[LARS]

Nouveau scénario depuis 2 jours :
GUERRE FRAICHE

L'URSS a gagné la guerre froide et les USA humiliés par le retrait du Vietnam et le scandale du Watergate n'ont plus les moyens de changer cet état de fait.
Le capitalisme est entré dans sa crise finale et le temps du communisme est venu !
Sommes-nous en train d'assister à la fin de l'Histoire ? De Saïgon à Kaboul, en passant par Téhéran, le monde est pourtant en train de devenir de plus en plus imprévisible.

[Kent]

Nouveau scénario depuis 2 jours :
GUERRE FRAICHE


Sommes-nous en train d'assister à la fin de l'Histoire ?

Tout de suite dès que l'URSS gagne

[LARS]

Tout de suite dès que l'URSS gagne

C'est pas moi qui fait les descriptions... sinon le Communisme vaincra !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

[Kent]

C'est la lutte finale...

[LARS]

Pour ceux qui n'auraient pas vu, il y a possibilité de réunifier l'Allemagne et la Corée, avec 500 pts de récompense chacune.

[Lord Perhaps On The Roof]

Pour ceux qui n'auraient pas vu, il y a possibilité de réunifier l'Allemagne et la Corée, avec 500 pts de récompense chacune.

Tournant historique dans les relations de l'Allemagne et de la Corée

En 2015, le chancelier Kim Jong-Merkel a finalement décidé de mettre fin à des décennies de relations empoisonnées avec la Corée. Dans une lettre ouverte, il demande au dictateur Wilhelm Von Pyonghan de cesser ce qu'il qualifie "d'actes barbares et inqualifiables à l'égard du peuple allemand". En effet, selon le Bureau des relations internationales de la République fédérale, la Corée aurait édifié une frontière peu anodine : près de 6 000 kilomètres séparent à présent les deux pays autrefois unis, avec entre les deux "des tas gens étranges et certainement très agressifs, c'est très réaliste, il y a même des villes et tout et tout. Mais on ne doit pas oublier que ce n'est qu'une odieuse machination dans le but d'empêcher des relations germano-coréennes stables et propices au bonheur !", toujours suivant les propos du ministre allemand des Relations internationales.

M. Wilhelm Von Pyonghan dément être responsable d'un tel ouvrage, et accuse en retour la Chancellerie allemande. Lors d'une conférence donnée à Berlin ce mois dernier, il affirmait "de toute façon, les Coréens sont très heureux là où ils sont". La situation était alors très venimeuse, et les deux bords semblaient bien être prêts à en venir aux mains. Mais, retournement diplomatique, M. Kim a offert solennellement des excuses à M. Wilhelm, demandant humblement "le retour à la paix et un appel à la réconciliation". Appel entendu par Séoul, car une semaine après les deux dirigeants buvaient symboliquement une bière au café Die blaue Kirche à Munich.

Afin de réunir "dans la paix et la prospérité" les deux pays frères, M. Kim et M. Wilhelm prévoient entre autres la suppression définitive de la frontière. "L'est de l'Europe, l'Oural, le Caucase et le sous-continent indien doivent être rayés de la carte" estime Herrman Kuschtong, ministre de la Paix et de la Réconciliation coréen. Afin de sceller leur coopération, les deux pays ont prévu ensemble de lancer une bombe H sur le Taurus pour entériner le processus de suppression de la frontière. Ayant l'aval de l'ONU, les deux pays appellent les ressortissants de tous les pays situés dans la zone prescrite à la coopération, voire à l'aide au projet de terraformation de l'Asie occidentale. "C'est pour la paix" affirment les deux dirigeants de concert. Quant aux pays ne voulant pas céder la place, ils sont dorénavant avertis que "place se fera, de gré ou de mal", les deux nations entendant tirer parti de "leur expérience commune dans la destruction de masse" si nécessaire. Si nécessaire évidemment.

A l'ordre du jour de l'ONU se pose également le problème douloureux de l'annexion défintive du Tibet par sa voisine, la Hongrie...

A suivre !

[Lunarc]

Je pense pas que c'était dans ce sens là que LARS voulait en parler.
C'est pourquoi je vais être plus précis:
Il est possible de réunifier la nation allemande(RFA et RDA) d'un côté,et la nation Coréenne de l'autre(Corée du Nord et du Sud)

[LARS]

D'autant que c'est complétement con, le "chacune" n'étant pas là pour la déco

[Lord Perhaps On The Roof]

Je sais, c'était du pur troll

[Lithu]

Je teste un peu pour rire.
(Merci ton article LOPTR pour m'avoir fait voir ce sujet)

[Nijato]

J'ai testé un peu mais à part avoir réussi à mettre mon prestige dans le négatif j'ai pas fait grand chose Je comprends pas comment l'URSS pouvait faire autant de choses alors que je n'avais que 5$ de disponible par mois.

