[Restif]

De toute façon Milan c'était plus ou moins mort hein .

[bisthebis]

Pas de ma faute à dire vrai, milan et ses alliés pitoyables ont voulus jouer les opportunistes quand j'étais en guerre contre la bohème, du coup je les ai calmer avec un allié et j'ai tenu cet accord pour qu'il arrête de me la faire à l'envers, maintenant Milan est vassal, les Etats pontificaux et Naples alliés + Venice mon allié de longue date, l'Italie est respectable ou dompter ...

Puis j'ai bien essayer de sauver le Brandbourg au détriment de ma propre nation "que j'ai failli voir disparaitre" donc j'attaque pas les absents, je tente même de les faire survivre.

Ah évidemment si l'IA milanaise a attaqué...
Bon du coup je vais voir vendredi ce que je fais.

@Restif : pas vraiment, avant de me choper une alliance en cascade vendredi passé (qui m'a couté deux territoires), je poutrais mes voisins et j'évitais de provoquer Venise (qui, depuis que j'ai déplacé ma capitale à Gênes, n'a plus de raisons de me voir en concurrent commercial)

[BloodyWarrior]

Chroniques du Grand Sultanat Mamelouk
" Prosternez vous misérables "

Jaqmaq Burji dit Le Grand dit aussi Le Cruel (1438 - ??? ( réputé immortel )), Sultan d'Egypte, de Syrie, d'Hedjaz, du Yemen, d'Anatolie, de Tripolitaine et Bey d'Algers,

" Connu pour toujours combattre à l'avant de ses compagnons tel Alexandre le Grand, jamais il ne manqua l'occasion d'occire un ennemi le moins proprement possible et jamais il ne manqua une bataille, tel fut Jaqmaq le Sultan-Guerrier " Doge Carlos Casanova


Il a été dit dans la prophétie qu'un jour un enfant esclave sortirait le Grand Sultanat de son obscurité grandissante. Cet enfant exista, fils d'un fermier géorgien et d'une prostituée azerbaïdjanaise, son père n'eut pas le temps de le nommer qu'un raid mamelouk lui enleva la garde de son enfant. Arrivé en Égypte à l'âge de 5 ans, un garde mamelouk remarqua ses muscles saillants et ses petites fesses dodues et demanda à l'intégrer à la garde mamelouke, une milice formée d'esclaves, affranchis et recevant une solde à l'issue de leur formation.


Plusieurs années plus tard, alors que l'apathie des sultans mamelouks contribue à la décadence du Sultanat, Jaqmaq alors devenu un mamelouk adulte fort et barbu de 17 ans, lance un coup d'état militaire pour détrôner son pitoyable dirigeant.
En 1438, il devient Sultan a l'âge de 18 ans après avoir trucidé tous ces opposants.

Désireux de restaurer la gloire perdue de son état, il lance de sévères réformes de l'appareil militaire. l'armée reste dirigée par des officiers mamelouks mais les rangs subalternes sont désormais ouverts à tout désigné volontaire âgé de 11 a 70 ans.

En 1444, trouvant le chiffre du calendrier des infidèles joli, il décide de lancer l'invasion d'un ridicule petit état proche de la Mer Rouge, l’Émirat d'Hedjaz. Il le soumet rapidement, ses troupes étant habituées à la chaleur horrible du désert. Les ports de la mer Rouge lui sont acquis. Fin stratège, il annexe une province au Nord tandis que le reste du pays est vassalisé, pour éviter de trop violentes révoltes.

