Make France Great Again

[louis-sama]

Préambule et Diplomatie Général :

Dans cette GPO, alors que j’avais pour rêve de partir en safari avec Nalox en Asie, le vil Météo et sa clique de dangereux extrémiste de RGS ont préféré me placer sur une France découpée en petit morceaux, percluse en Aquitaine avec pour mission de se faire grignoter par ses voisins. De ce constat pas très engageant, j’ai choisi de me fixer pour objectif de réunir les provinces françaises sous mon giron et cela sera le cap général de ma diplomatie dans les premières sessions.

Avant le début de la partie, j’entame des pourparlers avec mes différents voisins. Je leur annonce cache mon objectif, l’aragonais semble rassurer que je n’ai pas d’ambitions en Ibérie, l’anglais n’en pense pas grand-chose (il faut dire que la règle des 10 ans semble le refroidir à entreprendre en France), le hollandais accepte ce qui semble être un partage assez classique. Quant à mes 2 voisins de l’Ouest, j’arrive à un compromis avec le suisse, entendais par-là qu’il récupère le Lyonnais qui est un COT sur gênes, en contrepartie, il me laisse la Champagne et la Lorraine. Les discussions avec le génois sont plus compliquées, et après une discussion stérile, nous ne trouvons pas de terrains d’ententes. (Comprenais par là qu’il pense que la Provence ainsi que les provinces dans le nœud génois devraient lui revenir car je cite « je joue Gênes » ce à quoi je lui réponds aussi bêtement que la Provence est française et m’appartient donc de droit).




Session 1 : La France du Grand Charles





Expansions territoriales et balade provençale

Dès le début de la partie, je mets en rival la Bretagne, l’Alençon et l’Orléanais. Je m’allie aussi à la Provence et à la Bourgogne. Normalement, la rivalité avec l’Alençon se casse au bout d’un mois, mais si vous êtes assez rapide, vous pouvez quand même déclencher la guerre d’humiliation dans le mois qui suit. C’est ce que je fais, l’Alençon est allié à l’Orléanais, j’envahis les 2 pays en évitant soigneusement le moindre engagement pour éviter les pertes inutiles. Les 2 sièges sont rapides, notamment grâce à Jean Bureaux. Je pille l’Orléanais et je l’humilie, validant au passage un objectif d’ère et dépassant les 50 points de projections de puissance. Je fais ensuite la paix avec l’Alençon, ce qui me permet de récupérer 100 points de monarques dans chaque catégorie. Après cela, j’envahis la Gascogne et je la vassalise, et je fais de même avec le bourbonnais. Au même moment, avec un poil de chance, je récupère une UP sur l’Orléanais, ce qui déclenche une guerre de succession avec la Provence. Je détruis rapidement les forces provençales et je pars occupais la Loraine. Le Dauphiné étant aussi en guerre contre la Provence, je laisse l’IA conquérir les 3 provinces dans la contrée provençales. En effet, cela va me permettre de vassaliser la Provence pour un faible cout (tant en point diplo quand AE) et m’offrir 3 cores dans le sud que je pourrai reprendre facilement sans que cela me coûte d’AE. C’était dans la même logique que j’avais vassalisé la Gascogne qui possède par mal de cores dans le sud de la France. A ce moment-là ce produit l’évènement le plus intéressant de la session. Le génois, allié au Suisse, et voyant que je ne contrôle plus diplomatiquement la contrée provençale, décide d’attaquer le Dauphiné pour la conquérir. Je m’allie aussitôt à l’IA et mes troupes se rendent rapidement sur place, j’annihile les troupes Suisses à la frontière du Dauphiné à la suite d’un quiproquo avec Ohroms (en effet, ayant vu qu’il était allié au génois, je n’avais pas fait attention qu’il était en guerre séparé avec le Dauphiné). Je lui envoie donc une paix blanche puis je me dirige vers Gênes. Ce dernier essayant de gagner du temps, je choisi de l’engager à Nice, ses troupes sont rapidement mise en déroutes et son premier fort tombe quelques mois après. Je monte un siège sur la ville de Gênes et je lui fais part de mes revendications. Je lui demande qu’il fasse la paix blanche avec le Dauphiné, et j’exige aussi quelques ducats et des réparations de guerres en contrepartie de mon intervention. Ce dernier accepte et j’envoie la moitié du butin (150 ducats) au Suisse pour la destruction de son armée et en signe d’apaisement. 5 ans plus tard, j’attaque le Dauphiné pour reprendre les cores provençaux, et je laisse le Dauphiné au Suisse comme il était convenu. À la suite de cela, j’entame ma dernière guerre contre la bretagne où je libère en vassal la Normandie qui possède 4 cores.





Économie florissante et pillage lucratif


Sur le plan intérieur, ma session se passe aussi bien que sur le plan extérieur, grâce à mes nombreuses guerres contre les ias voisines, j’ai pu amasser un joli butin de guerre (pratiquement 1500 ducats sur la session) qui m’a permis de recouvrir de temples mon pays. A noté que le trait bâtisseur de mon roi m’a permis de payer mes bâtiments à un coup plutôt faible malgré une inflation non négligeable. J’ai aussi investi dans les provinces commerciales de Bordeaux et du Bas-Poitou. D’après le Ledger, malgré un income assez moyen, je suis le pays ayant le plus haut buildings-value (3700) ainsi que la plus grosse génération de ducats (5000). Sur le plan technologique, j’ai choisi de maximiser ma génération de points admin pour partir sur la doctrine novatrice. En effet, j’ai fait le pari de dépenser très peu de de points admin (seul 2 provinces corés) en préférant systématique la vassalisation pour pouvoir rapidement remplir ma doctrine. J’ai actuellement 3 points investis dedans et 8 points d’innovation. J’accuse un retard dans la doctrine diplomatique à cause de l’intégration de la Provence. J’ai aussi adopté l’institution sans avoir à ne la développer ni à la payer à un pays tier. En effet, elle a progressé naturellement sur mon pays, notamment à Bordeaux, et la bulle pontificale m’a permis de l’avoir finalement assez rapidement.





En conclusion, je suis assez content de ma première session, je trouve que j’ai eu un blob assez rapide et mon économie se porte bien. Mise à part pour la Provence, je ne me suis pas trop investi diplomatiquement, quelques liens ont été tissés avec le portugais comme je l’ai aidé à obtenir une paix blanche contre le marocain. A noté que je n’ai pas non plus exercé de pression sur le Hollandais lorsque j’ai récupéré le Brabant et que je l’ai relâché sans contrepartie financière contrairement à ce que certains pouvaient prétendre. Lors de la session prochaine, je compte poursuivre tranquillement l’annexation des ias françaises, et je me lancerai peut-être dans la conquête des terres bourguignonnes si le contexte est favorable.

[Vilcoyote]

pourquoi démentir cette fausse rumeur, c'est dommage

[louis-sama]

pourquoi démentir cette fausse rumeur, c'est dommage

tu sais tu peux toujours m'envoyer les ducats, je cracherai pas dessus