[Larkh]

MALAISIE STRONK
MALAISIE RELIENT

[lombrenoire]

Très très impressionnant quand même !

[Captain Prussia]

Chapeau bas!

[Kellermann]

Magnifique, Faites régner le Violet !

[Nemo]

@Thalamus: Wow énorme cette Malaisie

Allez, quelques screens de ma partie avec la Norvège :

Europe du nord:


Amérique du nord:


Caraïbes:


et enfin la Chine:


+quelques petites îles dans le pacifique.

Je tiens quand même à remercier la Russie, qui m'a plus d'une fois sauvé d'une invasion totale de la Suède (sinon je ne serais pas allé bien loin dans cette partie)

[Kellermann]

Salut !

"Alles Erdreich ist Österreich untertan" !

Il appartient à l'Autriche de commander à tout l'univers !

Bon je vous montre mon Autriche en 1532,



Union personnelle avec la Hongrie, union personnelle avec la Bourgogne (et oui, mission "Héritage Bourguignon" qui donne le casus belli forcer l'union, ce que j'ai fait).

Ensuite je suis arrivé en Italie via vassalisation de Urbino, conquète de Venise, je me projette d'attaquer tout ce qu'il y a autour de mes terres Bourguignonnes, et de prendre la Bavière ainsi que la Suisse, puis de faire de même pour la Bohème tout ça en vassalisation ou diplo ou via l'attaque.

Voilà !

[Stellaria]

Thalamus si cette partie a été fait sans code et sans "je perds une guerre je recharge une save précédente" c'est une (tres) belle performance.


ps: si si meme si j'ai ralé je sais reconnaitre les bon trucs

[yahiko]

Voici le Royaume de France en 1539.


Les Anglais ont été boutés hors de France comme il se doit assez rapidement.
S'en ait suivi une lutte à mort contre l'alliance Breto-Bourguignonne qui m'a permis de vassaliser la Bretagne et d'hériter de provinces bourguignonnes grâce à l'event de partage.

J'ai ensuite été contraint à un coup d'arrêt dans mes ambitions à cause d'un protestantisme se propageant comme une trainée de poudre à travers mon Royaume. Cela a bien durée deux décennies avant que je puisse rétablir la seule et unique foi, grâce notamment à la doctrine religieuse.
Désormais les troubles religieux sont derrière moi mais mes revenus en ont beaucoup souffert.

Une fois les hérétiques maîtrisés, je me suis attelé à repousser le Saint Empire qui, par l'intermédiaire de l'héritage bourguignon et de conquêtes militaires, m'encerclait dangereusement au Nord et à l'Est. Par tout un jeu d'alliance et en profitant d'une Autriche empêtrée dans deux conflits, j'ai envoyé mes régiments sur Vienne qui ont forcé l'Empereur à abandonner ses ambitions hégémoniques sur l'Europe. Même s'il faut toujours se méfier de l'increvable SERG, il appartient désormais au passé.

Je me retrouve actuellement dans une position de leader en Europe où j'ai pratiquement terminé l'absorption de mes vassaux historiques.


Ma stratégie actuelle axée fortement sur la diplomatie consiste vassaliser puis d'annexer les petits Etats d'Europe.
Parmi mes vassaux actuels, on compte : la Bretagne (sur le point d'être annexée), La Flandres, la Hollande, Hainaut, le Luxembourg, la Lorraine, la Provence (en fait Avignon et le Barrois) et la Toscane.


Gros point noir au tableau est que je suis pour le moment totalement absent de la course à la colonisation. J'hésite à rejoindre le Portugal et l'Espagne dans le Nouveau Monde ou bien à me concentrer à asseoir ma suprématie européenne, sachant que je n'ai pas l'impression que la colonisation apporte tant que ça en terme de bénéfice économique.

Il me faudra quoiqu'il advienne m'occuper d'une très puissante l'Espagne alliée au Portugal et à la Savoie, ainsi qu'à la Perfide Albion qui a achevé sa conquête de l’Écosse et de l'Irlande.

[Kellermann]

Les bénéfices de la colonisation ? Monstrueux, surtout point de vue Commercial ! Normalement tu peux essayer de t'emparer de l'Amérique du Nord et du points de Cheesapeek , tu transféreras à Bordeaux et tu seras peté de Tune !

[yahiko]

Les bénéfices de la colonisation ? Monstrueux, surtout point de vue Commercial ! Normalement tu peux essayer de t'emparer de l'Amérique du Nord et du points de Cheesapeek , tu transféreras à Bordeaux et tu seras peté de Tune !

Mon doute sur la colonisation vient du fait que les frais de maintenance des colonies me paraissent élevés (sans compter les régiments indispensables pour mater les révoltes indigènes qui du coup ne sont pas en métropole) pour des droits de douanes pas terribles.

En tout cas, comme je n'ai jamais encore tenté la colonisation de l'Amérique du Nord et que le noeud de Cheesapeek est très alléchant, je vais tenter le coup ^_^

PS : Impressionant ton rush avec le SERG ;-)

[Kellermann]

Merci c'est loin d'être fini !

La maintenance coloniale est de, pour chaque colonie en cours de peuplement (sachant que pour qu'une colonie se peuple vite il faut 1 colon dessus, et que avec exploration tu as droit à 1 colon ou 2 je sais plus) te coûte 2 Ducats par moi, soit 4 ducats si tu as 2 colonies en cours de construction. C'est donc très peu comparé aux revenus de la France, et pour les hommes, envoyer 5000 hommes en Amérique peut régler le problème des indigènes facilement, en laissant un max d'hommes chez toi !

[Hypocrite]

"Alles Erdreich ist Österreich untertan" !

Austriae est imperare orbi universo plutôt x).

[Kellermann]

Wai mais ça c'est en latin !

