[Restif]

Dixit le Pape qui a tapé sur un autre Catholique (Venise) aux côtés des Ottomans .

[Scramouille]

AAR du royaume de Bourgogne correspond à un AAR romancé.
AAR commenté explique des mécanismes, des raisonnements, décrypte des situations.

AAR Du Royaume de Bourgogne

Spoiler:

On connait tous l'histoire de la bourgogne avant 1465, mais peu savent les événements postérieurs.

Le Pacte des Alpes

Depuis plus de 100 ans les bourguignons de Savoie étaient opprimés par les ducs de Savoie, après la défaite de la Savoie ayant conduit à la perte du comté de Savoie, on accusa les bourguignons majoritaires à Wallis et Vaud.

Dès 1470 Le duc de Bourgogne commença à soutenir son peuple de Wallis et Vaud, si au départ le soutien avait pour cible les petites gens, au bout de 2 ans, las de cette situation d'oppression permanente, il décida de soutenir les mouvement indépendantistes.

En 1473 le duc de Savoie réprima dans le sang une émeute de bourguignons demandant une plus grande autonomie. Quelques mois plus tard, des milliers d'hommes en armes et sans couleurs quittèrent la bourgogne pour rejoindre les opprimés de Wallis et Vaud, en quelques semaines les armés du duc étaient défaites et les bourguignons contrôlaient l'administration locale de Wallis et Vaud. De facto la région était sous administration du duc de bourgogne et demandait le rattachement des comtés de Vaud et Wallis.

En 1475 le Duc de Savoie concéda la souveraineté des comtés de Vaud et Wallis au duc de Bourgogne dans par "Le Pacte des Alpes".

Le Capital

Avoir la Bourgogne contre soi ça coûte ...
Beaucoup de pays avaient pour principe de développer leur économie pour s'enrichir, Charles Ier ne partageaint pas cet avis. Pour Charles ce sont ses adversaires qui doivent le financer.

En 1473 une coalition se monta contre Venise, l'ottomans, seul pays musulmans de la coalition lança l'attaque, en tant que défenseur de la foi, Charles se devait d'agir. Quelques semaines après le déclenchement de la guerre, les troupes stationnaient dans les Flandres se mettaient en marche, arrivé en Franche-Comté, un diplomate ottomans rencontra Henri de Bourgogne le fils du roi commandant de la Levé de Flandres s’apprêtant à traverser la frontière :
Ra Kha'Yhe : "Wallah frèr fé pa ta put va pa édé venise sur le coran wallah". Un accord fut trouvé, quelques mois plus tard les versements promis n'étaient toujours pas arrivés. L'armé marcha sur les états pontificaux qui participaient à une guerre avec un infidèle contre un Catholique. Les armés du pape furent écrasées une à une, Henri de Bourgogne était se rapprochait du Saint Siège brûlant tout sur son passage, Comprenant que la Coalition ottomane perdait en Italie du simple fait de l'entrée en action des saintes armées d'Henri il se décida à payer.
Quelques jours plus tard des vaisseaux battant pavillon Ottomans se rendirent en Provence, la guerre était finis.

Quelques mois plus tard, Charles contacta le duc de Hesse afin de s'entendre sur le pillage de Francfort, quelques semaines plus tard la Hesse déclarait la guerre, là encore, Henri de Bourgogne menait ses armés à la victoire, une fois dans Francfort, les nobles achetèrent la paix avec la Bourgogne.

