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Caulaincourt
Medicalus Dominus
Expert tacticien
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#31
06-05-2013, 10h12
Ahaha, l'alliance traditionnelle entre polo et bloody dite " alliance des p****" est toujours aussi drôle dans ses conséquences. Vivement l'heure où ils raquetteront tous les pays européens.
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Restif
Central Scrutinizer
Stratège avancé
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#32
06-05-2013, 11h33
@Polo : Prochaine fois je te vole ton idée de mettre des armes en début de post
.
@Pachack : On va essayer, même si certains d'entre nous sont atteints de procrastination aigüe.
@Caulaincourt : Et toi tu te nourris de la mort et de la destruction qu'ils sèment
.
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Restif
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Stratège avancé
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#33
10-05-2013, 23h43
Fin de la session 2 en 1451 :
Spoiler:
Edit
:
La save
.
The (Wint)AAR is coming
.
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Restif
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10-05-2013, 23h49
.
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Aikiko
Traître démoniaque!
Expert tacticien
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#34
11-05-2013, 00h01
La Grande Pologne présente sur tous les fronts, sauvant les Russes de la ruine, jouant au Ché contre l'infâme-hérétique-homo Polo.
La suite à venir
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Aikiko
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11-05-2013, 11h35
.
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Hadrien1er
Membre du PCDE
Stratège incompris
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#35
11-05-2013, 00h04
Non la Pologne ne s'est pas encore fait dépecer ?
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L'historien du dimanche
Still Alive
Tacticien théorique
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#36
11-05-2013, 00h07
Commerce et guerre....
Le règne d'Historius Dimanchus I
[SIZE=2]En 1430 Historius dimanchus I arriva a la tête de la grande et puissante république de Novgorod qui venait de prendre une partie du territoire moscovite.
Il passa les premières années de son long mandat a commercé , envoyant ses marchand en Flandre , a Lübeck et bien sur a Novgorod.
Puis il apprit que plusieurs souverains catholique préparait une croisade contre l'empire ottoman qui venait d'acquérir le sud de l'Italie.
C'est ainsi que la guerre fut déclarer et qu'elle guerre!Pendant plusieurs années la guerre n'avança pas ou presque pas.
Les 2 camps ne pouvait plus s'entendre! Pendant cette période troublait Novgorod amassa beaucoup d'argent qui allait être dilapidait plus tard.
Mais revenons en a la guerre , des tentatives de paix ont eu lieu mais elles échouèrent jusque au moment ou la stabilité intérieure de l'empire ottoman commença a baissé alors la paix fut conclu: L'italie du sud était libre!
Les périodes sombres.....
Suite a la perte des documents relatant la guerre du mourom cette section n'a plus de sujet pardonnez nous pour cette triste dispariton.
Ceci était un message des ministères de l'intérieur , de la propagande et des affaires étrangères du Novgorod.
Le renouveau
Cette horrible guerre était derrière nous , certes il fallait reconstruire mais le pire était derrière la république du Novgorod....
Dernière modification par
L'historien du dimanche
,
11-05-2013, 00h09
.
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Aikiko
Traître démoniaque!
Expert tacticien
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#37
11-05-2013, 00h09
Non c'est juste la Lituanie que je ne peux toujours pas attaquer à cause de la Hongrie... (*héhé*)
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Aikiko
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11-05-2013, 00h11
.
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Restif
Central Scrutinizer
Stratège avancé
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#38
11-05-2013, 21h07
AAR Hollandais
-
Deuxième session
1430 - 1438
: Suite du règne de Jakoba I de Nassau
Durant la seconde partie du règne de Jakoba, la Hollande poursuit son exploration du monde ainsi que son expansion commerciale et maritime.
Madère, une petite île proche des Canaries, est colonisée dans le courant de l’année 1430 ; on y découvre du sucre, une denrée rare dont les Européens se montrent rapidement friands.
