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  • #31
    AAR Français - Troisième session



    • 1487 - 1507 : Fin du règne du Roi Louis XII dit le Juste (4-4-4)

      Au sortir de la guerre, toute l'Europe de l'Ouest est exsangue : plus aucun État ne dispose d'hommes en âge de combattre et certains connaissent même des difficultés financières. L'Autriche notamment a été particulièrement touchée et est grandement fragilisée : profitant de cette faiblesse, les Ottomans envahissent la Hongrie à la fin de l'année 1487.
      Louis XII se réjouit de cette invasion qui lui permet de redresser la situation de son Royaume ; afin de sauver les apparences et de ne pas être accusé de complaisance envers les infidèles, il forge une alliance avec la Papauté.
      Lors du précédent conflit, le Royaume de France a eu recours à de nombreux emprunts pour financer les compagnies de mercenaires ; souhaitant parer à toute éventualité future, le Roi Louis organise le marché de la dette souveraine, permettant ainsi au Royaume de pouvoir emprunter à des taux d'intérêt moindres. Rapidement, l'économie française est remise sur pied et les campagnes se repeuplent.
      Au fil des guerres victorieuses, les troupes françaises ont aussi développé une fougue au combat sans aucune pareille en Europe : confiantes dans leur capacité, elles partent à la guerre la fleur à l'arquebuse.

      En 1490, alors que l'Autriche sort tout juste de sa guerre contre les Turcs, la France envahit la Lorraine : le Duché, bien que peuplé de Bourguignons, est soumis à l'Autriche du fait de son appartenance au Saint Empire ; cette situation n'est pas tolérée par Louis XII qui entend achever l'unification de son Royaume. N'étant pas en mesure de s'engager dans un nouveau conflit meurtrier, l'Archiduc accède rapidement aux revendications justes et légitimes du Royaume de France, qui fait du Duché de Lorraine son nouveau vassal.

      Souhaitant conserver les faveurs de l'aristocratie, le Souverain renforce le servage en 1494 : en liant les paysans à la terre, il permet également au Royaume d'accéder plus facilement à un réservoir d'hommes prêt à prendre les armes ; pour s'assurer que ces derniers demeurent à leur place, la censure est renforcée et la production d'écrits strictement réglementée.
      Cette même année voit aussi l'éclatement d'un nouveau conflit franco-bourguignon. Depuis l'échec de coalition, la situation géopolitique a fortement changé, ainsi peu de pays souhaitent et sont en mesure de venir en aide à leur ancien allié : l'Autriche en tête ; mais également l'Angleterre qui préfère vainement tenter de facturer chacune de ses interventions. La Bourgogne se retrouve donc de nouveau seule et Louis XII est en mesure de réaliser son double objectif : il s'agit non seulement de donner une leçon au Duc de Bourgogne ; mais aussi de libérer le peuple wallon, opprimé par ses voisins Flamands et Néerlandais qui tentent d'imposer leur horrible langue. En 1496, la Wallonie est conquise et le Hainaut, Liège et le Luxembourg peuvent enfin goûter au plaisir de pouvoir parler français librement.

      Spoiler:

      Les cités wallonnes rendent hommage au Roi de France et lui offrent les clés de leurs portes


      Fort de ses hauts faits, Louis XII renforce la centralisation du Royaume. Des individus brillants accourent à la cour du Roi qui s'implique dans tous les domaines : la loi sur la Milice est passée en 1495 et confère au Souverain le commandement de la Milice d'État.
      Mais tandis que des puissances se font, d'autres se défont : la même année, le Portugal est attaqué par le Sultanat du Maroc et les cupides Anglais et Hansois. Cette alliance impie est aussitôt montrée du doigt par l'ensemble des puissances catholiques ; mais malgré tous ses efforts et son influence sur la Papauté, Louis XII ne parvient pas à faire excommunier les hérétiques : il s'agit de la première déconvenue concernant le Saint-Siège et l'Église romaine en général, il y en aura d'autres.

      L'année suivante, les Ottomans se lancent à nouveau dans une guerre sainte contre la Hongrie : tandis que l'Autriche honore son alliance, le Royaume de France se tient calme ; il s'agit de ne pas tracer aux Turcs une route jusqu'à Vienne.
      Mais alors que le premier conflit s'était conclu sur un statu quo, la deuxième guerre turco-autrichienne s'achève sur une victoire des infidèles, qui s'emparent de Raguse. Souhaitant le maintien d'un équilibre des puissances en Europe centrale, Louis XII préfère se refuser à toute guerre contre le Saint Empire.

