[Aikiko]

Parce que c'est arriver à peine quelques moi après le lancement de la partie on est arriver sur le jeu, trêve avec l'ottoman, guerre contre la France et pouf me voilà en ayant perdu les 3/4 de mes provinces!
Pré-texte la provocation, qu'est ce que ce sera si il est en colère?

[Restif]

Je mets l'accent dans mon AAR sur l'importance de la diplomatie entre les sessions de jeu ; si pour toi la GPO commence avec "le lancement de la partie" tu pars avec un sérieux handicap (pourtant tu devrais le savoir, t'en es pas à ta première GPO).
Je me rappelle que tu as attendu Vendredi 21h le jour de la première session pour venir me parler de tes ambitions dans l'Empire, tu commençais très mal.

Par contre si tu veux poursuivre la discussion, je te redirige vers le topic de la GPO, je tiens à garder celui-ci relativement propre .

[Dark_Imperator]

Beau défonçage de la France avec un beau fail pour le choix d'idée .
Vivement la suite!
J'aime bien ta manière d'écrire ton AAR, on comprend ce que tu veux faire, c'est bien expliqué, bref c'est génial.

[Noswin]

Je trouve que le stabhit est un processus vraiment pas fair-play. Il y a très peu de mérite à établir une paix comme ça.
Très bon AAR sinon.

[Restif]

Je ne vois pas en quoi c'est pas fairplay, tu préfèrerais que les joueurs soient forcés d'occuper 100% d'un pays pour pouvoir imposer de faibles conditions de paix ?
Pour pouvoir stabhit, comme je l'ai expliqué, faut avoir beaucoup de warscore (on était à 60%) et demander assez peu ; donc dans tous les cas les paix seront relativement honorables et permettront une éventuelle revanche.

Accessoirement, tu parles sans doute sans avoir jamais joué en multi, puisque certains joueurs (ce n'est certes pas le cas du Français actuel) ont parfois la fâcheuse tendance à se battre jusqu'au bout, tout ça pour mener leur pays à la ruine et au final se manger des paix plus sévères dans la figure ; les stabhit sont un bon moyen de prévenir ce genre de comportement.
Bref, c'est un mécanisme très intéressant, et ça implique notamment de faire très attention au wargoal.

[Kellermann]

Et suffit de posséder le Wargoal et de le tenir pour réduire grandement les chances de se voir stabhit !

[Noswin]

Je trouve que ça enlève le suspense sur la fin de la guerre, l'adversaire n'a plus la possibilité de s'en sortir, mais sans doute qu'il n'aurait pas pu.
Et oui, je n'ai jamais joué en multi, je ne suis pas habitué à ces pratiques.

[Restif]

C'est vrai que c'est un peu plus facile de stabhit qu'avant j'ai l'impression (avant il fallait minimum 40% de WS) puisque d'autres facteurs entre en ligne de compte ; mais ça demeure une fonctionnalité réservée à ceux qui dominent clairement un conflit.

Pour le suspense c'est faux : il suffit parfois que le défenseur parvienne à conserver le wargoal et remporte quelques batailles pour pouvoir imposer une paix lors d'une guerre qui apparaissait pourtant perdue d'avance (bon il ne gagnera probablement pas de provinces ; mais au moins il n'en perdra pas non plus). Enfin si tant est qu'on puisse parler de suspense... bien souvent en multi les guerres se jouent beaucoup au niveau de la diplomatie.

[Skarn]

si tu veux stabit obligatoirement, il faut un ws égal à 25+(ta demande de ws)
Et le ws pour les territoires varient en fonction de l'autonomie, de la revendication et si c'est un territoire national ou pas.
Exemple: Je veux vassaliser le Shonghai (ia), c'est une demande de 103%. Mais comme mon vassal Air a une revendication sur un de ses territoires, je donne ce territoire à mon vassal et fais la demande de vassalisation 98. Si j'aurais attendu quelques mois (au moins 10) en occupant tous les territoires, j'aurais eu une demande 97%

[MiniaAr]

Tonton MiniaAr à la rescousse:

min_peace_offer_value_stab_hit = total_warscore + defender_WE - 26%
difference_to_stabhit = defend_WE - 26%

source

[Restif]

Merci (je me souviens de ce topic, j'aurais du le lire jusqu'au bout ) !

