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  • Elle a rejoint le timou que la Horde attaquait en même temps, et a été sortie en paix blanche avec le moins de dégats possibles, vu qu'elle n'était pas réglée.
    Dernière modification par Neroonian, 07-01-2018, 18h09.

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    • Oki, je comprend mieux. Bah je l'ai réglé, mais d'un j'ai compris depuis un moment que l'option paix rapide c'est une très mauvaise idée en multi (donc je ne la coche jamais), et de deux je sais pas si tu peux empêcher les alliances, faudrait régler "ne pas prendre de décision" peut-être?

      StarFall merci, mais Ner avait déjà répondu
      Dernière modification par Alexei1492, 07-01-2018, 18h56.

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      • Envoyé par Alexei1492 Voir le message
        Mon ia a vraiment rejoins la guerre?????
        Non, déjà parce que c'est impossible et ensuite il me semble juste que la horde a attaqué un petit truc que ton IA garantissait, et comme il me semble qu'elle était pas réglée il a fallut qu'il occupe ton pays pour le sortir. Mais c'était une autre guerre.

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        • Bah je l'ai réglé, mais d'un j'ai compris depuis un moment que l'option paix rapide c'est une très mauvaise idée en multi (donc je ne la coche jamais)
          Bah je suppose que ça dépend des gms, mais pour moi la paix rapide, ça doit rester le truc le plus protecteur. Autant j'aurais strictement jamais autorisé qu'on te prenne des trucs si tu étais réglé en paix rapide, autant si la Horde avait galéré deux heures avec ton IA et que j'avais su que c'était volontaire, j'en suis nettement moins sur.

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          • My bad

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            • jerry, c'est qui le joueur marocain weeeesh ? C'est funny de se balader dans mon pays ?
              Je remercie Azes de m'avoir remplacé, et encore désolé pour le manque de consignes, mes examens me prennent à la gorge !

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              • Envoyé par StarFall Voir le message
                My bad
                Non tu avais raison. Le "petit pays" que j'ai attaqué c'était les restes des Timourides, auxquels l'IA Oirats s'était alliée; Comme l'Oirats n'était pas réglé en paix rapide, j'ai du occuper un fort et sa capitale pendant quelques temps, mais sans rentrer plus dans le pays pour ne pas l'affaiblir. Et j'ai signé la paix blanche dès que c'est devenu possible.

                On voit donc l'Oirats dans le screen parce que je suis déjà en guerre avec, mais dans une autre guerre.

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                • Envoyé par Kellermann Voir le message
                  jerry, c'est qui le joueur marocain weeeesh ? C'est funny de se balader dans mon pays ?
                  Je remercie Azes de m'avoir remplacé, et encore désolé pour le manque de consignes, mes examens me prennent à la gorge !
                  Liquistuff

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                  • Le comparatif des grandes puissances de ce monde

                    A.K.A les Tiers

                    Le rythme de 2 sessions entre chaque édition des tiers, soit 50 ans de jeu, semble être le plus adéquat. Les vacances étant passées par là, la reprise de la GPO samedi dernier a du être jouée avec pas mal de remplaçants, même si au final la quasi-totalité des pays ont trouvé preneur.

                    Le tiers des disparus est plutôt peuplé cette fois-ci, avec les consolidations enclenchées un peu partout dans le monde (Europe, Asie Centrale, Inde, Extrême-Orient). On a également atteint la tech 14 en ADM, ce qui signifie que la plupart des pays ont choisi en quatrième choix leur groupe diplomatique, et ainsi compléter la première partie de leurs builds.

                    Enfin, la dernière session a été l'occasion de voir un événement malheureusement rarissime: une guerre des ligues serrées, avec tous les pays d'Europe impliqués, et qui a résulté sur une paix de Westphalie faute d'un camp ayant pu effectuer une percée suffisante.

                    Tiers 1: Grandes Puissances: les pays ayant une large sphère d'influence et capables d'intervenir sur plusieurs théâtres.

