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  • #46
    La guerre navale n'aura pas lieu.

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    • #47
      Ils ont réussi à s'arranger avec la Castille sur comment faire la paix?

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      • #48
        Ces sur ma glorieuse flotte , l’orgueil de la nation mamelouk t'aurais bien aidé mais de toute manière ma flotte doit aussi défendre les îles castillanes occupé d'un potentiel débarquement de Pierrus!

        EDIT: L'arrangement pour la paix avec pierrus , c'est pas pour tout de suite benoit.
        Dernière modification par L'historien du dimanche, 25-10-2013, 14h39.

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        • #49
          Pourtant je l'attend à Madrid pour négocier

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          • #50
            Négocié quoi?
            Je veut la Sicile et tu veux pas me la donner , les négociations ne vont pas aller loin dans ces conditions

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            • #51
              moi je veux pas qu'il l'a donne non plus

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              • #52
                Mais pourquoi Radek voyons

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                • #53
                  Chroniques de l’Empire Ottoman


                  1512 - 1547

                  Règne de Suleyman Ier
                  9 janvier 1510 – 4 avril 1535


                  L’intervention au Maroc

                  Le règne de Suleyman restera dans les annales de l’Empire comme celui d’une conversion importante des populations à l’islam. La Hongrie et la Géorgie rejoignent la vraie foi en voyant la bonté d’Allah et les présents du sultan pour les populations. Après la tyrannie du despote sur ces terres, l’opulence et la joie gouvernent désormais.
                  La Wallachie va même plus loin dans ces rapprochements en décidant de se mettre sous la protection de l’Empire. Le sultan leur offre de nombreuses libertés en échange de cet accord et est acclamé parmi tous les peuples opprimés de la terre.

                  Mais alors qu’il dirigeait en homme de paix, codifiant des lois justes pour son peuple et faisant fructifier les ressources de la terre, l’allié marocain est en pleine crise de succession avec l’Algérie. Ces histoires sont incompréhensibles pour le sultan qui ne comprend le monde que par la parole d’Allah et non dans ces combines politiques dignes des chrétiens.
                  Une réunion a lieu entre les sultans mamelouks et ottomans pour décider de la marche à suivre. Le fidèle allié est alors occupé au sud et ne peut envoyer des hommes se charger de ce problème. C’est donc l’armée ottomane qui va intervenir, et pour montrer la volonté du sultan, c’est son héritier, Mehmed Osmanli qui mènera les troupes.

                  Alors que le conflit tournait au désastre pour l’armée marocaine, l’intervention ottomane fera pencher la balance très rapidement. La bataille de Annaba voit 20000 ottomans affronter 11000 algériens en fuitent après plusieurs escarmouches dans le désert. Utilisant l’expérience acquise lors de ses précédentes guerre, l’armée ottomane n’a aucun mal à défaire le sultan Muhammad Marinid qui est tué lors du combat.
                  L’entrée dans Alger est un triomphe et le nouveau sultan d’Algérie proclame solennellement la fin de toute prétention sur le Maroc. S’en est trop pour les musulmans que cette discorde entre les défenseurs de la foi, il sera temps de mettre un terme à ces dissensions prochainement.


                  Lors d’une maigre intervention en moscovie pour défendre les criméens, le sultan fit preuve de ses talents de général en écrasant 40000 de leurs hommes. Les barbares du nord espéraient qu’une masse se cachant dans des forêts et des grottes pourraient tenir face à l’artillerie ottomane mais il n’en fut rien.


                  L’intervention en Hongrie et l’incompréhension ottomane

                  Peu de temps après, le même phénomène se produit sous les yeux du sultan en Hongrie. L’Autriche déclare la guerre pour mettre son roi sur un trône qui ne lui appartient pas mais a déjà un Habsbourg dessus. L’incompréhension règne au sein de la Sublime Porte et dans le doute, un Jihad est déclaré.
                  Très rapidement et malgré les succès de l’armée sur les hongrois, le roi de France fait parvenir une missive au sultan comme quoi la situation politique est telle qu’en cas de montée sur le trône hongrois de l’Autriche – qui y était déjà par la dynastie Habsbourg– qu’il sait en guerre contre l’Empire. Ne comprenant rien aux mœurs occidentales, il fait la paix avec la Hongrie non sans se questionner sur le caractère barbare de ces royaumes.

                  Après ces succès, le sultan retourna à la gestion de son empire et le fit prospérer. De la Dalmatie à l’Astrakhan, son peuple vivait dans le bonheur. Son fils Mehmed I, dirigeant moins brillant devait lui succéder.

