latéral ? Qui arrive à digérer le haggis de ce midi ?
Petites notes :
- De 1296 à 1444 (pour la conversion vers EU IV) il y a exactement 148 années de jeu. Je pense donc couvrir ce laps de temps avec 10 à 15 sessions qui couvriront chacune entre 10 et 15 ans. La première session devrait être relativement calme.
- Pour ce qui est du sondage, vous êtes relativement libres de répondre ce que vous voulez
- Cet AAR offre un certain challenge et je ne vais pas tricher pour gagner (par contre j'ai déjà utilisé des codes de triche pour ajouter une revendication sur l’Écosse aux Baillols), mais à cause de la difficulté et des sondages ouverts à toute proposition il y a des chances pour que la dynasties des Bruce soit réduite à néant, ou à pas grand chose. Dans ce cas il est possible que je décide de jouer une autre personnage, probablement celui qui aura vaincu l’Écosse.
Voilà, j'espère que ce n'est pas trop long et que c'est plaisant à lire ! (et j'espère aussi ne pas avoir dit de grosse bêtise... entre les approximations du jeu et la nécessité de rester bref y a beaucoup de chances pour que ce soit le cas...) La prochaine fois j'essaierai de m'améliorer au niveau des portraits, aussi.
Dernière modification par
Ejmir
,
18-03-2015, 15h34
.
Motif:
La Pologne.
Nijato
Napoléon IV
Stratège du dimanche
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#2
11-03-2015, 18h58
Il y a de ces foirages sur les numéros de la carte
1.Tu en tues un (le pire) et tu maries l'autre à un proche du roi de France de préférence.
2.Bah suffit de déclarer le divorce pour infertilité (chut ça va marcher) au bout de 5 ans sans enfants et de le remarier à une jeune le plus vite possible.
3. Delenda est Hibernia. Il faut essayer de détruire les anglois par l'intérieur, assassinats, révoltes, tout pour semer le trouble dans le royaume tout en s'agrandissant autre part à mon avis.
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L'historien du dimanche
Still Alive
Tacticien théorique
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#3
11-03-2015, 20h08
1 : Sire afin de garantir la bonne santé de votre dynastie vos frères doivent êtres mariés , ainsi si votre brave épouses ne peut pas vous donner d'héritier male vos frères et leur fils seront là!
2: Attendons votre femme peut encore vous donner un fils et dans le pire des cas une dague affûtée ainsi qu'un bras vigoureux pour la tenir ne coûtent pas bien cher....
3: Attaquons les faibles irlandais sans attendre! Leur terres sont faibles et divisé et cette conquêtes nous renforcerait afin de reconquérir les hébrides et chasser les norvégiens!
4 (bonus) : Sire je pense que nous devrions remplacer les gueux charger de s'occuper de nos cartes , les chiffres sont affreusement mélangé!
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Ejmir
Chef éplucheur
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#4
11-03-2015, 20h21
J'avais décalé la numérotation en effet
(Du coup y a pas de numéro 5 mais ça reste lisible au moins)
Au départ j'avais prévu une carte d'époque mais on pigeait rien.
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Kashkavall
Eplucheur de patates
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#5
12-03-2015, 18h01
1. Les frères de Sa Majesté devrait être mariés à des princesses issues de royaumes pouvant faire contrepoids à la puissance de vos rivaux. Aussi, le royaume de France et le royaume du Danemark (ou de Suède) paraissent tout désignés pour cela, des émissaires devrait être envoyé sans plus tarder.
2. Sa Majesté pourrait patienter environ 5 ans avant d'envisager la répudiation ou une autre solution plus expéditive...
3. Les seigneuries irlandaises semblent une proie facile mais une annexion territoriale en Irlande pourrait multiplier les points de frictions avec le royaume d'Angleterre, d'un autre côté c'est toujours ça de moins laissé aux perfides Anglois. Les Orcades doivent bien entendu réintégrer le royaume des Scots le plus rapidement possible dès que nos futurs alliés seront en mesure de nous assister. L'île de Man devra être une des premières cibles de guerre à revendiquer contre l'Angleterre. Pour le tronc, c'est assez évident, il faut pousser par dessous pour le lancer et Newton fera le reste, l'important c'est qu'il tombe sur des crânes anglois... Le haggis de ce midi, je me suis permis de l'envoyer en présent diplomatique au roi Edouard après digestion.
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Nijato
Napoléon IV
Stratège du dimanche
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#6
12-03-2015, 18h04
Sinon je sais pas comment t'as fait mais tu as réussi à foirer ton
Freedom
sur le logo et sur le titre du topic
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Lunarc
Gentleman Poitevin
Tacticien théorique
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#7
12-03-2015, 18h08
C'est peut-être la version écossaise, pour se démarquer des Anglais????
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Ejmir
Chef éplucheur
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#8
12-03-2015, 20h08
C'est en moyen anglais dans le texte
.
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Mat
Nain ami d'un elfe
Stratège incompris
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#9
12-03-2015, 22h28
1) Sire, le sang d'une dynastie est sacré, et il paraîtrait judicieux de marier au plus vite vos frères de préférence en alliance royales avec des pays comme le Danemark ou la France. Il est essentiel d'assurer la pérennité de la dynastie sur le long terme.
