X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Écris ton AAR au lieu de dire des bêtises... à moins que tu n'es que ça à dire avec ton Espagne? :/

    Commentaire


    • #17
      Le Roi Diego à défaut d’être brillant pouvait au moins se targuer d’être pragmatique et après avoir chassé les juifs d’Espagne sa politique fut une nouvelle fois reconnue pour sa vision avec l’exemple flagrant de Santander et la réussite des imprimeries espagnoles.



      Forte heureusement ses succès ne lui montèrent pas à la tête et il ne tarda pas à abdiquer en faveur de l’archange Gabriel.




      Gabriel béni par Dieu devait amener à la grandeur le peuple d’Espagne mais il dut se résilier à l’inévitable. C’était un monde de guerre et les ennemis affichés du Royaume viendraient bien assez tôt frapper à sa porte. La Méditerranée après une période de stabilité se réarmait considérablement sous l’influence italienne, et les escadres italiennes venaient même narguer les Espagnols à Gibraltar fort de leur supériorité militaire et diplomatique.




      Les ennemis du Royaume se rassemblaient et la présence de Gabriel ne suffisait pas à rassurer la populace qui émigrait en masse vers les îlots de Seabite.


      Commentaire


      • #18
        La patrouille des flottes italiennes juste sous le nez des Espagnols était une provocation constante à l’encontre du Royaume d’Espagne, et ce qui devait arriver arriva.


        La première conséquence de cette guerre fut l’afflux de marchand génois déçu par leur république qui se mirent au service de Gabriel.


        La deuxième, les essaims italiens étaient trop nombreux pour espérer contrôler sereinement la méditerranée.




        Finalement Gibraltar redevint la frontière et les Italiens dans leur arrogance demandèrent des réparations de guerre ce que le Roi leur fit payer en ravageant leurs colonies avant de leur proposer un généreux statut quo.


        En effet les Britanniques venaient de déclarer la guerre à la France, et chose impensable, ils avaient battu à plate couture les forces françaises et assiégeaient Paris.
        C’est ainsi que les colonnes espagnoles durent franchirent les Pyrénées pour porter assistance à la dernière victime en date de l’ogre britannique. Malheureusement les Britanniques parvinrent à battre les forces combinées.


        Le tournant de la guerre arriva quand les Français acceptèrent finalement de laisser le commandement des armées à Gabriel. Alors les troupes britanniques furent finalement repoussées puis annihilées dans le plat pays tandis que Paris était libéré.
        Si la guerre terrestre finissait maintenant s’en était que pour mieux marqué le début de la guerre navale qui s’étirait de la Manche à Seabite en passant au large de la péninsule Ibérique. Si l’avantage dans ce domaine était au Royaume Uni il était trop inconfortable pour pouvoir appuyer quelconques demandes et la paix blanche fut donc signé.



        La France avait été sauvé par l’Espagne. Gabriel rigole encore en pensant aux plans d’attaque amphibie des forces Françaises, ça aurait été une grosse désillusion.
        Dernière modification par Azrock, 08-03-2017, 22h21.

        Commentaire


        • #19
          Las des guerres à répétition des souverains espagnols et de leur coût excessif en vies humaines, nombreux furent les Espagnols à tenter la chance en partant pour le Nouveau Monde. Puisqu'ils cherchaient à s'émanciper le plus de la couronne la plupart décidèrent de jeter l'ancre dans l'archipel de Myconos. En effet ces îles vierges avaient pour attrait de n'attirer aucune des autres nations coloniales, pas même le Royaume d'Espagne. C'était une terre de liberté, où il pourrait recommencer à nouveau.
          Quelle ne fut pas leur déception quand le Roi voyant cet afflux massif de colons décida d'administrer ces espagnols d'outre-mer.


