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  • #91
    Mon ex pays a perdu Brunei mon héritage va partir en fumer snif.....

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    • #92
      Envoyé par L'historien du dimanche Voir le message
      Mon ex pays a perdu Brunei mon héritage va partir en fumer snif.....
      Il sera en sécurité avec nous, nous te l'assurons.

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      • #93
        Benoit , peux tu mettre les photos de tout les statistiques de la partie comme tu avais fait stp :-)

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        • #94
          Sur 30 ans les différences seront moins substantielles, voir quelques événements peuvent fausser certains aspects (commerce, manpower...) mais pas de soucis.

          Classement par revenu:



          Classement technologique:



          Classement des idées:



          Classement par total d'armées:



          Classement par nombre total de bateaux:



          Courbe des revenus:



          Commerce en Europe:

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          • #95
            Men fiche la mémoire de l'Impératrice Toku survivra a son empire!

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            • #96
              AAR Britannique - Cinquième session



              • 1537 - 1545 : Suite et fin du règne du Roi Edward IV dit Le Protestant (0-4-5)

                La colonie de Newfoundland croît rapidement, jusqu'à atteindre les 1000 habitants vers 1538. L'année suivante des colons britanniques sont envoyés dans l'urgence coloniser l'île de Manhattan située bien plus au Sud ; la raison de cette hâte est simple : les Français ont débarqué dans la baie de Pamlico et se sont lancés dans leur propre entreprise coloniale. En contrôlant l'île de Manhattan, la Grande-Bretagne s'assure néanmoins d'un contrôle accru du commerce nord américain.
                Stadaconé (actuelle Québec) mise à part, les efforts britanniques en terme de colonisation vont désormais se concentrer sur la baie de Chesapeake, afin de ralentir l'avancée française.

                Rapidement, un diplomate est envoyé à Londres sur ordre du Roi de France : le souverain à l'appétit sans fin souhaite parvenir à un partage de l'Amérique du Nord entre Français et Britanniques. Edward congédie sans attendre l'émissaire, rejetant la proposition : si la France a les mains libres en Europe du fait de la complaisance de ses voisins, elle devra se battre pour les Amériques.
                Sous l'impulsion du Roi, une alliance est alors forgée avec les Pays-Bas, vaine tentative afin d'équilibrer les rapports de force sur le plan militaire.

                Souhaitant s'emparer de certaines provinces wallonnes, la France se lance dans une guerre contre les Pays-Bas en automne 1544. Alors que les Néerlandais se trouvent en très nette infériorité numérique et technologique, la Grande-Bretagne ne dispose pas des moyens logistiques nécessaires permettant de procéder à un débarquement de masse, il est donc décidé d'épargner le sang des soldats britanniques et d'éviter toute intervention militaire en Flandre.
                Un malheur en entraînant toujours un autre, Edward IV finit par succomber sous le poids des années en Janvier 1545, son fils Adolphus, maladif et simple d'esprit, lui succède et se retrouve à la tête d'un conflit majeur.


              • 1545 - 1561 : Règne du Roi Adolphus I dit Le Huron (1-2-2)

                Ayant grandi à l'époque des premières Grandes Découvertes, Adolphus a toujours été fasciné par les Amériques, au point d'en négliger la métropole. C'est ce vif intérêt qui va être à l'origine d'un plan visant à contraindre la France à la paix : en effet, si celle-ci demeure inviolable en Europe, ses jeunes colonies sont fragiles et vulnérables, elles peuvent ainsi faire l'objet d'une monnaie d'échange précieuse afin d'en finir avec la guerre en cours.
                Mais tandis que le corps expéditionnaire britannique embarque dans le Sud de l'Angleterre, l'impensable s'est déjà produit : poursuivie sans relâche par les troupes françaises et hanséatiques, l'armée néerlandaise est anéantie dés le mois de Mars ; contre les recommandations de la Grande-Bretagne, les Pays-Bas s'empressent alors de signer la paix, réduisant à néant tout espoir de s'emparer des colonies françaises.