Une dizaine d'années plus tard, le Sultan se croyant bon diplomate essaie de vassaliser diplomatiquement le sultanat de Tripolitaine. Ses Ambassadeurs échouant lamentablement à chaque tentative, Jaqmaq Burji entre dans une profonde rage destructrice, il tue plus d'une centaine de servants en un jour. Il met alors son armée en état d'alerte et part pour le Yemen où quelques années auparavant, il avait réussi à faire entrer le sang Burji dans la dynastie Yéménite. Il entre en 1453 dans Sana'a où il est accueilli comme ami de la famille régnante, prétextant aller chasser des pillards éthiopiens, il demande hospitalité. Pendant le festin, Al-Muhattar Ali, Sultan du Yemen, questionne Jaqmaq à propos de la flamme rouge luisant dans ses yeux, ce dernier sourit d'un air narquois tout en répondant qu'il a grand faim. Ce faisant, il monte sur la table, dégaine son sabre et tranche d'un coup net la tête ébahie du sultan Yéménite.
S'adressant à sa garde, il crie: " Soldats ! Trouvez tous les membres de la famille royale et ramenez moi leurs coeurs, je les mangerai et absorberai le sang de leur pitoyable lignée ! Je deviendrai ainsi légitimement le Sultan des tous les Yéménites ! "
Pendant un an encore, les mamelouks chassèrent les dernières poches de résistance loyalistes mais l'armée du grand Sultanat étant en extrême supériorité numérique, les loyalistes n'avaient aucune chance. En 1454, Jaqmaq Burji fut sacré Sultan du Yémen et acquis son premier surnom de Jaqmaq le Cruel ( certains de ses opposants l'appelaient sous le manteau " Le Boucher Halal " mais il n'aimait que peu ce surnom et empalait ceux qu'il soupçonnait d'utiliser ce surnom ).


Un intellectuel mamelouk, pensif


Ayant épanché sa soif de sang pendant un certain moment, Jaqmaq Burji se concentra sur sa politique intérieure, bien que devenant à demi fou dès qu'il voyait de l'hémoglobine, il restait un homme avisé ( au moins une heure par jours ) et caractéristique provenant surement de sa Géorgie natale, il détestait les hommes de foi. Oui Jaqmaq n'était point pieux. Il fit de grandes avancées sur la tolérance des minorités religieuses dans le pays et et empala plusieurs imams trop conservateurs. De plus, il aida un coup d'état militaire à se mettre en place sur l'ile voisine de Chypre, pourtant occupée par des infidèles. Un prétendant du nom de Jacques fut donc placé sur le trône par des soldats d'élite mamelouks. Jacques offrit en contrepartie son indépendance au Grand Sultan, devenant ainsi son vassal.

Approché par des diplomates vénitiens au début des années 1470, il noua de nombreux liens avec eux tant il aimait leur vision pragmatique et cruelle du monde.
Ainsi naquit la première grande collaboration entre la Sérénissime et le Grand Sultanat, chacun des deux alliés lorgnant vers l'empire ottoman et ses richesses, ils mirent en place un fourbe plan. Avec leurs puissantes flottes ils allaient couper en deux l'empire turc et occuper l’Anatolie tandis qu'ils laisseraient dépérir dans les révoltes et le sang la partie occidental du puant empire turc. Ce qui devait arriver arriva, le Sultan ottoman, un homme qu'on avait bercé trop près du mur, entretenait un tel nombre de soldats qu'en deux ans à peine, son économie s'écroulait, tenue à la gorge par les nombreux créanciers, la plupart étant anglais et cupides. ( Un peu plus loin mais dans le même temps, le Sultanat de Tripolitaine étant allié aux Turcs est soumis par la force, ce que Jaqmaq n'avait pas réussi à faire par sa plume, il le fit par la pointe de son épée. ) La coalition anti-turque n'eut même pas à négocier et l'ennemi accéda à toutes leurs demandes, faisant des deux états alliés la plus grande force de la méditerranée.


Un puissant cavalier mamelouk lançant des piècettes à un pauvre soldat turc



Jaqmaq Burji devint Le Grand Sultan.



Restes du Monde:



L'Espagne jadis un pays puissant est devenu un pays du tiers monde, tout juste bon à être conquis ou pillé.

Le Danemark a été injustement et fourbement attaqué par une coalition formée par les êtres les moins recommendables et les plus vils de la Planète: Restyphus Roitelet d'Angleterre et Pierre Courtequeue Roitelet de Suède.

Les autres pays n'ont pas vocation à être mentionnés, ils n’intéressent que peu le sultan.


* L'émissaire urine sur vos babouches et s'en va en riant *

[Polo_lux]

La conspiration machiavélique VS le pauvre Danemark

ROYAUME DU DANEMARK

9 Avril 1940 – Cristopher III Von Wittelbach, Le Mal aimé, roi du Danemark et roi de Norvège

Après l’annexion d’Ösel, le royaume Danois, bien que toujours blessé du fait de la guerre civile, entama une période de relative prospérité, le retard accumulé durant les périodes troubles de l'union de Kalmar fut comblé.
Le roi connu quelque succès diplomatique en obtenant des contes de Holstein l’intégration de leurs provinces au royaume. De ce fait ils se dégageaient de l’autorité de l’empereur Romain, mais celui-ci n’éleva aucune protestation.
De nouveaux navires furent mis à l’eau. Des ports, des marchés et des temples furent bâtis dans tout le pays.