      Son âge le rattrape lentement : afin de léguer à son fils un Royaume fort et stable, il choisit de consacrer ses dernière années à l'administration de ce dernier. Une nouvelle fois il flatte la noblesse, lui accordant des privilèges au sein des armées françaises. Grâce au soutien des États Généraux, les taxes sont augmentées sans pour autant que cela ne crée d'agitation parmi la population.
      Ces réformes sont facilitées par la montée d'un sentiment national naissant et quelques concessions accordées aux parlements.
      En 1504, le Duché de Provence est intégré au Royaume et l'économie est progressivement modernisée : malgré son désir centralisateur, Louis XII limite les interventions de l'État dans le domaine économique et cette bouffée d'air libre provoque une hausse de la productivité.

      Avec l'intégration de la Provence, la France dispose d'une fenêtre ouverte sur la Méditerranée et l'Italie du Nord : ne voyant pas d'un bon oeil l'expansion particulièrement agressive et opportuniste de la Toscane, le Roi choisit de se porter garant de l'indépendance du Duché de Milan. Faisant fi de cette garantie, le téméraire prince toscan tente d'envahir la Lombardie : il se voit contraint de signer la paix l'année suivante.
      Les ambitions toscanes sont claires et ces derniers sont prêts à tout (personne n'a oublié que quelques années plus tôt, ils n'ont pas hésité à se donner aux infidèles turcs). La nécessité pour la France de contrôler la Savoie et les Alpes, véritables remparts face aux menaces extérieures, devient donc évidente pour le Roi Louis : alors que les troupes toscanes font route pour Florence, l'armée française envahit la Savoie.
      L'Empereur hésite un temps sur l'attitude à adopter face à cette nouvelle agression du Saint-Empire ; malheureusement pour lui, l'année suivante les Ottomans déclarent de nouveau la guerre à la Hongrie et les troupes autrichiennes partent combattre à l'Est pour la troisième fois. Comble de malchance, le Protestantisme fait son apparition la même année en Brandebourg : les temps s'annoncent durs pour l'Empire.

      Spoiler:

      L'armée française part pour l'Italie


      Bien que fortuite, la nouvelle invasion ottomane inquiète Louis XII : avec son impulsion, le Pape appelle à une nouvelle croisade contre la Sublime Porte. Mais sous le poids de l'âge et des tracas, il trépasse le 26 Octobre 1507.


    • 1507 - 1512 : Règne du Roi Charles VIII dit le Protestant (6-0-3)

      Spoiler:

      Charles VIII dit le Protestant


      Charles VIII s'attelle avant tout d'achever la guerre débutée par son père : en 1508, il s'empare définitivement de la Savoie et de Nice.
      Peu versé dans les arts diplomatiques, il finit cependant par perdre l'influence française acquise au fil des ans sur le Saint-Père ; c'est la goutte de trop pour lui qui a assisté toute sa vie durant à de nombreux écarts commis par les Catholiques : en 1509, le Protestantisme est déclaré religion d'État en France et les monastères ainsi que leurs biens sont saisis.
      Grâce à la Milice et aux pouvoirs acquis par les différents Roi qui se sont succédés, la situation reste stable et bientôt une grande partie de la population adopte la nouvelle foi ; le Roi nomme également des inspecteurs ecclésiastiques censés surveiller la population. A la fin de l'année, les pasteurs sont autorisés à collecter des taxes parmi la population.
      Même la noblesse accepte aisément ce changement, et le rayonnement de celle-ci même en dehors des frontières du Royaume permet de promouvoir le Protestantisme dans toute l'Europe.

      Spoiler:

      L'expansion du Protestantisme en Europe en 1512


      En 1510, tandis que le Duché de Lorraine est intégré au Royaume, Charles VIII focalise son attention sur le reste de l'Europe. Alors que la Savoie contrôle encore des zones-clefs des Alpes, il faut avant tout contenir l'avancée ottomane. Bientôt, le premier Royaume protestant d'Europe fait ce que les Catholiques auraient dû faire depuis bien longtemps : la France garantit l'indépendance de la Hongrie.

      A suivre...
    Dernière modification par Restif, 24-10-2013, 12h09.

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    • #32
      Histoire de vous faire apprécier rapidement quelques exploits des musulmans lors de la soirée.