[bisthebis]

C'est clair que la colonisatio n'est pas TOUJOURS rentable, si il y a trop de concurrence et qu'on n'arrive pas à tirer d'avantages commerciaux, les droits de douanes seuls rentabilisent généralement la colonie en un siècle

[yahiko]

En l'an de grâce 1623, moins d'un siècle depuis mes précédents écrits, le Royaume de France a évolué en profondeur.


Désormais, pratiquement toutes les provinces de culture française ou proche ont été intégrées au Royaume. Pour preuve le breton et le basque ne sont plus enseignés, le sentiment national est bien implanté et le catholicisme est reconnu comme la religion de tous les Français.

Cela ne s'est pas fait sans mal puisque qu'une deuxième vague de troubles religieux entraînant plus d'un quart du pays semèrent la discorde durant le 16è siècle. Ces maudits protestants de Huguenots ou autres Camisards réussirent à replonger la France dans une crise économique majeure pendant une décennie. Pour ramener le peuple à la raison, j'ai du faire quelques concessions en promulguant la Déclaration d'Indulgence et en m'appuyant sur la nouvelle doctrine nationale "Liberté, Égalité, Fraternité". Bien que prônant officiellement la tolérance afin de limiter les malus économiques et politiques du protestantisme hérétique, la persécution des partisans de cette prétendue religion réformée se poursuit avec acharnement et sans relâche.

Mais ne nous fions pas aux apparences. Je ne suis pas un pur zélote. Ma fidélité envers l’Église apostolique et romaine n'est pas désintéressé. Loin s'en faut. Grâce aux temples qui outre les ducats sonnant et trébuchant me rapportent aussi de précieux points d'influence papale, La France a pu placer au fil des ans ses cardinaux au sein de la Curie romaine. Cela a payé puisque la Fille aînée de l’Église contrôle à présent les décisions du Saint Père. Alléluia ! Le diplomate en bonus est une bénédiction. Avec mes cinq diplomates au total, mes relations avec la majorité des pays européens sont au beau fixe.

A la périphérie de mon Royaume qui s'apparente pratiquement à un Empire, l'absorption de mes vassaux suit son cours, aussi bien au Nord avec la Flandre et la Hollande, à l'Est avec l'Alsace, la Lorraine, ou encore en Italie avec la Toscane. Selon un principe de roulement, j'en ai profité pour vassaliser deux petits états dans la botte italienne que sont Sienne et Urbino, ce dernier ayant été un peu forcé par le son du canon. Les guerres permanentes dans les états germaniques mettant en jeu des alliances enchevêtrées m'ont pour le moment empêcher d'ajouter un vassal dans cette région. Le cas de l'état de Wurtemberg est par exemple symptomatique. Ayant fait l'erreur de contracter une alliance bien avant que les conditions de vassalisation soient remplies, ce minuscule état profita de ma puissance pour déclarer la guerre à son voisin. J'ai refusé net d'honorer mon alliance redoutant plus que tout un embrasement du conflit avec le Saint Empire qui a bien repris du poil de la bête.

L'Autriche est en effet de retour sur le devant de la scène. Après sa cuisante défaite face à mes troupes, elle a su utiliser son principal atout : sa lignée héréditaire. C'est ce qui lui a permis de faire main basse sur la Pologne et Bade et qui a pendant plusieurs décennies maintenue la Hongrie sous Union Personnelle. Cet immense extension de son territoire restaurant mécaniquement sa puissance militaire parmi les grands d'Europe, couplé au fait qu'elle est devenue l'alliée de la Grande-Bretagne elle-même est alliée au Portugal, font qu'il fut nécessaire d'entamer un rapprochement entre la France et l’impressionnant Danemark, dominant sans partage sur la Scandinavie.

Étant en phase de consolidation de mes positions au Nord et à l'Est, c'est sur la péninsule ibérique que j'ai pu poursuivre mon développement. Guettant l'ouverture, j'ai profité d'une guerre hispano-marocaine qui allégea significativement la présence militaire espagnole d'Europe pour me lancer dans une succession de campagnes. Elles furent toutes victorieuses bien que la première fut la plus longue et la plus coûteuse. Mais au final les gains furent inestimables. La Castille, libérée, entra en union personnelle avec la France, des provinces furent annexées ou vassalisées : Coni en Savoie et celles de la riche catalogne, la Navarre, et les points maritimes stratégiques que sont la Galice et le duché de Grenade.

L'Espagne n'est plus que l'ombre d'elle-même. Seules ses possessions coloniales en Argentine, dans les Caraïbes et dans le Golfe du Mexique témoignent encore d'un prestige désormais révolu.

D'un point de vue colonial, cette campagne espagnole fut également bénéfique à la France puisque grâce à son union personnelle sur la Castille, les Français disposent à présent d'un joli pied à terre au nord de l'Amazone.

Mais je ne me suis pas contenté de simples colonies indirectes. J'ai suivi les bons conseils de Kellerman en obtenant une jolie position pour la Nouvelle-France dans la baie de Chesapeake.


Néanmoins, même avec mes dix navires légers protégeant le commerce de ce nœud, la concurrence anglaise se fait déjà rudement sentir. Hélas, je prendrai sur moi et supporterai les rosbeefs dans le Nouveau-Monde. Il faut dire que leur alliance avec le Saint Empire et avec les Portugais est tout à fait dissuasive. J'envisage plutôt de renforcer ma puissance commerciale à Chesapeake en apportant la civilisation aux indigènes primitifs de ces contrées. Car au delà de cette mission humaniste, c'est aussi et surtout l'une des seules possibilités d'expansion qui s'offre à la France, l'Europe étant pour le moment verrouillée par le jeu des alliances, en attendant l’Armageddon...