                    France: La France est toujours une grande puissance, avec le premier développement du jeu en propre (l'Espagne et la Horde sont devant au classement des grandes puissances du jeu grâce à leurs vassaux) et le plus haut manpower de la partie. La qualité de l'armée française est également l'une des plus forte du jeu, avec un moral dans le top 3 du jeu en compagnie des spécialistes dans ce domaine: Brandebourg et Prusse, avec une discipline également très bonne et un professionnalisme parmi les plus élevés. Néanmoins, la limite terrestre française semble stagner légèrement, et se fait dépasser par les autres géants terrestres (Ottomans, Ming, Horde), mais également navals(Espagne). Au niveau des guerres, la France a été contenue dans sa tentative contre les Pays-Bas grâce à un soutien de la Grande-Bretagne et de la Hesse, qui à trois ont été suffisants pour repousser le Français. Enfin, pendant la guerre des ligues la France a rejoint le camp catholique et si elle n'a pas pu faire gagner son camp, elle a au moins éviter que son allié Milanais ne tombe, et qu'ainsi le front Ouest se déplace en Lorraine. Niveau doctrines, la France choisi Espionage comme groupe diplomatique, ce qui élimine probablement toute prétention coloniale.

                    Ottomans: Les Ottomans sont parti dans une optique (historique je dois dire) de quantité, avec l'armée la plus grosse du jeu, et de loin. Néanmoins, la contrepartie évidente est que la qualité de l'armée ottomane laisse à désirer, avec un moral moyen, une discipline plutôt basse et un professionnalisme dans les chaussettes. La guerre de coalition de la session 4 s'est rapidement terminée en session 5, et les Ottomans ont perdu leurs gains de la guerre en brisage de trêve qu'ils avaient tentée contre les Mamelouks. Cependant, la Syrie reste Ottomane jusqu'à Damas, et les Mamelouks n'ont finalement repris que la Palestine. Pendant la guerre des ligues, les Ottomans ont rejoint le camp protestant, et ont permis à ces derniers de tenir le front Est. On peut noter toutefois qu'ils l'ont fait avec une technologie militaire de retard (14 contre 15 pour la quasi-totalité des belligérants), ce qui s'est ressenti au niveau des pertes face aux russo-tatars. Enfin, les Ottomans ont adopté les doctrines commerciales afin de relancer la progression de leur revenu, qui commençait à stagner.

                    Horde d'Or: La Horde d'Or a éliminé les Timourides rapidement en session 3, ces derniers ne recevant aucune aide réelle de leurs voisins. Cela permet à la Horde de s'emparer de l'essentiel de l'Asie centrale, ainsi que son joyau: Samarcande. Cette action garanti la place de la Horde dans les grandes puissances, à moins d'un désastre, et la Horde peut se targuer d'avoir le second développement du jeu (derrière la France en développement propre, derrière l'Espagne en comptant les vassaux). L'armée tatare est également d'une taille plus que respectable, avec la 3ème limite terrestre de la partie, et la qualité est également correcte à la fois en moral et discipline. Qui plus est, la Horde est également le premier pays au niveau du professionnalisme, ce qui s'est vu pendant la guerre des ligues. A ce sujet, la Horde a rejoint le camp catholique pour former un front Est face aux puissances protestantes centrales, et Russie, Horde et Lituanie ont bien tenu ce théâtre sans toutefois arriver à percer à Varsovie malgré plusieurs tentatives. Niveau doctrines, le choix inhabituel d'Expansion ne semble que temporaire car une seule doctrine a été investie (le colon), et la colonisation russe bloque toute autre possibilité en Sibérie.

                    Ming: Le Ming prend place parmi les grandes puissances au bout de ces deux sessions, avec un développement qui approche le chiffre symbolique des 1k. La limite terrestre du Ming est également la seconde du jeu, derrière les Ottomans, et la qualité est plutôt bonne, notamment au niveau du moral. Dans la terrible jungle chinoise, le Wu est mort ce (samedi) soir, ce qui a permis au Ming de récupérer de riches terres. Par ailleurs, une guerre victorieuse contre le Shu a également renforcé la position du Ming comme première puissance chinoise, et de loin. Les doctrines commerciales ont été adoptées, ce qui devrait permettre au Ming de prendre le contrôle de l'essentiel du commerce Chinois.

                    Grande-Bretagne: La Grande-Bretagne prend également son rang de grande-puissance, avec le quatrième développement du jeu, et surtout le premier revenu de la partie. La domination des mers n'est pas totale, avec un Maroc qui semble supérieur sur les mers, mais aucun autre pays ne pourrait contester en 1v1 les Britanniques (certaines alliances le peuvent cependant). La prise des doctrines Défensives renforce le moral Britannique, qui est dans le milieu du tableau, et la qualité de l'armée est également plutôt bonne, notamment au niveau de la discipline qui est la plus élevée du jeu (avec conseiller). La Grande-Bretagne a cependant un manpower ridicule, ce qui ne la force à n'avoir que des armées de mercenaires. Niveau guerres, la Grande-Bretagne a réussit à défendre son allié Néerlandais d'une attaque française, avec le soutien de la Hesse. Par ailleurs, la Grande-Bretagne a changé de camp dans la guerre des ligues en rejoignant les Catholiques, ce qui a permis de ré-équilibrer les camps en présence en permettant la création d'un bloc de l'Ouest solide.

