Le Vijayagna-anaga-.... Le Vijayanaraga …. Le Vijayanagara BORDEL !

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Chapitre I

En 1444, les rênes du royaume de Vijayanagara ( YES !! ) passe entre de nouvelles mains, créé en 1336 sous l'impulsion de deux vice-roi hindous anciens pillards musulmans, ce royaume a depuis cette date servi de remparts contre les envahisseurs barbares musulmans qui envahissent peu à peu la péninsule indienne, et son nouveau dirigeant compte bien continuer à résister encore et toujours à l'envahisseur !

La reconquête de la partie musulmane commence par la diplomatie, nos envoyés au Royaume du Mysore sont rapidement bien accueillis et assurés des bonnes intentions de ce voisin méridonial.
La majorité de nos messagers nous rapportant quant à eux des nouvelles plus ou moins hasardeuses et changeantes, situation qui n'est pas prêt de changer vu le caractère incertains de la majorité des maharajas et sultans contactés.

Une fois nos limites nord et sud actées avec le Mewar et le Mysore, l'expansion vyjay..a...narienne ? commence, et une première mauvaise surprise se dresse devant nous, les royaumes centraux du Berar, de Bahâmanis et du Bijapur ont ont formé une triple alliance redoutable nous bloquant complètement la porte menant vers l'Est. Nos armées se dirigent donc vers le Nord et avec le soutien du Mewar commence le grignotage du Gujarat.
Pendant ce temps notre voisin l'Orisha disparaît dans les oubliettes de l'Anthra....

S'en suit une relative période de paix, imposée par le jeu des puissances proches plutôt que voulue.

Notre allié du Mysore commet des erreurs administratives et ses vassaux se rebelles, faisant tout notre possible pour l'aider, nous accourons avec nos armées et nous battons seuls pendant près de 6 ans, le territoire du Mysore étant complètement occupé et son armée annihilée.
Les pertes combinées subit par notre vassal et nous-mêmes à la fin de cette guerre sont considérables, plus de 24 000 hommes, chevaux et éléphants gisent dans les champs et villes du Royaume du Keladi. Avant qu'une intervention quasi divine, sans doute une erreur de diplomatie de la part de nos opposants, mettent fin à la guerre et sauve le Mysore, nous parvenons à arracher 3 provinces keladienne en 1465.

Rédigé par MrLittleCat

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Chapitre II & III

Un incendie s'étant déclaré dans nos archives la semaine dernière, notre royaume a perdu un pan de plusieurs d'années de son histoire.

Nous pouvons malgré tout nous souvenir que c'est grâce à l'aide du royaume voisin du Mewar que nous nous sommes enfin débarrassés du principal obstacle alors de notre expansion, la triple alliance Berar-Bahmanis-Bijapûr, ce qui nous a grand ouvert la route de l'Est. Ainsi notre royaume s'est étendu jusqu'à la province de Golkonda et ses fameuses pierres précieuses à l'Est, et avions désormais une frontière commune avec l'Orishâ, notre voisin belliqueux et à la diplomatie agressive et ayant un avenir plus qu'incertain.

Une fois la moitié des provinces de la Bahmanis en notre contrôle, nos armées ont pris la route du Sud-Est et envahi le Bijapur. A alors commencé une série de manœuvres et contre-manœuvres, d'aller-retours entre les anciens états de la triple alliance afin d'annexer le plus rapidement possible leurs provinces, ce qui inspira plus tard le célèbre chanteur dit « Cloclo »

Notre belliqueux voisin a fait preuve de sa perfidie, en effet l'Orishâ, déjà très mal en point financièrement et militairement, après s'être attaqué aux restes du Bijapûr, s'est autorisé à vassaliser un royaume mineur, au sein de nos frontières et que nous comptions bientôt incorporer à notre empire naissant. Malgré de nombreuses mises en garde et un rapport de force clairement en sa défaveur, il insista et la guerre débuta, ce qui devait être un rappel à l'ordre rapide plus qu'une conquête devient bien vite une affreuse boucherie, notre ennemi étant prêt à sacrifier l'intégrité de son pays et à compromettre son existence pour nous emmener avec lui dans la tombe. Ce n'est que grâce aux appels à la paix de la presque totalité de l'Inde que la guerre s'arrêta et se solda par une paix gentille en notre faveur, nous récupérions les provinces sources du litige et une province orishienne en dédommagement.

Cette guerre marquait cependant la fin de cet intrépide adversaire, ruiné, faibli, il était une proie facile sur laquelle les vautours septentrionaux de la péninsule indienne se jetèrent sans remords et sans même faire de combats lui prirent 4 provinces riches, obtenant ainsi plus par la fourberie et la malice que nous-mêmes au terme d'une guerre meurtrière et ruineuse.

L'Orishâ nous réservait cependant une dernière surprise, attaqué par le Mysore, en retard technologique, il se défendit si bien, qu'aujourd'hui les deux pays ne sont plus que l'ombre d'eux même, offerts aux appétits de leurs voisins, leur gouvernement instable et précaire ne parvenant plus à contrôler leur population, des révoltes éclatent un peu partout, une aubaine... Que les autres royaumes indiens voient avec crainte ou convoitise.

Si convoitise il y a la mienne s'exprime en points diplomatique, puisse ce récit combler mon désir.