La Nouvelle Administration II ;

Regrettant les choix de son père sur le plan interne et conscient de la situation de la Bourgogne Charles Ier continua de réformer le pays, il réorienta la politique intérieur du pays, ainsi l'aristocratie qui jusqu'à présent était délaissé devint le cœur de la Nouvelle Bourgogne, en effet Philippe III voyait l’expansion de la bourgogne par la domination maritime son fils ne l'entendait pas de cette oreille.
Il voulait maintenir une aristocratie forte, et une administration efficace. Le changement doctrinal ne dérangea personne ;

[Kellermann]

Popoff :

Qu'on soit clair Restif, hier kellermann à eu sa victoire sur un plateau d'argent. J'aurai simplement aimé pouvoir me défendre à arme égal, victoire ou défaite c'est le jeu, mais lorsque que c'est du a un choix de non rehost "parce que je ne suis pas important" j'ai grave les boules. Le mamelouk à perdu tout son boulot de la 1ère session, moi j'ai du refaire une armée entière sans manpower + les pertes que j'avais gagné en 1ère session et la guerre organisé avec le Baloutchistan contre le timou n'a pas pu se faire correctement.

Oui c'est clairement parceque Restif a pas voulu rehost, et que le QQ était en guerre avec le Mamelouk. Je pense que c'était pas à moi de prévenir Restif dès que Popoff a planté (soit 30 min avant mon attaque), que j'allais attaquer et qu'il fallait réhost.


Dider :

Justement kellemrna, la majorité des joueurs ont aussi eu des absences/déco à coté d'eux au cours de diverses GPO et ils ont fait avec, ils ont adapté ou retardé leurs plans... c'est toi qui t'adapte à la situation pas la GPO qui se plie à tes besoin aussi urgent soit il.

Pour ce qui est de la déco de Popoff faut aussi réaliser qu'on est 28, on peu pas réhost à tout va, votre ordinateur et son bon fonctionnement dépende d'un peu de chance mais aussi de vous. Lors de l'attaque ottomane vous auriez du demande de suite une vitesse 1 et exposer la situation vocalement le plus vite possible pour qu'on statue sur le rehost, si l'ottoman à pété une armée c'est qu'il y a eu un moment d'indécision.

C'est vrai mais peut-être qu'on devrait essayer de changer cela pour éviter que nos diplomaties soient trop influençées par des inconvénients... C'est pour ça qu'on a mis en place les remplaçants. C'est un autre débat mais vu mon action je pense que tu visualises mon avis : C'est n'est pas à causes d'inconvénients pareils qu'on doit se limiter dans nos actions et changer notre diplomatie.

Kellermann a eu sa victoire sur un plateau d'argent oui ; malheureusement je ne pense pas que ce soit lié à ton plantage et ton absence : il suffit de voir son avance technologique sur toi comme sur le Mamelouke pour s'en convaincre (il n'y aurait pas eu de défense à "armes égales").
Et attention hein, ce n'est pas ça qui a motivé ma décision de ne pas rehost.

Pour clarifier la situation au cas ou : Popoff plante en guerre contre le Timouride, 30 min après j'attaque le Mamelouk. Etant donné que Restif n'avait pas réhost, les armées du QQ étaient allé se battre et se faire défoncer par les armées timourides. Ce qui fait que les armées du QQ n'étaient pas dispos lors de mon attaque. Cela n'empêche que :

- Les Armées mamelouk et qq sont ultra inférieurs en qualités vis à vis des miennes en cause la technnologie, tech 7 vs tech 4/5 ... De plus les troupes ottomanes de manières générales à cette période sont opées.
- L'Empire Ottoman est joué par un seul joueur, ce qui fait un petit plus point de vue coordination
- J'ai start la guerre a 28k de mp sur 45k, j'ai fini à 25k.
- La guerre a été remportée si vite du à une négligence maritime des flottes Mamelouk/vénitienne. J'expliquerai ça dans mon AAR ainsi que la suite de la guerre.

Il faut dire que j'avais occupé tout le pays Mamelouk avec 44.000 hommes et que j'avais encore 20K en Turquie qui m'ont servi à reprendre la Grêce. Donc avec ou sans le QQ sa aurait strictement rien changé.


De manière générale je tâcherai de faire attention à mon comportement vis à vis de ce genre de truc, mais je tiens à préciser que de toute manière, avec rehost dès que Popoff avait planté ou pas, ça aurait strictement rien changé. Ce qui aurait pu faire varier la guerre c'est votre négligence très brêve dans la garde du détroit du Bosphore. (Cfr AAR a venir).