[Lithu]

En jouant l'URSS j'ai pas eu trop de souci à étendre ma zone de domination, mais c'est vraiment pas un jeu marrant.
On passe son temps à monter les troupes militaires dans les zones où l'autre nous cale des guérillas, et à caler des guérillas en face. De temps en temps on fait un coup d'état ; et lorsqu'une guérilla triomphe on s'empresse d'aller signer des accords de défense/commerciaux. Certains pays sont chiants. En Colombie par exemple ; guérilla => je mets en place un gouvernement favorable sauf qu'il aime aussi bien les USA. Du coup je refais une longue opération pour le renverser. Eh ben le deuxième veut toujours pas me suivre. Je re-refais ; mais le 3ème non plus. A ce moment la seule envie possible est de les atomiser. J'ai eu un truc similaire avec les tchèques. J'avais galéré pour les mettre sous mon influence, j'avais un régime solide, et suite à un évènement que je n'ai pas trop compris pouf on a un régime amerloche solide. Suit une très très longue guérilla. Bilan ? Pays non-aligné ami avec l'urss et les usa ! Mais d'où ils étaient copains avec les usa les bonhommes que j'ai 100% financé et qui on passé leur temps à se battre contre des gars aidés par les usa ? Impossible de remettre le pays dans ma zone d'influence bien sûr.
Des évènements historiques arrivent régulièrement pour casser la monotonie mais sont vite tout à fait inadaptés au jeu (dans le scénar 45-79) et sont plus agaçants qu'autre chose une fois le début passé.
Les bras de fer sont complètement nuls et mieux vaut les éviter. A part en se pliant comme un chien, on a toutes les chances d'atomiser la planète et de perdre. De même si on veut envahir un pays, l'option pourrait être carrément virée du jeu vu que soit on se retire soit ça fait conflit nucléaire.
Je n'oserais pas parler du côté économique, pire qu'inexistant. Maîtriser les zones pétrolières par exemple n'apporte aucun bénéfice pratique. Les aides économiques sont hyper nulles pour renforcer la stabilité et un total gâchis (du moins côté urss ; du coup le seul moyen possible est de faire un coup d'état. Quand on vient juste d'installer un gouvernement favorable après une guérilla...)

[LARS]

J'ai testé un peu mais à part avoir réussi à mettre mon prestige dans le négatif j'ai pas fait grand chose Je comprends pas comment l'URSS pouvait faire autant de choses alors que je n'avais que 5$ de disponible par mois.

Faut virer les troupes des pays avec une stabilité très forte, ça t'économises 5$ par pays évacué, et il faut éviter d'installer des bases et d'envoyer des instructeurs à tout va, ça reste inutile quand le pays arrive à gérer les guérillas tout seul.

@ Lithu, je rapporte à l'auteur, moi aussi un système de zone économique à contrôler du genre "Pétrole du moyen-orient" m'aurait intéressée. L'auteur cherche justement à améliorer les bras de fer.

[tguyon]

Je sais, c'était du pur troll

N'empêche ça m'a bien fait rigoler !

[tguyon]

Plop all !

Un petit mot sur l'économie dans le jeu.

L'économie tourne un peu toute seule et les effets ne se sentent que sur le temps long : (ça se voit dans la partie telex où il faut guetter les évènements mineurs correspondant).

Grosso modo, au fil du temps :
-L'Europe de l'Est et les pays communistes retournent lentement vers le neolithique.
-L'Europe de l'Ouest voit sa stabilité et sa richesse augmenter jusqu'en 1973 (surtout si plan Marshall)
-La crise s'installe ensuite à l'Ouest (diminution des stabilités)
-L'Asie commence à émerger à partir des années 70
-L'Afrique subit la main mise du FMI à partir des années 70

En évènements majeurs, les USA ont la possibilité de laisser tomber Bretton Woods, et peuvent éviter les deux chocs pétroliers suivant leur politique proche et moyen orientale.

Le Joueur russe, lui, peut expérimenter au cours de la partie plusieurs politiques agricoles et industrielles qui impactent vraiment son budget.

Pour le reste, ce n'est pas un jeu sur l'économie.