                    Espagne: L'Espagne prend également sa place dans les grandes puissances, et n'est finalement pas si éloignée que cela de sa rivale britannique. Ainsi, l'Espagne est la première grande puissance selon le classement du jeu, grâce à ses nations coloniales. En développement propre, elle est en 6ème position, à deux pas des Britanniques. Le revenu Espagnol est le 3ème du jeu, et la limite terrestre également dans le top 5. Niveau qualité d'armées, l'Espagne n'est pas en reste, avec un bon moral. L'Espagne continue de sous-traiter la production de navires lourds au Portugal et semble ainsi avoir abandonné la possibilité de contester les Britanniques sur mer.

                    Tiers 1.5: Puissances majeures: Les pays solides, capables de tenir tête aux grandes puissances (dans une certaine mesure), mais auxquels il manque toute de même quelque chose pour passer au stade supérieur.

                    Russie: La Russie reste un majeur de taille conséquente, 6ème développement du jeu, et 6ème limite terrestre. La qualité d'armée est également plutôt bonne, notamment au niveau du moral et du professionnalisme, qui dépasse les 50% ce qui est le cas de peu de pays à ce stade. La Russie s'est permit une percée conséquente en Lituanie en session 4, avec la prise de l'essentiel de la zone du Polotsk. Néanmoins, elle a ensuite protégé cette dernière lors des tentatives de la Suède et de la Prusse de forcer son démantèlement. Le déblocage des doctrines d'exploration a permis (enfin) de commencer la colonisation Sibérienne, et la prise du tribut Ouzbek de la Horde a considérablement accéléré la percée Russe vers l'Est, jusqu'à atteindre les Oirats. La Russie a également rejoint le camp catholique dans la guerre des ligues, et formé un front Est avec la Horde et la Lituanie. Le front a tenu face aux Ottomans, Polonais, Hongrois et renforts occasionnels Prussiens, Brandebourgeois et Suédois, mais sans pouvoir percer le verrou de Varsovie.

                    Perse: La Perse a été redressée de façon spectaculaire par M. Remplacement: Tails. En effet, le retard en tech et doctrines est quasiment un lointain souvenir. Le revenu Perse a également explosé et rejoint quasiment celui de l'Ottoman, notamment grâce aux doctrines commerciales. La qualité Perse est également supérieure à celle de son voisin et rival, à la fois en moral et en discipline (mais pas en professionnalisme, qui est également dans le trou pour la Perse). Niveau manpower et taille d'armée, l'avantage reste largement au Grand Turc, qui bénéficie de l'apport évident des doctrines de quantité. Enfin, la Perse a également profité de la mort des Timourides en récupérant le Khorasan et la moitié de l'Afghanistan (l'autre moitié allant au Népal).

                    Autriche: L'Autriche a redressé spectaculairement la barre, et reprend sa place parmi les majeurs. En effet, le revenu autrichien a particulièrement progressé,et les terres perdues sur la Pologne ont été récupérées en session 4. L'armée autrichienne est de taille respectable, et sa qualité également plutôt bonne à la fois en discipline et moral. Elle reste néanmoins en retrait par rapport à la qualité de son rival français. Pendant la guerre des ligues, l'Autriche a été le fer de lance de l'offensive du camp protestant en Italie du Nord, qui a été dans un premier temps un succès, puis la situation s'est enlisée avant la signature de la paix de Westphalie. Niveau doctrines, l'Autriche adopte celles d’Espionnage, un choix logique pour un pays terrestre ne comptant pas trop sur son commerce.

                    Venise: Venise reste particulièrement solide dans cette GPO, avec un très bon revenu et une limite d'armée conséquente. La qualité de cette armée est assez moyenne (moral, discipline), à l'exception du professionnalisme qui est second du jeu, juste derrière la Horde. Venise a participé à la coalition contre le Turc en session 4, ce qui a permis de sauver le Mamelouks d'une mort certaine en lui rendant la Palestine. Dans la guerre des ligues, Venise a rejoint le camp protestant et a participé aux combats majeurs du front de l'Ouest sur les terres Milanaises. Enfin, niveau doctrines Venise a choisi les idées innovatrices plutôt qu'économiques.

