AAR - Je Maintiendrai - Les Aventures de Bilbo le Hobbit - Pays Bas

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Notre histoire commence en 1518, après la disparition de la maison de Bourgogne du trône des 1450 au profit de la Maison d'Auvergne puis des étrangers de Von Habsburg en la personne de Henri Jules, qui par son manque de diplomatie (5/1/5) sera l'un des catalyseurs des événements. Après de longues négociations internes, les cités et provinces Néerlandaises du Duché devenu Royaume de Bourgogne mirent à profit des conflits entre leur voisin Français et la Maison mère du roi, l'Autriche pour déclarer leur détachement de la Bourgogne, divisant les terres originelles du Royaume entre la République Helvétique et la couronne Française. En échange de quoi la France laissa entre les mains Néerlandaises la ville de Cambrai et les plaines d'Artois.

Un bref résumé des négociations territoriales, le corps diplomatique néerlandais se demande encore pourquoi l'Angleterre et la Suède étaient présentes. La guerre avec la Suède fut finalement évitée quand il leur fut expliqué que le Luxembourg était déjà Néerlandais.

La jeune République Néerlandaise ne perdit pas une seconde avant d'élire à une voix contre zéro Pier Gulach (noté arbitrairement 2/5/2 par les Historiens modernes). Après son élection celui ci créa plus de sièges parlementaires, geste qui fut d'abord totalement incompris avant que le pays ne se rappelle du concept de République.

Les nouvelles de terres à l'ouest et de production de plantes aux vertus médicales entraîna le pays dans une nouvelle optique. Celle de s'assurer une place parmi les producteurs de ce nouveau produit. Les premiers colons Néerlandais partirent donc quelques années plus tard vers les nouvelles Indes.

En 1522, après 4 ans au pouvoir, une nouvelle élection prit place, nommant Maurits von Witzenburg (4/5/2) à la tête du pays. Malgré son addiction à la mousse au chocolat, il fit preuve d'autant si ce n'est plus de talent que son prédécesseur, entraînant le pays dans une nouvelle religion, l'église Réformée Chocosuis' suite au refus du pape de canoniser la Sainte Mousse. Le voisin Français ne comprit pas trop l'engouement Néerlandais et modifia le mouvement autour du concept de "Stuff". Les sociologues néerlandais n'ont toujours pas trouvé de réponse à la présence d'un mot Anglais au centre de l'église Française.

Enfin nous arrivons à notre époque. En 1525, suite au décès pour causes inconnues de Maurits, retrouvé dans son bain en train de flotter, fut élu Andries von Onsäbruck, qui, à la surprise générale, se révéla un Allemand intelligent, noté parmi les plus grands dirigeants de l'Histoire, presque au niveau du glorieux Philippe 3 de Bourgogne, avec un magnifique 4/5/4 et un intérêt pour les Colonies, n'hésitant pas à saisir une pique pour pousser plus de volontaires dans nos navires coloniaux.

Il arrive à la tête d'un pays se trouvant parmi les plus grands sur les plans financiers et commerciaux, nos économistes estimant ces revenus respectivement 6éme et 4éme. L'engouement pour la colonisation a propulsé notre marine parmi les 10 plus grandes et nos forces armées gardent leurs traditions Bourguignonnes, restant au premier plan européen et une des priorités budgétaires Néerlandaises.

[tithub]

Nerf idées bourguignones please

Une Bourgogne avec des sous? Naaaannnnn

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Bon bah, pas que je veux pas mais, à part continuer d'améliorer l'économie du pays et assister en spectateur à des conflits, la session Néerlandaise peut se résumer à ceci:


En gros une session: Tech 11? Spam manufactures! partout! Et débloquer en développant! Plus de deeeev!

Voici cependant un spot publicitaire pour rejoindre les forces armées Néerlandaises:

A vous les studios en attendant la nouvelle saison de la série "y a t'il un Pays ici Bas?"

