Difficulté : très difficile
Je cherche volontairement à respecter certains timing, comme le début de la guerre ou l'offensive Barbarossa afin de ne pas jouer du fait de l'impréparation des armées ennemies à des dates trop précoces. Déclarer la guerre à la France en 38 ou à l'URSS dés 1940 ne leur laissant absolument aucune chance, je préfère opté pour plus de jouabilité quant aux affrontements.
Telles d'infâmes légions de sauterelle, les hordes teutoniques sont à nouveau sur les routes d'Europe.
Je cherche volontairement à respecter certains timing, comme le début de la guerre ou l'offensive Barbarossa afin de ne pas jouer du fait de l'impréparation des armées ennemies à des dates trop précoces. Déclarer la guerre à la France en 38 ou à l'URSS dés 1940 ne leur laissant absolument aucune chance, je préfère opté pour plus de jouabilité quant aux affrontements.
Telles d'infâmes légions de sauterelle, les hordes teutoniques sont à nouveau sur les routes d'Europe.
Spoiler:
Début de partie très classique avec un Anshluss qui se produit à ma grande surprise dés le milieu de 1937. J'ai opté pour une programmation militaire simple et sans audace, j'ai même amputé mon schéma habituelle en choisissant de ne produire aucune artillerie pour mes infanteries. J'ai donc doté mon armée de 5 corps de panzers et le reste est en infanterie à outrance.
Un corps de panzer'39 se compose comme suit :
Division blindée légère (■ bl. leg. / ■ bl. leg. / ■ inf. mot.)
Division blindée légère (■ bl. leg. / ■ bl. leg. / ■ inf. mot.)
Division blindée moyenne (■ bl. moy. / ■ bl. moy. / ■ inf. mot. / ■ art. mot.)
Division blindée lourde (■ bl. lou. / ■ bl. lou. / ■ inf. mot.)
Infanterie motorisée (■ inf. mot. / ■ inf. mot. / ■ inf. mot.)
Je destine 4 de ces corps à l'ouest dés le début de l'offensive et un sur la frontière polonaise pour couvrir ma stratégie voulue lente sur ce front.
Je projète d'envahir les Pays Bas / Danemark / Pologne en même temps dés le 1er septembre 1939. Pour se faire, j'ai couvert ma frontière polonaise avec 2 divisions d'infanterie sur chaque province (■ inf / ■ inf / ■ inf) et ai disposé un corps de panzer'39 afin de stopper une éventuelle offensive polonaise. Pour l'heure je ne sais pas si je vais pouvoir enfoncer ces lignes, être en très difficile implique des combats rugueux même contre une armée moins bien équipée. J'ai alors poser ce qui est une ligne de défense qui tentera l'attaque mais qui ne s'obstinera pas si elle peine.
Au Danemark, j'ai construit 3 transports de troupes navales pour débarquer directement près de la capitale un corps d'infanterie (3 divisions) et un autre corps remontera la partie continentale (4 divisions).
A l'Ouest, 4 corps de panzer'39 constituent la colonne vertébrale de 4 armées chacune composées d'un corps de blindés et 2 corps d'infanterie (3 divisions) ; à ça se rajoutent 3 corps d'infanterie pour lancer une offensive au nord des pays bas sans ralentir la progression principale dans l'axe.
J'ai opté pour une couverture aérienne dotée de quelques chasseurs afin de stopper d'éventuelles bombardements anglais. 4 escadrilles épauleront la ligne polonaises, elle même déjà doté de 8 escadrille de bombardier et 4 escadrilles à l'ouest.
J'ai encore en réserve 2 corps d'infanterie (3 divisions) qui sont positionnés près de la frontière Suisse. En effet, quand le besoin va s'en faire sentir, je vais attaquer la Suisse afin d'y détourner des moyens français qui vont être dépêcher pour couvrir un nouveau flanc sud (potentiel), ces troupes ne seront pas au nord à contrer mon attaque majeure.
Un corps de panzer'39 se compose comme suit :
Division blindée légère (■ bl. leg. / ■ bl. leg. / ■ inf. mot.)
Division blindée légère (■ bl. leg. / ■ bl. leg. / ■ inf. mot.)
Division blindée moyenne (■ bl. moy. / ■ bl. moy. / ■ inf. mot. / ■ art. mot.)
Division blindée lourde (■ bl. lou. / ■ bl. lou. / ■ inf. mot.)
Infanterie motorisée (■ inf. mot. / ■ inf. mot. / ■ inf. mot.)
