GPO mundus - Les GPOs , ça continue (PPDG) - Jeudi

**feedle** · 17-03-2022, 11h28

Smolensk > Ajam > Écosse

**AcidePrussique** · 17-03-2022, 12h07

Ivoaleks Je ne sais pas quelle version tu comptes utiliser pour ta GPO, mais je te déconseille fortement de basculer sur la 1.33.2 tant qu'elle n'a pas été patchée, et de plutôt rester en 1.32.x. Les bugs de désynchronisation sur la nouvelle version sont légion en MP, notamment quand un membre de la cour d'un joueur humain vient à mourir...

Bon amusement.

**kawayacine** · 21-03-2022, 15h57

Bonjour,

Hesse/Saxe/Bretagne/Karaman

**feedle** · 21-03-2022, 22h13

Je ne pourrait finalement pas être là ce jeudi, mais si y a trop de problèmes et que la GPO est reportée, je pourrais venir jeudi prochain

**Sasayanel** · 23-03-2022, 11h39

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Je ne pourrait finalement pas être là ce jeudi, mais si y a trop de problèmes et que la GPO est reportée, je pourrais venir jeudi prochain

La GPO sera lancé que jeudi prochain : le 31 mars

**feedle** · 24-03-2022, 11h36

Finalement, je vais pas pouvoir être là jeudi prochain non plus. En semaine j'ai pas beaucoup de temps

**Sasayanel** · 10-04-2022, 00h06

Le comparatif des grandes puissances de ce monde
A.K.A les Tiers
Session 1 - 1469

https://skanderbeg.pm/browse.php?id=c210d5

Tiers 1 : Puissances majeures : Les pays solides en passe de dominer leur région et capable de porter leur influence en dehors.

Bretagne : Sans conteste le meilleur départ, une Breizhkrieg qui permet au pays d’afficher des revenus indécents digne d’une république marchande et une des plus grandes armées du continent. L’expansion semble inarrêtable et la petit Bretagne a maintenant décidée de faire sienne la grande. Seule ombre au tableau, la formation de la France ne se fera pas sans combat.

Venise : La riche république sérénissime domine sans conteste l’Adriatique et s’enrichit bien plus que sa sœur voisine. De plus, l’échec de la Serbie ouvre un boulevard au pays pour former la Croatie, qui ne s’est pas gêné pour se former une belle marche Byzantine et mettre un pied dans les Balkans. Reste maintenant à voir qui s’élèvera pour contester son hégémonie.

Tiers 2 : Puissances régionales : les pays ayant un bon contrôle de leur zone d'influence naturelle.

Gênes : La république de Gênes prospère sur son riche nœud bien qu’elle ne brille pas d’un éclat aussi luisant que sa sœurette. Le pays semble s’étendre à l’Ouest et devrais permettre de ramener Lyon dans son giron. Les armées de la république ne sont clairement pas à sous-estimer mais sauront-elles faire face aux bretons si ces derniers décident de récupérer la Provence aux italiens ?

Hollande : La Hollande a bien poussée sur les berges de la Manche et est à un cheveu de former les Pays-Bas. Les coffres se remplissent et le pays a fait le choix ploutocratique en premier. Sans le risque d’une coalition dans le SERG, rien n’empêcherait le pays de continuer sa glorieuse expansion.

Portugal : Premier arrivé, premier servis. Après avoir repoussés les maures de la péninsule, les conquistadors portugais ont posé leurs bottes sur un nouveau continent vierge et gorgé de richesses. A cette vitesse, il sera le premier à prospérer sous les tonnes d’or du Mexique. Attention cependant aux IAS américaines qui eux sont à jours tech…

Norvège : Les nordiques prennent position tranquillement autour de la Baltique. La diplomatie norvégienne semble ménager la république de la Hanse sans prendre position au Danemark mais ce n’est pas le cas à l’Est où les armées coupent tout avancée russe en Finlande. Il est encore trop tôt pour savoir qui dominera la région mais la Norvège a clairement ses cartes à jouer.

Novgorod : La nation russe se porte bien et tient tête à ses voisins. Un partage semble avoir été conclu avec les croisés teutons et l’expansion au nord est arrêtée par les troupes norvégiennes. Reste l’incertitude ruthène au sud. Pour l’instant l’équilibre des forces semble incertain.

Moldavie : En parlant du chat, voila qu’il montre sa queue. Si les finances font grise mine par rapport à ses voisins (terres en cours de légitimation), le royaume de Moldavie peut se targuer d’avoir la renaissance dans sa capitale et une armée boostée aux missions. Le pays s’est très étendu jusqu’aux riches terres de Pologne, au nez et à la barbe des croisés baltes, et la marche Valaque est sécurisée à l’Ouest. Little tourne maintenant son regard à l’Est, peut être est-ce l’appel des steppes ?

Karaman : Le pays ne pouvait espérer commencer sous meilleure étoile. En moins de 5 ans, son rival Serbe de l’autre côté du Bosphore a vu ses terres complètement occupées par l’IA Byzantine. Une occasion en or pour le sultanat de faire main basse sur l’entièreté de la Thrace et la richissime capitale de Constantinople. Délivré de la menace chrétienne au Nord, le dirigeant va pouvoir concentrer ses efforts contre les Mamelouks qui ont profité de la session en prenant position à Antioche nécessaire au turc pour faire renaitre le sultanat de Rûm.

Irak : La secte des Musha prospère en bord de map. Logiquement elle a su sécuriser des frontières forte généreuses à l’Ouest jusqu’à la province d’Alep. De force égale, les tensions entre chiites et sunnites se feront surement ressentir lors du partage des moutons noirs. En tout cas, aucun obstacle ne semble pouvoir empêcher la renaissance des Sassanides.

Tiers 3 : Puissances émergentes : Pays de puissance moyenne contestant l’autorité et l’hégémonie des puissances régionales ou majeures.

Naples : La botte italienne vient de mettre un gros coup dans les baloches de la Serbie. La moitié de la Grèce est assujettis à la couronne Napolitaine et son influence monte jusqu’à Sienne tandis que Naples abrite les meilleurs joailliers de l’Europe. Maintenant que les frontières européennes semblent quasiment fixées de son côté, les ambitions napolitaines pourraient bien se porter de l’autre côté de la méditerranée.