      Ah et on a pété le Hall of Frame pour filer une paix: Le Mamelouk a versé 2000 ducats à l'Angleterre pour qu'elle se tire.

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      • #33
        On veut le ledger

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        • #34
          Classement par revenu:



          Classement par armées:



          Classement par flottes:



          Commerce en Europe:



          La nouvelle mode en Europe:

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          • #35
            Une très très très bonne partie ou je me suis enfin intéresser a la politique européenne en particulier celle de la Castille!

            Intéressement n°1: la reprise d'Oran (j'ai aussi prit l'Alger)
            Intéressement n°2: la conquête de la Sicile même si elle n'est pas terminer , je contrôle actuellement la Sicile , la Corse et la Sardaigne. A quelle bénédiction d'avoir une si grand flotte!

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            • #36
              AAR Français - Quatrième session



              • 1512 - 1531 : Fin du règne du Roi Charles VIII dit le Protestant (6-0-3)

                Au cours des années 1510, Charles VIII redouble d'efforts afin de promouvoir le Protestantisme : en 1512 il revendique le titre de Défenseur de la foi Protestante et quelques années plus tard (en 1516), la Loi d'uniformité est passée afin de renforcer l'unité religieuse. Un livre de prières est publié dont les instructions doivent être respectées ; l'église est également rendue obligatoire le Dimanche, sous peine d'amende.
                Ces bouleversements ne sont pas sans conséquence, notamment en dehors des frontières du Royaume : fortement influencé par son puissant voisin, le Duché de Bretagne adopte le Protestantisme comme religion d'État en 1520. Les deux pays entretenaient déjà des relations cordiales depuis la Guerre de Cent Ans ; mais ce rapprochement religieux leur permet alors de nouer des liens plus étroits : la Bretagne devient vassale de la France.
                Mais en dépit de cette ferveur, Charles VIII n'hésite pas à mettre de côté son antagonisme avec les Catholiques afin de faire face à une menace grandissante : l'alliance turco-mameloukes. En guise de bonne foi il lève sa garantie sur le Duché de Milan, permettant alors au Grand-Duché de Toscane de soumettre à son emprise le reste de l'Italie du Nord (réalisant ainsi l'unité italienne).

                L'année suivante, la Savoie revancharde choisit de déclarer la guerre à la France. Avec pour seuls alliés des Suisses en sous-nombre et des Anglais terrés sur leur île, les Savoyards sont rapidement écrasés et finalement c'est tout le Duché qui finit par se soumettre au Royaume : les Alpes et la frontière Sud-Est sont sécurisées en 1523.
                Au cours de cette seconde guerre franco-savoyarde, tandis que la France fait encore face à des troubles religieux, Charles VIII peut compter sur le soutien de la petite noblesse pour apaiser la population et garder la situation sous contrôle.

                Grâce aux efforts du Souverain et au prosélytisme des pasteurs, le Protestantisme finit de se répandre dans tout le Royaume (seule la Savoie résiste encore et toujours aux envahisseurs), les troubles religieux cessent et l'économie se rétablit lentement. Afin de redresser plus efficacement cette dernière, une Loi sur l'exploitation minière est passée qui renforce la productivité des mines de fer du Massif Central.
                Jaloux du succès français et pensant qu'une même cause produit toujours les même effets, le Souverain britannique impose à son Royaume le Protestantisme comme religion d'État en 1526. Mais le Roi de Grande-Bretagne est aussi peu respecté par ses sujets qu'il est sujet de moquerie dans toutes les grandes cours d'Europe, ainsi sa décision est-elle rejetée en masse par son propre peuple.

                Spoiler:

                Carte des religions en Grande-Bretagne en 1526


                Au même moment, la France promeut le développement de sa pensée militaire, où se diffuse les valeurs de son aristocratie. Afin de récupérer certaines aides financières tombées en désuétude suite à la centralisation toujours plus poussée du Royaume, Charles VIII crée également la Cour des tutelles et pensions. Adoptée en 1529, la Loi Judiciaire établit un système de tribunaux chargés de l'interprétation de la Loi ; la même année, les Catholiques se voient refuser l'accès à certains emplois publics.