[Noswin]

D'accord, merci pour les explications.

[Restif]

Chapitre IV (1499-1516) : A l'Est, rien de nouveau ?

Bonjour à tous, comme chaque Samedi je vous invite à suivre les aventures de mon Autriche dans la GPO Génération Dés Enchantés.
Un peu d'exotisme cette semaine, puisque comme l'annonce le titre je vais essentiellement me tourner vers l'Est (/!\ SPOILER /!\ et non désolé, il n'y aura pas de guerre contre la France, enfin sans moi ).

Schéma classique, commençons par un récapitulatif de la diplomatie faite pendant la semaine :

Diplomatie inter-session

J'avais annoncé une semaine chargée en diplomatie et ça n'a pas loupé : dés la fin de la troisième session je suis contacté par d'autres joueurs à propos de divers sujets. Rapidement, 3 théâtres diplomatiques se dégagent clairement, que je vais traiter ici par ordre d'importance (du moins important au plus important) :

• A l'Ouest : La deuxième (et dernière) guerre contre la France s'est avérée plus facile que prévu (avec la Bourgogne, nous nous attentions vraiment à plus de challenge, notamment parce que nous n'avions plus toutes les IAs de la première guerre avec nous). Puisque des affaires plus pressantes m'appellent ailleurs, je décide de cesser de contenir la France et préviens la Bourgogne de la fin de notre alliance (je préfère le prévenir, un quiproquo peut parfois avoir des conséquences fâcheuses en GPO). A ce moment là je pense encore que la France nous est supérieure en 1 vs 1 et me tient prêt à intervenir à nouveau si elle redevenait trop menaçante, afin que nos deux victoires précédentes n'aient pas été vaines.
• Au Nord : La semaine dernière, j'ai observé avec inquiétude la montée en puissance de la Hanse et la rupture d'un équilibre déjà fragile en Allemagne du Nord. Bien qu'ayant toujours veillé à conserver de bonnes relations avec le joueur hanséatique, en tant qu'Autrichien j'aurais tendance à voir d'un mauvais œil l'unification des provinces du Nord sous la bannière d'un seul État. La résistance s'organise ; mais je ne souhaite ni n'estime être en mesure de m'impliquer dans le conflit qui s'annonce : je demeure réticent à l'idée de partir en guerre contre un Prince de l'Empire et mon intervention entrainerait très certainement celle de la France, or je vais avoir besoin de toutes mes ressources au vu de ce qui se trame à l'Est.
• A l'Est donc : Ce jeu a de quoi vous rendre parano en GPO, et j'ai passé toute la semaine à essayer de savoir précisément ce qui allait se passer en Orient. Beaucoup de sons de cloche différents, beaucoup de faits contradictoires.
  
  1. Dés Vendredi je suis contacté par le joueur Ottoman, il a eu vent de rumeurs concernant une coalition dont la cible n'est pas encore bien précise mais il s'agirait soit de lui, soit de moi. Plusieurs facteurs tendent à me laisser penser que je suis la cible : Venise a vendu ses dernières possessions grecques et semble tournée entièrement vers l'Italie (et pourquoi pas le Tirol ?), la Pologne et la Hongrie ont magouillé en Transylvanie et je ne sais pas où se situent d'autres puissances dans cette affaire (notamment la France). Bref, je prends peur et accepte un peu à contre-cœur un pacte défensif avec l'Ottoman : à contre-cœur car il s'agit d'une "alliance" hérétique mais surtout très puissante et qui risquerait d'attirer l'attention ; malgré tout il m'apparaît alors être l'allié le plus naturel contre ces ennemis potentiels. Je l'informe cependant que je vais tâcher d'en savoir plus, car je n'aime pas trop m'engager sans avoir un minimum d'informations.
  2. Après quelques conversations avec un des joueurs concernés ainsi qu'avec un autre joueur moins concerné, j'apprends que la coalition serait dirigée contre l'Ottoman : les magouilles hongro-vénito-polonaises ayant eu pour objectif de l'induire en erreur afin qu'il baisse sa garde. A ce stade là de la diplomatie, je conserve mon alliance secrète avec l'Ottoman : ces 3 là sont décidément trop sournois et fourbes pour leur propre bien, et je continue malgré tout de me sentir menacé (paranoïa je vous disais ).
  3. La session se rapproche et j'entends bientôt un troisième son de cloche : il n'y aurait aucune coalition de prévue mais une guerre sur le point d'éclater entre la Pologne, Venise et la Hongrie (à ce moment là j'hésite à défendre la Hongrie).