Ecosse : Sur le papier tout baigne pour les écossais, si ce n’est cet irritant voisin qui vient de débarquer avec ses armées pour revendiquer les terres de Cornouailles. Aïe. De plus, l’adoption des doctrines d’exploration si elles promettent un gros scaling, ne permettront pas dans l’immédiat de tenir tête à ce voisin envahissant. Tout du moins seul.

Hesse : Actuellement, l’un des meilleurs blobs de l’empire. A jour tech et bien avancé dans ses doctrines innovatrices, le pays possède l’un des meilleurs revenus parmi les princes électeurs et réclame la couronne impériale. Les églises fleurissent dans tout le pays. Bravo pour ce start pas forcément évident.

Lubeck : Les revenus de la ligue hanséatique n’est pas aussi florissant qu’il pourrait l’être. Cependant cela semble être une question de temps avant que Sjaelland ne rentre dans le giron des commerçants allemands. Si le blob du pays a été honnête, on ne peut s’empêcher de regretter l’intégration du Hanovre dans les frontières hessoises.

Mamelouks : Les terres fertiles du Nil n’empêchent pas les Mamelouks de traverser une période de creux économiques saupoudrée d’emprunt. Cependant cela n’enlève rien à la fulgurante expansion du pays qui voit ses tentacules s’étendre tout le long de la Syrie, jusqu’aux portes de l’Anatolie. Maintenant que les frontières sont sécurisées il va être temps de s’occuper de l’économie et de conquérir l’arrière-pays. A moins que le dirigeant préfère diriger ses armées jusqu’en Tunisie.

Aragon : Le temps du siècle d’or n’est pas encore venu pour l’Aragon. L’armée a connu des jours meilleurs et les frontières, même si elles sécurisent des terres vitales, ne permettent pas une expansion incroyable ; les Pyrénées risquent de devenir assez vite une frontière infranchissable surtout au vu des forces voisines. Au moins les musulmans ne semblent plus être un problème.

Maroc : marche arrière toute. L’expédition de l’autre côté du détroit a fait choux blancs. Il faut se refocaliser sur le Maghreb, le dirigeant entame la conquête de Marrakech. Il faudra attendre la fin du partage de Tunis pour voir se dessiner la puissance dominante de la région.

Ordre Teutonique :Au vu de l’expansion limité du pays, il semblerait que les chevaliers teutons aient préféré troquer leur épée contre des faucilles face à l’union de la Pologne et de la Lituanie. Il a fallu attendre que les ruthènes viennent toquer à leur porte pour qu’enfin les frontières s’étendent. Actuellement la croisade se porte à l’Est pour la libération de Minsk mais rien n’est encore sécurisé et les chevaliers font bien de rester sur leur garde.

Tiers 4 : Puissances mineures : Les pays qui pour l'instant ne pèsent pas encore réellement sur la partie.

Suisse : Doucement mais surement, les cantons souabes et savoyards rejoignent la confédération suisse. Les revenus sont décents et malgré quelques frayeur le pays taille son chemin. Il pourra vraiment décoller lorsque les terres à sa frontière nord seront intégrées à son territoire. Pour l’instant, il peut difficilement tenir tête à ses voisins.

Saxe : Les conquêtes saxonnes dans l’empire ont permis au duché de se tailler des frontières avantageuses, ramenant des taxes bienvenues dans les poches de l’état. Cependant le choix d’acheter la renaissance au prix de 500 ducats de dettes est assez contestable. Mis à part cela le pays pourra espérer avoir une place dans les puissances émergents la session prochaine.

Bavière : A deux doigts de descendre en tiers 4, le pays a failli vaciller face aux IA en early. Ces déboires ont laissé des traces avec un pays peinant à se build et une expansion pour le moins… limitée. Il va falloir accélérer la cadence pour ne pas rester sur le carreau.

Tiers 5 :In trouble

Serbie : Face à l'opulence de la grande Byzance, La chétive Serbie envoya ses armées au pas, Mais bientôt, face à tant d'orgueil, elle en creva. Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages. Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages. (modifié)

**Sasayanel** · 10-04-2022, 00h14

Le comparatif des grandes puissances de ce monde
A.K.A les Tiers
Session 2 - 1480

https://skanderbeg.pm/browse.php?id=b4f16f

Tiers 1 : Puissances majeures : Les pays solides en passe de dominer leur région et capable de porter leur influence en dehors.

Bretagne :
« Regarde Kévin, toute cette immensité baignée de lumière est notre royaume.
- Et l’endroit qui est dans l’ombre aussi ?
- Là-bas s’étend le Royaume de Castille, et Nom de Doué on va aller leur casser la gueule »
C’est sur ces mots que la reine de Bretagne s’élança avec ses chevaliers pour bouter les Espagnoles hors de France. C’est un âge d’or économique pour les bretons et rien ne semble plus pouvoir arrêter les armées de la futur France. Ces voisins doivent choisir entre ployer le genou ou se faire écraser. GG WP ?

Venise :Si l’opulence devait porter un nom, se serait sûrement celui de Venise. Immensément riche, la sérénissime se permet le luxe de mener des guerres en Orient en échange… de Constantinople. Avec la ville de toutes les convoitises sous son contrôle, ses marchands peuvent dépouiller les Balkans de toutes richesses, sous les applaudissements de la Serbie. Il ne manque maintenant plus qu’Athènes pour transformer l’essai.

Tiers 2 : Puissances émergentes : Pays capable de contester l’autorité et l’hégémonie des majeures.

Norvège : Le greed est intense en Laponie. Sans rival valable à ses frontières après le succès de la campagne militaire contre la république de Kholmogory, les Royaumes unifiées de Scandinavie se permettent d’entrainer leurs troupes afin de constituer l’armée la plus professionnelle au monde. Pour l’instant rien, ni personne n’a l’air en capacité de lui contester son hégémonie dans la région et le pays est en passe de s’imposer en tant que puissance majeure.

Abbasides : Après 200 ans d’absence, le Calife retrouve enfin son trône et la glorieuse dynastie des Abbasides règne de nouveau sur l’Irak… et au-delà. Les mosquées ont fleuri dans tout le pays et l’économie rivalise presque avec son voisin anatolien. Le choc inévitable entre ces deux puissances régionales risque de faire trembler la région et permettra de déterminer le majeur de la région.

