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Neroonian
a répondu
13-10-2019, 10h33
Inter-session:
Une fois n'est pas coutume, je passe très peu de temps en diplomatie durant la semaine. Les occasions étaient pourtant là, entre la guerre froide italienne et les débuts de tension à l'Est, perceptibles dès la première session. Mais je ne souhaite m'impliquer dans aucun des deux conflits, n'y percevant pas de menace directe pour moi et assez peu d'espérances de gain. Je me contente donc d'organiser le dépeçage de Venise avec les 3 pays concernés, et de vérifier que tout va bien pour les impériaux.
Je passe par contre beaucoup de temps à hésiter sur mon build de doctrines: le seul bon côté d'être en retard, c'est qu'on choisit en fonction des décisions de ses voisins. J'ai passé en session 1 un accord avec le français, selon lequel nous ne prendrions ni l'un ni l'autre défensive. Elle est une des pires doctrines militaires dans un build, quasi aucune politique décente, un apport en qualité inférieur à qualité ou offensif et un apport en ressource pratiquement nul. Le choix logique serait donc de ne pas la prendre. Seulement voila, dans une guerre early équilibrée, si un ennemi a défensif avec deux points et que tu ne l'as pas, tu as d"office perdu. C'est donc un dilemme du prisonnier: le choix optimal est que personne ne la prenne, mais comme tu crains toujours que quelqu'un l'ait face à toi, tu la prends. Dans mon cas, les données du problème sont complexes:
-j'ai donc ce pacte avec le français, et il est parti sur qualité. Sur une France, cela annonce probablement un build qualité-religieuse-quantité qui se confirmera durant la session. Le français aura donc et du moral et beaucoup d'hommes à la 3e doctrine, et je dois être capable de plus ou moins suivre, même de loin.
-si la France est sans doute mon principal antagoniste, il n'est pas le seul, et pour le coup, mes autres voisins ont tous pris défensif, à l'exception du milanais.
-je ne peux pas partir sur le même build que la France sur l'Autriche, le pays ne peut pas vraiment se passer d'éco, même si à court terme, j'arrive à build le pays et à tenir l'inflation sans, et quantité ne m'apportera de toute façon pas autant de FL et de ressources qu'à lui.
Je décide donc de rompre mon accord avec la France, prendre défensif en premier, et enchaîner avec influence, qui sera mon équivalent à quantité. De la sorte, j'aurai moi-aussi et du moral et de la quantité à la 3e doctrine, même si ce sera sans doute un peu moins que la France dans les deux. La doctrine me permet d'annexer les vassaux à -60% au maximum, elle devrait être proche d'économie en terme de conservation de points de monarques, et intérêt annexe, je suis le seul à l'avoir choisi, ce qui m'assure 7 points d'innovation sans effort.
Blob épisode 2 :
La session commence avec deux joueurs absents de l'Empire, et c'est évidemment très désagréable, avec des IAs qui attaqueront certains impériaux ou s'allieront avec des cibles potentielles. Pour ma part, comme prévu, j'attaque avec une première guerre contre Venise et la conquête des deux belles provinces de Trévise et de Frioul. Je vois bien que jamais l'ensemble de l'Italie ne rentrera dans l'Empire avant 1490 au vu de la dispute des deux italiens et de l'absence du napolitain, mais je tiens à tenir ma part du contrat en entrant ces deux provinces. La guerre est une formalité et le domini di terraferma vénitien passe avec quelques siècles d'avance sous le contrôle autrichien. L'Empereur rentre à Aquilée, où il rétablit le patriarcat, le plus important de la chrétienté après la pentarchie, et en fait le chef de l'Eglise autrichienne.
La Basilique d'Aquilée, siège du patriarcat rétabli.
Deux belles provinces italiennes en conquête, c'est 50 d'AE pile. Autant dire que ce sera pratiquement les seules conquêtes de la session, avec une rapide reconquête en faveur du Bade. Pour autant, pas question de paix, j'enchaîne les guerres toute la session, que ce soit pour casser des réseaux d'alliances en faveur de mineurs allemands, récupérer des sous, et surtout maintenir un maximum de trêves au cas où il faudrait se prendre une petite coalition temporaire. Comme en plus, les pays voisins décident d'attaquer l'Empire pour y prendre qui Raguse, qui Corfou, et bien ça ressemble vite à ça.
5 guerres en cours? Entretien à zéro.