Je destine 4 de ces corps à l'ouest dés le début de l'offensive et un sur la frontière polonaise pour couvrir ma stratégie voulue lente sur ce front.
Je projète d'envahir les Pays Bas / Danemark / Pologne en même temps dés le 1er septembre 1939. Pour se faire, j'ai couvert ma frontière polonaise avec 2 divisions d'infanterie sur chaque province (■ inf / ■ inf / ■ inf) et ai disposé un corps de panzer'39 afin de stopper une éventuelle offensive polonaise. Pour l'heure je ne sais pas si je vais pouvoir enfoncer ces lignes, être en très difficile implique des combats rugueux même contre une armée moins bien équipée. J'ai alors poser ce qui est une ligne de défense qui tentera l'attaque mais qui ne s'obstinera pas si elle peine.
Au Danemark, j'ai construit 3 transports de troupes navales pour débarquer directement près de la capitale un corps d'infanterie (3 divisions) et un autre corps remontera la partie continentale (4 divisions).
A l'Ouest, 4 corps de panzer'39 constituent la colonne vertébrale de 4 armées chacune composées d'un corps de blindés et 2 corps d'infanterie (3 divisions) ; à ça se rajoutent 3 corps d'infanterie pour lancer une offensive au nord des pays bas sans ralentir la progression principale dans l'axe.
J'ai opté pour une couverture aérienne dotée de quelques chasseurs afin de stopper d'éventuelles bombardements anglais. 4 escadrilles épauleront la ligne polonaises, elle même déjà doté de 8 escadrille de bombardier et 4 escadrilles à l'ouest.
J'ai encore en réserve 2 corps d'infanterie (3 divisions) qui sont positionnés près de la frontière Suisse. En effet, quand le besoin va s'en faire sentir, je vais attaquer la Suisse afin d'y détourner des moyens français qui vont être dépêcher pour couvrir un nouveau flanc sud (potentiel), ces troupes ne seront pas au nord à contrer mon attaque majeure.
Spoiler:
L'assaut est donné et à ma grande surprise les troupes polonaises ne tiennent pas leur ligne. Mes divisions pourtant légères percutent et enfoncent la frontière polonaise et vont rapidement mettre l'armée en déroute sur tous ces axes, le corps de panzer qui était alors une sécurité prend la route en direction de Varsovie. Je suis moi même surpris de la faible résistance polonaise, habitué à une attaque plus massive et plus blindée, je constate que ce n'est absolument pas nécessaire et me réjouit d'avoir le gros de mon armée déjà affecté à l'ouest.
Le débarquement au Danemark se passe bien, mais contrée par la petite marine danoise, j'ai quelque sueurs froides à ne pouvoir repartir tandis que mes sous marins m'indiquent une marine britannique en approche... Je parviendrais à m'extraire juste à temps sans déplorer de perte. Si d'aventure les navires anglais m'avaient interceptés, il ne fait aucun doute que j'aurais énormément d'épaves au fond de la baltique. Mes divisions débarquées capturent rapidement la ville et celles qui remontent le long de la cote ne rencontre pratiquement aucune résistance.
Les Pays Bas avaient mobilisés il y a quelques temps et sont donc massés à la frontières mais ne parviennent pas à bloquer l'ensemble de mon attaque. Au nord, les division d'infanteries pénètrent la frontière en emboutissant les divisions hollandaises qui battent en retraite Dans l'axe, seules 2 armées sur 4 parviennent à suivre leur objectifs sans trop de perte de temps. Les 2 autres sont engagés contre des poches qu'elles mettront du temps à réduire.
L'invasion vise non seulement à prendre le pays mais aussi à se positionner pour l'offensive suivante sur la Belgique, je cherche à longer la cote avec 2 armées blindées au complet qui devront aller jusque dans le nord de la France, tandis que 2 autres armées encercleront la capitale belge et bloquer les forces françaises le long de sa frontière.
Le 19 septembre, la Pologne et le Danemark sont conquis. Amsterdam est occupée et une farouche bataille est engagée sur Rotterdam ou l'Angleterre a déverser quelques corps expéditionnaires. Le 20 septembre, tandis que Rotterdam tombe, le pacte germano-sovietique est signée, garantissant les mains libres aux armées ayant vaincu la Pologne, 32 divisions d'infanterie et un corps de panzer se dirigent alors pour prendre position près de la frontière hongroise.