Rûm : Pour pouvoir faire renaitre l’empire des Seljukides de Rûm, le Sultan a décidé de signer un pacte avec le diable capitaliste. Antioche contre Constantinople, le soutient des mercenaires vénitiens dans la grande campagne d’Egypte. La victoire des Turcs a bouleversé l’équilibre de la région, les Mamelouks sont sur le déclin avec la perte de la Syrie tandis que les vénitiens sont désormais bien implanté dans les Balkans. Reste à déterminer qui sera perdant lorsqu’il sera l’heure de faire les comptes

Bavière : Cette session marque la renaissance de la Maison de Wittelsbach. Fort de ses mines d’argents, les revenus du duché ont quadruplés. C’est maintenant une bavière s’étendant de Pest à Munich et dotée d’une armée nombreuse qui s’avance pour jouer dans la cour des grands.

Naples : Voila un pays qui jouit tranquillement de son âge d’or. Bien implanté en Grèce et en Italie avec la prise de Rome et la soumission du Pape, Naples a su développer son économie et prépare une armée de métier pour les conflits à venir. Préférant festoyer et s’enivrer de son vin qu’il exporte dans toute l’Europe plutôt que se mêler de politique internationale, bien malin celui qui prédira où se portera l’attention du roi.

Ecosse : Londres est tombé et les écossais dominent la totalité des îles britanniques ? Toute ? Non, car un petit village de breton résiste encore et toujours à l’envahisseur. Sans cette province clé, tout rêve de Royaume-Unis s’effondre. Pendant ce temps, de courageux explorateur ont pris pieds en Terre-Neuve, posant les bases d’un futur empire colonial.

Kholmogory :La république russe a essuyé une grosse tempête. La perte des territoires frontaliers au profit du voisin nordique qui amorce son snowball annonce des temps difficiles. Pris dans un jeu d’alliances déséquilibré, seule la diplomatie pourrait permettre d’améliorer la météo… ou un succès militaire miraculeux.

Tiers 3 : Puissances régionales : les pays ayant un bon contrôle de leur zone d'influence naturelle.

Gênes : Si actuellement le pays est asphyxié par le blocus aragonais, la victoire semble se profiler à l’horizon et avec elle de juteux profits pour les années à venir. Le retournement d’alliance au profit de la Bretagne semble avoir payée, mais il faudra attendre les prochaines sessions pour connaitre son impact véritable sur l’équilibre européen.

Ordre Teutonique : Changement de dirigeant, changement de diplomatie. L’Ordre s’éloigne de la Moldavie pour amorcer un rapprochement avec les Russes. Le pays finalise son blob avec le partage la Livonie et la vassalisation de la principauté de Polotsk mais voit la Pologne lui échapper au profit de la Saxe. Les tensions montent encore d’un cran à l’Ouest, alors que les nobles appellent à la guerre, le peuple demande plus d’investissement dans les infrastructures tandis que les intellectuels désespèrent de voir le pays prendre du retard technologique face à ses voisins. Reste à savoir qui le nouveau dirigeant préfèrera écouter.

Moldavie : Elles sont là, les étendus de steppes infinies, il ne reste plus qu’à convaincre le peuple ruthène que retourner au nomadisme est le meilleur choix pour lui. Les frontières Nord ne sont plus sûrs, les tensions avec la République des Russes et les chevaliers teutons ont aboutis à conflit ouvert duquel la Moldavie est sortie victorieuse grâce à l’intervention Norvégienne. Malheureusement sans avancée diplomatique, les conflits risquent de reprendre et sans scandinaves pour prêter main forte, l’issue risque d’être désastreuse.

Hollande : Les hollandais savent être patients. L’intégration de son espace vitale se fait doucement est surement et bénéficiera surement de la mort de son voisin hessois. En attendant les entreprenant marchands profitent de leurs doctrines d’avance pour installer des comptoirs en côte d’ivoire et faire concurrence au Portugal. Espérons que l’entreprise paiera, car pour l’instant les revenus du plat pays peinent à décoller.

Suisse : La Suisse étend son influence petit à petit sur les cités de Lorraine et de Souabe. Trop lentement malheureusement pour faire le poids face à ses gros voisins. Cela s’accélèrera peut-être avec la disparition de son voisin outre Rhin mais il faudra choisir entre les légitimations ou les doctrines novatrices.

Saxe : Sur le papier, les étoiles semblent s’aligner pour le petit prince de Saxe. L’annexion du cœur économique polonais, l’affaiblissement de la ligue hanséatique et la disparition de la Hesse devrait permettre au pays de dominer l’Allemagne du Nord sans partage. Seulement, le pays semble bloqué dans une spirale de dettes insolubles empêchant le pays de se développer correctement. Le peuple réclame que l’état investisse dans le pays, tandis que les appétits s’éveillent à l’Est. Les armées bohémiennes seront-elles suffisantes pour préserver les nouvelles frontières impériales ?

Aragon et Portugal : Cette fois-ci, c’est aux ibériques de subir un revers majeurs. Face à leur alliance pour se partager le Maghreb et à l’incursion espagnole en Occitanie, la Bretagne et les marchands génois ont fait front commun. Après avoir signé une première paix blanche, les armées italiennes et françaises traversent maintenant les Pyrénées pour piller le pays. La paix humiliante ne tient plus qu’à une forteresse. L’Aragon arrivera-t-il à arracher une paix convenable pour son pays ?

Mamelouks : Arrivée en fin de session, le joueur se demande s’il n’a pas lancée une campagne RP. Cette défaite en Syrie ampute le sultanat d’un développement considérable et de revenus commerciaux conséquents. Affaiblis, sans possibilité de réunifier l’Egypte et à la merci de ses voisins, le Sultan va devoir mener sa barque dans des eaux tumultueuses s’il veut remonter la pente.

Tiers 4 : Puissances mineures : Les pays qui pour l'instant ne pèsent pas encore réellement sur la partie.

Serbie : La Serbie semble avoir trouvé un protecteur… ou un tyran, difficile à dire. Le despotat de Serbie doit la vie à la sérénissime et celle-ci l’aide dans ses guerres. Mais en contrepartie, son espace vitale s’est fait annexer par Venise et son commerce est entièrement ponctionné par cet envahissant suzerain. L’annexion de la Transylvanie et d’une contrée hongroise vient bien compenser en partie ces pertes mais ce n’est pas sans tensions.