2) Il s'agit de ne pas prendre de décision hâtive mon seigneur. Si le Très Haut vous ait favorable, un héritier vous sera donné sans avoir à enfreindre les lois ecclésiastiques.
3) Les conseillers s'accordent à dire qu'une extension territoriale est nécessaire pour tenir tête à l'Angleterre. L'Irlande indépendante est un territoire qui semble judicieux de s'occuper avant que notre rivale ne s'en empare. Il serait également bon de guetter une éventuelle sixième croisade lancée par le Saint Père qui permettrait d'accumuler des richesses pour la plus grande gloire de Dieu.
Dernière modification par
Mat
,
12-03-2015, 22h29
.
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Nijato
Napoléon IV
Stratège du dimanche
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#10
12-03-2015, 23h04
En fait après recherches (voir chatbox) je pense que Fredome est du scots, une langue germanique très proche de l'anglais parlée en Ecosse avant le XVIIème siècle. Ceci explique cela non ?
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Punkbreizh
Nain breton metalleux
Tacticien de bibliothèque
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#11
12-03-2015, 23h35
1]Sire il fraudais les marier a d'autre peuple celte pour unifier notre sang .
2)Votre femme est encore jeune notre seigneur vous accordera peut être bientôt un héritier.
3) Il faudrait unir l’Irlande soit sous notre bannière par la guerre et la conquête soit par d'habile alliance politique avec vos frère par exemple
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Ser Oberyn Martell
Chef éplucheur
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#12
13-03-2015, 07h03
Sire, mon très pieux Roi, s'il serait bon que l'un de vos frère aille chercher u parti dans les cours d'Europe, le second pourrait rejoindre un noble et saint ordre chevaleresque.
Dieu est avec vous, le seigneur vous accordera bientôt un héritier afin de pourfendre l'anglois.
Enfin, envahir les irlandais sera une bénédiction pour eux, ainsi ils seront protégés des vils normands, descendants du Batard français.
Que Dieu vous aide,
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Ejmir
Chef éplucheur
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#13
13-03-2015, 09h44
Envoyé par
Nijato
Voir le message
En fait après recherches (voir chatbox) je pense que Fredome est du scots, une langue germanique très proche de l'anglais parlée en Ecosse avant le XVIIème siècle. Ceci explique cela non ?
En effet. Plusieurs langues sont regroupées sous l'appellation "Moyen anglais", en fait toutes les variétés d'anglais après la conquête normande - dont le scots, qui est un des rameaux de l'anglais (dérivé de l'ancienne variété nord-ombrienne du vieil-anglais). L'autre spécificité du scots est d'avoir été influencée par le norvégien (qui reste en Ecosse plus proche du vieux norrois, un peu comme en Islande) et le gaélique (langue celtique des Highlands).
Mais la citation "Fredome is a Noble Thing" est tirée d'un texte écrit par John Barbour, dont la langue littéraire est très proche du moyen anglais "standard" (beaucoup plus influencé par le normand que par le gaélique). Voici un petit exemple (l'orthographe est très différente de l'anglais moderne) :
As wes king Robert off Scotland,
þat hardy wes off hart and hand;
Alors que Robert était roi d'écosse,
Un homme hardi de cœur et de bras (littéralement "de main").
Et on trouve plein de mots normands comme: "trawaill", "chewalry" etc...
Spoiler:
Dites, y a Oberyn qui vient de répondre, là, je ne rêve pas ? Comment est-ce possible, par tous les saints d'Ecosse ?
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Marcus Miragos
Militaire intermittent
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#14
13-03-2015, 11h57
du beau boulot tout cela!!!!!!
1 - Il est nécessaire de conserver vos frères près de vous. Mariez les à de simples courtisanes, ceci afin d'affaiblir leurs potentiels de rebellion, et afin d'assurer la pérennité de votre dynastie.
2 - Dieu vous a unis avec votre femme, et il serait scandaleux de vous en séparer. Un divorce serait une mauvaise affaire avec l'église.
3 - La guerre n'est pas une bonne idée. Remplissez tout d'abord les caisses de l'état, afin de vous créer une importante trésorerie!
Dernière modification par
Marcus Miragos
,
13-03-2015, 12h08
.
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Dark_Imperator
Militaire saisonnier
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#15
13-03-2015, 12h43
1- Mon Roy, Marier vos deux frères à de puissantes familles royales comme la France ou la Suède. Même s'il risque d'avoir des querelles de succession.
2- Même si votre épouse est sur son 33e printemps, monseigneur, il est préférable d'attendre au moins cinq année supplémentaire avant d'entrevoir une solution moins catholique. Après tout, vous êtes jeune et cinq années de plus, ne vous empêcherons pas d'avoir un héritier.
3- Comme d'autres personnes l'ont suggérées, prenons des territoires Irlandais aux yeux de la perfide Angleterre. Une fois ces terres acquises à notre glorieux Royaume, nous pourrons nous occuper des ses vikings Norvégiens et récupérer ce qui nous appartient de droit. Si une croisade se met en place, allons-y mais envoyer des troupes si nous somme sûr de ne pas les perdre pour rien et nous affaiblir vis-à-vis de notre Ennemi.
Longue Vie à Robert de Brus et au Regnum Scotiae.
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