                Ayant administré son Royaume jusqu'à la fin de sa vie, Charles VIII s'éteint dans son palais le 15 Septembre 1531. Malheureusement le prince royal Louis, qui faisait preuve de facultés hors pair (c'était un 5-5-5 ), est mystérieusement mort deux années auparavant ; son jeune frère n'est pas en âge de régner et la régence du Royaume est confiée à la Reine Anne de Dreux.


              • 1531 - 1544 : Régence d'Anne de Dreux (2-4-3)

                Conformément au souhait de feu son mari, la Régente se contente de poursuivre les différentes politiques entreprises par lui. Elle va cependant prendre certaines libertés, notamment en terme de politique étrangère.
                Depuis deux décennies, le Royaume de France se porte garant de l'indépendance de la Hongrie. Si cela a avant tout pour but de dissuader la Sublime Porte d'avancer plus profondément en Europe, elle empêche également l'Archiduc d'Autriche de faire valoir ses droits sur le trône de Hongrie. Utilisant cet avantage diplomatique à son avantage, Anne de Dreux négocie la levée temporaire de cette garantie en échange de la cession du Sundgau : un territoire autrichien frontalier de la Lorraine (devenue française 20 ans auparavant).
                En 1532, tandis que l'Armée Impériale envahit la Hongrie, les Turcs jouent la carte de l'opportunisme et entrent en guerre à leur tour ; mais une injonction française suffit à forcer le Sultan à rebrousser chemin.

                Spoiler:

                Le Sultan rentre chez lui bredouille


                Peut-être de part son statut de femme, Anne de Dreux se montre particulièrement ouverte et inaugure une période d'innovation sans précédent en France. Amatrice d'art, elle est également un des plus grands mécènes de son temps et développe grandement la politique culturelle du Royaume. Pragmatique, elle n'hésite pas non plus à encourager le mercenariat (bien que les armées françaises reposent principalement sur des troupes régulières) afin de pouvoir faire face à toute urgence.

                Grâce à ses talents diplomatiques, elle parvient à intégrer les différentes régions wallonnes de Liège, du Hainaut et du Luxembourg au cours de l'année 1535. Le Royaume de France se retrouve alors avec une longue frontière avec un voisin un peu particulier : les Pays-Bas.
                En effet, au fil de ses pertes territoriales, le Duché de Bourgogne a été profondément bouleversé, et particulièrement d'un point de vue démographique : Flamands et Néerlandais composent alors l'essentiel de la population tandis que les composantes bourguignonnes ont peu à peu été assimilées. Afin d'être en accord avec ce changement majeur, l'ancien Duché se réforme en un nouveau Royaume : le Royaume des Pays-Bas.
                La France se montre tout d'abord méfiante à son égard (il reste tout de même le successeur du Duché de Bourgogne et donc un ennemi) ; mais sa conversion au Protestantisme et ses ambitions plus maritimes que terrestres finissent par convaincre la Régente qu'il peut être un allié potentiel : un traité d'assistance mutuelle est signé et en guise de bonne volonté les Pays-Bas décident de quitter le Saint-Empire Romain Germanique.

                En 1538 les Ottomans s'emparent de la Cité des Doges. Bien conscient d'avoir attiré sur lui les foudres des Européens, le Sultan essaie en vain de négocier son départ de Venise ; mais il est déjà trop tard et les différents Royaumes Chrétiens commencent à s'organiser.
                Alors que le Catholicisme perd du terrain en Europe Centrale au profit des infidèles, il finit par reprendre ses droits sur l'île de Grande-Bretagne en 1540, date à laquelle il redevient religion d'État.

                Spoiler:

                Carte des religions en Grande-Bretagne en 1540, ou l'histoire d'une conversion ratée


                Le futur Charles IX est bientôt en âge de monter sur le trône ; mais la politique culturelle et les innovations apportées par Anne de Dreux ont marqué durablement le Royaume de France, le faisant entrer dans une ère de révolution scientifique et technique.
                Le 22 Décembre 1544, peu avant Noël, la mère régente cède finalement le pouvoir à son fils.


              • 1544 - 1547 : Règne du Roi Charles IX dit le Libérateur (2-2-3)

                Spoiler:

                Charles IX dit le Libérateur


                Il faut un certain temps au jeune souverain pour entrer pleinement dans ses fonctions ; sa mère est néanmoins toujours là pour l'assister et le conseiller.
                Tandis que le Royaume de France est stable et prospère, ce n'est pas le cas du reste du monde connu. Partout la guerre semble avoir éclatée ces dernières années ; mais 3 théâtres retiennent particulièrement l'attention de Charles IX : au Nord, la Scandinavie protestante s'est écroulée sur elle-même et est en proie à une agression de ses voisins orientaux ; de l'autre côté de la Baltique, le Brandebourg a profité des troubles religieux ayant cours au sein de la République des Deux-Nations pour envahir cette dernière ; enfin, les Musulmans sont de nouveau en guerre contre le Royaume de Castille et se sont même emparés de plusieurs îles méditerranéennes.