                    Maroc: Le Maroc monte d'un cran en deux sessions, et devient la première puissance navale du jeu. En effet, le Maroc est devant à la fois en limite navale, en moral naval et en nombre de vaisseaux lourds. L'adoption des doctrines Maritime a encore renforcé cette stratégie de domination navale, mais si cette domination n'est qu'en 1v1 puisqu'une alliance de puissances navales reste supérieure au seul Maroc. Pendant la guerre des ligues, le Maroc a réalisé des assauts amphibie qui ont permis de sortir la Suède de la guerre (le seul pays dans ce cas), et de faire des blocus sur les cotes ottomanes. La qualité et la taille de l'armée marocaine ne lui permettant pas d'avoir un véritable impact sur le champ de bataille.

                    Pays-Bas: Puissance respectable avec un excellent revenu, une limite d'armée conséquente et une qualité également au rendez-vous en moral, discipline et professionnalisme. Néanmoins, les Pays-Bas sont encore en retrait par rapport au voisin Français, et doivent obtenir l’assistance de la Hesse et la Grande-Bretagne pour repousser ses assauts. Les Pays-Bas ont rejoint logiquement le camp protestant dans la guerre des ligues, et ont participé aux combats du front de l'Ouest en Italie du Nord. Enfin, les doctrines Défensives ont été adoptées et renforce la qualité d'armée néerlandaise.

                    Tiers 2: Puissances régionales: les pays ayant un bon contrôle de leur zone d'influence naturelle, mais qui ne peuvent pas agir beaucoup plus loin et doivent rester en alerte face aux grandes puissances.

                    Mameloukes: Les Mamelouks sont passés prêt de la mort en session 4, avec un Ottoman qui avait brisé sa trêve pour s'emparer de la Palestine et arriver aux portes du Caire. Néanmoins, une coalition de la Perse, Venise et la Horde d'Or a permis de récupérer ces terres en début de session suivante, ce qui a redonné un peu de souffle aux Mameloukes. Le pays reste cependant limité en revenus, et malgré une bonne limite terrestre grâce aux doctrines de quantité, l'armée Mamelouks n'est à ce stade pas vraiment imposante et de qualité moyenne. Les doctrines commerciales ont été adoptées et devraient remplir les caisses Égyptiennes à terme.

                    Portugal: Le Portugal est riche, et avant tout un pays naval: second en limite et en nombre de vaisseaux lourds, premier en moral naval (juste devant le Maroc. Sur terre néanmoins, l'armée portugaise ne fait peur à personne et le pays en est réduit à essayer de recruter des pays mercenaires pour effectuer des conquêtes au nom des Lusitaniens. Les dernières doctrines adoptées sont celles de qualité, et vont dans le sens du renforcement naval du pays.

                    Hindustan: Le Bengale a formé l'Hindustan à la faveur de la mort du Bahmanis. En effet, les dernières provinces nécessaires à la formation du pays s'y trouvaient, ce qui explique la forme tentaculaire du blob Bengalais en Inde centrale. Le pays est particulièrement riche, avec un revenu parmi les meilleurs du jeu grâce au contrôle total de son nœud. L'armée Hindi est également en expansion, et rejoint en taille celle des autres pays du tiers, tout en conservant une qualité de bonne facture.

                    Japon: Le Japon reste la première puissance navale d'Extrême-Orient, avec un nombre considérable de vaisseaux lourds, mais également complété par encore plus de galères, ce qui lui donne une position favorable face à l'alliance Majapahit/Brunei qui pourrait être menaçante. Le pays a profité de la mort du Wu pour s'emparer de la province de Shanghai, même si le reste a été partagé entre le Ming et le Yue.

                    Yue: Le Yue prend la place de second pays Chinois, significativement derrière le Ming, mais en bien meilleure posture que le Shu. Le Yue a pris les doctrines commerciales, et devrai continuer à faire progresser son revenu. Le pays a bien profité de l'abandon du Wu pour s'emparer des riches cotes de Chine centrale, même s'il me semble que le Japon a réussit à ninja Shanghai même (à confirmer).