[MiniaAr]

AAR Moscovie - Deuxième Session:

Don't Poke the Bear!

Spoiler:

Sérieusement, c'est une mauvaise idée

Spoiler:

Je vous avais pourtant prévenu...

Wikipedia: Les ours sont des créatures charmantes, qui hibernent la plupart du temps et sont généralement non-violents. Cependant, lorsqu'ils sont dérangés, les ours peuvent se mettre vraiment en colère. Ainsi, il est toujours recommandé de ne pas déranger un ours.

It's the diplomacy, stupid(oui j'aime bien les titres anglais)

La diplomatie étant un élément à travailler chaque semaine, elle peut apporter de magnifiques résultats mais aussi entraîner la ruine des plus puissants pays. Je dois le reconnaître, j'ai probablement fait des erreurs dans ma diplomatie inter-session car se retrouver en guerre contre ses trois voisins (Pologne, Lituanie, Suède) sans avoir d'allié est une sérieuse défaillance. À ma décharge, les voisins de mes voisins sont intervenus contre mes ennemis pendant cette guerre, ce qui semble indiquer que je n'ai pas tout raté ou en tout cas que le trident maléfique Pologne/Lituanie/Suède n'avais pas complètement préparé leurs arrières avant d'aggresser la paisible Moscovie sans chercher un accord au préalable. Il semble que la raison principale d'une telle union contre-nature soit mon refus de cèder les terres caréliennes à la Suède, alors que je les avais obtenus en toute transparence et sans l'aide de quiconque. Vu que cette guerre a amené les puissances de l'Europe de l'Est et du Nord au bord de l'implosion, je ne pense pas que la Carélie justifiait autant de sacrifices, mais mes assaillants auront probablement de bonnes et raisonnables justifications pour ce gachis....

Consolidation russe

Mais avant d'aborder le carnage de la croisade dévoyée anti-moscovite, mon plan pour cette session était de continuer mon expansion dans les steppes de Sibérie ainsi que la consolidation des terres russes. L'annexion du Pskov en bonne voie (achevée en 1469), je commençais la session en vassalisant diplomatiquement le Ryazan, dernière principauté indépendante (mais alliée). Ma seconde action notable fut une attaque contre mes deux ennemis des steppes, l'Uzbek et le Nogai en 1473. Utilisant une nouvelle fois le CB de mon vassal Kazan contre le Nogai, cette guerre ne posa pas vraiment de problème. Profitant de mon avance technologique grandissante et ne choisissant de me battre qu'en forêt (si possible), les Hordes ne purent faire grand chose pour s'opposer. Encore une fois, le joueur de la Horde d'or prêtait main forte avec sa propre invasion du Nogai. Je signais une paix séparée avec ce dernier utilisant une nouvelle possibilité d'AOW: humilier un rival (dans une guerre). Cela me rapporta 30PP (Power Projection), ce qui me fit repasser au-dessus de la barre des 50PP et gagné 1 point de monarque par catégorie. Cela ne fut pas sans conséquence pour la suite, car je pouvais ainsi rattraper mon retard technologique suir la Suède et obtenir la parité peu de temps après le déclenchement des hostilités. Après la signature d'une paix Pologne/Lituanie contre Ordre Teutonique, je me doutais de l'imminence d'un conflit et dus arrêter ma guerre prématurément contre l'Uzbek, même si j'obtenais mon principal objectif: les terres du Sibir, données au Kazan, ainsi qu'un accès à des provinces colonisables non-arctiques. (paix signée en 1476, Kazan gagne les cores du Sibir et affinités)