                Suite à cet échec, les Britanniques redoublent d'efforts dans la course aux colonies : vivement encouragés par Adolphus, les colons avancent progressivement dans les terres, jusqu'à entrer en contact avec une tribu régionale majeure : les Hurons. Les premiers rapports sont d'abord essentiellement commerciaux ; mais le souverain finit par se prendre d'affection pour ce peuple et décide alors de le civiliser.
                Si certains amérindiens réactionnaires décident de lutter contre la bienveillance britannique, la majeure partie de la population est très rapidement acquise à la Grande-Bretagne : en 1560 l'intégralité de la confédération a été intégrée aux possessions coloniales britanniques. Il s'agit désormais de leur apporter le Progrès et le Protestantisme.
                Plus au Sud, les Français ont fait de même avec la nation Shawnee ; pire encore, les Néerlandais qui possédaient plusieurs provinces dans la région, décident de céder intégralement ces dernières à la France, renforçant une nouvelle fois considérablement leur "ennemi".

                Spoiler:

                Un guerrier Huron équipé d'un fusil britannique [oui je sais, le fusil ne fait pas vraiment "1560"]


                Après un court règne essentiellement marqué par des aventures coloniales, Adolphus meurt de maladie le 13 Juin 1561, son fils Frederick William lui succède aussitôt (certains prétendent même qu'il fût à l'origine de la plupart des décisions majeures de son père).


              • 1561 - 1565 : Règne du Roi Frederick I William dit Le Lion de Mer (4-3-5)

                Au contraire de son père, Frederick William se révèle très tôt être un excellent Roi, et si il continue de favoriser l'implantation de colonies britanniques en Amérique du Nord, il ne néglige pas pour autant la métropole (chose qu'avait faite son prédécesseur).
                Aidé financièrement par le commerce des richesses du Nouveau Monde, il développe les infrastructures des îles Britanniques : Londres surtout bénéficie d'un traitement de faveur puisque la capitale se voit dotée d'une ambassade digne de ce nom ainsi que d'une académie consacrée aux arts.

                Mais le souverain est inquiet de la montée en puissance de l'Armada espagnole ; soucieux de préserver la sécurité du territoire britannique, il lance un vaste programme d'expansion navale : les infrastructures portuaires sont progressivement modernisées, de même qu'une partie des vaisseaux lourds de la Royal Navy.

                Pour l'heure, la marine marchande et l'embargo imposé à la France permettent à la Grande-Bretagne de contrôler l'intégralité du commerce nord américain ; mais l'expansion très agressive de la France, aidée (volontairement ou non) par les Pays-Bas, risque très rapidement de nuire aux intérêts de la couronne.

                Spoiler:

                La côte Est de l'Amérique du Nord en 1565


                A suivre...
              Dernière modification par Restif, 18-09-2013, 18h10.

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              • #97
                Chroniques du royaume de France

                1537-1565



                Louis XIV dit le conquérant
                11 juillet 1533 – 6 septembre 1560




                L’accord franco-espagnol


                A son arrivée sur le trône, Louis XIV est à la tête de la première armée d’Europe et d’un royaume dont la richesse est importante. Néanmoins, la France accuse un retard majeur dans la colonisation du nouveau-monde qu’il considère comme étant une opportunité pour son pays.
                Les navires espagnols et portugais apportent depuis quelques années des denrées rares d’Amérique qui sont courtisées par tous les monarques d’Europe. Le commerce est florissant, et même l’Angleterre trouve quelques ressources exotiques dans ces expéditions.



                Le port de Séville est une plaque tournante du commerce européen

                Profitant d’un rendez-vous avec le roi d’Espagne à Marseille pour discuter de la question italienne, un accord est signé pour permettre aux navires français d’utiliser les infrastructures espagnoles en Amérique. En échange de cet accord, la France s’engage à aider au financement de la flotte espagnole qui a besoin d’être agrandie pour assurer ses nouvelles missions.

                L'alliance entre les rois espagnols et français assure aux deux royaumes la paix à l'intérieur des frontières


                Mais l’accord qui en ressort est celui qui fera le tour des cours d’Europe. La France et l’Espagne s’engagent à soutenir la papauté dans son expansion italienne, et principalement sur la question milanaise.
                Or, Milan est vassal de l’Autriche, gardien de sa sécurité. Les relations entre l’Autriche et la France sont conflictuelles entre les conflits dans le nord de l’Europe et les tensions en Italie. L’ambassadeur de France a même été décapité alors que la pays tentaient de négocier pour éviter une nouvelle guerre en Europe.

