Commedia dell'AARte, Le Bon, le Brute et le Blobbeur.

***Restif*** · 30-11-2019, 06h48

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**Vilcoyote** · 07-12-2019, 01h10

Acte 3 scène 2 : Un monde en flamme.

Giovanni I Valente Empereur du Saint Empire contemplant le monde en flamme. L'histoire fait encore débat sur son active participation aux événements de cette époque tourmentée.

Ca y est Scaramuca n'est plus un problème (en tout cas en Europe). Cette période faste permet aussi l'occasion du développement du pays et les Universités fleurissent un peu partout. Cependant Pantalone ne trouvant toujours pas de digne successeur pour reprendre la tête de l'Empire, c'est depuis Rome que Giovanni I de Valente prendra les responsabilité qui s'impose.

Tout d'abord je décide d'aller aider contre espèce sonnantes et trébuchante le pauvre Werther en lutte face à Der Erlkönig qui a récemment liquider sa guerre en cours face au Hollandais (où il a cédé la province de Meppen). Traversant le pays de Pantalone une nouvelle fois, c'est dix compagnies d'artillerie qui rejoignent la ligne brandebourgeoise pour une première bataille sur Altmark.

La ville est sauvé mais au prix du sacrifice de nos artilleurs alors en première ligne afin d'infliger un maximum de dégâts. Werther décide alors d'aller libérer son fort de Thuringe mais Der Erlkönig ne l'entend pas de cette oreille et nous déboute (pas d'image ici) malgré le nouveau matériel italien (dans les faits Werther pousse les batailles à fond alors que notre artillerie vulnérable est à l'avant).

Suite à cette défaite et à l'abandon d'une partie de l'artillerie pour mieux fuir suite aux tirs dévastateurs de l'armée de Der Erlkönig, la compagnie italienne est au plus mal et un défaut dans la ligne de fort de Werther ne nous arrange pas lorsque ce dernier nous poursuit pas loin de Berlin. Cette seconde fuite sera mieux organisée en revanche. S'en suivra une nouvelle bataille sur Altmark remportée, puis une seconde défaite sur Thuringe qui permettra à Der Erlkönig de prendre enfin Altmark pour nous engagé sur Ruppin.

Plus que l'ombre d'elle même (environ 2500 hommes sur 10 000) les dix compagnies sont dissoutes après à ce dernier accrochage sur Ruppin à cause des problèmes de renforcement (cf l'AAR de Faust, Miniaar Prusse pour expliquer les problèmes de renforcement partie "Les Mercenaires du Rhin", même si ne pas avoir pris les idées défensive n'aide pas non plus). Une nouvelle proposition pour vingt compagnies d'artillerie est faite, mais malgré un prêt accorder par la banque d'état italienne (et rembourser plus tard), Werther ne trouvera jamais les fonds pour l'acheter et préférera faire rapidement la paix.

C'est alors que le monde décide de s'enflammer pour votre plus grand plaisir les spectateurs. Nous avons donc eu droit à une guerre entre Scapino et son voisin du sud, des barbares et Indiens en Asie et même une difficile campagne caucasienne de la part de Lelio.

Plus prêt de chez moi, c'est Arlequin qui décide de traverser la moitié de l'Europe pour humilier Il Capitain passif depuis le début de cette partie. Après un assaut tumultueux sur Navarre, Il Capitain essaye alors de bloquer la province en restant sur Labour, cependant Arlequin ne reste pas sans reste et après avoir laissé quelques troupes pour donner le change sur Labour il force le passage pour se retrouver en défense sur Navarre. Cette habile manœuvre malgré les risques de dispersion de son armée (ce qui lui arriva juste après la prise de Navarre) lui assurera la victoire (on repassera sur une armée espagnole qui se bouscule littéralement pour aller au front plutôt que de faire intervenir les corps d'armées au fur et à mesure).

Les hongrois en "retraite" pour sauver la garnison de Navarre.

C'est alors que notre plus grand défis de la session se présente, Il Dottore (remplacé par Liquid une nouvelle fois) attaque Le Hollandais. Le gros Falstoff (Louis-sama / Anglais), préfère regarder s'accumuler les ducats dans la banque tout en festoyant pour entretenir sa bedaine et ne bougera pas.