                    Népal: Les Népalais restent puissamment installés dans la plaine du Gange, et ont profité de la mort des Timourides pour prendre le contrôle de la moitié de l'Afghanistan, dont Kaboul. Le revenu du pays est en forte hausse, de même que la limite terrestre. Le sikhisme donne au pays un bon moral terrestre, mais la discipline n'est pas au rendez-vous, ce qui est aggravé par le fait que le pays est l'un des rares à ne pas avoir complété ses idées nationales (le +5% de discipline est en dernier). La mort du Bahmanis profite indirectement au Népal via le transfert de provinces du Mewar, qui en contrepartie se taille la plus grosse part en Inde centrale.

                    Tiers 2.5: Puissances locales: Les pays qui ne dominent pas complètement leur région, mais restent significatifs et des alliés utiles pour les autres puissances.

                    Yemen: Le Yémen a profité de ces deux dernière sessions pour consolider ses gains des 50 années précédentes. Cela se ressent notamment au niveau du revenu qui a doublé entre ces périodes. néanmoins, L'armée Yéménite reste de taille moyenne, et de qualité également non-exceptionnelle. Les doctrines commerciales ont été adoptées ce qui explique la percée en revenu du pays, qui s'accapare une bonne part du commerce indien. Enfin, il me semble que le pays a tenté d'aider le Bahmanis lors de l'attaque du Mewar, mais sans succès (à confirmer).

                    Hongrie: La Hongrie a progressé en 50 ans, mais vraiment lentement. Par rapport à la progression de la plupart des autres pays, cela peut s'apparenter à une stagnation. Il ne semble pas que la Hongrie ait réellement participé à des guerres pendant cette période, à l'exception de la guerre des ligues dans laquelle elle a rejoint le camp protestant et s'est battue sur le front de l'Est. Logiquement, les doctrines d'Espionage ont été adoptées.

                    Pologne: Contrairement à la Hongrie, la Pologne a mené de multiples combats dans la seconde moitié du XVIème siècle, avec des résultats globaux plutôt décevants. Si la Pologne avait semble-t-il un temps pris l'ascendant sur l'Autriche afin de lui prendre la Bohême, tous les gains dans cette direction ont depuis été perdus. Une première tentative contre la Prusse/Suède, avec l'alliance du Brandebourg et de la Lituanie s'est soldée par une paix blanche. La seconde en 1v1 négocié a été cauchemardesque, avec une technologie de retard côté Polonais, et une sous-estimation de la discipline prussienne qui s'est soldée par un stackwipe et la perte de deux provinces. Dans la guerre des ligues, la Pologne a été le principal champ de bataille du front Est, mais le camp protestant a réussit à chaque reprise à repousser les assauts sur Varsovie.

                    Milan: Milan a bien progressé pendant ces 50 dernière années, et prend donc un ascendant clair sur son voisin de Florence qui dans le même temps a connu une session d'IA. Néanmoins, le pays reste tout de même de taille modeste, avec une armée correcte mais de qualité moyenne. Le pays a été le principal champ de bataille du front Ouest de la guerre des ligues, et a vu sa capitale tomber à plusieurs reprises, avant qu'elle ne soit finalement libérées peu avant que la paix de Westphalie ne soit signée. Les doctrines commerciales ont été adoptées, ce qui devrait donner a bien aidé Milan à augmenter son revenu.

                    Hesse: La Hesse a profité de la mort du Dithmarschen pour s'emparer de l'essentiel de cote allemande de la Mer du Nord. A l'exception des provinces de commerce stratégiques de Brême et d'Hambourg qui ont été laissées à l'allié hollandais. La Hesse a d'ailleurs rejoint ce dernier afin de le protéger d'une attaque française, il semble donc que la situation diplomatique du pays soit plutôt sécurisante. Pendant la guerre des ligues, la Hesse était le leader du camp protestant, et a mené son camp à la paix de Westphalie, ce qui préserve le droit de tous les électeurs, y compris de son allié néerlandais. Enfin, les doctrines d'Espionage ont été adoptées comme pour beaucoup de pays de ce type.

                    Mewar: Le Mewar a réussit a éliminer le Bahmanis en session 4, avec l'aide du Népal et il me semble celle du Bengale également (à confirmer). Il en a résulter une expansion notable au centre de l'Inde, avec le Mewar et le Bengale qui se taille la part du lion dans le partage, laissant peu de choses au Madurai. En contrepartie de son aide, il semble également que le Mewar cède des provinces au Népal dans la région du Penjab/Cachemire. L'armée Mewari s’agrandit, et peut aussi se targuer d'un excellent moral, parmi les premiers du jeu, très vraisemblablement grâce aux bonus du sikhisme. Enfin, les doctrines d'Influence ont été adoptées, ce qui semble indiquer une stratégie basée sur les marches.