                Tandis que les premiers navires de colons français quittent la métropole pour l’Amérique, une dernière conférence doit avoir lieu à Malte entre les différentes parties pour tenter de trouver une issue au conflit.

                Le traité de Malte et la chute de la Savoie



                L'île de Malte fut choisie pour accueillir les quatre dirigeants

                La conférence de Malte dura trois jours pendant lesquels le destin de l’Italie devait se jouer. A son retour en Provence, le roi ne dit pas un mot sur le résultat de la rencontre.
                L’armée française était déjà positionnée dans le Sud et le roi de France déclare la guerre à la Savoie.
                Trop longtemps le duché de Savoie fut une épine dans les ambitions françaises. Ce petit territoire au sud fut la terre de roi et généraux d’une grande qualité qui ont cherché à mettre à mal les ambitions françaises. Ordre est donné au maréchal de France, Blaise de Pellefort, de marcher sur le duché et prendre Nice.

                Le règne de Louis XIV est étroitement lié à la vie d’un homme, le général Blaise de Pellefort, un des plus grands généraux d’Europe.


                Le maréchal de Pellefort, Comte d'Alsace et plus fine lame du royaume

                Le maréchal de Pellefort est un général d’exception bien que plus porté sur les charges de cavalerie que les nouvelles inventions à poudre.
                Le Palatinat, empereur, décide de rejoindre la Savoie dans ce qui sera une guerre très importante pour l’avenir de l’Empire. En effet, le titre d’Empereur n’est plus détenu par l’Autriche mais le Palatinat et ses alliés, seulement cette guerre va exténuer les ressources de l’Etat qui ne pourra plus assurer la défense de l’Empire. Pendant ce temps, la papauté marche sur Milan mais ses efforts sont repoussés par la Bohème tandis que, curieusement pour les rois d’Europe, l’Autriche n’intervient pas.

                Après plusieurs escarmouches dans les montagnes, de tentative de siège des deux côtés, la coalition impériale affronte l’armée française près d’un village à Wallis. Le maréchal Blaise de Pellefort a réussi à mettre en déroute plusieurs armées impériales quelques mois plus tôt et s’apprête maintenant à tendre un piège aux restes des contingents allemands.
                L’armée est commandée par Sebastiano di Busca, général savoyard compétent qui arrive à échapper aux armées françaises depuis le début du conflit. Mais, son arrogance le fait tomber dans le piège de Pellefort. Alors que 9000 hommes tombent sur 5000 français, les corps principaux, qui descendent depuis deux semaines de Lorraine où ils ont exterminé les restes de l’armée palatine, fondent sur la région avec 45000 hommes.


                La bataille de Fribourg qui scelle la légende du maréchal de Pellefort

                Au terme de cette bataille où le maréchal s’illustre personnellement, les armées impériales sont bloquées aux alentours de la ville de Fribourg et battus par l’armée française. Au terme de cette guerre, Nice est cédée à la France ainsi que quelques pièces.

                Louis XIV n’est pas qu’un roi militaire loin de là, c’est aussi un administrateur de talent qui va donner à la France une administration qui fera sa fierté en Europe. Les institutions financières françaises assurent la stabilité des prix dans tout le royaume, les intendants contrôlent l’administration du territoire et sont un contre-pouvoir aux seigneurs féodaux. Des infrastructures modernes sont construites dans le royaume et assurent au roi des revenus conséquents qui lui permettent d’assurer la solde de la première armée d’Europe.
                En Amérique, la colonisation porte ses fruits avec de brillantes réussites. Depuis que le roi a placé les compagnies sous le contrôle de l’administration, de nouvelles stratégies sont mises en place et les marchands reviennent avec des produits qui s‘échangent à prix d’or.

                Assurer au royaume un pré-carré


                Le roi a très mal vécu l’accord contracté avec les marchands flamands. Pour lui, ces terres étaient français et n’avaient pas à être achetées à des roturiers sans scrupules. En automne 1544, il décide qu’il est temps de punir cet affront avec l’aide de l’allié hanséatique.
                Plus de 50000 français passent la frontière au sud tandis que le nord est envahi par les armées au service de la ligue. L’Angleterre était depuis quelques années convaincues que le roi se lancerait dans cette expédition. Voulant faire obstacle aux ambitions de la France, elle entre dans la guerre.