[Kissing]

1547-1570

Cela fait deux ans déjà que Lodewijk von Gruningen (1/5/5) est à la tête de la république Batave, poursuivant la politique de ses prédécesseurs, développement économique et militaire de la métropole d'un côté, poursuite de la politique de colonisation de l'Amérique du Nord de l'autre. Au final un glorieux inconnu de la République.

En 1550 lui succède Willem von Legenfeld (4/2/1) dont la particularité majeure restera d'être l'opposé absolu de Lodewijk, son principal passe temps: regarder les navires passer devant sa fenêtre. A noter quand même, ses capacités administratives laissent un pays en bien meilleur état financier. Les infrastructures Néerlandaises étant au maximum de leurs capacités, l'argent s'accumule dans les caisses de l'état.

1554-1558, enfin du changement! Maurits von Ansbach (5/2/3) décide de prendre les colonies à bras le corps et augmente les effectifs outre mers, quelques mois après, la guerre éclate entre les Creeks et la République Batave, guerre qui se solde par la découverte qu'il y a bien plus de terres à l'ouest que prévues, le public néerlandais quand à lui ne comprend pas le principe de s'éloigner des côtes et les colons s'installant aux Amériques sont perçus comme des illuminés. A la suite du conflit une nouvelle administration locale est crée à l'image de la Nation mère. Voici d'ailleurs la photo du premier dirigeant, copie conforme de Maurits.



1558-1562, départ de Maurits, arrivée de Filips von Weimar (5/3/4), excellent chef d'état qui rompt avec la tradition "je ne fais qu'une chose mais je la fais bien", il maintient le cap colonial du pays, rattrape le retard technologique en terme de capacités maritimes et commerciales, développe le concept de "Neutralité Armée" en Europe, investissant de nouveau dans les infrastructures militaires, notant les leçons prises dans les Balkans et au Moyen Orient, standardisant les corps d'armées Néerlandais jusqu'à présent propres à chaque commandant. Sous sa direction la prospérité s'installe et le pays s'enfonce dans un idéal pacifique et guerres coloniales romantiques.

1562-1566, nouvelles élections, arrivée d'un nouveau Maurits, celui ci Von Witzenburg (4/5/2). Sa victoire est largement attribuée à son nom, le ramenant directement à l'époque de l'adoption de la Sainte Mousse par le Premier Maurits. Il fera d'ailleurs face au premier conflit Néerlandais, la France ayant probablement suivi les volutes de fumées s'échappant des ateliers herboristes bataves et bientôt près de 120 000 Français s'installent dans les plaines de Flandres. Les diplomates ne perdent pas un instant, se dirigeant vers leurs voisins Allemands en quête de support. Les semaines passent sans nouvelles des diplomates, tenus pour responsables, la signalisation aux frontières de la République. La Stratégie de défense des panneaux confus se retournant contre leurs créateurs.


(toudiouh, y avait pas en plus petit?)

Bien que l'héritage Bourguignon fasse des troupes Hollandaises d'une qualité infiniment supérieure aux natifs Américains, il est décidé, sagement, d'éviter de se battre à presque 1 contre 2. Les diplomates français arrivent peu de temps après, négociations s'engagent, puis, au terme de négociations dont les comptes rendus ne seront rendus publiques que d'ici...jamais, l'armée Française retourne de son côté de la Frontière.

1566 arrive, le public Néerlandais est encore sous le choc de la facilité avec laquelle leur ceinture défensive a été éventrée et Karel von Ortenburg (3/0/3) accède au pouvoir avec la promesse de régler ce "petit souci", à la même époque une administration sœur des Nouveaux Pays Bas est crée dans les Caraïbes, Amsterdam décidant de se concentrer sur la métropole. Les ingénieurs passent mois après mois quand, finalement, après plusieurs années de recherche, de nouveaux modèles de fortifications capables de résister à plus de trois écureuils en colère sont finalement adoptés par les autorités militaires, rentrant par la suite en chantier dans tout le pays.