                    Shu: Le Shu a une excellente limite terrestre, mais un revenu rachitique qui l'empêche de vraiment l'exploiter. La mort du Wu le met en position difficile puisqu'à la fois le Yue et le Ming semblent hostile, avec deux guerres perdues contre ces derniers. L'absence de son allié Oirats n'a également pas arranger les choses de façon évidente. Néanmoins, le pays dispose encore des moyens de redresser la barre, pour peu que la situation diplomatique devienne un peu plus favorable.

                    Majapahit: Le Majapahit s'est définitivement orienté en pays naval, avec la prise des doctrines de qualité (en plus de maritime et du groupe naval). Cela se ressent par un excellent revenu, et une limite navale conséquente, ainsi que d'un nombre de navires lourds au niveau des leaders dans ce domaine (Maroc et Portugal, pour les nommer). Néanmoins, l'armée Javanaise est du coup en papier mâché, et les possibilités d'intervention dans les conflits extérieurs en sont donc très limitées.

                    Brunei: Le Brunei est un quasi-clone de son allié du Majapahit, avec les mêmes forces: limite navale, vassaiux lourds en grande quantité, bon revenu, et les mêmes faiblesses: armée en carton et de petite taille. Il semble que le focus naval des deux pays leur a permis d'éviter une nouvelle attaque marocaine lors de ces cinquante dernières années, puisque les deux réunis dispose d'une flotte potentiellement de taille à vaincre la flotte Maghrébine.

                    Oirats: L'Oirats a connu une session d'IA qui n'a pas fait que du bien, puisqu'il est l'un des rares pays à ne pas avoir débloqué de 4ème doctrine, et que l'alliance de son IA avec des Timourides déjà mort lui a coûté des invasions successives de la Perse, du Népal, et de la Horde pour faire sortir les Oirats de la guerre. Le revenu du pays reste correct, mais sans plus, et l'armée de taille réduite même si les vassaux constituent un appoint dans ce domaine.

                    Tiers 3: Puissances mineures: Les pays qui pour l'instant ne pèsent pas encore réellement sur la partie et doivent compter sur le soutien de leurs alliés/protecteurs pour pouvoir agir.

                    Florence: La Florence semble avoir perdu son joueur titulaire, et les sessions d'IA se ressentent, avec un pays qui stagne depuis 50 ans. Dans ces conditions, il ne peut prétendre qu'au statut de puissance mineure, puisque si le pays a un bon revenu, son armée est de taille réduite et de qualité très moyenne. L'IA a adopté les doctrines commerciales, ce qui n'est pas un mauvais choix en soit. Enfin, le pays a participé au camp protestant dans la guerre des ligues, ce qui a fait de l'Italie le principal champ de bataille du front Ouest.

                    Prusse: La Prusse sur le papier reste un mineur, avec un revenu et une taille d'armée limitée. Mais encore plus que le Brandebourg, sa qualité d'armée est excellente et la Pologne l'a appris à ses dépends en attaquant une petite Prusse avec une tech d'avance (surtout la tech 15), et surtout quatre fois plus de discipline. L'erreur d'appréciation de la Pologne s'est payée cash et la Prusse récupère Notec (dernière province de l'aire de Prusse occidentale), et Poznan. Dans la guerre des ligues, tout comme le Brandebourg, il semble que la Prusse ait joué le rôle de l'électron libre en alternant les batailles des fronts Est et Ouest.

                    Brandebourg: Le Brandebourg est une puissance mineure. Il se place très légèrement devant la Suède puisque sa qualité d'armée est excellente, quand celle de son voisin suédois qui dispose de plus de développement est tout juste moyenne. Le pays a logiquement rejoint le camp protestant dans la guerre des ligues, et on peut le dire a vu du pays puisqu'il a rejoint des batailles à la fois sur le front de l'ouest (Milan), et celui de l'Est (Varsovie), permettant à son camp de préserver l'avantage en warscore.

                    Suède: La Suède n'a pas encore profité de la mort du Dithmarschen puisque le Jutland vient tout juste d'être conquis, entre autres à cause de la garantie russe sur l'IA. La Suède est également un pays qui stagne, et elle ne peut même pas se targuer de disposer d'une qualité d'armée supérieure puisque son moral, sa discipline et son professionnalisme n'ont rien d'exceptionnels.