Lubeck : Hanovre outragé ! Hanovre brisé ! Hanovre martyrisé ! Mais Hanovre libéré ! Libéré par le courage des armées de la REPUBLIQUE ! Soyons reconnaissant de l’aide apportée par nos frères d’Ecosse et de Bavière qui ont su repousser l’infame coalition qui cherchait à remettre les tyrans au pouvoir. Les prochaines années seront dures, nous devrons faire des sacrifices, mais au fond de nos cœurs, nous savons que notre cause est juste.

Maroc : La survie du Sultanat n’a tenu qu’à un fil. Ou plutôt à une alliance de circonstance. Incapable de repousser la Reconquista arago-portugaise, c’est l’intervention de la Bretagne et de la république génoise qui empêcha la ruine du pays. Malgré son extension dans le Maghreb, le pays peine à se développer et son destin dépend des volontés bellicistes de l’alliance ibérique ainsi que de la protection des armées françaises.

Tiers 5 : In trouble

Hesse :
La Hesse, ayant greed tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la Hanse fut venue.
Face à cette discipline
Eliminist patine
Ne reste plus qu’à rendre les armes,
Et dans la honte, sécher ses larmes.

**Sasayanel** · 19-04-2022, 20h04

Le comparatif des grandes puissances de ce monde
A.K.A les Tiers
Session 3 - 1514

https://skanderbeg.pm/browse.php?id=35f792

Tiers 1 : Puissances majeures : Les pays solides en passe de dominer leur région et capable de porter leur influence en dehors.

France : Montjoie ! Saint-Denis ! Il aura fallu moins d’un siècle pour que les ducs de Bretagne unifient les Francs et restaurent le Royaume à la fleur de Lys. Le peuple désormais unit sous le règne de Jean VIII enchaine les victoires écrasantes contre les ibériques et les wallons. Le pays connait un âge d’or économique et culturelle tout en étendant son influence sur ses voisins. Depuis leur palais des tuileries, l’hégémonie des Rois de France semble incontestable.

Empire Latins d’Orient : Lorsque les remparts d’Athènes s’effondrèrent, le nouvel Empire Latin émergea. Son emprise sur les Balkans est incontestable, son prestige immense avec la restauration de Constantinople. Son armée professionnelle s’est réformée et semble désormais capable de rivaliser avec les grandes puissances d’Europe. Entre un Empire Latins et un Empire Romain, il n’y a qu’un pas.

Bavière : Après Pest et Vienne, c’est Prague qui est sur le point d’intégrer le Royaume de Bavière. Le prince est en passe de réclamer l’héritage Austro-Hongrois et affirme peu à peu son ascendance sur les autres puissances du Saint-Empire. Face au péril de la réforme qui menaçait d’embraser ses terres, le dirigeant du céder aux exigences des luthériens et renoncer à ses prétentions sur la couronne impériale… pour l’instant.

Tiers 2 : Puissances émergentes : Pays capable de contester l’autorité et l’hégémonie des majeures.

Abbasides : Cette décennie aura vu le califat perdre pied dans le Causase au profit du Rûm. Son frère ennemi d’Anatolie, envoya ses armées assiéger le pays mais les troupes Abbassides repoussèrent sans mal l’envahisseur… jusqu’à l’arrivée des condottières Moldave menés par un général d’exception. Incapable de résister face au nombre et sans alliés du fait de son isolement géographique, le dirigeant du céder. L’infame traité de paix enterre tout espoir de paix à l’Est.

Rûm : C’est une grande victoire pour les Turcs qui obligent le calife à s’asseoir à la table des négociations face à un traité très salé. Ils peuvent remercier grassement leur mercenaires Moldave sans qui la victoire semblait impossible. Désormais les marchands turcs bien établis dans le Caucase ponctionnent une jolie part du commerce iranien, au grand dam de Bagdad.

Kholmogory : Des rivières de sang se sont écoulés sur les plaines enneigés du Nord pour que les russes épaulés des Teutons puissent imposer leur présence sur le golfe de Finlande. Une guerre couteuse mené tambours battants contre la Norvège et la Saxe finalement rejoins par les tatars de Moldavie. C’est une importante victoire qui vient laver le souvenir de la précédente défaite, mais la République sera-t-elle en mesure de faire barrage longtemps à la menace d’une union des peuples scandinave ?

Hollande : Deuxième puissance allemande, l’empereur aurait pu s’affirmer comme le premier rempart des princes électeurs, si seulement son voisin français n’avait pas écrasé ses armées aux portes de Liège et annexé le rethélois. Ce signe apparent de faiblesse décida le Portugal à envahir les colonies hollandaises en Afrique et aux Caraïbes. Cette guerre décidera de la place de la Hollande parmi les grandes puissances du continent.

Moldavie : Le futur grand Khan avait prévu une session de développement économique en signant un traité de non-agression avec la république de Kholmogory. De quoi préparer le pays au grand bond vers le nomadisme. Mais face à l’attaque de la Norvège, après de longue tergiversation, le dirigeant a choisi la guerre. Trop tard cependant pour peser dans la balance et empêcher la défaite. Soyez cependant assuré que les Russes se souviendront de cette infamie.

Ecosse : A l’Ouest, rien de nouveau. L’Ecosse a récupéré les dernières terres qu’il lui manquait afin de pouvoir unifier diplomatiquement les îles britanniques sous l’Union Jack. En Amérique, la colonie canadienne s’est établie sur l’Hudson tandis que les treize colonies s’étendent paisiblement. Une politique isolationniste menée avec brio.

Norvège : Pendant que les russes savourent leur victoire à la Pyrrhus, la Norvège peut continuer son développement. Le pays ne souffre pas de dettes mais son influence s’amenuise autour de la baltique avec la perte des côte finlandaises. Cependant, diplomatiquement le pays a constitué des alliances solides qui annoncent un retour des hostilités prochainement.

Tiers 3 : Puissances régionales : les pays ayant un bon contrôle de leur zone d'influence naturelle.