1570 est maintenant au tournant, l'économie néerlandaise reste forte, même si stagnante parmi la croissance mondiale, le pays s'est largement développé en métropole comme outre-mer, il est temps pour la République de bientôt trouver un nouveau plan national. Le pays s'est engagé auprès de la Ligue Catholique dans le conflit religieux naissant, entouré de membres de la Ligue Protestante, le pouvoir reste persuadé qu'il s'agit une bonne décision, la populace quand à elle, se demande si les fumées ne stagnent pas un peu trop parmi les cabinets ministériels.

[Kissing]

La session débute dans la tension, la guerre de la ligue prête à s'enflammer à chaque instant, chaque pays se retrouve à tenter de lier intérêts personnels et voisinage, les Pays Bas soufflent lorsque la France passe côté Catholique, avant de voir l'arrivée Ottomane côté protestant, bien que les ambassadeurs rapportent que la Porte ne veut envoyer qu'une "force symbolique"



Une Force symbolique quasi équivalente aux effectifs Néerlandais, le fossé démographique est loin d'être comblé.

Après quelques années, le conflit éclate, chaque camp comprenant respectivement:
Ligue Catholique: France, Pays Bas, Espagne, Royaume Uni, Autriche, Bavière, Milan, Portugal, Hongrie
Ligue Protestante: Suisse, Cologne, Suède, Prusse, Pologne, Ottomans, Toscane et Naples et, au risque de se tromper, Russie.

La stratégie catholique est simple, au vu de la situation géographique, les différents état majors s'accordent pour dire que la Bavière et la Bohême seront les cibles protestantes, des le début du conflit les troupes Françaises et Néerlandaises foncent à travers les Alpes puis les plaines Italiennes tandis que l'Espagne et Milan s'occupent de Toscane / Naples. A la surprise générale les forts Bavarois et Autrichiens sont toujours debout à l'arrivée Franco Neerlandaise.

La stratégie Française est d'une simplicité enfantine mais fonctionne, celle ci se reposant sur "si je les attaque, ils ne peuvent pas courir".



Les armées néerlandaises se contentent de suivre le Français qui engage tout ce qui passe à sa portée, les différents gouvernements ne comprenant toujours pas la stratégie Protestante. Naples se retrouve isolée, les contingents Bavarois et Portugais retranchés autour de Parme attendent patiemment. Les forces Espagnoles viennent remplacer les troupes françaises aux rangs largement clairsemés quand Amsterdam propose d'aller assiéger la frontière Prusso Polonaise, coupant en deux les Protestants, toute la ligue accepte et le Pape en appelle même à la Croisade contre l'Ottoman, risquant par ailleurs que la Porte prenne ombrage et intervienne totalement dans la guerre. Plusieurs batailles s'enchaînent autour des forts Polonais. Les fortifications aux mains de la Sainte Ligue et les batailles en faveur du camp Catholique, bien que les pertes soient très élevées, incitent le camp protestant à négocier. La paix par la suite signée officialise la religion Catholique, forçant les pays membres à soit renoncer à l'hérésie, soit quitter l'Empire.
Prusse et Cologne repasseront Catholiques. Suisse et Naples, fidèles à leurs convictions resteront protestants quand à eux.

Peu après le conflit nos premiers rapports sur le moral du dirigeant français arriveront, rassurants à leur manière.

Dans le même temps la colonisation de l'Amérique du nord continue, la Louisiane Néerlandaise étant crée, la limite navale de la métropole explosant dans le même temps. Les élites du pays ont aussi noté que la méthode française du "chargeons d'abord, réfléchissons après" semble fonctionner et il est demandé à l'armée de donner une mentalité Offensive à nos unités, ou au moins une balance avec la précédente mentalité Défensive régnante.

Économiquement les Pays Bas se maintiennent 6eme Puissance financière, le pays grandit outremer et les revenus commerciaux avec, un équilibre avec le voisin britannique atteint, chacun des deux ramenant une part relativement égale de Commerce. Il est par ailleurs décidé d'améliorer ces revenus en modernisant toute la flotte du pays, les modèles de Frégate britanniques étant des plus impressionants, quelques rares améliorations seront apportées par les chantiers d'Amsterdam.



Le modèle sera malheureusement refusé par manque de mats pour les voiles.