L'aggression des Hordes papistes

L'amassement de troupes lituaniennes à ma frontière, pour la seconde fois de la session, est clair de l'imminence de l'attaque. Mes troupes font le long retour depuis l'Oural mais j'aurais tout de même le temps de ramener tout le monde en état correct. Dès la déclaration, l'avantage numérique du trident est évident: 35k de Lituaniens, 25k de Polonais, 20k de Suédois, 10k de Teutons, 12k de Criméens et 8k de Silésiens, sans compter les quelques contingents norvégiens et moldaves face à mes 32k Moscovites, 12k de Kazani, 5k de Finlandais et 7k de Ryazanais soit 1 vaillant russe pour 2 soldats ennemi, la confrontation était somme toute équilibrée ( ). Plus sérieusement, profitant de leur supériorité numérique, les Polono-Lituaniens lancent une grande offensive vers Pskow puis Novgorod, où est stationné environ 1 tiers de mon armée (divisée en 3 stacks, dont 1 composé entièrement de mes vassaux avec l'option "attach to army"). Néanmoins, la combat "à la russe" commença également puisque je sacrifiais un régiment d'infanterie pour brûler Pskov, avant de brûler Novgorod également avant que les troupes coalisés y arrivent. En infériorité numérique, je me repliais vers l'intérieur de mes terres tandis que les lituaniens prenaient l'essentiel de l'attrition.

Le refus des termes coalisés

Mes provinces tombant rapidement sans pouvoir m'y opposer (Pskov en 1478, Novgorod et la frontière russo-Lituanienne en 1479, l'objectif de guerre Kola et la Carélie en 1480), je demandais les termes de mes adversaires. Ceux-ci furent lus devant l'assemblée des boyars et religieux à Moscou. Étaient demandés la Carélie et le Pskov, soit des termes innaceptables car Pskov avait pour core le Novgorod, et 6 provinces cela faisait beaucoup tant que mes armées n'étaient pas vaincues décisivement. Il semblerait que le traducteur lituanien n'ait pas un niveau de russe convenable, puisque tous les cores de Pskov n'étaient pas demandés, mais seulement 3 d'entre eux (et pas Novgorod). À ce stade, j'aurais accepté les terres originales du Pskov (2 provinces) et la Carélie, car cèder les terres russes du Novgorod est au-delà de ce que je peux accepter. Bref, je ne peux que recommander à mes futurs adversaires d'indiquer nommément les provinces qu'ils veulent me prendre, afin d'éviter ce genre de malentendu à l'avenir. ( )

Guérilla et sursaut patriotique

Ma stratégie à ce stade est de coutourner les grandes armées coalisées, et essayer d'infliger le maximum de dommages aux vassaux et unités de sièges ennemis. Pour cela, j'utilise à pleine possibilité les différents généraux à ma disposition lors de cette guerre:

Spoiler:

Le 5 en manoeuvre me permet de me déplacer à l'arrière de mes lignes rapidement, et de fuir certains engagements si nécessaire. Juste avant d'arriver au contact, je change avec mon héritier 4 en shock, ou mon autre 3/3 général, afin d'infliger le maximum de dommage. Si l'ennemi se rassemble dans une telle bataille, je fuis vers l'intérieur de mes terres, en assurant la retraite avec mon 3ème stack qui ne sera pas engagé. Cette stratégie remporte certains succès avec l'anhilation de stack norvégiens et des batailles "perdues" où mes adversaires perdent beaucoup plus que moi en hommes (j'ai souvenir d'un affrontement où j'inflige 15k de pertes tandis que je n'en subis que 3k). Après un tel affrontement, le général moscovite revint vers le Grand Knyaz avec la formule restée dans les annales:

« Si Dieu nous fait la grâce de perdre encore une pareille bataille, Votre Majesté peut compter que ses ennemis sont détruits. »

Néanmoins, les troupes coalisés continuaient leur avance, et finalement mettaient le siège vers Moscou. Devant l'importance symbolique de cette ville, le contournement n'était plus possible car seul un fou laisserait Moscou tomber en espérant garder sa tête, ce que Dimitry (2/6/4), monté sur le trône en 1471, n'était surement pas. Ordre fut donc donné à la totalité des forces moscovites et alliées de converger vers la ville avant sa chute imminente, pour une bataille qui allait décider le sort de la guerre...