Spoiler:
Madère et les îles Canaries
Probablement influencés par le passage des Hollandais dans la région et sous l'impulsion d'un nouveau Sultan, les Marocains se lancent à leur tour dans une politique commerciale agressive. Très vite une horde de marchands maghrébins envahit les centres de commerce européens ; hasard de l'Histoire ou préméditation, au même moment l'Empire Ottoman déferle sur l'Italie du Sud.
Cette montée en puissance de l'impérialisme musulman force finalement l'Autriche à intervenir afin de repousser les infidèles, elle sera bientôt rejointe par les Royaumes de France, de Castille (qui ont déjà eu affaire aux armées turques une décennie plus tôt) et de Pologne, ainsi que par le Brandebourg ; de son côté l'Empire Ottoman sera rejoint temporairement par le Royaume d'Angleterre (dont on soupçonne le souverain de s'être secrètement converti à l'Islam).
A l'écart de ce conflit meurtrier, la Hollande et le Maroc prospèrent, tandis que la Moscovie s'effondre et que la Suède impose sa suprématie en Scandinavie.
En 1435, les navigateurs hollandais rapportent une grande nouvelle : ils ont atteint l'extrême Sud de l'Afrique et ont désormais grand espoir de pouvoir rallier les Indes.
Cependant, de la même façon que son père était mort avant de pouvoir terminer son œuvre d'unification des Pays-Bas, Jakoba meurt en 1438, sans nouvelle de l'expédition en cours ; sa fille lui succède sous le nom de Jakoba II, symbole de continuité (et de mauvais goût).
1438 - 1451
: Règne de Jakoba II de Nassau
La nouvelle souveraine prend rapidement ses fonctions : alors que la guerre entre catholiques et musulmans fait toujours rage, les finances ottomanes commencent à faiblir ; Jakoba II dépêche alors un émissaire à Edirne afin de demander la levée de l'embargo turc sur les Hollandais, demande qui sera acceptée par le Sultan.
Quelques mois plus tard, l'expédition envoyée par feue Jakoba I est de retour à Amsterdam avec une cargaison d'épices ; ils ont finalement atteint les Indes, notamment l'île de Ceylan en 1440.
C'est le début d'une exploration intensive de l'Asie, qui culminera avec la découverte du Japon en 1444 (événement qui retentira dans le monde entier malgré la volonté des Hollandais de rester discrets).
Au terme de 12 longues années de guerre, le Sultan Polo II Osmanli dépose les armes : il est contraint d'évacuer tout le Sud de l'Italie en 1445 mais conserve cependant l'île de Malte. Ce conflit aura fait près de 100 000 morts dans les rangs turcs, et plus de 130 000 au sein de la coalition.
Alors que l'Empire Ottoman en sort durablement affaibli, la France et l'Autriche se partagent l'Italie du Nord. Magnanime, le Roi de France abandonne néanmoins ses dernières revendications sur les Flandres.
Spoiler:
Les effets pervers de la guerre : l'effondrement de l'économie ottomane
Profitant de la période de paix relative qui s'installe en Europe, Jakoba II prépare une expédition militaire en extrême-orient : elle souhaite que la Hollande s'y implante afin de bénéficier d'un accès facilité aux marchés et richesses asiatiques.
La cible est toute trouvée : en cartographiant la région, les explorateurs hollandais ont découvert le Royaume de Majapahit, isolé diplomatiquement et en proie à une rébellion depuis plusieurs années. Les troupes débarquent en 1446 et prennent vite possession de la partie orientale de l'île, connue sous le nom de Java.
Spoiler:
L'île de Java après la conquête hollandaise
De nombreux marchands s'embarquent alors pour l'Asie, les puissances régionales (Ming, Vijayanagar, etc) ayant autorisé l'accès à leurs marchés aux Occidentaux ; ils sont cependant très vite rejoints par les Marocains, qui ont pris pied aux Maldives et menacent les intérêts hollandais.
A suivre...