En clair, la partie commence sans que je ne sache clairement ce qui va se passer. Je choisis donc d'attendre, d'observer et d'improviser.

Le Grand Embrasement

L'Ottoman ne perd pas de temps, puisqu'il déclare la guerre aux Mameloukes quelques mois après le début de la session. La Pologne et Venise font alors machine arrière et rejoignent le camp des défenseurs, suivis par la Hongrie.

L'Ottoman, seul contre tous

Je suis alors en guerre pour la vassalisation de la Bavière et je reste à l'écart du conflit : j'hésite encore sur la position à adopter et surtout j'ignore si je dois me sentir vraiment liés par mes engagements vis à vis de l'Ottoman dans le cadre d'une guerre offensive.

Tout en restant attentif à ce qui se passe à l'Est, je poursuis l'administration de mon pays. Avec la vassalisation de la Bavière achevée en 1501, j'estime n'avoir plus besoin du groupe d'idées Diplomatic (j'en avais alors besoin pour la réduction du coût en Warscore des provinces, qui m'a permis de la vassaliser en une seule guerre) : le nombre de vassaux a drastiquement chuté, ainsi que le nombre d'Électeur du Saint-Empire non-joueurs, ce qui réduit mes besoins en Diplomates, je devrais donc pouvoir m'en tirer avec un en moins (d'autant plus que je suis toujours Contrôleur Pontifical, ce qui m'en accorde un supplémentaire).

Deux abandons de groupe d'idées en deux semaines, je n'aurais jamais autant utilisé une fonctionnalité

Reste à décider de quel groupe choisir à la place : comme je déborde de points Administratif, j'opte pour cette catégorie, j'hésite alors entre Economic et Religious. Chacun a ses avantages :

• Economic : En plus d'augmenter sensiblement mes revenus (toujours bon à prendre, je ne suis pas la Hanse ) via les Taxes mais surtout la Production, ce groupe m'aiderait à lutter contre l'Inflation galopante (merci la Mine d'Or du Tirol). La réduction du coût des bâtiments, couplée à la réduction du coût en MP du groupe d'idée Quantity m'aiderait à développer plus facilement les infrastructures de mon pays et sur le long terme, certaines Policies sont très intéressantes (+Quantity = +33% de Force Limit, +Offensive = Combat Ability de l'Artillerie +20%, +Quality = Discipline +5%).
• Religious : De prime abord moins intéressants, les effets de ce groupe semblent moins immédiats, moins visibles et moins importants. Malgré tout, certains attirent mon attention, comme le gain de +1 Tolerance (ce qui correspond à -1 d'Unrest dans les provinces de votre religion) et le +2 de Papal Influence car je compte rester Catholique (cela semble peu ; mais comme on gagne maximum 4 de Papal Influence avec 7 Cardinaux, ces +2 sont en réalité une augmentation de 50%) ; la réduction du coût de conversion des provinces et l'amélioration des missionnaires me permettront d'avoir un pays plus homogène (et donc plus stable), ainsi que de mieux résister à la Réforme qui approche. Et là encore, certaines Policies sont plutôt intéressantes (+Quantity = Moral +10%/Moral Recovery +5%, +Quality = Moral+10%/Discipline +2.5%)

Même si la balance penche clairement vers Economic, je choisis Religious, notamment parce que j'ai toujours voulu le tester en GPO. Je vais tâcher d'investir progressivement dedans, car je ne souhaite pas prendre de retard en Technologie Administrative : la Tech 10 (et le troisième groupe d'idées) est proche, et je tiens à conserver le bonus de +20% de Production Efficiency que l'on obtient lorsque l'on est pas en retard.