Le Miracle de Moscou

La bataille dans les faubourgs mêmes de Moscou fut terrible, l'ennemi engagea toutes ses forces d'invasion (Toutes? Non, car les troupes irréductibles suédoises envahissaient encore et toujours Stockholm...). Heureusement, la fortune sourit aux Moscovites (Qui en doutait?), et la bataille fut remportée dans la douleur. On peut noter que certaines troupes alliés de Crimée ou de Silésie, qui avaient le leadership de la bataille, étaient en retard technologique et de moral (avantage de "tactics" et je crois que j'avais toujours les effets de l'event "The Pomjestija Reform" dont +10% moral). Comme le combat était à parité numérique, l'avantage de qualité sur certaines troupes vassales a probablement contrebalancé le fait d'attaquer en forêt.
Après avoir repoussé les polono-lituaniens, les suédois firent leur apparitions. Isolés, je les attaquais immédiatement avec toutes mes forces restantes, malgré mon moral bas. Cette fois-ci enfin en supériorité numérique, je gagnais plus aisément. Après ces défaites, et devant les révoltes en Ukraine, je pris contact avec la Lituanie afin de lui proposer une paix blanche (malgré les 4/5 provinces que lui et le Polonais occupait). Cette paix blanche ne concernait que lui, et plus tard la Pologne, car la Suède en tant qu'aggresseur direct devait payer le prix de la défaite. Après négociation, j'obtenais 2 provinces pour mon vassal Finlandais. Face aux 6 provinces demandés par mes adversaires, il ne sera pas dit que le Grand Knyaz n'est pas magnanime et fait la paix en souverain et non en marchand. (paix signée en 1482, 2 provinces obtenues pour la Finlande)

Après la paix, le temps était venu de régler mes propres troubles avec les révoltes permiennes et sibériennes au Kazan. La Pologne/Lituanie se concentra alors sur leur guerre contre la Hongrie et le Brandenbourg. Compte-tenu de l'implication totale de la Pologne contre moi, son pays était déjà aux trois-quarts occupé et les hongro-brandenbourgeois ont semble-t-il guerre gagnée depuis l'entrée à leur côté de l'Ottomans (dont ils n'avaient à mon sens pas nécessairement besoin).

Quoi qu'il en soit, ce conflit fut particulièrement intense et prenant, l'une des raisons pour lesquelles les GPOs sont complètement différentes du jeu solo. J'ai hâte d'être à la session prochaine. Ci-dessous, la Map made in Restif:

[RedTovarich]

La Castille a besoin de vous !
Les envahisseurs Anglais, Aragonais, Portugais ont 5x plus d'hommes ! Mobilisez vous et défendez le pays qui amène le catholicisme (et pour les ottomans on devrait pouvoir faire des colonies musulmanes si c'est ça qu'il faut) en Amérique !

Oui, plus l'islam dans ses bagages! Il est beau le plus catholique d'entre nous tous! Hérétique! Tueur de catholiques et courageux portugais!

[Ulrick Popoff]

C'est fou quand même qu'on ressort à chaque fois la garde du "l'ottoman était plus fort que vous de toute façon" tous ce qu'on voulait c'est pouvoir se défendre.

Je trouve que c'est très imbu de ta personne kellermann de penser que tu l'aurais eu facile. On ne l'a jamais facile avec moi ! (Restif et Sabro ont déjà été témoin) Promis la prochaine guerre tu vas la sentir passer (ceci est une phrase pleine de bonne volonté, non une agression)

Chocobisous

[Kellermann]

Si tu veux Ulrick mais la prochaine guerre j'aurai peut-être pas autant de tech d'avance que ça. Une tech à 0,25 de military tactics plus nouvelle cav.. Un peu important quoi. De plus je savais que tu avais plus de mp vu ta guerre qui s'éternisait donc si même avec toi j'aurai gagné.

On ne l'a jamais facile avec moi ! Promis la prochaine guerre tu vas la sentir passer (ceci est une phrase pleine de bonne volonté, non une agression)

Content que tu reprennes du poil de la bête.