Spoiler:

Mes armées traversent alors la Suisse puis les régions du Rhin. Un corps d'infanterie (20k) et le train des artilleurs (32k canons) se trompera malheureusement de route et ils se feront capturer par les français. Heureusement Le Hollandais n'a besoin que d'une ligne pour protéger sa féroce artillerie (son professionnalisme est alors à 100% et ses idées lui donne un bonus de 10% de feu ce qui permet de compenser le bonus français). Autre faiblesse française : les généraux. En effet ses derniers même si ils ne sont pas des plus médiocre reste un cran en dessous des généraux hollandais et les phases de chocs seront alors redoutables (quand les dés ne seront pas en notre faveur). Ainsi suite à deux batailles sur Gand (je salue le courage de la garnison), le français est repoussé.

Il Dottore tente alors sa chance par les cols des Alpes Suisses pour tenter de nous prendre de vitesse. Notre armée arrive alors en bon ordre en Lombardie (ayant traversée l'Autriche) et ce malgré une tentative française pour encore attraper un corps d'infanterie italienne. Il Dottore retente alors sa chance vers Luxembourg et compte nous attendre en Alsace. Au cours du retour notre tentative d'engager une double bataille se solde par un échec et l'affaire se déclenche alors sur Trêve.

Nous n'étions vraiment pas sur de vaincre sur celle ci mais après avoir tenu quelques temps de façon à ne pas laisser l'arrière garde se faire capturer, nous lui avons fait rebrousser chemin afin de compléter le moral nécessaire à la victoire. De son côté, Il Dottore laissera ses canons en arrière garde car il considère alors en avoir beaucoup trop (deux stack de 30k) ce que je ne partage pas vu la taille de son armée. Avec le Hollandais nous passons alors à l'offensive vers Amiens défendu par l'armée française qui ne sera pas au mieux de sa forme.

Spoiler:

Le moral ne fait pas tout, malgré une qualité égale la différence de général et la propension de la ligne française à rester sous le feu lui a été fatale.

Amiens tombé c'est au tour de mon armée d'aller faire le siège de Chartrain à l'ouest de Paris. Il Dottore négociera la paix et je récupérerai Vaux pour la Savoie tandis que des colonies changent de mains en Amérique du sud. Pour mon aide, Le Hollandais m'enverra 400 ducats, de quoi rembourser l'un des quelques emprunts contracter. Je n'en ai pas eu beaucoup heureusement préférant utiliser mon MP qui de maximum (190k) finira à 0.

Heureusement que l'attrition dû à l'aller retour en Suisse et aux sièges à la fin de la guerre compense en partie le différentiel de pertes.

Le joueur français ne digérant pas cette défaite, il s'en va. Cette absence causera de nombreux troubles dans le pays qui le laisseront exsangue à la fin de la scène. Ainsi j'ai le champs libre pour mes projets à l'est. En effet je désire récupérer les terres de Colombine en Italie. Pour se faire il me faut l'aider à prendre celle d'Arlequin avant de faire l'échange. Une attaque de Papageno et Lelio étant aussi prévu, voyant qu'elle n'arrivera jamais suite à un nouveau combat entre Werther, Faust et Papageno justement (avant l'incident diplomatique suédois, cf une nouvelle fois l'AAR de Faust), nous décidons de passer à l'action. J'embarque ainsi mon armée vers la Grèce (par paquet de 10) et nous lançons la guerre le plus vite possible pour ne pas laisser le temps à Arlequin de renforcer ses forts devenus obsolètes. Giorgu tombe rapidement puis nous engageons le combat sur Kosovo. Suite une erreur de commandement (un miss clique), ce sera une défaite.

Mais nos armées arrivent à vaincre sur Giorgu et de retour sur Kosovo (une erreur quand Vidin était plus accessible car une plaine sans être totalement isolé comme Bender à l'est, cible certes facile mais sans intérêt stratégique à la table des négociations) la scène se termine alors.

Colombine et moi même sommes assez surpris des pertes hongroises sur cette bataille sans malus pour les deux camps, le général italien à su faire la différence face à son homologue de Raguse.

Nos généraux sont en confiance alors qu'Arlequin a envoyé toutes ces réserves. La bataille sera-t-elle remportée? Vous le saurez dans la scène suivante.

**Vilcoyote** · 15-12-2019, 17h27

Acte 3 scène 3 : Meurtre dans les Balkans.

Assassinat de Colombine vers 1675. Les débats sont toujours en cours pour savoir qui est l'homme masqué.