          En parallèle de ça, le faible voisin portugais se retrouva en conflit ouvert contre une nation bien plus grande et puissante que lui: les Provinces Unies et leur bras armée la VOC.
          Les terres africaines du Royaume du Portugal étaient occupés par l'ennemi et la flotte portugaise bien que plus puissante manquait cruellement de leadership pour être un atout. La femme du Roi, une Avis bien entendue... ne manqua pas d'exaspérer ce dernier jusqu'à ce qu'il se décide à prendre la défense de son petit voisin.
          Les flottes combinées devaient permettre à la fois de repousser la VOC et de débarquer un corps expéditionnaire en Afrique pour repousser les Néerlandais quand une première bemole arriva: mécontent de perdre le leadership du conflit le Roi Portugais fit feu sur la flotte espagnole. Ce fâcheux contretemps en plus de coûter une vingtaine de galion permit à la VOC de rapatrier ses hommes à temps pour les lancer à l'assaut de l'Espagne via les Pyrénées. Stratégie intéressante, sans doute leStadtholder cherchait-il à réparer la stupidité portugaise. L'armée fut décimée et la paix signé.


          Cependant le Portugal n'avait pas dit son dernier mot et à la mort du Roi d'Espagne il fit placer un membre de sa famille, la branche Avis-Trastamara sur le trône. Heureusement celui ci avait encore un peu de sang Trastamara en lui et n'était donc pas aussi dégénérer que la branche Avis de Lisbonne.

          La Transition se fit sans événement particulier et il fut le premier Roi à pouvoir boire tranquillement un Sangria à Séville en regardant ses colonies prospérer, l'Italie en trouble interne (donc pas besoin de regarder dans son dos) et le Portugal en prise avec les Maures (pas question d'aider après le fiasco naval de la dernière guerre).

          Commentaire


          • #20
            Je pense qu'il y aurait beaucoup plus d’intérêt à combattre le rosbif et le gouda plutôt que les ritaliens.

            L'Espagne a peu a y gagner (Sicile/Sardaigne quoi), alors que les italiens peuvent beaucoup enrichir le nœud de Gènes et profiter à tous (Gènes enrichit son nœud, comme le nœud de Lübeck peut devenir richissime grâce à une république de Lübeck forte). Je pense vraiment avez intérêt à au moins vous tolérer.
            Je crois que le prestige espagnol ne s'effondrera pas si quelques bateaux légers génois circulent au large de l'Espagne

            Là Il faut à tout pris s'entendre avec le Portugal pour solidement s'implanter en Asie et SURTOUT concurrencer les Pays Bas dans le nœud de Côte d'Ivoire, tous le commerce d'Asie passe par là ! Il est essentiel pour avoir une nœud de Séville vraiment riche.
            Et aussi se débrouiller pour sécuriser la route commerciale entre les colonies ibériques et leurs métropoles.

            Là on a une Angleterre surpuissante et un brabançon (très) riche, c'est pas encore trop tard. C'est eu les vrais ennemis !
            Libère la puissance ibérique sur le vaste monde, les italiens sont occupé à s'entretuer sur une province buggée de toute façon
            Dernière modification par Reblocho, 16-03-2017, 23h48.

            Commentaire


            • #21
              les Ibériques en Asie certes, mais pas en Inde, bibi veille au grain!

              Le britannique a tout de même une avance certaine en Asie du Sud-Est, ça paraît dur pour l'Espagne de pouvoir s'y implanter. J'ai l'impression que même la Courlande est plus implantée que les Ibériques en Asie, c'est dire.

              Commentaire


              • #22
                Bah la stratégie des Pays-bas a toujours été focus de l'Afrique étant donné le peu d'implantation européenne dans la zone à son arrivée

                Quant à l'attaque c'était surtout car je voyais le portugais galérer contre le brunei et que l'espagne a été obligée d'intervenir donc avantage stratégique certain. Après les suprématies terrestre et navale étaient clairement vôtres
                Dernière modification par tithub, 17-03-2017, 10h33.