Naples : Au Sud de l’Italie Naples prospérais, mais c’était avant que les Vénitiens ne mettent les pieds dans le plat. A la seule force des canons et sans combat, la sérénissime a imposé la capitulation à son voisin sans défense. Lâcher Athènes a permis d’acheter du temps au Royaume pour espérer gagner en puissance et un jour faire jeu égal avec son inarrêtable voisin.

Portugal : Par petit sauts de puces, les Portugais ont su protéger leurs intérêts économiques en prenant tous les comptoirs d’Amériques du Sud et les principales mines aztèques. Mais le porto n’est pas partageur et, profitant de la faiblesse des Flandres, revendique les comptoirs hollandais en Afrique. Coup de génie ou erreur monumentale ?

Suisse : La jeune confédération suisse s’est considérablement agrandie cette session. Après avoir embrassé le protestantisme, le pays s’est doté d’infrastructures et commence enfin à récolter des impôts décents même s’ils ne rivalisent pas avec ses voisins. Les Suisses éprouvent toujours des difficultés à se doter d’une administration compétente mais rien qui soit insurmontable pour cette puissance montante.

Aragon : Il y a peu, l’avenir semblait compromis pour le royaume aragonais. Mais à nouveau dirigeant, nouvelles ambitions. Le joueur a su redresser le pays, les finances sont bonnes et les premières colonies de la couronne fleurissent dans le nouveau monde. Il faudrait maintenant lancer des réformes militaires afin d’être capable de défendre le pays des menaces extérieures.

Gênes : Suite à la reprise de l’Aragon par un remplaçant définitif, Kissing souhaitait faire la paix non en marchand mais en roi. Les baléares furent céder à la république tandis que les Dreux prirent possession de Vivier et Montpellier. Une affaire peu rentable pour des marchands déjà en difficulté par rapport à leurs concurrents de l’Adriatique.

Lubeck : Un autre Lazare ! Parfois il suffit de toucher le fond pour trouver la poussée nécessaire à la remontée. Les marchands qui auparavant croulaient sous les dettes jouissent actuelle d’intérêt mirobolants. Le marché de Lubeck tiendrait presque la comparaison face à celui de Venise. Gageons que cet argent permettra au pays d’investir dans ses infrastructures afin de trouver une place parmi les puissants.

Ordre Teutonique : Toujours pas d’éclaircis pour les croisés, le ciel est rempli de dettes pour des années. Une guerre couteuse pour des gains parfaitement nul, je ne peux que vous conseiller de ne plus suivre les conseils des cabinets Génois.

Serbie : cf son suzerain Venise.

Tiers 4 : Puissances mineures : Les pays qui pour l'instant ne pèsent pas encore réellement sur la partie.

Maroc : Pas d’argent, pas d’armée, pas de colonies, pas de tag formable. Le pays est littéralement à la merci de ses voisins. Le modèle économique Mamelouks n’est pas une référence.

Saxe : La Norvège ne vous dira pas le contraire. On a souvent besoin d’une plus petite que soi. Surtout quand celle-ci prend tout dans le minois. De grande reine promise à la gloire, la Saxe devint marquise des hauts-trottoirs. De Prusse ou de Russie, chaque trouffion et chaque benêt, a pu sur le ventre lui passer. A la fin de l’été ne restât plus qu’une souillonne labourée.

Mamelouks : Qui ça ?

Tiers 5 : In trouble

Lorsque tu scrute l'abîme, l'abîme te regarde aussi
Elle a faim, prends garde à ne pas être le prochain

**Sasayanel** · 30-04-2022, 21h38

Le comparatif des grandes puissances de ce monde
A.K.A les Tiers
Session 4 - 1534

https://skanderbeg.pm/browse.php?id=1a12be

Tiers 1 : Puissances majeures : Les pays solides en passe de dominer leur région et capable de porter leur influence en dehors.

France : Big Blue Blob is here ! Même si les guerres d’Italie se sont soldées par un statut quo grâce à l’intervention du vénitien, l’Empire de Français et des Germains est capable d’incendier n’importe lequel de ses voisins en 1v1 sans peine et son armée surclasse sans conteste les autres puissances majeures. Le français est parlé dans toutes les cours d’Europe et seul une coalition semble en mesure de pouvoir changer cela.

Autriche-Hongrie : A défaut des régalia germanique qui ont été honteusement légués à la France, l’Autriche peut se targuer d’être la 1ère puissance d’Allemagne. Mais quant à ce qui est d’appuyer son influence dans les Balkans, on repassera. La couronne austro-hongroise dans sa guerre pour contrer l’invasion de la Grèce Napolitaine a dû faire face aux armées latines et serbe réunies. C’est au pied de Vienne que fut signer le retour au statu quo ante bellum à quelques centaines de milliers de morts près.

Empire Latins d’Orient : Même si son éclat ternis face à la montée en puissance de ses voisins, les vénitiens continuent de faire la police dans les Balkans. Son intervention a permis à son vassal Serbe d’arracher une montagne peuplée de bergers albanais. Mais ce que le monde retiendra, c’est que les dieux aussi arrogants soient-ils peuvent saigner.

Tiers 2 : Puissances émergentes : Pays capable de contester l’autorité et l’hégémonie des majeures.

Pays-Bas : « Nous avons le triple A, nous sommes considérés internationalement comme un pays bien géré. » Martèle avec fermeté la dynastie Orangiste face à l’assemblée alors que le montant de la dette s’élève à 3000 ducats. Les défaites contre les Français et les Portugais ont été couteuses en plus d’amputer le pays de comptoirs et de villes stratégiques. Mais haut les cœurs ! L’avenir est plein de richesses, menés par un dirigeant plus que compétente le pays est promis à un avenir glorieux !

Hetmanat : C’est au terme d’une campagne éprouvante en Russie que les cavaliers Ruthènes ont pu sécuriser les berges de la Volga et mettre à genoux la jeune république de Novgorod. Débarrassé de son rival du Nord, aucun voisin ne peut désormais lui faire face si ce n’est les puissances d’Europe de l’Ouest. La soif de pillage se répand dans la horde et dès que le pays aura récupéré de ses dettes, on peut être assuré que des steppes déferleront les guerriers de l’Hetmanat.