                  Mehmed I
                  4 avril 1535 – 3 Avril 1546



                  L’alliance musulmane totale et la prise de Venise

                  Depuis presque un siècle, les royaumes musulmans s’unifient pour faire retentir la parole d’Allah sur le globe. Quand le sultan du Mamelouk vint quérir l’aide de l’Empire, c’est tout naturellement qu’il lui fut répondu oui. Après avoir chassé le Portugal d’Afrique du Nord, la Castille devait maintenant laisser Oran retourner aux fils d’Allah.
                  La flotte musulmane quitte alors les ports et fait le siège des côtes africaines. 15 navires portugais mouillaient du côté du golfe d’Almeria mais ils furent assaillis par 72 navires de la flotte mamelouk. Une fois encore, les fidèles prouvèrent leur supériorité sur les chrétiens et leur domination de la méditerranée.

                  Après le siège de la forteresse, le roi de Castille laisse la terre revenir au sultan mamelouk, défenseur de la foi. Alors que la flotte retournait dans les ports orientaux, le sultan Mehmed vit une occasion en or de faire plier la chrétienté.
                  La cité des Doges, dernier rempart maritime à l’Est de l’Italie, était en effet à portée de main. Les marchands vénitiens étaient encore très actifs et la cité était adjacente à l’Autriche et au jeune royaume d’Italie. Profitant du fait de revenir sur la même galère, les sultans se consultent sur le projet.

                  En quelques semaines, le ravitaillement pour les hommes à terre et les navires doivent être effectué et la conquête débute alors. Passant le détroit de Corfu, la flotte tombe sur quelques escadres vénitiennes qui sont coulées sans possibilité de reddition. Portée par le vent divin et la destinée, les galères font tomber l’arsenal de Venise et ouvrent le passage à un débarquement d‘envergure.


                  25000 ottomans, menés par le sultan en personne finissent par arriver sur la place de Saint Marco au moment où autrichiens et hongrois investissent l’Istrie vénitienne. Foulant le sol du palais ducal, Mehmed I occupe alors une cité chrétienne prestigieuse, bijou des arts et des sciences. La destruction du palais ducal est alors ordonnée pour bâtir une mosquée, elle devra reflétée la puissance de la foi musulmane et remercier Allah pour la gloire qu’il apporte à ses fils.
                  Malgré la venue d’un émissaire proposant un accord ultérieur sur Venise, l’archiduc d’Autriche est bouleversé par les événements. Souverain médiocre et dépassé, il se complait dans des opérations de prise de pouvoir sur de petits royaumes voisins.

                  Terrorisé par l’événement, l’empereur de droit, l’Autriche, court chercher l’aide de l’empereur de fait, le roi de France. Arrivant nu à Paris, dans la cour du roi, le corps recouvert des mutilations qu’il s’est infligé, le Habsbourg est prêt à abjurer sa foi. Cet homme de peu de conviction, souverain catholique, ne trouve comparable infamie que dans les vitraux de Notre-Dame qui frappent de leurs reflets l’impuissance de l’homme.
                  Heureusement pour lui, la régente, en monarque charitable et pieuse lui accorde sa bénédiction. Le prenant telle la Vierge son fils, elle enveloppe de ses vêtements immaculés ce qui n’est plus qu’un enfant pleurant sa misère et son désarroi. Ainsi, alors qu’il pleut sur Paris en ce jour, l’Autriche tourne le dos à ses convictions, sa politique et plus grave encore, ses croyances.
                  Se plaçant alors en vassal de la fille aînée de l’Eglise protestante, véritable royaume fidèle, elle s’exécute dans de basses tâches de menaces et de complots à l’égard des autres cours d’Europe. Très rapidement, un consensus politique semble se créer.


                  Le pillage de Rome

                  Mais c’est un objectif bien plus grand qui se dessine pour les souverains musulmans. Enivrés par leurs exploits, ils ne rêvent que de porter leur foi jusqu’au cœur de la chrétienté. La Sicile est leur nouvel horizon, l’ouverture vers l’Italie et l’Europe.
                  Au même moment, le roi d’Italie Radek Ier lance également son invasion de la Sicile. Les souverains d’Europe rigolent en voyant les armées italiennes bloquées par la flotte ibérique qui garde la mer. Il est donc contraint d’attendre et se retrouve à se plaindre auprès des autres rois, provoquant l’hilarité des sultans.