P.S. Un peu court cette semaine (même si on a joué moins longtemps), j'espère avoir plus de choses à raconter d'ici 2 sessions (et j'ai encore une fois oublié de prendre des screens pendant la partie
).
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Restif
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17-06-2013, 01h05
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Mékaz
El Mekazito
Tacticien théorique
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#39
12-05-2013, 00h55
Chroniques du Royaume de France
Février 1430 - Mai 1451
Session n°2
1431 - 1437 : Charles VI, la fin d'un règne
Charles VI était épuisé par ces cinq décennies de règne. Il commença à déléguer de plus en plus, notamment à son plus fidèle conseiller, Marc de Saint-Germain, qui disposait au début des années 1430 d'une influence sans commune mesure sur les décisions prises par le pouvoir royal. Ceci explique sans doute la relative tranquillité qui régna pendant les dernières années de Charles VI dit "Charles le Bien aimé". Ainsi, on se contenta d'œuvrer un peu plus en faveur de la centralisation, même si les droits féodaux furent bien moins mis à mal que lors de la précédente décennie. On favorisa l'économie aussi, investissant dans les ateliers, les docks et autres infrastructures. Entre temps, il eut un second enfant, prénommé Charles, de sa troisième épouse - on fit de cet exploit plusieurs chansons, et on dit qu'il avait tué plus d'épouses sous lui que de chevaux. Puis vint le jour funeste où le temps rattrapa Charles VI. C'est le 5 novembre 1437 que la terrible nouvelle secoua le Royaume: Charles VI s'était éteint dans la nuit, suite à des problèmes respiratoires. Si tout le monde ou presque dans le Royaume en fut profondément attristé, personne ne fut surpris par la nouvelle. Le Roi lui-même n'attendait qu'une chose: être rappelé aux côtés du Seigneur. Aussi tout avait déjà été prévu: Louis de Valois, son aîné qui venait tout juste d'avoir 15 ans, lui succéderait.
Spoiler:
Le Royaume de France à la fin du règne de Charles VI, en 1437.
1437 - 1449 : Louis XI, dit "Louis l'Italien"
Il ne fallut guère longtemps pour que les cloches de la Basilique de Saint-Denis ne fassent place à celles de la Cathédrale de Reims où fut sacré Louis de Valois, devenant alors Louis XI à l'âge de 15 ans. Les deux premières années de son règne furent tranquilles quoiqu’annonciatrices des troubles à venir. En effet, alors que le jeune Louis XI parachevait son initiation auprès notamment de Marc de Saint-Germain - qui ne survécut cependant pas bien longtemps à la disparition de son ancien souverain, qu'il avait accompagné pendant la totalité de son règne -, les cours d'Europe s'inquiétaient de voir le puissant Empire Ottoman, aidé par le Royaume d'Angleterre, faire un nouveau pas au sud de l'Italie: après l'annexion de la Sicile presque vint années auparavant, c'était autour du Royaume de Naples d'être écrasé par les forces du Sultan Osman II Osmanli, appuyé par les troupes du Roi d'Angleterre. Non content d'avoir soumis la botte de l'Italie, les armées turques traversèrent les États du Pape et la vallée du Pô, arrivant dans les Alpes autrichiennes. Si tout le monde pensait que l’Archiduché autrichien parviendrait à repousser l'envahisseur, c'est l'inverse qui se passa et, bientôt, les Habsbourg pliaient genoux devant le fléau Turc.