Espagne : Quel renouveau pour cette nation partit de si loin ! Biberonnée aux ducats amenés par les marchands portugais jusqu’à Séville, le pays rattrape son retard économique à toute vitesse. Le pays a pu récupérer ses îles des baléares contre les marchands génois et greed désormais allègrement pour développer ses colonies et ses dernières infrastructures. Sans menaces à l’heure actuelle, la machine ibérique se met en marche pour être une puissance majeure de ce XVIème siècle.

Portugal : Colonies, colonies everywhere ! Une fois les Néerlandais évincés d’Afrique, le champs est libre pour dominer sans partage les terres vierges de ce nouveau monde. De Mexico jusqu’à Buenos Aires, aucune richesse ne peut circuler sans que le Roi du Portugal n’est le droit de mettre ses mains dessus.

Tiers 3 : Puissances régionales : les pays ayant un bon contrôle de leur zone d'influence naturelle.

Norvège : Les norvégiens auraient pu se réjouir de l’effondrement de la république russe qui menaçaient ses frontières finlandaise, mais finalement le danger s’est présenté de l’autre côté de la Baltique. Les flottes de la Hanse ont pris le contrôle du détroit Danois et menacent désormais le commerce scandinave. Rien n’est joué dans ce conflit qui pourrait bien chambouler le théâtre des grandes puissances.

Lubeck : Maintenant que ses positions sont bien établies en Allemagne, la ligue marchande cherche à sécuriser ses places commerciales en Baltique. L’invasion de la Norvège à cet objectif cruciale de dominer le juteux commerce de la région et assurer une domination économique sur ses voisins. High risk, high gain !

Royaume-Unis : Rien de nouveau sous la pluie londonienne, nouveau drapeau, même stratégie. Les Anglais colonisent l’Amérique du Nord tout en se développant bien à l’abris du danger de leur côté de la Manche.

Abbasides : Malgré sa précédente défaite, le califat semble cette fois-ci avoir pris l’ascendant sur son voisin. Son infériorité numérique est compensée par sa qualité au sommet alors même que son voisin ne cesse de s’endetter. La victoire se profile à l’horizon.

Deux-Siciles : Petit à petit, les Grèce napolitaine se fait charcutée. Impossible de tenir tête face aux Etats Latins et leurs vassaux. Dominée sur les mers, incapable de tenir économiquement, Venise étouffe petit à petit son voisin. Ajouté à cela l’arrivée d’une Toscane militairement solide, le Royaume des Deux Sicile voit ses marges de manœuvres se réduire une à une.

Toscane : Coincé entre la France et les Etats Latins d’Orient, le pays fait l’effet d’une tranche de salade entre deux gros steaks, ajouté à cela les tomates d’Espagne qui se rajoutent pour augmenter la pression. Heureusement pour lui, la pragmatique Venise a su protéger sa république sœur d’un funeste destin face à l’agression française. Il va falloir être subtil diplomatiquement si la jeune Toscane veut préserver sa croupe au milieu des loups.

Souabe : « Doucement le matin, pas trop vite le soir ». Tel est la devise Souabe. Le pays continue de renforcer lentement sa position de rempart allemand face au monstre français. Mais pour l’instant le bouclier a plus l’allure d’une rondache que d’un pavois. Il faudra forger des alliances solides si le pays veut être en mesure de se défendre par la pointe de l’épée.

Saxe-Poméranie : Ce fût une décennie de reconstruction pour la Saxe. Après avoir vu ses terres dévastées par les armées de l’Est, les forces berlinoises prirent pieds en Silésie et en Franconie conformément au traité de Thuringe signé en 1490 par les princes de l’Empire. Reste à savoir si ces gains territoriaux seront suffisants pour permettre aux allemands de tenir tête aux forces baltes.

Rûm : Rien ne va plus en Anatolie, une à une les forteresses de Géorgie et du Kurdistan tombent aux mains des Abbassides et ce malgré l’intervention des fidèles mercenaires Ruthènes (qui ont réussi l’exploit d’embraser les Balkans). L’économie flanche peu à peu sous la dette dont les intérêts représentent 1/3 des revenus du Sultanat. A moins d’une victoire décisive dans les mois à venir, le pays devra faire une croix sur les conquêtes territoriales qu’il a arraché précédemment.

Tiers 4 : Puissances mineures : Les pays qui pour l'instant ne pèsent pas encore réellement sur la partie.

Grand-duché Balte : La situation géopolitique autour du duché a de quoi donner des nuits blanches à son suzerain. Au sud les cosaques guerriers nomades deviennent intenables, à l’Ouest la Saxe revancharde reprend des forces et à l’Est c’est un ancien allié qui s’effondre. Espérons que le duc arrive à tirer son épingle du bourbier sinon son avenir semble compromis.

Maroc : Rien de nouveau sous le soleil du Tiers-Monde. Le pays a terminé son blob et s’il remonte économiquement il est très loin de faire jeu égal avec ses voisins (exception faites du déclinant sultanat Mamelouk). Mais après tout, la tortue finit par rattraper le lièvre.

Serbie : cf son suzerain.

Mamelouks : L’avantage de pouvoir continuer son blob en session 4, c’est que les IA ont plus dev le pays que n’aurait pu le faire le joueur. A part cela, bon courage.

Tiers 5 : In trouble

Novgorod : Dans les rues de Novgorod, le prêtre Raspoutine déclame ses verset devant une masse de moscovites inquiets :
« Je vous le dis, le temps du glaive et de la hache est proche, le temps du froid Blanc et de la Lumière Blanche, le Temps de la Folie et le Temps du Mépris, le Temple de la Fin. Le monde que nous avons connu a péri sous les sabots des barbares mais il renaîtra sous un nouveau soleil. Il renaîtra du Sang des Russes versés pour la patrie, de la graine semée. Une graine qui ne germera pas, mais éclatera dans une gerbe de flammes qui les engloutira tous. »

**Sasayanel** · 02-05-2022, 21h19

Le comparatif des grandes puissances de ce monde
A.K.A les Tiers
Session 5 - 1557

https://skanderbeg.pm/browse.php?id=4cee70

Tiers 1 : Puissances majeures : Les pays solides en passe de dominer leur région et capable de porter leur influence en dehors.