Evidemment, du coup, il ne faut pas trop espérer monter la prospérité ou baisser rapidement l'autonomie, j'ai du avoir 2 ans de paix sur la session au maximum. L'économie repose donc sur les tributs et les transferts commerciaux imposés, et finalement, ça ne fonctionne pas si mal. Avec des revenus finalement assez moyens, l'Autriche arrive néanmoins à construire pratiquement 4000 ducats de bâtiments durant la session, dont les 5 premières manufactures de la partie, concentrées en Basse-Autriche. Avec l'annexion de la Bavière, l'économie autrichienne devient du coup presque correcte, et finit la session à la 4e place, dans un mouchoir de poche avec ses voisines Hongrie et Byzance, loin derrière l'Angleterre et la France. Encourageant, même si ça ne va pas durer, les coloniaux et les gros asiatiques vont très vite passer devant.
Au milieu de ces multiples guerres, l'une est à signaler: la Bourgogne alliée à la Castille qui a dû oublier de décocher " rejoindre les guerres" et se pensant soutenue, attaque donc la France. J'attends avec d'autres vautours comme Louissama qu'elle soit assez affaiblie pour attaquer la Suisse sans que l'IA rejoigne, brisant ainsi l'alliance. Je fais une rapide paix avec la Suisse, m'estimant payé par la rupture de l'alliance, mais immédiatement, la Bourgogne décide de la garantir.. Quand ça veut pas...
Au plan interne, Ladislas le Posthume, mon héritier (celui qui meurt en tant que roi de Hongrie sans mourir en tant qu'héritier autrichien...) finit par mourir, tandis que Frédéric III s'accroche. Je suis temporairement sans héritier, puis arrive Maria Carolina (2-5-5). C'est très correct, mais c'est une femme, ce qui signifie qu'il faut en urgence valider la Pragmatique Sanction qui autorise les femmes à devenir Impératrice (ce qui repose d'ailleurs sur une erreur, puisque la Pragmatique Sanction visait juste à ce que Marie-Thérèse hérite des terres Habsbourg, pas à ce qu'elle devienne Impératrice, ce qu'elle ne sera jamais.). Après quelques instants de stress pour gratter les derniers points, la Sanction est décrétée et Maria-Carolina devient officiellement Reine de Rome. Elle succède à son père après une brève régence en 1481 ( 42ans de règne pour Frédéric III, ça semble beaucoup, mais c'est encore 12 ans de moins qu'historiquement).
En toute fin de session, alors que j'envisageais une petite pause dans les guerres incessantes, la Suisse, contrôleuse papale, excommunie Venise. Une province à 30 de dev à AE réduite, ça ne se refuse pas, et avec mes voisins, nous repartons donc immédiatement en guerre. La flotte vénitienne est encore suffisante pour bloquer l'accès à la lagune. J'avais anticipé, et proposé au roi du Maroc de venir s'occuper la flotte vénitienne contre un dédommagement monétaire, mais j'avais oublié que c'était Aikiko et qu'il allait bien trouver une guerre à mort à faire en early. Je fais donc la même proposition au duc du Danemark qui est très heureux de venir piller une des seules cibles ayant échappé à ses ancêtres, et sera récompensé du titre d'Amiral de la Flotte Impériale à titre héréditaire. Maria Carolina fait donc son entrée dans Venise.
Entrée des fr.. heu autrichiens dans Venise.
Je termine donc la session avec ma part de Venise intégralement conquise et une AE relativement basse, bonne surprise. Seule la Suisse résiste encore et toujours... Il va falloir trouver une solution.
Très propre cet AAR
Merci.
Dernière modification par
Neroonian
,
13-10-2019, 12h22
.
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Soga
a répondu
12-10-2019, 21h09
Très propre cet AAR
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MiniaAr
a répondu
06-10-2019, 18h36
J'annonce solennellement mon alliance perpétuelle avec la France pour empêcher l'Autriche d'obtenir la province détenant l'Aar.
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Neroonian
a crée une discussion
De l'Aar au Danube (Autriche, GPO du dimanche)
06-10-2019, 12h41
De l'Aar au Danube (Autriche, GPO du dimanche)
Ca y est, je me Stellarise. 4e fois sur l'Autriche, et second AAR sur le pays. Désolé, il y aura donc fatalement de la redite.