Spoiler:
L'Autriche défaite face aux armées Ottomanes
Les nouvelles se propagèrent vite en Europe, et tous craignaient maintenant que la défaite autrichienne soit déjà actée. Certaines rumeurs disaient que les Ottomans allaient massacrer tout les autrichiens, réduisant le pays en cendre, d'autres - jugées plus crédibles par le Roi et son entourage - voulaient que le Sultan réclamait de fortes " compensations de guerre " aux Autrichiens, compensations qui atteignaient des sommes disproportionnées, et qu'aucune cour d'Europe n'aurait pu payer sans avoir recours à l'usure. Il était intolérable que l'Autriche en soit réduite à s'endetter pour avoir osé combattre l'avancée des troupes turques en Europe. Très vite, Louis XI et ses conseillers, comme Étienne de la Rochechouart - un spécialiste des questions militaires qui sera son premier ministre durant toute la durée de son règne - conviennent qu'ils ne peuvent laisser l'Empire Ottoman mettre à terre l'Archiduché d'Autriche, quand bien même la France nourrissait de grandes méfiances contre la politique menée par les Habsbourg, jugée trop expansionniste pour ne pas menacer l'équilibre du continent. C'est en 1439 que Louis XI, après avoir positionné son corps expéditionnaire en Aquilée, décida d'intervenir, suivi bientôt par les plus importants royaumes européens, tel que la Castille, le Brandebourg et la Pologne - la province mineure de Hollande préférant ne pas répondre à l'appel de Dieu.
Les premiers combats furent aisés, et très vite les Ottomans durent rebrousser chemin à travers l'Italie. Leur retraite achevée, les premiers véritables contacts entre l'ost coalisé mené par Louis XI et l'armée ottomane, réunissant respectivement dans les alentours de 70 000 et 50 000 hommes, furent à l'avantage des premiers qui, malgré leur avantage numérique, échappèrent parfois de justesse à l'anéantissement, tant la férocité et la qualité des combattants turcs permirent parfois à ces derniers de prendre l'avantage, notamment dans une bataille autour de Naples, où seule l'arrivée de renforts français menés par le Maréchal de Maurepas - celui-là même qui avait été défait contre les mêmes ottomans, en Castille - permis de sauver l'armée des Rois d'Europe.
Spoiler:
Les forces coalisées contrôlent le sud de l'Italie.
Le front se stabilise. Les Ottomans avaient le contrôle des mers, mais le sud de l'Italie était presque entièrement contrôlé par les catholiques, les Turcs ne parvenant pas à reprendre réellement pied. La guerre commençant à s'éterniser, des négociations s'ouvrirent entre le Sultan et les Rois chrétiens: les Ottomans quitteraient Naples, mais conserveraient la Sicile - les Européens ne pouvaient traverser le détroit de Messine, fermement bloqué par l'une des flottes du Sultan - , et la Sardaigne serait rendue à la Castille. Après quelques hésitations, le Sultan Osman II Osmanli déclina l'offre. La guerre reprit de plus belle. Les Rois d'Europe conclurent que, s'ils voulaient un jour mettre fin à cette guerre, il fallait reprendre le contrôle de la mer Méditerranée. Les amiraux français et castillans entreprirent alors de débloquer le détroit de Messine. Totalisant environ trente caraques et vingt galères, la flotte franco-espagnole prit le large depuis Barcelone pour atteindre, quelques semaines plus tard, les côtes italiennes où elle rencontra la flotte turque, forte de cinquante galères, dont certaines ornaient encore les armoiries génoises ou vénitiennes, mais aussi une douzaine de caraques. Les marins turcs ne firent qu'une bouchée de la flotte coalisée, qui dut se replier dans le port de Naples, allégée de sept navires, capturés par les Ottomans. Que faire maintenant ? Il n'y avait aucun espoir de débloquer le détroit, la Sicile impossible à atteindre, et la guerre continuait de s'éterniser. C'était sans compter l'initiative du Roi Jan I Kazimierz de Pologne qui, à la tête d'un peu plus de dix mille hommes, traversa les Carpates pour mettre le siège sur la Bulgarie, bientôt rejoint par une armée autrichienne et dix mille mercenaires français. En parallèle, l'arrière-pays ottoman était en proie à de fortes révoltes, notamment à Chypres ou en Grèce, profitant de la lassitude des peuples ottomans épuisés par la guerre, et parfois ... motivés par d'obscurs agitateurs nationalistes au fort accent allemand. Bien vite, le Sultan est forcé d'admettre sa défaite. Il n'est plus question de négocier: Naples sera libérée - y compris la Sicile - et la Sardaigne redeviendra castillane.