La Production occupe déjà une grande part de mes revenus, notez le 50% d'Efficacité dont 20% sont liés au fait que je sois à jour en Technologie Administrative

Alors que je surveille toujours l'Orient, le Nord s'enflamme également : dés la fin de la trêve entre la Hanse et le Brandebourg, une coalition menée par ce dernier se forme face à la gourmande République Marchande. La Bourgogne, l'Angleterre et la Suède la rejoignent aussitôt et la guerre éclate. La Hanse cherche bien à courtiser la France ; mais celle-ci envoie sa garantie trop tard, et l'expansion agressive de la Hanse empêche toute alliance : seule face à des adversaires trop nombreux, le joueur se rend sans combattre et le Brandebourg récupère ses cores en Saxe/Poméranie.

La coalition contre la Hanse se forme

De mon point de vue, cette coalition était inéluctable, le joueur s'étant montré extrêmement agressif, alors qu'il était déjà très puissant et attirait l'attention avec ses revenus frisant l'indécence. Pire, dans un jeu où il vaut mieux se faire tout petit (pas trop non plus, si on paraît trop faible on est une cible de choix pour nos voisins ambitieux), il n'a pas hésité à plusieurs reprises à faire remarquer à tout le monde qu'il avait blobbé méchamment en Allemagne du Nord. En clair, tout est une question de mesure.

La dernière croisade (avant la prochaine)

Si le Nord de l'Europe savoure de nouveau les joies de la paix et de la prospérité, le conflit à l'Est se poursuit. L'Ottoman domine alors clairement : la majeure partie de la Syrie, de la Palestine et une partie de l'Égypte est occupée et les batailles tournent toutes à l'avantage des Turcs (qui possèdent également la suprématie maritime). Si le joueur semble connaître quelques difficultés financières, il parvient quand même à tenir tête à l'essentiel de ses voisins unis contre lui (et même à les vaincre) ; je rejette donc ses demandes d'assistance.
Du fait de son Warscore très élevé, il pourrait contraindre ses adversaires à la paix quand il le voudrait (en utilisant le mécanisme du Stabhit, dont je parle dans mes précédents AARs) ; mais ses demandes sont trop élevées (89%) et il ne veut pas les revoir à la baisse.
Bref, j'étais déjà réticent à l'idée d'un pacte défensif avec les Ottomans, j'étais encore plus réticent à l'idée de les suivre dans une guerre offensive et il voudrait que je l'aide à blobber toute la Syrie. Autant dire tout de suite que je comprends que ce n'est pas dans mon intérêt.

Alors quitte à trahir ma parole et m'aliéner la Sublime Porte, autant aller jusqu'au bout : je me prépare bientôt à faire un Enforce Peace afin de forcer la Paix Blanche.
L'Enforce Peace est un mécanisme que je trouve très sympathique à utiliser en multijoueur, il s'agit d'une sorte d'ultimatum où tel joueur dit à un autre : "Signe une Paix Blanche avec ce pays que tu attaques, ou alors j'entre en guerre de son côté". Plusieurs conditions pour l'utiliser :

• On ne peut l'utiliser que sur le warleader attaquant
• Il ne faut pas être en trêve avec le warleader attaquant
• Il faut un minimum de 100 relations avec le warleader défenseur
• Le warleader attaquant doit être en train de gagner la guerre (au moins -25% de Warscore)

Toujours est-il que l'Ottoman se sent en confiance : il tient déjà tête seul à 4 joueurs, alors un de plus ou un de moins... en 1506, il refuse ma demande d'Enforce Peace et je me retrouve impliqué dans la guerre

Échec critique

Mais je ne tiens pas à m'embourber dans cette guerre qui n'a déjà que trop duré : l'Ottoman a déjà 76% de Warscore et s'il sent le vent tourner il reverra vite ses demandes à la baisse afin de nous stabhit ; cela ne sert donc à rien de gaspiller vainement des ressources (financières, humaines) à tenter de récupérer le terrain perdu.
Après une dernière grande bataille à Lika où l'Ottoman nous met très cher malgré notre supériorité numérique, les Turcs renoncent à Damas et la paix est signée.