Nous étions donc en guerre Colombine et moi face à Arlequin. Peu de diplomatie durant la semaine, en effet Colombine pense pouvoir pousser son avantage tandis qu'Arlequin est prêt à une guerre longue malgré son endettement déjà élevé. De plus Colombine doit se préparer à prendre les terres du Karaman le plus vite possible, le joueur étant absent depuis trop longtemps son pays est libre. Enfin le pays de Colombine s'essouffle très vite et c'est lui qui décidera d'arrêter la guerre ou non, étant le facteur limitant dans notre alliance.
La bataille de Kosovo nous donnais gagnant avec les forces en présence. Cependant Arlequin a lui aussi analysé le combat et trouve un général capable qu'il fait rentrer immédiatement en plus de déclencher une mission lui donnant du prestige pour faire remonter son moral. Le combat est donc perdu et l'inattention de Colombine lui coute très chère au moment où son artillerie en première ligne se fait hacher par les hongrois.

Cette défaite annonce la fin, Arlequin sur le retour reprend alors le fort de Giorgu (malgré une tentative de notre part pour le défendre) et démarre le siège de Sofia. De notre côté nous essayons de rationaliser le combat. La ligne italienne rentrera en première avec l'artillerie byzantine. Seul bémol, la coordination ne sera pas au rendez vous et l'artillerie arrivera en retard sur Sofia. La bataille est tout de même remportée.

C'est sur Sofia par ailleurs que les derniers renforts d'Arlequin arriveront trop tard suite à une phase de combat heureuse pour notre alliance. 30k de hongrois se feront alors capturer.
De cette victoire nous repartons de l'avant cette fois sur Vidin, cependant Arlequin reviendra en force et s'en prendra même à mon artillerie laissée de côté en renfort pour cette bataille. Une légère erreur que je peux me permettre d'encaisser. Malheureusement nous perdons la bataille de Vidin.

Colombine déjà plus vraiment motivé depuis la défaite sur Kosovo revient à la table des négociations et perd dans la paix une province en plus de 1000 ducats. Son pays est alors au bord de la banqueroute, mais celui d'Arlequin aussi. Aurait-il fait un peu plus attention avec son artillerie qu'il aurait pu conserver les hommes restant pour compléter sa ligne plutôt que de voir son armée s'éroder au fil du temps? Continuer la guerre aurait-il amené Arlequin, alors très endetté à s'effondrer? Personne ne le saura. Ce qui est sur c'est qu'Arlequin a eu un meilleur mental que Colombine et ressort victorieux. Je suis moi aussi en partie responsable de cette attaque et certains pourront même dire que mon aide à euthanasier le pays. En tout cas, Colombine respecte l'accord et je lui rachète la province de Capitanate pour 1000 ducats. Les autres étant toujours en cours de négociations.
Pendant ce temps, Helgi, Topikant / Suède attaque Faust dans une dernière tentative et revenir en jeu.

Étant toujours Empereur je reste appelé dans ce genre de guerre.

Je remonte alors la bonne santé de mon pays (homme, sous, dev, etc) quand Il Dottore me propose un combat pour la province de Vaux. J'accepte sachant que cette province ne fait pas partie des provinces stratégiques de mon pays. Nous feront donc 2 combats sur Wallis, fort en montagne et le nombre français (ainsi qu'un peu de chance au jet de dés) lui offrira la victoire. Mon nombre d'homme est clairement insuffisant pour gagner un combat de ce type malgré la très grande résilience du pays (je n'ai pas d'image pour la seconde bataille mais on peut quand même soustraire avec le résultat à la fin de la guerre).

En même temps Colombine attaque le Karaman. Mais Arlequin ayant garantie le pays le frappe alors dans le dos. Une paix est rapidement négocier au dépend de Colombine qui arrive à peine à remplir ses objectifs sur la Karaman. Dans le même temps, le voyant de plus en plus mal, j'attaque mois aussi mon ancien allié afin de prendre les dernières terres du sud de l'Italie et en me garantissant un prix de 500 ducats par province (3 en tout). Colombine n'a pas d'autre choix que d'accepter. Plus tard, Arlequin déclarera de nouveau la guerre sur Colombine et se débarrassera de lui. Le relâchement lors de la dernière guerre et le manque de vision diplomatique pour se protéger lui auront été fatal, peut être aurais-je dû renier mon accord et ne pas payer les provinces en voyant qu'il partira peut de temps avant la fin de la session. Enfin Arlequin négocie un accord entre lui et les lointains Arméniens afin de prendre pied dans le sud de l'Anatolie pour le plus grand profit de son commerce.
Et quand est-il de la guerre au nord me diriez vous, eh bien, Helgi, Tokipant / Suède se voyant perdre, il décide de suicider son pays (banqueroute, refus de faire la paix, etc) pour empêcher Faust de gagner. Ce peu de fair-play sera tardivement remarqué par les GMs et l'obligeront alors à signer. Mais peu de temps avant il essayera de négocier ma non intervention en tant qu'Empereur si il fait rentrer Papageno, Robindessoib / Pologne dans la guerre. Heureusement son plan ne sera jamais lancer, les GMs auront tranché son cas.
Papageno se décidera quand même à attaquer seul la Prusse en ruine de Faust et constatant l'absence de Werther, Sasayanel / Brandebourg je viens alors l'aider à défendre son pays.