En mai 1445, les armées chrétiennes purent enfin retourner chez elles. Louis XI, qui s'était avéré être un brillant tacticien (
hrp: 6 en shock !
), put enfin reprendre un règne normal. Mobilisée entièrement par la guerre qui s'était avérée plus longue et plus dure que prévu, il n'y avait eu, entre temps, aucun changement majeur en France. Décidé à s'inscrire dans la continuité de son père, il reprit une politique de centralisation, qui échoua dans un premier temps, avant d'aboutir à l'intégration du duché d'Auvergne au domaine royal en 1448. Entre temps, il avait contracté une maladie qui l'affaiblit grandement. De plus, aucun de ses enfants ne survécut plus de quelques mois. Bientôt convaincu de subir quelque courroux divin, il sauta sur l'occasion de se montrer aux yeux du Seigneur quand, en 1447, le Pape Alexander VI excommunia Filiberto I Gonzago de Savoie. Ainsi, il entra rapidement en guerre, poussé par ses conseillers qui y voyaient une bonne occasion de mettre la Savoie hors de portée des Autrichiens une bonne fois pour toutes. La campagne fut rapide, mais n'eut pas totalement le résultat escompté: si les territoires des Gonzago furent très vite annexés à ceux du Royaume de France, Louis XI ne retrouva vraisemblablement pas la grâce de Dieu car il mourut peu après, totalement épuisé par sa maladie, à l'âge de 27 ans. Malgré cette fin de vie entachée par l'hypothèse d'une punition divine, tout le monde s'accordait à dire qu'il fut un Roi compétent, bien qu'il passe le plus clair de son règne en Italie à combattre d'abord les Ottomans, puis les Savoyards, ce qui lui valut le nom de "Louis XI l'Italien".
1449 - 1451 : Charles VII, débuts d'un Roi.
Louis XI étant mort sans descendance, c'est Charles VII qui lui succède. Comme Louis XI, il a une certaine prédisposition aux arts militaires et, comme lui, c'est à l'âge de quinze ans qu'il accède au trône, après une courte période de régence. Très vite, Charles VII s'entoure, comme ses prédécesseurs, de conseillers. Étienne de la Rochechouart est remplacé par Denis de Bonnefoy, un autre militaire, beaucoup plus réformateur. Celui-ci lui conseille, en réaction à l'élection de la Duchesse de Milan en tant que Sainte Impératrice de l'Empire Romain Germanique, l'annexion rapide de la République de Gênes, un port important et au cœur d'un trafic commercial très riche, dont les Milanais avaient déjà essayé de s'emparer quelques mois auparavant, sans succès. La jeune impératrice ne l'entendit cependant pas de cette oreille, et voulut empêcher cette annexion. Si les Français menés par le Maréchal de Maurepas craignirent une guerre plus difficile que prévu, c'était sans compter la fourberie des Habsbourg qui, alors que les Milanais s'armaient contre les Français, attaquèrent les premiers dans le dos. Très vite, les armées milanaises furent débordées et anéanties. Les Autrichiens s'accaparèrent des villes de Brescia, Cremona et Vérone, tandis que Charles VII ordonnait l'intégration de Milan au domaine royal.
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Mékaz
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12-05-2013, 10h49
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Dunke
Corvéable
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#40
12-05-2013, 01h33
La sardaigne anglaise
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16heurdumat
Eplucheur de patates
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#41
12-05-2013, 09h03
Superbe partie, j'ai hâte de voir la suite
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L'historien du dimanche
Still Alive
Tacticien théorique
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#42
12-05-2013, 19h23
Pas moi!