France : Une guerre expéditive dans la pyrénées a permis de rallier Toulouse à la couronne, alors que la coalition annoncée depuis des décennies ne semble pas vouloir se former. La prospérité française n’a jamais été aussi bonne, le pays a construit toutes ses manufactures et la banque nationale a de quoi rembourser l’ensemble de la dette européenne. Ce ne sont pas les options qui manquent, car l’armée est au beau fixe également. Ses voisins se font petits en espérant ne pas être sa prochaine cible ! La France, leader d’un camp catholique contre un empire protestant ?

Empire Latins d’Orient : Le sang appelle le sang ! Les Dieux avaient saigné pour la Serbie, ils ont mis un genou à terre en Croatie. La guerre avec les envahisseurs Autrichiens a mal tourné et la mine de Trentin semble devoir leur échapper. En revanche, la domination de l’empire latin semble totale sur ses autres voisins. Diplomatiquement, les options ne manquent pas pour redorer les blasons italiens, qui en ont bien besoin. La guerre des ligues imminente en sera-t-elle le déclencheur ?

Autriche-Hongrie : Après un échange rapide des terres du Palatinat au cœur de la Souabe contre la province de Brégence, la première puissance d’Allemagne est repartie à l’assaut de l’empire latin pour revendiquer la mine de Trentin. Cette guerre semble désormais gagnée et sa domination régionale actée. S’il est difficile de lui trouver un voisin direct menaçant, la guerre des ligues à venir pourrait rebattre les cartes dans la région.

Abbasides : Tonitruantes, Fulgurantes, Inquiétantes. Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier les récentes conquêtes et reconquêtes du califat Abbasside. Avec la disparition entérinée des derniers Mamelouks, il ne reste qu’un impuissant voisin à ce monstre qui s’étend désormais du golfe de Suez à la mer Caspienne. On le voit mal échouer dans ses futures conquêtes et l’Orient semble désormais promis à une domination Shiite pour une durée indéterminée.

Tiers 2 : Puissances émergentes : Pays capable de contester l’autorité et l’hégémonie des majeures.

Scandinavie : La Norvège agressée sur mer a su répondre en fournissant bois et canons à tous ses chantiers navals pour retourner la guerre d’agression Hanséatique à son avantage. Si le choix douteux d’un objectif de guerre à Gotland lui a permis ce revirement, il aura fallu le temps de construire une flotte de guerre suffisante pour décourager (temporairement ?) les envahisseurs marchands. Le démantèlement des Russes de Novgorod, qui permet de récupérer des provinces juteuses pour une bouchée de pain (sec), lui assure une domination du Nord sans partage depuis la Finlande et jusque au commerce convoité de Novgorod. La nation Norvégienne acte ces prises de territoires en proclamant légitimement la naissance du royaume de Scandinavie. Les menaces directes à son intégrité paraissent limitée grâce à sa marine et la domination régionale du royaume Scandinave semble avoir de belles années devant elle.

Pays-Bas : Une fois n’est pas coutume, les orangistes avaient raison ! La dette nationale contractée lors des guerres passées n’est plus qu’un mauvais souvenir et l’économie du pays décolle enfin. A l’international, pas de changement et peu d’échange. En interne en revanche, le pays a soldé ses dettes, favorisé sa production et adopté la religion protestante dans la douleur et sous la contrainte des centres religieux allemands. Ses terres arables ne formant pas un rempart efficace, il pourrait être l’un des champs de bataille clés lors de la guerre des ligues à venir.

Espagne : Le royaume d’Espagne n’a pu réagir à temps à la Blitzkrieg Française (Association malheureuse qui a de quoi écorcher les oreilles allemandes) dans les Pyrénées et a dû se résoudre promptement à se séparer de la ville rose. Ce voisin bleu en fait décidément voir de toutes les couleurs à la couronne et il va falloir trouver des alliés pour remédier à ce problème récurrent. L’argent continue cependant de couler à flots depuis le nouveau monde, incluant désormais des flottes d’or et permettant de soutenir un nombre grandissant de Tercios dont les prouesses martiales ont de quoi faire frémir leurs voisins en ce milieu de XVIe siècle. L’avenir sera terrible ou lumineux, mais nul doute qu’il sera glorieux !

Portugal : La stratégie coloniale continue de battre son plein. Les flottes d’or font la queue pour entrer à Séville et l’union ibérique sans faille permet au pays de disperser allègrement l’armée sur tous les continents. L’agression britannique pour un partage diversifié des colonies est tombée à l’eau. Les flottes se rendant coup pour coup,le statu quo semble ici de mise, même si les fiers moustachus réclament désormais une victoire morale. Les tuniques rouges ont-elles une dernière botte secrète pour relancer les débats ?

Lubeck : A la conquête de Sjaelland ! Gotland ! Une malheureuse erreur de traduction aura eu raison des « tractations diplomatiques » des marchands de la Hanse pour conquérir la place de Sjaelland. La guerre qui s’ensuit n’est pas gagnable et les mercenaires hanséatiques, aussi redoutables qu’immobiles, n’auront pas l’occasion de croiser le fer. Point noir pour cette république qui tenait là une occasion en or de s’accaparer le commerce de la Baltique. Au-delà de cette déconvenue (passagère ?), le pays semble pouvoir tenir sur terre contre tous ses voisins et l’économie est florissante. Les options sont donc nombreuses pour la suite.

Grande - Bretagne : Il aura fallu une hégémonie ibérique sur les colonies du Sud pour faire sortir la Royal Navy flambant neuve de son port d’attache sur le continent. Les canons rutilants, la peinture fraîche, les uniformes impeccables des marins enrôlés pour l’occasion, toute l’armada est allé prêter main forte aux colons américains pour leur arracher un coin au soleil et quelques cigarillos. Sur le papier, l’opération était ambitieuse, dans les faits elle est périlleuse. Si le moral de la flotte est élevé, les compétences des leaders Portugais rééquilibrent les affrontements. La Grande Bretagne parviendra-t-elle à tourner à son avantage cette situation délicate ?

Tiers 3 : Puissances régionales : les pays ayant un bon contrôle de leur zone d'influence naturelle.