[Kellermann]

- AAR Ottoman -

N'ayant malheureusement pas pris de Screen lors de mes guerres, vous excuserez l'absence de clarté, je tâcherai d'en prendre une prochaine fois.

Quand on l'attaque, l'Empire contre Attaque !

Après avoir perdu une série de guerre face aux Sultanats Mamelouk, du Qara Quoyunlu et aux Républiques Marchandes de Venise et Royaumes de Hongrie, le Sultan Mehmet II (on taira son nom de famille) n'aspirait qu'à une seule chose : La Revanche.

Spoiler:

Le Sultanat Ottoman après la défaite

Le pays étant dans un piteux état, les armées sans effectif, plusieurs emprunts contractés auprès de marchand de Judée prêtant sans aucun scrupule, le Sultan reprit tout cela en main. Il exécuta le Grand Vizir, il faut en effet préciser que lors de la 1ère session de la GPO, ce n'était pas Mehmet II qui commandait aux troupes Ottomanes mais bien Halil Pacha, cet administrateur corrompu, ce chien d'infidèle ! Il fût exécuté le soir de la défaite.

Spoiler:

L'exécution du Grand Vizir Halil Pacha responsable de la défaite Ottomane

C'est ainsi que commença une nouvelle période de l'histoire turque, appelée La Remontée.
Mehmet II , conscient de l'importance d'une flotte pour son sultanat commença la construction de celles-ci. 80 galères furent construites. Egalement conscient de l'importance d'une armée de terre apte à défendre le Sultanat, il entreprit l'équipement de chacun de ses soldats d'une armure correcte, et d'épées en fer de bonne qualité. Suite à cela, le Sultan était prêt. Il commença donc ses plans de reprise de terre, et, voyant qu'ils étaient délaissés par le partage de terre vu par Venise, le Sultan contacta le Roi de Hongrie. Ce dernier constata rapidement ce que lui avançait le Sultan et en tant qu'homme avisé, il rejoint la coalition d'états italiens menés par l'Empire Ottoman contre la République. Avant de déclencher ce conflit, il s'assura que les peuples de l'Est resteraient tranquille, et contre quelques alliances brisées (Timourides et Tunisie), ils promirent de ne pas intervenir.

La guerre fut rapidement déclarée, et, après des sièges longs mais faciles, une campagne italienne perdue par ces chiens d'infidèles, et une bataille navale remportée par les Turcs, le Doge se vit bien obliger de signer une paix rapide sous peine de voir des troupes ottomanes à Venise ! L'Empire Ottoman pouvait dès lors se tourner vers ses ennemis de jadis ... Les Orientaux.

La Guerre à l'Est

Fort de son armée revigorée, de sa flotte plus puissante que jamais et de sa trêve avec Venise, le Sultan Ottoman fut pris de rêve de reconquète à l'Est.
Tout d'abord, il prévenu le Sultan Mamelouk, et sous la pression, celui-ci relâcha Mentese de ses vassaux. (2provinces turques). Ensuite il déclara la guerre avec comme Casus Belli la reconquête de Dulkadir.
Le Qara Quyounlu, impressionné par la puissance ottomane et vidé de sa puissance par le Timouride fut obligé d'accepter la paix. Il rendit toute les provinces habitées par de bons turcs !

C'est alors que commença la phase de siège du Mamelouk. Après avoir remportés plusieurs batailles successives et tués tous les mamelouks en Egypte et en Syrie, le Sultan ordonna a son armée de se disperser et de maintenir des sièges sur toute les provinces Syriennes pour commencer, et Egyptiennes ensuite. Biensur, il conserva des armées plus importantes d'une dizaine de milliers d'hommes commandés par ses meilleurs généraux en Egypte et en Syrie.
Alors que toute les villes Syriennes étaient conquises, et que les mers étaient Turques, le Sultan vit se profiler au loin , depuis son navire amiral, une flotte battant pavillon Vénitien et Mamelouk. Il décida de rapidement engager cette bataille, de peur de voir d'autres navires sortir des arsenaux vénitiens. De fait, les coalisés étaient plus nombreux, 120 navires contre les 80 galères turques. La bataille fut terrible, mais les forces navales du Sultan ne purent repousser les navires italianno-egyptien trop nombreux. Ils décidèrent de fuir les côtes grecques et de se réfugier à Istanbul.