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Polo_lux
Tacticien de bibliothèque
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#43
12-05-2013, 21h58
EMPIRE OTTOMAN – SESSION 2
24 Juillet 1421
Padischah Ottoman, Sultan d’Alger, Khan Jalayirid et Protecteur de Tunis Polo II Osmanli
Le téméraire
C’est baigné dans la lumière d’Allah que les armées ottomanes vainquirent les armées franques lors de la bataille de Tolède, c’est sous cette même lumière que ces mêmes armées triomphèrent des hordes de l’Akonyulu, implantant alors solidement l’empire au sud du Caucase et repoussant ses frontière à l’Est.
Plus au nord se dresse alors, face aux armées invincibles du sultan le royaume chrétien de Géorgie, ou plutôt ce qu’il en reste, un cadavre sinistre du fait des incessantes razzias perpétré sur ces terres par les khans de la horde d’or venue de Tartarie.
Néanmoins, ce royaume dispose d’immenses richesses minérales et d’un potentiel économique non négligeable, l’or de mines d’Alanie et les vignes du bord de la mer noire sont autant de ressources à portée de main du Sultan. Le jihad ne durera qu’un an et les 4000 géorgiens conduis par Teimuraz I Sharashidze sont écrasées au Daghestan par Hüseyin Serdar, à la tête de 7953 turcs (47 étant mort de la peste avant la bataille).
Teimuraz, capturé alors qu’il tentait de s’enfuir déguisé en paysan, sera dépecé à coup de cimeterre et enterré vivant.
Malgré ces succès, et l’amitié inébranlable qui liait les deux sultanat, le nouveau sultan de Maroc, Al Jéjé, décida, de manière injuste, de briser l’alliance le liant à Polo II, et par la même occasion brisa la confiance qui avait lié les deux royaumes musulmans.
Comble de la provocation, au même moment, des représentant marocains se rendirent en Thrace pour y nouer des contrats commerciaux.
Les hommes ne considérant uniquement que l’argent, au mépris de l’honneur, tel que ce Al Jéjé, ne sont aux yeux du sultan que de la vermine.
Plus au Sud, le Khan Jalayirid, alors en guerre contre ses voisins perse et mamelouks, meurs sans héritier lors d’un sanglante bataille ou 11.000 de ses hommes sont vaincus par 26.602 esclaves guerriers mamelouks. Face à cette déroute sans précédent, les nobles de Bagdad offrirent au Sultan Osmanli la couronne Jalayiride. Chose qu’il accepta malgré la situation catastrophique de la guerre et la décomposition avancée du Khanat.
Le mois suivant 20.000 turcs pénètrent en Syrie et 2 semaines plus tard des envoyés mamelouks se rendent à Edirne pour y négocier une paix très avantageuse pour le sultan : Polo II est confirmé Khan Jalayirid par les souverains musulmans et ces nouvelles possessions seront évacuée par les mamelouks pour revenir à la situation
ante bellum
.
Cette victoire à la fois diplomatique et militaire conforte Polo II Osmanli comme l’un des plus grand souverain d’Asie et le plus glorieux du monde islamique, à côté duquel les rois d’Europe ne semblent être que de vulgaires seigneurs de guerre.
Le tournant le plus important du règne de Polo II Osmanli fut le jihad contre Naples, protégée par le roi Habsbourg, et contre les dernières possessions italiennes des Dreux de Bretagne. L’Empire ottoman est aidé en cela par son fidèle allié Anglais.
Malgré quelques revers initiaux contre les italiens qui réussissent à opposer près de 60.000 hommes aux turcs dès les premiers jours de la guerre, les premières bonnes nouvelles ne tardent pas à tomber. En effet, les alliés de la péninsule sombrent comme à leur habitude dans la discorde et les 2 piliers de la coalition que sont Milan et les États pontificaux se retirent de la guerre suite à la promesse du Sultan de pas envahir la cité sainte et de rendre au duc de Serbie son indépendance.