                Commentaire


                • #23
                  La nouvelle dynastie voulait imposer sa marque et pour ce faire changer la donne en Méditerranée semblait être un tremplin pour initier quelque chose de grand.
                  Pendant une année complète le Roi, son intendant des finances et l’ambassadeur d’Espagne en Italie se rencontrèrent régulièrement pour mettre sur pied un volet économique d’une envergure à même de concurrencer les grandes places économiques du nord.
                  Quand le Roi fut content du résultat il convia le Roi de Naples ainsi que le Doge de Gênes à Tunis pour leur faire une proposition que seul un fou refuserait.
                  Tunis avait été choisi pour que les Italiens, d’un naturel plus peureux, acceptent le rendez-vous. En effet c’était là un comptoir génois au Maghreb mais assez neutre à la vue du contrôle exercé par Gênes et de la présence des troupes marocaines en bon terme avec l’Espagne pour que le Roi soit en sécurité.
                  Le destin de la Méditerranée occidentale, voire de la Méditerranée dans son intégralité étaient entre les mains de ces trois hommes. Les termes de la proposition espagnole furent exposés et si le Royaume de Naples se montra tout de suite très intéressé c’est le refus catégorique de Gênes qui choqua alors que la république marchande avait le plus à gagner. Cette dernière acceptait que l’Espagne donne, mais elle-même ne voulait rien donner en retour. Si une partie de ces appréhensions pouvaient être compréhensible tous doutes dans l’esprit du Roi s’évaporèrent quand les troupes arabes firent irruption dans la ville de Tunis même.
                  Gênes la traitresse, mené à sa perte par des dirigeants pathétiques sans réelles notions commerciales, un comble pour une république marchande, avait pactisé avec l’Arabe contre l’Espagne et sous couvert de négociation avait tenté de capturer son Roi. Fort heureusement, prévenu par des loyaux berbères il put trouver refuge dans l’Armada Espagnole au large de Bizerte puis la sécurité de l’Espagne.
                  Une guerre froide commençait que Gênes regretterait avant la fin.



                  Pendant ce temps-là les vaisseaux espagnols étaient enfin aperçus au large des côtes indiennes où ils rejoignaient, quelques deux cents ans plus tard Anglais, Arabes, Courlandais et Néerlandais.



                  Tandis que les compagnies marchandes de Séville envoyaient des corps expéditionnaires pour dompter les jungles d’Afrique.



                  Autant de succès qui permirent au Roi d’accroître son pouvoir sur les différents états du Royaume.

                  Commentaire


                  • #24
                    Dommage pour Gènes...

                    Commentaire


                    • #25
                      Hum, il me semble que les troupes Arabes étaient déjà présentes à Tunis bien avant l'arrivée des souverains européens. C'est d'ailleurs pour ça que la ville pouvait se targuer d'être "neutre". Le monarque espagnol ne se chercherait-il pas des excuses pour expliquer sa fuite précipitée des négociations?

                      Commentaire


                      • #26
                        Du tout. C'est vraiment l'arrivée des troupes arabes qui a provoqué la retraite du roi espagnol

                        Commentaire


                        • #27
                          Le Roi après ses premiers succès en Inde décide de poursuivre les intérêts économiques de la couronne en établissant un comptoir en Chine.
                          Cependant les autres européens sont déjà bien implanté ou en cour d’implantation dans la région notamment les Pays-Bas. C’est donc une course qui se lance pour la province de Canton. Si les Néerlandais ont plusieurs mois d’avance c’est sans compter leur couardise légendaire qui a fait se retrancher plus de 70K sur l’île de Macao par crainte de l’armée Ming.
                          La couardise, se défaut étranger au corps expéditionnaire espagnol permet à quelque 35K espagnols de mettre le siège à la ville commerçante tout en repoussant à plusieurs reprises les forces Ming qui semblaient alors infinie.
                          http://img4.hostingpics.net/pics/952...3242118531.jpg