                La guerre entre les Castillans et les Turcs durent depuis de nombreuses années ; et alors que la Sublime Porte bénéficie d'un soutien total du Sultanat Mamelouk, le Souverain espagnol peine à trouver des alliés de taille : son voisin et supposé ami portugais fait preuve d'une avarice rivalisant presque avec celle de la Grande-Bretagne, qui a vendu ses services aux puissances ibériques avant de se faire définitivement acheter par les musulmans.
                Outrés par tant d'avarice et un tel manque d'honneur, Leopold VIII l'Archiduc d'Autriche et Charles IX le Roi de France décident de se rencontrer pour la première fois : il est temps de prendre les choses en main et de repousser la menace ottomane une bonne fois pour toute.

                Spoiler:

                La dernière croisade : carte de la coalition anti-ottomane au début de l'année 1547


                A suivre...

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              • #37
                Mais pourquoi vous avez peur de l'empire ottoman et pas de moi je suis aussi dangereux et je ne suis pas qu'un bête soutien de l'empire ottoman , non mais....

                Commentaire


                • #38
                  Tu seras éternellement considéré comme un vassal de la Sublime Porte, à moins que tu décides un jour de briser tes chaînes et de te retourner contre ton ancien maître .

                  Commentaire


                  • #39
                    Restif tu parles de l'Autriche, empereur catholique, qui vient pleurer dans les jupons de la France protestante c'est bien cela?

                    Sinon l'Historien, je crois que c'est aussi un soucis de pouvoir t'atteindre militairement et le fait qu'ils ne voient pas que les guerres contre la Castille sont à ton initiative.

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                    • #40
                      Restif tu parles de l'Autriche, empereur catholique, qui vient pleurer dans les jupons de la France protestante c'est bien cela?
                      Il faudra peut être que je mentionne dans mon prochain AAR les tentatives désespérées des émissaires ottomans à chercher un compromis avant même que la guerre éclate Enfin, ta propagande n'y fera rien ! Catholiques et Protestants divergent peut-être sur bon nombre de questions religieuses, mais la défense de la Chrétienté dans sa globalité passe avant ces quelques querelles !

                      Et puis, vu que vous sembliez regretter le fait que les chrétiens ne soient pas aussi unis que vous, vous n'allez pas commencé à vous plaindre

                      @Historien du Dimanche: La position du Mamelouk ne peut être égale à celle de l'Ottoman. Tel Méhémet Ali, débarrasse toi de l'influence ottomane qui te manipule, puis tel le grand général que tu es, unifie l'Islam sous ton seul joug !

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                      • #41
                        Benoit en même temps vu que son mes troupes qui ont débarqué en sicile et occupé toutes les îles castillanes et que c'est moi qui me bat pour faire la paix , ils doivent se douter que c'est moi qui à voulu cette guerre.

                        EDIT: C'est beau catholique et protestant luttant ensemble!
                        Tiens mais pourquoi le Royaume uni et le Commonwealth ne vous aides pas?
                        Dernière modification par L'historien du dimanche, 25-10-2013, 12h37.

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                        • #42
                          Envoyé par Mékaz Voir le message
                          Et puis, vu que vous sembliez regretter le fait que les chrétiens ne soient pas aussi unis que vous, vous n'allez pas commencé à vous plaindre
                          On en rigolait plus qu'autre chose, mais c'est plus l'aspect d'impacter le plateau qui nous intéresse.

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                          • #43
                            La Grande-Bretagne a déjà prouvé par le passé qu'il était impossible de lui faire confiance ; quant au Commonwealth, disons qu'il est occupé .

                            Commentaire


                            • #44
                              On en rigolait plus qu'autre chose, mais c'est plus l'aspect d'impacter le plateau qui nous intéresse.
                              Eh bien le voila bien impacté

                              Commentaire


                              • #45
                                En effet.
                                Dommage que le Mamelouk ne soit pas là ce soir, au moins pour la guerre navale.

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