Préambule:
L'Autriche, c'est classe. Empereur du SERG, 50 de FL au start, la mine d'argent la plus riche au monde (avant les 3 effondrements à venir et la découverte du Potosi), une jolie couleur, et pleins de rivières magnifiques, Rhin, Aar, Danube, Moldau, Drave,... Ca permet de mettre des tas de jolies photos. Mais à part ça, ça reste fragile: on commence avec autant de dev que des pays considérés comme des mineurs, des revenus totaux proches des revenus commerciaux de l'anglais ou des revenus fiscaux français, le MP et la FL sont horribles, derrière le cache-misère impérial, qui va nécessairement s'effriter rapidement.
Il faut aussi prendre en compte ici le start spécifique de la GPO du dimanche:
-Pas d'ottomans. D'un côté, c'est cool, on n'aura pas à aller 10 fois en rando à Kiralyfold pour stopper la marée turque (ou timouride à l'occasion...) . D'un autre côté, l'ottoman, c'est aussi ce qui permet habituellement de maintenir des liens étroits avec la Hongrie Venise ou même la Pologne. Là, il n'y a pas de grand méchant loup derrière lequel se cacher, on est plus exposé à l'Est, et ça, vu la situation de Vienne, ce n'est pas une bonne nouvelle.
-Pas de Venise. Tout le monde me le répète, c'est génial, je vais avoir Venise. Yep, c'est cool, je vais probablement avoir 80-100 de dev de plus ( et encore, ça suppose une absence de perte par ailleurs). Mais je tiens le pari, jamais ces points de dev ne rapporteront autant que 15%-20% de prod apportés par une rep marchande sur un noeud bourré de fer et jamais le commerce de Venise ne sera exceptionnel pour l'Autriche avec un Milanais très présent sur le noeud et peu de capacités à feed celui-ci. Et surtout, diplomatiquement, le front vénitien était en général admirablement calme. En 3 parties sur l'Autriche, je n'ai jamais fait une guerre directe avec Venise et c'est assez logique: lui a sa limite de provinces, moi intérêt à le garder en bonne santé et la frontière est montagneuse. Là-aussi, la disparition de Venise va me créer une frontière plus active avec un italien qui pour l'instant ne veut bien sûr pas Venise, mais qui la voudra fatalement un jour. Surtout la situation italienne, d'un jeu à 3, devient un jeu à 2, avec tout ce que ça suppose en terme de précarité de l'équilibre.
Diplomatie de départ:
Contrairement à mes habitudes sur l'Autriche, qui se résumaient à " je suis d'abord Archiduc d'Autriche et ensuite Empereur", je décide cette fois de m'investir un peu dans le fonctionnement de l'Empire. Sans aller jusqu'à définir les frontières, je surveille un peu qu'aucun partage ne se transforme en vol avéré, au vu du relatif déséquilibre d'expérience des joueurs du SERG. Surtout, je fixe à mes impériaux quelques règles:
-On vote pour l'Autriche.
-On ne vassalise pas d'électeurs.
-On fait en sorte que l'Empereur ne soit pas appelé aux armes.
-On n'appelle pas d'extérieurs à l'Empire en guerre de conquête dans l'Empire sans l'accord de l'Empereur.
-En contrepartie je défends les joueurs de l'Empire inconditionnellement d'attaques extérieures à l'Empire jusqu'en 1500.
-A partir de cette date, je les considère comme autonomes, et protection et vote se négocieront au cas par cas.
Ca semblait simple, et pourtant...
J'encourage aussi différents pays à rentrer dans l'Empire, le Danemark, la Livonie, et Naples s'avérant être intéressés. l'Empire s'étendra d'Anvers à Novgorod et d'Oslo à la Sicile, si tout va bien.
Evidemment dans le même temps, je suis quand même Archiduc d'Autriche: je négocie donc aussi mes frontières, assez facilement finalement, avec mes voisins.
Le start de la lose:
Le start autrichien, plus que beaucoup d'autres est extrêmement dépendant d'éléments extérieurs qui peuvent facilement le faire dérailler. Et quand quasi tous tournent pique, et bien ça devient difficile. Et pas de chance, c'est le cas:
-La Bourgogne m'a en rivale au start. Une chance sur trois maximum. Bon, ce n'est pas tragique, j'aurais préféré m'allier à elle, histoire d'avoir ses 40k sous le coude si besoin, mais on peut faire sans. Par contre, il faut faire en sorte qu'elle ne s'allie pas à la Suisse, sans quoi on dit au revoir à celle-ci.