De retour en Prusse.

Après un difficile passage pour aider à remporter la victoire sur Königberg, nous faisons un premier siège sur Ortelsburg. Cette première tentative sera un échec surprenant. Échec doublé d'un moment de panique quand mes 100k hommes décident de se replier sur une terre polonaise à l'est du pays alors contrôlée par l'un des vassaux de Faust. Je crains le pire mais heureusement mes hommes arrivent à tenir le choc et se replient alors en ordre vers Narva et le nord de l'Estonie.

De retour sur Ortelsburg, Papageno ne parvient pas à nous repousser cette seconde fois. Il reviendra en passant par l'ouest et rencontrera mon armée qui le corrigera sans l'aide des prussiens.

Le fort enfin tombé, Faust avance en terre polonaise vers Wilna. Papageno essaye de nouveau d'intriguer et de faire rentrer Arlequin dans cette guerre alors que nous ne demandons que la paix blanche. Arlequin rentre donc effectivement mais l’intervention de Pantalone qui lui explique qu'il est en train de se faire magouiller le font rester chez lui. Papageno tente alors une dernière bataille sur Osterode et accepte enfin la paix blanche que lui propose Faust depuis le début.

L'ensemble des combats n'ont pas été très violent non pas par manque de moral mais plus parce que Papageno se replie constamment après quelques passes d'armes.

S'en est alors fini de cette session qui se fini par l'observation des combats entre Il Dottore et Il Capitain.

**Vilcoyote** · 02-01-2020, 04h00

Acte 3 scène 4 : Une scène dans l'ombre.

Le rideau se baisse alors sur la scène et la salle s'assombrit. Spectateurs, vous entendez quand même le bruissement des acteurs qui s'affaire sur les décors. La voix de Meneghino / Italie se fait alors entendre :

Colombine aurait pu disparaître cette session, mais le destin en a décidé autrement et le pays fut protégé. À l'inverse Scapin /Tunisie est absent depuis trop longtemps et le pays est donc ouvert à la conquête. Problème, sa flotte de galère est invincible en méditerranée et seul celle de Il Capitain / Espagne (repris par Tokipant) lui fait suffisamment peur pour l'empêcher de nuire. Je préfère tout de même me préparer avec Pierrot et lui achète l'accès militaire. À l'heure dite, mes troupes sont chez lui et devant la Sicile, la guerre se passe sans problème surtout que les troupes tunisiennes sont épuisés par les combats du côté de la Karamanie. Un long combat se déroulera quand même du côté de Darnah en Afrique du nord alors que les tunisiens veulent dégager leur fort. La victoire acquise et le fort tombé j'avance vers Tunis. Pendant ce temps, l'attaque en Sicile ne rencontre aucune résistance et j'arrive même à débarquer sur Malte alors que les redoutables galères tunisiennes se cachent des galions espagnols. Lors de cette guerre nous y rencontrons Othello / Bénin, galerien.

Mais rien n'est gratuit dans ce monde et Il Dottore m'attaque pour des provinces frontalières au motif qu'il est injuste que je me gave dans le sud (alors qu'une fermeture de la région ou le rappartiment du joueur du Bénin seul dans sa zone aurait été plus simple pour moi à la fois pour l'AAR et pour ma partie). Il Capitain ayant entre temps fait la paix, mon armée est coincée du mauvais côté de la méditerrannée. Je dois céder Wallis et Nice en conséquence de cette fourberie à la française. Le projet italien bien qu'amputer au nord s'étend triomphalement vers le sud afin de supprimer une bonne fois pour toutes les pirates tunisiens.

Pertes et conquêtes de la session.