                Mais, incapable d’intervenir efficacement dans le conflit, elle ne peut être que spectatrice du désastre que subit l’armée flamande. En deux batailles dans les environs du Oldenbourg, la formidable armée de Pellefort soutenu par la ligue sera mise en déroute.

                En février, le premier choc a lieu quand l’armée hollandaise tente de repousser l’armée hanséatique. Mais alors que les deux armées s’affrontent depuis deux semaines sans relâche, les troupes françaises interviennent et chargent l’armée flamande.


                La bataille de Cloppenburg marque le tournant de la guerre

                En quelques jours, elle est obligée de se replier au sud mais est poursuivie par les troupes coalisées. Ce sont plus de 57000 hommes qui affrontent les forces épuisées des hollandais.
                Les affrontements ne sont pas longs, l’artillerie française réduisant en cendre les maigres défenses improvisées.


                La cavalerie française charge les flancs hollandais tandis que les piquiers hanséatiques assurent la victoire au centre

                Terrorisés par les résultats militaires, les hollandais proposent une paix au roi de France qui, voyant que l’affront a été lavé, décide d’accepter l’offre. Par le traité du Luxembourg, l’Artois et Cambray sont cédés à la France qui montre ainsi aux nations qui auraient l’audace de l’insulter que sa réponse sera puissante. Le roi de France peut également s’enorgueillir d’avoir montré au jeune roi anglais qu’il n’avait pas à intervenir dans les affaires européennes.
                En plus de cet accord, le roi décide de faire comprendre à l’Angleterre qu’il n’acceptera plus ses ingérences dans les affaires de la France et décide d’un embargo sur le commerce anglais. L’inverse ne tarde pas à arriver et un embargo sur le commerce français est proclamé, mettant les relations entre les deux pays sous tension.

                La France s’impose en Amérique


                Alors que les anglais regardent d’un œil méfiant les indigènes qui peuplent les terres désolées d’Amérique du Nord, la France assure un accord avec eux et la Hollande. Plusieurs tribus indigènes rejoignent la France qui achète le soutien hollandais avec des sommes d’or alors que le royaume est en proie à de graves difficultés financières.
                Dès lors, la France dispose d’un territoire important qui lui permet de concurrencer les ambitions anglaises. La perfide albion a rejeté quelques années auparavant un accord que lui proposait le roi de France et qui était à son avantage.
                Peu importe, si l’Angleterre ne veut pas négocier, alors la France prendra plus que ce qu’elle se proposait d’acquérir. Les colons français assurent alors une présence forte qui gêne les intérêts marchands de l’ennemi insulaire.


                Territoire français en Amérique à la fin du règne de Louis XIV

                Le 20 août 1548, la Lorraine, jadis ennemi de la France, est intégrée pleinement au domaine royal suite à divers mariages. Le royaume sort alors de la division féodale, la France peut se tourner pleinement vers son destin européen et mondial.

                Les guerres d’Italie


                La papauté déclare une nouvelle fois la guerre au duché de Milan soutenu cette fois par les armées françaises. Durant les 4 années de guerre, se furent principalement des sièges qui ont marqué les campagnes militaires à l’exception d’un affrontement entre le maréchal de Pellefort à la tête de 34000 hommes et 13000 palatins commandés par Heinrich Friedrich Dammerscheidt.


                Le siège de Milan par les armées françaises et papales

                A la fin du conflit, la papauté annexe la majeure partie du duché de Milan et cède Brescia à l’Autriche.
                Quelques années après, la papauté cherchera aussi à mettre à bas la Savoie, toujours avec le concours de la France lors de deux guerres de moindre importance. L’armée impériale a tenté une avancée avec 7000 hommes mais 190000 français l’attendaient en embuscade près de Cunéo.

                La fin de l’alliance hanséatique et le pacte secret qui n’existe pas

                Le nord de l’Europe n’a jamais été une région paisible. Lieu où de nombreux conflits débutent pour de multiples raisons, la moindre tension est propice à une guerre. La Hanse va de nouveau perturber le calme au Nord en déclarant une guerre pour des motifs commerciaux, se mettant à dos la plupart des pays de la région.
                L’armée française vient à son secours et repousse les armées polonaises sur Vorpormmern. 22000 français et hanséatiques contre 24000 polonais.