Cette courte période fut renversée par une nouvelle révolte Suédoise, mieux préparée et davantage soutenue par l’Angleterre.
Les dates sont floues, mais les faits sont bien connus. Les armées suédoises, massées aux Sud depuis quelques semaines selon les fonctionnaires locaux, marchèrent aussitôt la guerre déclarée sur les forces danoises présente aux alentours de Skäne.
Exactement au même moment, une armée anglaise de quelque milliers d’homme attaqua les îles Orkney depuis l’écosse, une autre débarqua à Reykjavik et une armada Anglaise, d’une taille démesurée, transportant un corps expéditionnaire d’une dizaine de millier d’homme, pénétra les eaux danoises, pulvérisant la flottilles norvégienne.
Ne pouvant faire face, les troupes royales firent marche vers la Norvège pour faire jonction avec leurs alliés (ils ne pouvaient reculer, le détroit était bloqué par les navires anglais). Ils furent interceptés en route par les suédois, aussitôt rejoins par leurs alliés anglais, les conspirateurs réunirent tant d’hommes que les armées danoise furent balayées.




La rapidité, du fait d’une longue concertation entre les séditieux et le gouvernement anglais, et la puissance de l’action mirent très vite le Danemark hors jeu, le roi Cristopher III, ne pouvant attendre l’aide d’aucun souverain amis entame des pourparlers avec les vainqueurs. Ce qui n’empêcha par les anglais déchainés de mettre les ports Danois sous blocus et de débarquer pour massacrer la faible force reconstituée.
Ainsi, le royaume de Danemark et de Norvège accorda son indépendance au seigneur de suède, ainsi que les 2/3 des territoires qu’il occupait au Sud de la péninsule (les suédois espéraient sans doute apparaître comme magnanimes ?). A l’Angleterre il transféra la suzeraineté norvégienne des Orkney et la moitié de l’Islande, pourtant peuplée de norvégiens. Bien sûr, du fait des actions anglaises, le royaume se trouva sans aucune force terrestre au sortir de la guerre.

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Concertation machiavélique ou simple coïncidence, à peine quelque mois plus tard, la belliqueuse république hanséatique traversa la frontière de Holstein et assiégea ses forteresses. Les faibles troupes mercenaires rassemblées ne purent rien faire et le royaume sembla alors au bord du gouffre.
Heureusement, la flotte Danoise (préservée à Gotland lors de la guerre précédente) parvient, depuis les mers à équilibrer le rapport de force. La guerre s’éternisa, l’état-major pensant qu’il fallait attendre la pénétration des Hanséatique dans les terres pour mener une guerre d’attrition, mais ceux-ci après occupation du Holstein retournèrent au Sud pour y semer la mort et la désolation.
Puis se fut au tour de l’ordre de Livonie d’entrer en guerre, pour récupérer l’île d’Ösel, là encore la flotte danoise fut au rendez-vous et parvint, à elle seule, après avoir mis la Livonie sous blocus, à obtenir la paix blanche.
Cependant la Hanse restait un problème et seule l’intervention, digne et complètement désintéressée du roi de Bourgogne en Allemagne du Nord, à la tête de 16.000 hommes, qui se joignirent aux 5.000 danois, permis de faire capituler la Hanse.

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Le Danemark après ces deux guerres épouvantables se retrouve dans une position financière plus que délicate, l’inflation augmentait du même que le nombre de créancier en colère. Mais ayant fait la guerre à tous ses voisins, Cristopher pouvait alors espérer que le royaume ne serait plus affligé à nouveau de ce tourment.