                    Lituanie: La Lituanie continue dans sa stagnation, avec un revenu qui ne progresse guère et une armée qui peine à s'agrandir. La participation du pays à la guerre des ligues dans le camp catholique a tout de même permis de recevoir des caisses entières de ducats espagnols, ce qui pourrait améliorer la situation.

                    Khmer: Le Khmer en deux sessions a récupéré les provinces Thaïlandaises détenues par le Madurai, et c'est à peu près tout ce qu'il y a à dire sur le pays.

                    Madurai: Le Madurai a perdu quelques provinces en Thaïlande et récupéré quelques autres après la mort du Bahmanis, mais cela ne semble pas l'avoir particulièrement renforcé. La colonisation de la Sibérie est également une entreprise dont les fruits semblent incertains.

                    Disparus: Les pays qui nous ont quittés après ces deux sessions.

                    Dithmarschen: Les coups de boutoir de la Suède ont eu raison du Dithmarschen, qui n'a reçu que le soutien temporaire de l'Empereur Espagnol. Le pays sera vraisemblablement partagé par la Suède (Jutland), la Hesse (Hannovre) et le Brandebourg (Lübeck), malgré la garantie russe sur l'IA. RIP le Dithmarschen qui avait trop d'ennemis.

                    Timourides: Les Timourides se sont écroulés rapidement en session 4 face à une nouvelle attaque de la Horde. Avec aucun soutien diplomatique, les Timourides n'étaient pas en mesure de se défendre. RIP le Timou, la Horde avait décidé de ne pas partager les steppes.

                    Bahmanis: Une unique défaite en session 4 face au Népal et au Mewar (et au Bengale?) aura eu raison des Bahmanis, qui n'auront même pas tenté un come back. Le partage négocié entre le Mewar et le Bengale semble assez peu esthétique, et c'est un euphémisme. RIP le Bahmanis, qui a laissé filé sa position dominante en Inde.

                    Wu: Pays laissé à l'abandon depuis 3 sessions, le Wu a finalement reçu le go des organisateurs pour être partagé. Malheureusement, il est difficile de ne pas avoir un sentiment de gâchis devant la situation en Chine qui risque de manquer d'intérêt face à la domination Ming. RIP le Wu, ton vrai potentiel n'aura pas été exploité.

                    En bonus, la carte des camps de la guerre des ligues dont j'ai beaucoup parlé (l'Oirats ne compte pas, il était dans une guerre séparée):


                    Et ci-dessous, la map de la GPO en 1595:
                    Dernière modification par MiniaAr, 11-01-2018, 09h21.

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                    • Je tiens à préciser que c'est la Hesse qui a mené le dernier coup de boutoir contre le Dithmarschen, dans un 1vs1, et c'est après une guerre de gentleman que le joueur c'est rendu. Et c'est aussi en partie grace à moi si l'Autriche a récupéré ses provinces. ( BIEN QUE CE MALANDRIN REFUSE DE ME PAYER )
                      Et pour ce qui est de la paix de Westphalie, c'était prévu justement pour que le Pays-Bas garde son électorat, le leader espagnol était lui-même d'accord, mais nous tenions à avoir quand même une belle guerre, et pour le coup, j'en suis pas mécontent non plus.

                      Le beau-jeu a enfin triomphé !
                      Mais le Royaume de Hesse, après avoir installé les Von Hessen sur le trône de Suède et instauré la paix politique et religieuse en Europe, prèpare encore de grandes choses !

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                      • Les revenus lituanien ont tout de même augmenter de 60% (25ducats à 40).
                        Après y as eu de la prospérité qui a voler avec la guerre des ligues.

                        La totalités des ducas espagnols ont été brulés en remboursement de dettes (précédentes et guerre des ligues).
                        Après, il est clair que le pays manque de beaucoup de choses... Quand passer a ta FL te met en déficit de 4 ducas, ça craint...

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                        • concernant la guerre des indes, il y a en fait eu deux guerres.

                          Le Yémen a accompagné le Bahamani dans une guerre d'agression contre le Mewar.
                          Nous avons malheureusement été balayé violemment, la position géographique compliquant fortement l'approvisionnement de renforts Yéménites.

                          C'est une fois la défaite concédée que le Bahamani a été découpé méthodiquement par les indiens unis.