Côté politique, Pantalone trouve enfin un héritier digne de ce nom à mettre à la tête de l'Empire et pour j'en profite pour proclamer la seconde république héritière de la tradition république milanaise. Un miss clique (surement pour reprendre la République Ambroisienne) m'a cependant fait changer l'une de mes réforme et je me mange 10 points de corruption

.

**Vilcoyote** · 02-01-2020, 19h12

Acte 3 Scène 5 : Mésaventures Africaines.

Carlo V Valente, Grand Consul de l'Italie en visite aux populations libérées de la tunisie.

Le rideau se lève pour cette nouvelle scène.

La conquête de la Sicile et de la côte tunisienne prend beaucoup de temps à absorber. En effet, en plus de devoir légitimer les provinces (ce qui reste assez facile pour Malte et la Sicile), il me faudra aussi les reconvertir à la vrai foi. Entre ça et la réduction de la corruption la République ne bouge pas vraiment. Juste un mouvement de troupes afin de soutenir les impériaux au nord à la suite d'un imbroglio diplomatique dans le nord (ça aurait été une bonne occasion de combattre Il Dottore).

La situation du point de vue de Il Dottore dans une guerre entre lui et Le Hollandais face à Der Erlkönig et Siegfried.

Pour y arriver ces derniers ont du faire 3 guerres différentes ce qui a amené Pantalone à défendre Il Dottore (car défenseur de la foi catholique) suite à l'attaque de Siegfried pour pouvoir engager ses troupes dans les batailles (car il ne peut s'allier à Der Erlkönig suite au partage de Werther). Enfin c'est Papageno qui viendra équilibrer tout ça dans le camp de Siegfried, mais alors il ne put engager les français. Enfin après moult drama et incompréhension il semble que tout cela se termine sur une paix blanche (si les acteurs peuvent donner confirmation c'est le moment

).

Mes troupes reviennent à la maison donc, lorsque Othello se fait de plus en plus menaçant. En effet il crée de plus de plus de revendication sur mes terres. Une à la rigueur pourquoi pas ça peut être un événement du jeu, mais deux c'est pas normal. Je suis donc peut surpris qu'il m'attaque suite à la fin de l'entrainement de son artillerie.

N'ayant aucune troupe sur place, Othello fait rapidement les sièges des trois provinces m'appartenant puis vient me voir en me demandant de les céder au plus vite. Je profite de la règle dites des 10 ans pour lui faire part de ma patience pour répondre à sa requête. En attendant il place ses troupes de façon à "garder les côtes" et nous engageons la discussion.

Une disposition fort originale puisqu'elle dilue sa force au mépris des principes élémentaires.

Au passage comme un mauvais méchant de dessin animé il se permet de révéler son plan de domination de l'Afrique, alors que Pierrot est à la peine face à la Tunisie et au Maroc (Coviello / Aïkiko est alors absent).

Je m'excuse de la qualité ainsi que du cadrage de la vidéo, il y a eu quelques soucis techniques suite à de nombreux changements matériels.

Pendant ce temps, la plus grande opération amphibie du temps se prépare.Tout ce qui flotte est mobilisé pour acheminer une armée et ses provisions de l'autre côté de la méditerrannée, un nouveau vaisseau amiral est commandé pour coordonner le débarquement à venir et le sud de la Sicile devient alors un immense camp retranché pour l'armée italienne. Enfin les reconnaissances ont repéré une brèche dans le dispositif ennemi, le débarquement peut commencer.

Les Béninois sont repoussés. Cependant ils reviendront après un passage par leur capitale et Othello me repoussera d'Afrique du Nord à la suite de plusieurs combats et en profitant honteusement du passage qu'il a alors sur les terres de Tunis car en guerre avec elle contre Pierrot.

Après la grandeur de la bataille de Tatatouine le nombre m'a une nouvelle fois été fatale.

Repoussé à la mer, une nouvelle armée est alors levé à la hâte. Cette aventure m'a tout de même permis de remettre à zéro le compteur de l'occupation de mes terres.

Après l'armée full MP, l'armée full merco.

Nos économies respectives ne sont pourtant pas touchées (aucun emprunt de chaque côté, chacun de nous se permet de construire dans son pays). Rendez vous donc en 1709 pour la paix si il ne se passe rien d'ici là.

Dans mon malheur, un heureux événement intervient alors, fort du mécénat de Carlo V Valente qui n'a jamais faiblit depuis le début de son mandat, un collectif humaniste de la ville de Lucques à décider d'entreprendre la rédaction de l'Encyclopédie afin d'y recenser toutes les connaissances de leur temps.

Vive la République et ses bienfaits.

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