Mais c’est sans compter la vilénie des ses ennemis.
Là aussi les dates sont floues mais les faits connus. En Islande, 5.000 anglais, un nombre inconnue en mer du Nord, et près de 20 navires à l’entrée de la Baltique. En suède, 16.000 hommes au Sud et 5.000 à la frontière norvégienne. Le roi appela à l’aide partout ou il y avait des chances d’aboutir, la Moscovie, son principal espoir, opposa un refus ferme, malgré le fait qu’elle se soit fait flouée par la suède indépendante quelque mois plus tôt au sujet de ces frontières.
Seule la Bourgogne, la BRAVE Bourgogne, répondit à l’appel de Cristopher, à quelques jours d’intervalle, les 2 alliés Anglo-suédois déclarèrent la guerre au royaume de Danemark.
Les chances du succès était bien mince, l’armée danoise, du fait de ces nombreux échecs et de ses pertes n’était composée que de 3.000 hommes rassemblés au pied levé (par l’usure qui plus est). Les 3.000 hommes furent massacrés.
Là encore la flotte s’illustra en vainquant les suédois au large de Gotland, se repliant juste avant que les navire anglais n’arrive à la rescousse de leur précieux allié.

Les conditions de paix sont lourdes, la Suède exige tout ce qui reste des possessions danoise au sud et des terres en Norvège. L’Angleterre de son côté réclame la totalité de l’Islande et toute les îles occupées par le Danemark-Norvège en mer du Nord, ainsi qu’une forte indemnité.

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Spoiler:

Le Danemark après la session n°2

[Restif]

AAR Anglais - Deuxième session

• 1463 - 1484 : Suite du règne du Roi Edgar Ier dit Le Victorieux (6-3-0)
  
  Après l'annexion du Leinster, Edgar Ier prévoyait de poursuivre sa conquête de l'Irlande en s'attaquant à l'Ulster ; mais un contre-temps diplomatique vient retarder ses plans (en fait j'ai oublié de sélectionner la demande d'annexion et j'ai signé une paix blanche avec eux ). Il décide alors de se focaliser intégralement sur l'Écosse et l'expansion commerciale de l'Angleterre.
  Tandis que de nouveaux navires légers sont construits afin de sécuriser les routes commerciales reliant Bordeaux et Londres, les marchands anglais se tournent de plus en plus vers la Mer du Nord ; leurs intérêts rejoignent ici ceux de nombreux Écossais, ce qui facilite le rapprochement entre les deux peuples.
  
  L'intégration de l'Écosse est finalement achevée au cours du mois d'Avril 1466. Celle-ci place les Anglais en position dominante en Mer du Nord, bien que les Norvégiens soient également très présents grâce à leurs nombreuses îles stratégiques. Pour l'heure, Edgar retourne soumettre les Irlandais ; mais il convoite déjà les îles norvégiennes.
  La conquête de l'Irlande dure 2 ans : le Connaught tombe en 1467 et le Munster l'année suivante ; quant à l'Ulster, son sort est remis à plus tard. A l'exception de ce dernier et des Orcades, l'intégralité des îles Britanniques est désormais sous contrôle anglais ; afin de mieux contrôler les populations du Pays de Galles et d'Irlande, leurs élites sont progressivement anglicisées.
  
  Le contrôle des routes commerciales et la politique mercantile de l'Angleterre a fait de Londres une plaque tournante majeure en Europe (elle rivalise même avec Séville et Venise). Cette richesse ne rend pas indifférents les marchands de Flandres qui, soutenus par la Bourgogne (qui voit là un moyen de s'enrichir indirectement), essaient d'en aspirer une partie.
  Très vite cette situation est jugée intolérable par les Anglais, qui décident d'un embargo sur la Bourgogne.
  
  A cette guerre économique va succéder un autre conflit, cette fois-ci militaire : durant l'année 1471, les Suédois se soulèvent à nouveau contre le Danemark ; c'est l'occasion qu'attendait Edgar pour envahir la Norvège et s'emparer des Orcades.
  Contrairement à la dernière fois, l'Angleterre n'est plus en guerre civile, elle est donc en mesure de débarquer de nombreuses troupes en Suède ; qui plus est le souverain danois n'a, dans sa grande clairvoyance, pas jugé bon ni utile de chercher des alliés depuis le précédent conflit.
  Rapidement la coalition dano-norvégienne est annihilée : les Suédois accèdent finalement à l'indépendance et la Norvège doit céder les Orcades et la partie occidentale de l'Islande à l'Angleterre.
  Mais Edgar n'entend pas en rester là : il reste encore des îles en Mer du Nord sous souveraineté norvégienne ; ainsi il se lance à nouveau dans une guerre afin de s'emparer des Shetlands, des îles Féroé et de la partie orientale de l'Islande (elles lui seront cédées en 1480). Voyant la débâcle danoise, les Suédois attaquent de nouveau leur ancien souverain.
  