                          http://img4.hostingpics.net/pics/716...3242119111.jpg

                          Confronter aux faiblesses de leurs troupes, les Néerlandais sommèrent alors les Russes d’agir pour pouvoir reprendre l’avantage, ce qui se fit sans tarder. Deux armées complètes russes joignirent leurs forces au Ming et annihilèrent le corps expéditionnaire espagnol qui n’avait aucune chance. Sans plus aucune troupe en Chine et avec le contrôle de la province perdue au profit des Néerlandais l’aventure semblait pour le moins contre carré. Le perfide Tsar eu même la stupidité de proposer contre de l’or la fin de la participation russe ce qui eut pour effet de s’aliéner encore plus notre souverain. En effet les Russes avaient déjà fait tout ce qu’ils pouvaient pour nuire à l’Espagne dans cette guerre et plus rien ne pouvait être rattrapé.
                          C’était sans compter sur un heureux hasard qui relança l’aventure. En effet si le sud de la Chine était perdu, les marchands de Séville ne tardèrent pas à élaborer un plan de secours pour s’approprier les richesses de la Chine, et leur dévolu fut jeté sur Hangxou, cité commerçante situé sur le côté est tandis que les Russes trop imbibés de vodka pour comprendre quoi que ce soit ne virent rien.
                          http://img4.hostingpics.net/pics/312...3242205391.jpg

                          http://img4.hostingpics.net/pics/855...3242234491.jpg

                          Sitôt les nouvelles possessions asiatiques pacifiées les troupes Espagnoles durent encore entrer en action et traversèrent les Pyrénées pour se porter au secoure de la France et contrer l’insatiable soif de conquête prusso-colonaise.
                          Si la guerre s’avérait intensément plus compliqué que contre les troupes décadentes sino-russes elles avaient au moins l’avantage de se passer sur un théâtre d’opération où l’armée espagnole pouvait dans sa quasi-totalité participer avec à sa tête le bon Roi Fernando qui parvint à préserver son voisin d’un chaos qui aurait forcément impacter les terres espagnoles.

                          http://img4.hostingpics.net/pics/791...3242253371.jpg
                          http://img4.hostingpics.net/pics/683...3242254281.jpg
                          http://img4.hostingpics.net/pics/843...3242300021.jpg
                          http://img4.hostingpics.net/pics/294...3242305251.jpg
                          http://img4.hostingpics.net/pics/419...3242306101.jpg

                          Commentaire


                          • #28
                            Alors que la couronne Espagnole met en avant une incorporation diplomatique des provinces indiennes les Arabes et Anglais eux font parler les mousquets et soumettent des pans entiers du sous-continent indien aux prix du sacrifice des populations autochtones.



                            Mais l’attention du souverain est vite rappelée en métropole où une guerre s’apprête à se déclencher. Les Français prévoient une invasion de ses terres par les puissances du Nord et en appellent aux forces espagnoles pour contenir le flot de malandrins.



                            Et le premier engagement du conflit, la bataille de Calais donne le la pour un débordement complet des maigres défenses françaises.

                            Les souverains respectifs continuent à vouloir diriger les troupes dans moments où les généraux expérimentés devraient prendre le pas. Et les défaites s’enchainent.


                            Et le territoire français s’ouvre comme une fleur un jour de printemps. La prochaine ligne de défense de la France ? Les Pyrénées.


                            Heureusement la dispersion des forces ennemis créent des opportunités pour quelques généraux audacieux qui ravagent les camps ennemis et harcèlent les lignes de ravitaillement.


                            Les Rois se rendent compte de leur incompétence et laisse la main libre à leur état-major, mais le mal est déjà fait.


                            Et Versailles acculé, dût signer la paix.


                            Quelques années plus tard, les Français sur de bateaux espagnols se vengeaient des Anglais et débarquant et paradant à Londres alors que la Royal Navy était trop occupé à faire le blocus de l’Arabie.


                            Car en effet les deux grandes puissances s’affrontaient enfin pour le contrôle du commerce d’Inde et du Golfe d’Aden. Une guerre qui faisait la joie des marchands d’armes de Séville, fournisseur officiel des deux camps.

                            Commentaire

                            Chargement...
                            X