                          Concernant le Yemen:
                          Bon en vrai, je pensais être déjà éliminé à cette session, au vue du défi apporté par le départ façon RASSIDES. Je vous propose donc un petit retour d'expérience sur ce START:

                          - Départ:
                          Débuter la partie en Arabie du sud complique fortement les rush sur les mines d'or et les provinces de pierres précieuses intéressante au développement
                          Diplomatiquement, j'ai donc du faire une croix assez rapide sur l'eldorado Éthiopien, au profit du voisin Égyptien.
                          Je pense que c'est une problématique qui n'existe juste pas avec un START Éthiopien, mais ne nous arrêtons pas là, ils y a d'autres avantages au pays
                          Concernant la première session, je conseil trois choses à celui qui aimerai tenter l'aventure:
                          1) Vous débutez la partie avec des rebelles prétendants au trône. Le roi est très souvent bien meilleur que le votre. Désactivez simplement votre fort, attendez un mois une fois que les rebelles ont contrôlé les deux provinces sans fort, et BIM, vous avez un nouveau roi!
                          2) Soyez très agressif, attaquez principalement les petits pays sans fort. Profitez de la moindre occasion pour prendre une province. N'ayez pas peur de prendre beaucoup beaucoup d'empreints.
                          Vous allez être la force la plus petite de la zone, donc n'hésitez pas à piéger les IA en montagne en défensif (votre capital sert à ça).
                          3) Votre gouvernement autorise une décision très pratique! En gros, chaque province mitoyenne avec une religion hérétique (donc les sunnites principalement) aura automatiquement une revendication sur elle (50 points militaires). Pas besoin de perdre du temps avec de l'espionnage.

                          - Les idées:
                          J'avoue avoir un peu tenter des choses ici. Le pays dispose de bonus conséquent en choc, ce qui en fait un client important des bonus de cavalerie de type "aristocratique" . Lors de la guerre contre la Perse avec le Timourides, nous avons effectivement constaté l'impact des phases de chocs (qui ont été les vecteurs de nos victoires, mais aussi des pertes importantes ennemis lors de nos défaites). Mais dans cette approche, le moral est vraiment faible.
                          Je ne pense pas qu'en late game cela soit viable. A voir encore donc.
                          Pour finir, j'ai choisi commerciale. Après réflexion, je pense que j'aurai dù prendre cette option bien plus tôt. Le pays est plutôt bien placé pour ces idées, avec plusieurs nœuds de commerces entrant direct. Les finances ont réellement été un problème pendant les 4 premières sessions.

                          - Les rois et event:
                          Bon là, c'est le gros point noir. A l'inverse de tous les voisins (Mamelouk, anatoliens, ethiopiens ou perses) le pays n'a pas été remanié ou adapté. Il n'y a pas de mécaniques spécifique pour avoir des rois forts et des events bonus dédié (type janissaires). Rien que pour cette raison, je conseil fortement de préférer l'éthiopie à Rassides pour les prochaines GPO.
                          Ici le retard lié uniquement aux rois est vraiment trop important (pas par rapport à un pays normal, mais par rapport aux voisins directs).
                          Ce "défaut" est renforcé par le fait que peu de provinces sont vraiment intéressantes à développer. Non pas à cause des ressources (le bonus café fait bien plaisir), mais surtout à cause des terrains très peu favorable au dev vertical.

                          Conclusion:
                          L'expérience a été intéressante, la mécanique est atypique, mais je ne recommencerai pas l'expérience. Il faut se rendre à l'évidence, le pays n'est pas fait pour être jouer, où du moins n'a pas vraiment d’intérêt dans la zone à la vue du voisinage direct. Préférez soit partir naval avec un Oman, ou préférez une Ethiopie classique pour plus de fun. Là on est trop en retard et trop le cul entre deux chaises (si je puis me permettre).

                          Et le mot de la fin: c'est une bien belle surprise que d'être encore dans la course et je tiens à remercier MiniaAr pour les conseils et analyses données dans ses Tiers

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                          • Envoyé par ludor Voir le message

                            Le beau-jeu a enfin triomphé !
                            Amen !

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                            • Envoyé par sunofdarkness86 Voir le message
                              concernant la guerre des indes, il y a en fait eu deux guerres.
                              Et le mot de la fin: c'est une bien belle surprise que d'être encore dans la course et je tiens à remercier
                              Le grand défi de ce genre de pays c'est de parvenir à avoir suffisamment d'argent pour tes nombreux slots de bâtiments. J'arrive dans ta zone, je t'arrose généreusement de ducats, et toi tu vas te suicider sur la Perse en soutenant un pays moribond. J'ai arrêté de te soutenir à cause de ça.

                              Sinon, la zone est plus que largement jouable.

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                              • Pas de bengale ?

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