La bataille de Lika : moins de Tactique et des jets de dés foireux, ça pardonne pas

Peace in our time, enfin presque

C'est au tour de l'Est de connaître la paix ; mais l'Europe n'est pas paisible pour autant : peu après mon intervention contre l'Empire Ottoman, la Bourgogne s'est lancée seule dans une guerre contre la France. Si le conflit tourne rapidement à l'avantage des Bourguignons, la France fait preuve de ténacité et luttera pendant 5 ans avant de céder les provinces du Maine et d'Avignon à la Marche de Provence.

Deux ans plus tard, en 1513, un événement vient perturber la sérénité des Européens : le Protestantisme vient d'apparaître en Pologne.
Très rapidement, la France et le Brandebourg suivent le mouvement et chacun obtient un Centre de la Réforme sur son territoire ; c'est une bonne nouvelle pour moi : à part éventuellement avec le Centre du Brandebourg, j'ai peu de chance de voir le Protestantisme se propager sur mes provinces.

Les 3 Centres de la Réforme Protestante

Ces Centres sont une nouveauté d'Art of War : les trois premiers pays à se convertir au Protestantisme ou à la Réforme obtiennent chacun un Centre de la Réforme sur leur territoire, qui va propager la nouvelle religion sur les provinces plus ou moins adjacentes. La vitesse de propagation et de conversion dépend de divers facteurs, notamment de la proximité avec le Centre et de la tolérance des hérétiques.

La vitesse de propagation est visible en laissant son curseur sur la petite barre verte

Je profite de cette période de paix (et du fait que l'argent rentre à nouveau dans les caisses) pour reprendre le développement de mon pays : il est bientôt couvert de Workshop et je construis même quelques Courthouse dans mes provinces à forte BT (Vienne, Prague et Sälzburg) ; je conserve cependant l'essentiel de mes AMP pour les idées Religieuses et les Techs.
Aussi, je construis une March à Ostmark (pour le RP mais aussi parce que la province possède un très bon 150 de Base MP), chose que j'aurais du faire bien plus tôt mais qui m'était sortie de la tête : la March est en effet le bâtiment avec le plus gros bonus de Manpower du jeu, et sa construction me fait alors gagner 7k en Manpower !

Bientôt, mon souverain meurt, je suis ré-élu Empereur et obtient au passage un très bon héritier

Dowant dowant dowant

Mon Roi actuel est alors assez jeune (moins de 30 ans), je crains qu'il ne meurt trop tard et que je ne puisse pas profiter pleinement des stats de cet héritier brillant, je décide donc de le mettre en général, espérant ainsi raccourcir son espérance de vie.

Alors que les vainqueurs consolident leurs acquis et que les perdants pansent leur plaie, la session s'achève. Je me demande alors comment l'Ottoman va réagir à ma "trahison" et m'attend déjà au retour de baton.

A suivre.

[Kellermann]

Juste restif pendant la bataille regarde le nombre de cav que vous avez .
Regarde le mien maintenant.
Bien.

Maintenant rappel toi ce que je t'avais dit en début de session.
Voilà CQFD et j'ai aristo.

Joli AAR d'un traitre , que tu sois pas venus pas grave mais que tu rejoignes en face ...

[Restif]

Oui, clairement ce sont les 10% de CA de la Cav qui ont fait la différence, pas les écarts de jets de dés (couplés à ton meilleur général et au petit malus de terrain) et le fait qu'à part moi les autres n'étaient pas Tech 9 .

Le nombre d'unité de cav sur le champ de bataille c'est un truc qu'on peut pas contrôler, à moins de faire de la micro mais c'est vraiment réservé au solo. La cavalerie est très efficace certes ; mais croire que c'est ça qui a surtout joué est une erreur imo.