  
  Spoiler:

  
  Les possessions anglaises au sortir de la seconde guerre anglo-danoise
  
  
  En 1484, Edgar est désormais à la tête d'un des pays les plus prospères d'Europe, les armées d'Angleterre n'ont pas à rougir face à leurs voisines d'Europe et sa marine est la plus puissante du Vieux Continent ; mais les possibilités d'expansion paraissent bien minces, de même que la marge de manœuvre du souverain.
  
  A suivre...

[Larkh]

(Pauvre Danemark, sinon, juste épique le Mamelouk! x))

[Restif]

http://flagland.org/strip/20

[Polo_lux]

https://sphotos-b-ams.xx.fbcdn.net/h...89323018_n.png

[L'historien du dimanche]

L'empire du soleil levant...

Le règne du Shogun Yoshimasa : 1443-? .

En l'an de grâce 1443 le jeune Yoshimasa fils de Yoshikatsu devint shogun suite a la mort de son père.

Si les premières années de règne furent dans la continuité du règne de son père tout changea en 1463 suite a l'arrivé a la cour d'un conseiller ambitieux : Historia Dimanki san .
Il convainquit le Shogun qu'il devait être l'empereur du Japon est que la seule manière d'y parvenir était de détruire tout les daymos.
C'est ainsi que le shogun travailla de nombreuse années dans le but de détruire ses vassaux de l'ouest : les Hosokawa.

C'est ainsi qu'en 1472 il invita a un somptueux banquet les Hosokawa.
Alors que tout les convives s'amusaient , la musique s’arrêta et les gardes du Shogun sortirent leurs sabres , le chef du clan Hosokawa se leva et demanda au shogun ce que signifiait tout ceci.

"J’estime que je devrais être empereur du Japon mais cela m'est impossible tant que des clans dans votre genre déchire le pays a cause de guerres internes , hier encore vous avez envahis les chosokabe et plongés une partie de l'archipel , en tant que shogun je ne puis tolérer cela. Samouraï tuez les tous!"

Et ainsi le Shogun sortit son sabre et décapita le chef du clan pendant que ses gardes-samouraï massacraient le reste de sa famille.
Et c'est ainsi que le Shogun hérita des terres Hosokawa.



Plusieurs années plus tard le Shogun fut attirer par Kaie , les takeda et plus important leurs mines d'or!
Après avoir discuter avec ses conseillers il décida de partir avec 20 000 hommes faisant partie de l'élite des soldats japonais , les propres hommes du Shogun.
Arriver a Kaie il constata que les Takeda avait eu vent de leur arriver et avais préparer leur armées aux combats.
"Ainsi ils veulent la guerre , et bien répondons a leurs attentes!"
Et il ordonna a ses armées de chargés , la bataille fut courtes et sanglante , 3000 takeda perdirent la vie contre 30 hommes du shogun.
Le chef takeda fut capturer et il parlementa longuement avec le Shogun.
Nous ignorons ce qui c'est dit mais nous savons qu'a l'issue de la discussion le chef takeda fut raccourcie d'une tête.

Le siège de Kaie dura moins d'un an et a la reddition de la forteresse tout les takeda furent massacrés par le Shogun en personne.
La forteresse de Kaie et ses mines d'or appartenait aux shogun ce qui allait fournir l'argent pour les futurs conquêtes du shogun......







Le shogun Yoshimasa dit le fourbe.

[Larkh]

https://sphotos-b-ams.xx.fbcdn.net/h...89323018_n.png

Aufait, où on peut trouver le mec qui fait ces dessins?

[Restif]

T'as juste à taper "polandball" sur Internet, c'est un meme, donc tout le monde peut faire ce genre de dessins (et il y en a des bons et des moins bons).

[Larkh]

Merci

[Radek]

Super vos Ar :-)

[Caron]

Prends un vrai pays et fais en un aussi toi, batar !

[Radek]

Avec l'ordre Livonien y'en aura des vraiment bien