Ceci étant fait, les dernières troupes autrichiennes et italiennes s’opposant aux alliés turcs et anglais sont écrasées à Naples et leurs restes sont anéantis par la cavalerie anglaise lors de leur fuite à travers l’Italie. Le royaume de Naples est soumis après un court siège tandis que les forteresses bretonnes se rendent les unes après les autres. Le roi de Naples fut ramené à Edirne ou il fut hissé enchainé en haut d’un tour du palais du sultan pour y servir de gargouille jusqu’à la fin de sa vie.
Loin du conflit, dans son tas de boue de Vienne, l’arrogant roi d’Autriche Pierrus la pleurnicheuse, ne consent à reconnaître la victoire ottomane que du bout des lèvres et refuse de payer des compensations suite à sa désastreuse intervention en Italie. Il en va alors de l’honneur de l’Empire de montrer au monde sa puissance en frappant l’Europe, le Saint-Empire et l’Allemagne en son cœur, à Vienne.
L’archevêque d’Achillée, au cœur des discordes entre les royaumes de France et d’Autriche, voit cette entrée fracassante de l’Empire Ottoman en Europe un bon moyen de gagner son indépendance, les troupes turques pourront débarquer à Gorizia, au Sud de la Carinthie autrichienne. Le roi d’Autriche, pensant la guerre loin de lui, est complètement pris par surprise par l’assaut des ottomans dans les Alpes et le reste de ses armées, ceux qui ne sont pas mort en vain en Italie, sont massacrées par les soldats de l’Islam, les officiers sont empalés et les nobles décapités. L’intervention du prince de Brandebourg et du roi de Pologne n’aura aucun effet, Kazimierz est vaincu à Vienne et au même moment les Brandebourgeois sont repoussés dans les Sudètes. Les fort autrichiens tombant les uns après les autres, 3 provinces autrichiennes sont sous le joug turcs et la campagne autrichienne est dévastée.
Le roi d’Autriche refusant toujours de payer des compensations s’en va alors chialer chez le roi de France, qui, fatigué par ses pleurs incessant, se décide à intervenir au nom de la défense de la chrétienté, il sera rejoint en cela par le roi de Castille, soucieux de se venger de son humiliation encore récenté.
Les généraux Français disposeront calmement leurs troupes en Achilée, en sachant très bien que les ottomans ne pourront les attaquer du fait de la trêve, importante aux yeux de Dieu et datant du dernier Jihad.
Ne pouvant faire face aux armées coalisées des cinq rois chrétiens, et ne pouvant monter à l’assaut des camps Français, Osman Tayyar, grand vizir à la tête des troupes turques entame un catastrophique repli à travers la Hongrie. Sous les incessant assaut des brigands, et avec des conditions climatiques désastreuse, les ottomans perdront de nombreux hommes durant cette fuite.
Les troupes de retour en Grèce sont aussitôt réembarquées et renvoyées au Sud de l’Italie pour se préparer à l’assaut des chrétiens. Ceux-ci ne tarderont par à arriver, avec une armée forte de 70.000 soldats venus de toute l’Europe. Face à eux ne se tiennent que 40.000 turcs. Malgré tout, ce sont les ottomans qui mèneront en premier les attaques, mais la topographie de l’Italie étant ce qu’elle est, les assaut se soldent tous par de sanglant échec.
Après cela, tel un mastodonte, l’armée chrétienne se porta sur Naples ou les débris turcs furent rapidement défaits, les forteresses de Naples et de Tarente furent ensuite soumis à un rude siège. La suite de la guerre ne se résume qu’a plusieurs tentative échouée des turcs de reprendre pied sur le continent depuis la Sicile protégées par les flottes ottomanes, notamment une, ou 45 776 musulmans mené par Tayyar percutèrent l’armée chrétienne en lui infligeant de très lourde perte à proximité du détroit de Méssine, celle-ci reflua alors en désordre vers Naples, talonnée par les cavaliers spahis du sultan.
La seconde bataille au pied des mur de Naples, celle qui aux yeux de tous déterminera qui des ottomans ou des coalisés l’emporteraient fut un carnage pour les deux camps, et seule l’intervention du Maréchal de Maurepas, à la tête de 10.000 gascons renversa le cour de la bataille et de la guerre au profit des chrétiens.