                  Quand la plus grande flotte du monde se lance sur la Sicile, ce n’est pas un rire qui se dessine sur les lèvres castillanes mais bien la peur. En quelques jours, leur flotte est réduite est miettes et les mamelouks débarquent sur l’île. Succès intégral, en quelques semaines l’île est définitivement conquise.
                  C’est alors que le roi d’Angleterre, dont le pays change de religion officielle en fonction des phases de la lune, décide d’intervenir et lancer ses navires contre les intérêts d’Allah. Le sultan mamelouk le fait venir à Tunis, où il séjourne avec le sultan Mehmet organisant les mouvements des troupes. Ce palais érigé en 20 ans a des murs en marbre et des colonnes en ivoire, les dalles sont en or tandis que la nourriture est servie dans des plats en saphir. C’est là, siégeant sur un trône qui ferait pâlir tous les rois sous le ciel qu’il proposa au roi la paix en échange de son poids en pierres précieuses. Le roi anglais était notoirement gros comme un porc, préférant dépenser les impôts en festins qu’en administration ou armées.
                  Il accepta, et c’est alors que le plus grand convoi que le monde n’ait connu se lança de Tunis vers Londres. On rapporte que la somme était telle qu’elle couvrait les revenus de tous les rois d’Europe pendant une année entière et qu’elle fut dépensée en 2 mois d’orgies.

                  Mais les souverains ne souhaitent pas en rester là, ils visent déjà plus loin et veulent prendre la cité de Saint Pierre. 9000 mamelouks lancent alors des opérations dans les alentours de la cité sainte, mais rapidement 40000 italiens descendent des montagnes du nord pour les repousser. Malgré la foi exemplaire de ces hommes et les nombreuses pertes qu’ils infligent aux infidèles, ils n’ont d’autres choix que de se replier.

                  Le sultan Mehmed se lance personnellement à la tête de l’armée ottomane. Depuis le choix de prendre Rome, il a fait débarquer de nombreuses troupes en Sicile. Remontant l’Italie, guidés par Allah, les musulmans affrontent le cœur de l’armée italienne dans les montagnes de Naples.


                  Héritant encore des troupes colorées qui ont fait le bonheur de quelques cités-états, Vittorio di Cavour se retrouve terrifié par le froid et la discipline des ottomans. La campagne dura une semaine durant laquelle les italiens furent décimés par le sultan et son armée.


                  Bien loin de mériter leur place dans le concert des nations, ils s’enfuirent en laissant le chemin jusqu’à Rome ouvert. Le siège de la ville commença alors, et bourgs par bourgs, rues par rues, les armées d’Allah marchèrent jusqu’au siège du pouvoir spirituel, mais aussi temporel.


                  Le Vatican tombait aux mains de la vraie foi et sur la place même, le sultan fit ériger un mémorial pour que jamais aucun chrétien ne puisse oublier cette journée. De Madrid à Londres en passant par Berlin, tous les souverains d’Europe savaient maintenant que leur temps était compté et qu’il n’y avait plus d’espoir. Plusieurs religieux furent exécutés, le Pape lui-même fut contraint de supplier le sultan de l’épargner.
                  Les italiens, loin d’être découragés par leur première défaite tentèrent un assaut pour reprendre la ville mais ici aussi, ils furent vaincus par l’armée de Dieu. Néanmoins, dans sa défense, le sultan tomba au combat et laissa la place à son fils Selim I. Celui-ci, une fois le pillage de Rome terminé, fit la paix avec l’Italie au terme d’un traité qui obligeait les autorités à laisser en plein cœur de Rome le monument à la gloire de son père.

                  Selim I
                  3 Avril 1546 – encore en vie


                  Poursuivant la politique de son père, le sultan occupa les places fortes de Malte. La guerre navale fait rage en méditerranée, et les musulmans en restent les maîtres incontestés.


                  La reddition de Malte
                  Dernière modification par Benoît, 25-10-2013, 18h30.

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                  • #54
                    Les anglais font moins les fiers sur terre quand 50000 musulmans, secondés par 15000 hollandais débarquent en Amérique.
                    L'histoire se souviendra de ses deux batailles où 70000 espagnols et anglais sont tombés face à une véritable armée.

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                    • #55
                      Mon pays a t-il sombrer dans l'anarchie la plus totale?

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                      • #56
                        J'ai du louper un truc passionnant ><

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                        • #57
                          Oui tu as raté le début de mon occidentalisation!

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                          • #58
                            Joli texte. La Sublime porte roxxe du poney.
                            Dernière modification par Larkh, 23-11-2013, 13h15.

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                            • #59
                              Mais tellement la flemme de taper la propagande l'AAR sur la guerre qui a suivi.

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