Spoiler:

La bataille des côtes grecques remportée par la force coalisée Vénitenne-Mamelouk

La flotte vénitienne commença alors le blocus du détroit du Bosphore, empêchant toute traversée de renforts turcs. La partie Occidentale de l'Empire était perdue. Mais le Sultan avait plus d'un tour dans son sac. Les sièges en Egypte avançant, il dépêcha une armée de 5000 braves Gardes en Turquie, et les renforça d'une troupes de 10.000 mercenaires bachi-bouzouks. Cette force était prête à traverser le détroit si le passage devenait possible. Le Sultan sortit sa flotte d'Istanbul pour engager une bataille perdue d'avance. Il força le blocus et s'enfuit, non sans pertes des 2 côtés, vers l'Albanie, terre en cours de Siège par les coalisés.

Ainsi, les ennemis croyant que, le port pris par des forces terrestres, la flotte sortirait, laissèrent le gros de leurs forces navales en blocus de l'Albanie, ne laissant le détroit que sous un faible blocus de 4 galères. Le Sultan ayant tout prêvu fit sortir de Mer Noire une armada de 15 galères commandés par son meilleur Amiral. Ils firent vite de détruire les galères vénitiennes et de permettre le passage des troupes ottomanes certes en petit nombre, mais bien armés.

Une fois à Istanbul, ils entreprirent de lever les sièges maintenus par les mamelouks et les vénitiens. Rapidement les chefs ennemis se rendirent compte de leur erreur, et se rassemblèrent sur une province non loin de l'armée ottomanne forte maintenant de 18.000 braves guerriers renforcés par de nouveaux flux de mercenaires. Cette armée, à elle seule, anéanti une force conjuguée de 40.000 soldats vénitienno-mamelouk.
Un vieux proverbe dit : "Quand tu es faibles, il faut mieux te rendre au plus fort". Les Mamelouks suivirent ce proverbe et se rendirent rapidement suite au massacre de leurs 19.000 hommes restants.

Le Peuple Ottoman avait triomphé de ses ennemis Vénitiens, Mamelouks et Orientaux. La Syrie avait été libérée et les peuples turques unifiés !

Spoiler:

L'Empire Ottoman à la fin de la session. On remarque la différence flagrante avec l'Empire Ottoman du début.

[Nijato]

Il y avait aussi un corps expéditionnaire marocain en grèce !

[Kellermann]

Ahh. Il y aura des représailles.

[Stellaria]

Miniarr je remarque que le Role prédominant des marchand Henséatiques a bel et bien etait mentioné dans ton AAR...Oh wait...

[MiniaAr]

Miniarr je remarque que le Role prédominant des marchand Henséatiques a bel et bien etait mentioné dans ton AAR...Oh wait...

C'est parce que je suis discret mon cher ami, j'ai pourtant indiqué: "La fortune sourit aux moscovites". À qui pensais-tu que je faisais allusion?

[kaleo]

@kaleo : Vois avec Dider, il l'a peut-être encore

Bonjour

J'ai trouvé une date : se serait la sauvegarde précédent le 19 juin 1483.

Quelqu'un aurait une sauvegarde précédent le 19 juin 1483 de vendredi dernier ?

Sinon le dernier rehost de la soirée fera l'affaire (celui de 23h)

Merci d'avance.

[Guemsterk]

Hum.... Vendredi, je serais peut être pas là... du moins pas à temps (probablement que je n'arriverais chez moi que vers 22h...). (Donc considérez-moi absent)

[Sabrovitch]

Le soleil brille sur Cordoue
Sois prêt pour ma visite à l’obscurité,
parce que la nuit est la meilleure gardienne des secrets.
Si le soleil sentait l’étendue de mon amour pour toi,
il ne brillerait plus,
la lune ne se lèverait plus,
et les étoiles s’éteindraient d’émoi.