                L'infanterie et l'artillerie prenne une place majeure dans les batailles au détriment de la cavalerie

                Une nouvelle fois, la coalition a prouvé sa vaillance face à ses adversaires, mais quelques révoltes protestantes obligent l’armée française à retourner rapidement défendre le territoire. C’est alors que l’ambassadeur d’Autriche en France demande au roi de laisser tomber son alliance historique avec la Hanse.
                Stupeur en Europe, toute demande entre la France ou l’Autriche finissait en conflit. L’armée palatine, exsangue, se prépare une fois de plus à devoir intervenir contre la France, la Bohème s’arme pour aller défendre le territoire.

                Mais, alors que la guerre fait rage au nord et que les royaumes d’Europe se préparent à un nouveau conflit, la France accède à la autrichienne et signe une paix séparée avec la Suède. A l’issu de cette paix, un ambassadeur permanent est détaché auprès de Vienne pour améliorer les relations avec l’Autriche tandis que des accords sont signés avec la Suède pour unir les deux royaumes.
                Entre la neutralité autrichienne en Italie, la cession de Brescia et l’accord en pleine guerre, de nombreux bruits courent dans les palais d’Europe sur l’existence d’un pacte entre l’Autriche et la France. Plusieurs conseillers s’étonnent de ces relations et ce revirement politique mais le roi n’admet aucune critique sur cette décision.

                Le 9 septembre 1560, Louis XIV meurt peu de temps après le maréchal de Pellefort. Sur sa demande, les deux corps sont enterrés à côtés pour honorer jusque dans la mort la mémoire de son frère d’arme.
                Louis XIV a donné au royaume des frontières stables et un empire colonial important au prix de nombreuses guerres. Roi militaire, il fut également un défenseur des arts et un administrateur de talent qui laissa sa trace dans l’histoire de France. Son règne a marqué ses contemporains et l'histoire de l'Europe. Ce sont des défis bien différents qui attendent son fils, Louis XV.


                Les frontières du royaume en Europe à la mort du roi

                Louis XV
                6 septembre 1560 – encore en vie


                C’est un roi compétent qui accède au trône le 6 septembre 1560, mais un roi qui devra relever de nombreux défis. Le premier défi est bien entendu celui de la fracture religieuse entre catholiques et les partisans de la Réforme. Se servant de ces dissensions, certains nobles locaux veulent affirmer leur pouvoir contre la royauté et c’est un chantier immense qui attend le jeune roi.

                L’autre problème concerne les relations extérieures et la chute de l’Empire. Récemment, l’Autriche a décidé de quitter l’Empire et d’affirmer son indépendance face à une structure qu’elle jugeait bloquante pour ses ambitions. A cette défection, il faut ajouter la pression qu’exercent certaines nations sur l’Empire comme la papauté au sud, la Suède au Nord et la Pologne à l’Est.
                Finalement, l’Empereur n’est qu’honorifique et commande sur un territoire en décomposition. Le jeune roi devra s’adapter à cette situation et lancer les bases d’une nouvelle diplomatie qui prendra en compte la chute de cette entité.


                Situation du SERG avec la papauté qui compte remonter sur l’Italie, la Suède s’implanter dans le nord la Bohème qui est vassal de l’Autriche et dont la vie est soumise à sa bonne volonté.


                Des membres faibles et affaiblis par des guerres en Europe.
                Dernière modification par Benoît, 18-09-2013, 18h46.

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                • #98
                  Bien bien tous ces AAR !

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                  • #99
                    Merci, je trouve que cela fait partie du charme des GPO.
                    J'en profite au passage, qui jouait la Hongrie sur la dernière session?

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                    • C'était Boomer.

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                      • Merci beaucoup Restif.

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                        • Hum je suis plus héritier présomptif de l'empire ? Je l'étais en quittant à minuit...

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                          • Euh si sans doute ; mais force est de constater que l'Empire ne ressemble plus à grand chose .

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                            • Le Rhin Benoît, c'est impératif !
                              :clemenceaurichelieu:

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                              • Défi accepté!
                                Bis, on peut paler?

                                Commentaire

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