Souabe : La Suisse est devenue Souabe et semble renoncer à sa neutralité historique. En manque de montagnes pour ses troupeaux, elle enregistre militairement la prise de Côme après s’être assuré diplomatiquement de récupérer les provinces palatines plus au Nord. Si la Grande République ne roule pas sur l’or, ses hommes ont prouvé leur efficacité en Italie. Pour les guerres à venir, l’apport qualitatif de ces mercenaires et la place forte qu’ils occupent sont à redouter. Ce pays est solide, mais ne peut pour l’instant prétendre à s’élever dans la hiérarchie européenne puisque ses voisins, nombreux, incluent 3 des plus grandes puissances du continent.

Toscane : Une petite guerre pour Sienne a vu s’embourber les troupes Toscanes contre des siciliens prêts à s’empaler. Cette guerre d’usure s’est finalement transformée en match à mort pour Rome. Si la Toscane sort endettée, son territoire national gagne quelques villes intéressantes ! L’agression Souabe qui a suivi n’a pas pu être défendue correctement et la montagne de Côme, théâtre sanglant du seul affrontement entre ces nations, a acté la supériorité de la discipline Allemande sur la fatigue italienne. Alors que les centres religieux s’attaquent fortement à l’Italie, la Toscane aura peut-être l’occasion de venger rapidement cet affront, qu’elle participe ou non à la guerre des ligues qui se profile.

Rûm : L’empire a su tirer son épingle du jeu en s’adjugeant les provinces riches de l’embouchure du Nil aux dépends des Siciliens suite au trépas récent des Mamelouks. Mais si la nouvelle a été annoncée fièrement par la noblesse, le peuple n’est pas dupe. Ces territoires ont été conquis dans la douleur et la banqueroute est devenue inévitable. Les récentes conquêtes sont belles, mais isolées. Elles seront indéfendables en cas de nouvelle attaque venue de l’Est. La disparition ou la faiblesse de nombreux voisins de l’Empire le place de plus en plus entre le marteau Abbasside et l’enclume latine d’Orient. Il ne fait pas bon être un clou en ces temps troublés et le salut viendra invariablement d’un hérétique ou d’un infidèle. Reste à savoir à quelle divinité vendre son âme ?

Saxe-Poméranie : Après la reconstruction, la re-destruction. Cette fois-ci, la guerre a pris la forme d’un duel avec le Grand duché voisin. L’annexion de 6 provinces a permis d’étendre autant la superficie nationale que la dette. Ce all in aura laissé des traces et forcé le greed pour se remettre. Attention à maintenir les bonnes relations du royaume avec ses voisins Allemands, sous peine de pouvoir rapidement se retrouver amputé de quelques provinces riches. Si les rois Saxons se succèdent, les traits de caractère sautent une génération : Guerre totale – reconstruction – Guerre totale – Reconstruction- Prochaine session ?

Maroc : Si l‘étendue territoriale du sultanat lui permet de cartographier le Sahara de tous les côtés, la puissance relative du pays n’est pas encore au niveau de ses voisins et menaces directes. Cependant, la colonisation (encore balbutiante) lui permet d’établir quelques comptoirs en Amérique pour jouir à terme d’opportunités diplomatiques intéressantes. Vu le rythme auquel ses voisins disparaissent, il n’est pas à exclure que le sultanat Marocain redevienne une menace convaincante en Méditerranée.

Serbie : cf son suzerain Non, cette fois la Serbie a bien droit à quelques mots. En effet, profitant des guerres compliquées engagées par ses voisins, elle a su se montrer opportuniste et réclamer plus de place dans les balkans, ainsi qu’en Moldavie. Si ces opportunités lui ont été soufflées par ses conseillers hors de prix, espérons que ces gains puissent être rentables ! Que dirait la population slave si elle savait le salaire qu’ils réclament au despotat …

Tiers 4 : Puissances mineures : Les pays qui pour l'instant ne pèsent pas encore réellement sur la partie.

Hetmanat : Si la grande principauté est difficile à classer tant la qualité de sa cavalerie fait suffoquer le monde orthodoxe autant que les caisses de l’état font s’étouffer ses banquiers, sa renommée semble désormais mondiale et mérite à elle seule un tier à part. Quelle cour européenne n’a pas reçu un palefrenier (Ils se nomment « diplomate », mais nul n’est dupe) un jour pour l’écouter justifier une énième rupture de trêve avec les Russes, le lendemain quémandant quelques deniers pour retourner galoper autour de Moscou ? Si le pays semblait épuisé des guerres à répétition, il s’en tient à sa doctrine militaire : « Par mon poney, tant que ces ânes saignent plus que nous, nous prospérons !» Ce focus semble apprécié des cours du Nord (Scandinave et Balte notamment) qui en profitent pour annexer des régions entières de Novgorod, mais pour combien de temps encore l’Hetmanat peut-il encaisser le coup de cravache et céder la carotte ?

Tiers 5 : In trouble

Deux-Siciles : « Et comme la mort succède à la vie, elle doit elle-même précéder une autre naissance. » Si le précédent dirigeant a abdiqué après que son voisin est arraché le cœur palpitant de son pays, gageons que son successeur sera le moteur d'une renaissance Sicilienne.

Novgorod : « Tu prônes la nécessité du sacrifice sur l’autel de la liberté. Tu prétends lutter pour la délivrance du peuple Russe. Mais que sais-tu de nos souffrances, camarade ? Dans ta chair, qu’en sais-tu ? » Ce furent les dernières paroles qu'entendit Raspoutine avant que la foule en furie n'entreprirent de lyncher le prêtre fou. Moscou était en flamme et le pays ravagés par les cavaliers de l'Apocalypse.

Grand-duché Balte : Assise sous les grands pins de la Baltique, la reine Leva rêvait d’elle-même, un brin d’herbe entre les dents. Bientôt les miliciens viendraient la chercher et il faudra être courageuse lorsqu'elle montera à l'échafaud, rejoindre son mari. Nous sommes à un siècle où les grands empire s'effondrèrent et où nationalisme s'éveille, assoiffé de sang et de liberté. Le mien viendra rejoindre celui des autres monarques renversés.

Mamelouks : « La chute des civilisations est le plus frappant et en même temps le plus obscur des phénomènes de l’histoire ». Mais un mystère encore plus grand, c'est la survie du sultanat Mamelouks jusqu'au XVIe siècle. Heureusement, aujourd'hui ses voisins ont rayés de la carte cette anomalie politique et géographique.

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