-Le contre classique dans cette situation, c'est de s'allier soi-même avec la Suisse, d'attendre que la Bourgogne ait ses alliances, puis de break avec la Suisse qui s'alliera ailleurs. Je lance donc une alliance à la Suisse, et bim elle refuse, ce qu'elle ne fait en principe jamais, la Bourgogne a du envoyer en simultané. Super. Suisse intouchable pour la session, plus gros risque d'appel aux armes de la Bourgogne par la Suisse dans l'Empire. Et une voie d'expansion fermée. ( Et là, tu te dis que si tu n'as pas la Suisse, le titre de cet AAR va être dur à porter).
-La Bavière est alliée à 4 IAs, la Bohème aussi, j'ai un accord avec Milan et la Hongrie pour ne pas toucher Venise session 1, les options s'amenuisent.
-Géronimo, l'évèque de Cologne décide d'attaquer Aix la Chapelle, une cité libre, après un mois de jeu. Je suis appelé aux armes alors même que je suis en train de monter mes relations avec lui pour la mission bohémienne. Je refuse donc, et c'est parti pour -1 de réputation diplomatique pour la session entière. Pratique quand on compte diplo-vassaliser dans l'Empire... Qui plus est la guerre tourne mal pour Cologne. Et je ne peux pas l'aider puisque je ne peux pas rejoindre une guerre offensive contre une cité libre. Je lui dis de se rendre, escomptant que la cité libre ne demandera pas de territoire, ce qu'elle fait effectivement. Ca commence fort.
Du coup, on part sur du plan C voire D: l'Alsace est rapidement prise, son fort est très pratique, il aimante littéralement les IA en guerre, une guerre contre le Bade permet d'un peu casser le réseau d'alliance de la Bavière, puis j'avance la date de la guerre avec la Bohème que j'envisageais plus tard. Celle-ci est très simple militairement, puisqu'on se retrouve à l'attaquer avec la Hongrie, la Pologne, le Brandebourg et le Danemark, mais difficile techniquement puisque je dois attendre tranquillement que 3 personnes aient fait les sièges avant d'y aller.
J'enchaîne avec mon plan habituel sur la Bavière, je l'attaque avec Augsbourg et le Palatinat, je prend une province, en donne deux à chacun de mes compères, relâche la Bavière et demande à mes deux ex-alliés de lui rendre un territoire illégitime chacun. Dans la foulée, Ansbach devient diplo-vassalisable avec quelques péripéties et il devient ma première marche. Normalement le Wurtemberg le devient dans la foulée, mais j'ai -1 de réputation et ça rate à quelques points. Du coup, je l'appelle aux armes contre le Bade, je lui donne les deux provinces, lui en fait recracher une, et diplo-vassalise le Bade. En fin de session, je lance l'extension de la Bavière, avec une conquête de Salzbourg donné à l'IA, puis des reconquêtes sur Augsbourg et le Palatinat. Au total, c'est loin d'être génial, rapporté par exemple à mon AAR autrichien précédent, puisque j'ai la Suisse entière en moins, pour seulement le Bade et Salzbourg en plus.
Dans le même temps, ça continue à cafouiller un peu dans l'Empire: Poseidon sur Naples attaque sans être rentré dans l'Empire Sienne ( -10 d'autorité impériale et re-1 de réput diplo pour moi), puis Kiev attaque Gênes sans me prévenir dans le plus grand des calmes. Je préviens donc solennellement: le prochain qui m'appelle aux armes comme Empereur sans me prévenir avant, je viens en guerre avec tout ce que j'ai sous la main. Malgré tout, on arrive à intégrer le Danemark, la Livonie et Naples dans l'Empire, et du coup à valider assez facilement la première réforme. Comme je m'ennuie en attendant la fin des trêves en fin de session et que j'ai une relation libre, je m'amuse à faire entrer l'Albanie puis Corfou dans l'Empire. 3 points impériaux gagnés que la Bourgogne vient anéantir en attaquant Liège ( je ne rejoins évidemment pas). Malgré tout, la seconde réforme devrait être possible, nous avons une trentaine de provinces à entrer.
Les bonnes nouvelles viennent du front intérieur: j'arrive à proc les réformes radicales dès 1446, ce qui me permet de passer les premières technologies en premier et de récupérer pas mal d'innovation, je termine la session une courte tête devant la France sur ce plan avec déjà 7 d'innovation, miraculeux, vu le leader autrichien et l'absence d'humiliation. Surtout, je mène quasi toutes les guerres avec l'armée sans entretien, et malgré quelques frayeurs, ça passe, et je termine la session avec le pays rempli d'églises, quelques-unes construites sur mes vassaux et quelques économies.
Dernière modification par
Neroonian
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06-10-2019, 12h42
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