Alors que le XVème siècle touche à sa fin, il est temps pour la divine Castille de revenir sur ses accomplissements durant ce dit siècle.
D'abord, et non des moindres, la fin de la Reconquista, enfin. Le divin règne de Dieu a retrouvé ces terres. Tous les espagnols vivent maintenant en paix.
Après des siècles de lutte, la grande reconquête prit enfin fin quand la ville de Cordoue tomba des mains des mahométains. Le siège fut long, mais forts de la prise de Grenade, délaissée par les suzerains arabes. Les Nasrides rendirent leurs armes, et notre roi, dans un acte d'appaisement, autorisa les mahométains et les israëlites à rester en Castille, afin de garantir la paix.
Surtout que l'Espagne aurait besoin de tous les alliés possibles, car ses deux voisins et anciens amis, pris par la folie, désiraient se partager la Castille. Ainsi, une alliance Portugal-Aragon fut formée pour contrer le rêve d'une Espagne unie, pour tous les espagnols.
Toutefois l'Espagne ne se laissa pas faire, et suite à de nombreuses batailles, Porto et Bragançe tombèrent dans les mains castillannes. Ce jour restera gravé dans la mémoire collective des espagnols - car ce fut le premier pas vers une unité ibèrique.

Malheureusement, tous les hommes de cette terre n'étaient pas de bonnes intentions, et l'Angleterre joint la coalition anti-Castillanne. Les deux alliés, fidèles, Castille et Maroc (suite à l'accord "un détroit - deux rois"), se défendirent du mieux qu'ils purent, en vain, et ainsi Porto et Bragance, après une vingtaine d'années d'allégresse, retournèrent dans les sales mains portugaises. Le roi portugais, pour fêter l'événement, exécuta tous les mahométains, les juifs et les natifs castillans de Porto. Une année rouge pour le monde.

Mais tout n'étais pas sombre, car tandis que sur la péninsule, la guerre faisait rage, des nouvelles du navigateur Gonzalo de Alarcón parvinrent à l'oreille du grand conseiller Abd-al Ikhur (le roi de l'époque ne mérite même pas d'être mentionné, passant la moitié de son temps dans son lit, et l'autre dans les bordels de Tolède.) Il convient de noter que ce conseiller fit de nombreuses réformes pour améliorer le royaume - garantissant la liberté de culte, interdisant des sports tels que la tauromachie qui réduisaient la productivité des espagnols - en plus d'être contraire aux croyances abrahamiques - augmentant la puissance de l'armée, de la marine... Un de ses nombreux projets était l'exploration de l'Afrique, afin d'y découvrir des richesses et peut-être une route vers l'Inde, jusque là contrôlée par des égyptiens barbares. Mais, Alarcon, prit dans une tempête, perdit le cap, et, par chance, découvrit une nouvelle terre, immense ; quand il en revint, la nouvelle fit le tour du monde - un nouveau monde à découvrir. Tout de suite, énormément de fonds furent mobilisés - un port crée dans la baie d'Arguin - pour commencer la conquête et la colonisation de ce nouveau continent, qui fut nommé, suite à la mort du navigateur, Alarcónia.

De nombreuses îles furent découvertes, ainsi que des indigènes peu développés qui furent rapidement intégrés. Toutefois, plus au Nord, des royaumes se battaient pour le contrôle d'une région qui paraissait extrèmement riche. Ainsi, le général conquistador Hermenegildo de la Cueva fut dépêché conquérir le premier royaume, qui contrôlait un golfe; celui ci paraissait plus fragile que les autres, sans allié. Ainsi, les terres "mayas" furent annexées. Le divin règne de la Castille allait s'étendre sur le monde entier, et le soleil ne se coûcherait plus jamais sur l'Espagne.