Néanmoins l’armée chrétienne, très affaiblie ne pu poursuivre les fuyards turcs qui se réfugièrent à nouveaux en Sicile.
Spoiler:
Jean-Philippe de Maurepas et Osman Tayyar, respectivement Maréchal de France et Grand Vizir Ottoman, les deux hommes s'affrontèrent à la fois en Espagne et en Italie.
Si la campagne terrestre, fut longue, sanglante, laborieuse et se conclura par une victoire chrétienne. Le second champ de bataille, la méditerranée, fut beaucoup plus propice aux Sultan, les flottes chrétiennes (surtout Française et Castillanes) étant écrasée par la marine impériale qui captura 7 bâtiments et leurs équipages.
Spoiler:
La Bataille de la baie de Naples, qui vit la victoire des flottes turques sur les chrétiens
La guerre aurait pu alors s’éterniser, mais les chrétiens soumis au joug de l’empire se soulevèrent contre le Sultan, les géorgiens, les bulgares et les Epirotes furent parmi les plus virulent. Ils furent en cela aidés par de très lourdes subventions des marchands hanséatique soumis au prince électeur de Brandebourg et par les razzias commissent en Bulgarie par les hussards polonais dans le but d’épuiser les populations loyalistes.
Les pertes financière furent énormes et l’empire contracta des emprunts pour recruter des mercenaires chargés de maintenir la paix dans l’empire. En parallèle de cela, la banque impériale frappa tant de monnaie pour soutenir les dépenses de guerre qu’une inflation galopante menaça la stabilité économique du sultanat et la crédibilité du pouvoir en place.
Polo II Osmanli est ainsi contraint par les rois chrétiens de relâcher le royaume de Naples, ainsi que la Sicile qui y sera rattachée. L’avancée de l’Empire Ottoman en Europe est brutalement stoppée.
Suite à cette défaite, cloitrée dans son palais, le sultan Polo II Osmanli se laissa lentement dépérir pendant que les chrétiens se soulevaient en masse partout dans l’empire, menant même à la réapparition éphémère d’un royaume de Géorgie.
Mais le grand vizir Osman Tayyar tenu bon. Il écrasa dans le sang toutes les révoltes et cela malgré les moyens limités en hommes et l’état désastreux de l’armée turque. Il pris aussi deux décisions qui auront un très fort impact politique : la levée de l’embargo contre la Hollande qui ne participa pas à la croisade malgré les pressions des coalisés et la mise en place d’un autre embargo contre le Maroc, cette fois, pour le punir de sa trahison, de sa neutralité complice et profiteuse et pour l’attitude scélérate et déshonorante du sultan en général.
L’action de Tayyar en matière économique fut avant tout de régler les différents emprunts liant la couronne, plus que la lutte déflationniste, l’inflation atteignant près 8%. La flotte, malgré ses succès durant la guerre, vue ses moyens se réduire, 19 caraques, dont les 7 capturées aux chrétiens furent démantelée à Sinope, les équipages chrétien (de très beau et jeunes hommes français) furent vendus comme esclaves aux khans de la horde d’or et disparurent dans le steppes.
L’Empire Ottoman affronte maintenant de sombres jours, mais il reste tout de même une puissance économique, politique et militaire très importante, et si son avancée à été temporairement suspendue, elle ne l’est sûrement pas définitivement. De plus Polo II Osmanli, bien qu'âgé et dépressif, n'a rien perdu de son génie qui le conduisit autrefois au succès.
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Dunke
Corvéable
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#44
13-05-2013, 01h01
C'était surtout de très beaux et jeunes hommes castillans capturé
.
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Restif
Central Scrutinizer
Stratège avancé
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#45
13-05-2013, 07h32
Oui mais bon, sur le marché Tatar (et de manière générale), un Français
vaudrait
10 Castillans
.
Enfin, ce n'est pas moi qui le dit
.
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