Le débarquement au Danemark se passe bien, mais contrée par la petite marine danoise, j'ai quelque sueurs froides à ne pouvoir repartir tandis que mes sous marins m'indiquent une marine britannique en approche... Je parviendrais à m'extraire juste à temps sans déplorer de perte. Si d'aventure les navires anglais m'avaient interceptés, il ne fait aucun doute que j'aurais énormément d'épaves au fond de la baltique. Mes divisions débarquées capturent rapidement la ville et celles qui remontent le long de la cote ne rencontre pratiquement aucune résistance.
Les Pays Bas avaient mobilisés il y a quelques temps et sont donc massés à la frontières mais ne parviennent pas à bloquer l'ensemble de mon attaque. Au nord, les division d'infanteries pénètrent la frontière en emboutissant les divisions hollandaises qui battent en retraite Dans l'axe, seules 2 armées sur 4 parviennent à suivre leur objectifs sans trop de perte de temps. Les 2 autres sont engagés contre des poches qu'elles mettront du temps à réduire.
L'invasion vise non seulement à prendre le pays mais aussi à se positionner pour l'offensive suivante sur la Belgique, je cherche à longer la cote avec 2 armées blindées au complet qui devront aller jusque dans le nord de la France, tandis que 2 autres armées encercleront la capitale belge et bloquer les forces françaises le long de sa frontière.
Le 19 septembre, la Pologne et le Danemark sont conquis. Amsterdam est occupée et une farouche bataille est engagée sur Rotterdam ou l'Angleterre a déverser quelques corps expéditionnaires. Le 20 septembre, tandis que Rotterdam tombe, le pacte germano-sovietique est signée, garantissant les mains libres aux armées ayant vaincu la Pologne, 32 divisions d'infanterie et un corps de panzer se dirigent alors pour prendre position près de la frontière hongroise.
Spoiler:
Je vais débuter avec une diversion, j'ai finalement 148 000 hommes positionnés sur la frontière Suisse et vais débuter par là pour faire descendre les forces Alliés massées sur la Ligne Maginot. Le gros de mon armée est toujours sur la frontière Belge et attend le ravitaillement et un peu de réorganisation, 5 jours après le début des hostilités en Suisse où je ne devrais pas trop progresser compte tenu du terrain et des fortifications, je lance mon assaut sur la Belgique et le Nord de la France avec 485 000 hommes dotés de panzers. En enfin, 382 000 sont sur la frontière hongroise prêts à être déversés sur les Balkans. J'ai environs 150 000 hommes de réserves sur les ports des Pays Bas que je compte défendre face à une supposées attaque anglaise et la ligne Siegfried toujours dotées des 200 000 hommes.
3 jours plus tard, mon piège semble fonctionner, je vois au moins 15 divisions dont les divisions blindées françaises descendre le long de la ligne Maginot en direction de la Suisse. J'ai pilonner à l'aviation les positions limitrophes pour affaiblir les troupes Suisse afin d'engager le combat sans trop m'enliser. La France a fait de même sur une de mes attaques qui vise à prendre une province non défendue à la jonction sud de la ligne Siegfried. Je commence à prendre d'assaut l'est de la Suisse tandis que les bombardement contribuent à briser la ligne de défense.
Les troupes des Balkans sont maintenant prêtes, l'offensive débute le 6 Octobre sur toute la ligne frontalière avec l'Allemagne et ce qu'il reste de la Tchekoslovaquie. L'objectif est de prendre très vite pied en zone ennemie pour récupérer son ravitaillement qui me fait cruellement défaut pour toutes mes troupes basées sur mon faible allié. A peine 24 heures après le début de l'attaque, l'ensemble de la ligne hongroise bat déjà en retraite. La campagne promet aux troupes d'être une promenade de santé. La Yougoslavie est déjà en ligne de mire
Alors que action en Suisse semble prendre pied, je décide de patienter encore un peu pour lancer l'attaque sur la Belgique, les troupes françaises ne sont pas encore fixées et peuvent toujours faire demi tour. Même si le temps gagné m'est déjà précieux, je préfère attendre d'avoir réellement enliser la défense française pour lancer l'offensive majeure. Je constate avec inquiétude que le français ne se contente pas de faire descendre des forces du nord, il en fait aussi remonter de sa ligne de défense du sud. Si l'Italie ne semble pas vouloir ou pouvoir bénéficier de l'amaigrissement de la défense française dans les Alpes, je me retrouve avec autour de 30 divisions convergeant vers l'épineux problème helvétique. Il va probablement lui céder en corps expéditionnaire ce qui fera mes affaire une fois fait.
Alors que le 14 octobre la bataille de Budapest vient de se terminer, laisse le pays à un destin funeste, la situation en Suisse semble terriblement alourdie par le volume de troupes françaises déployées et difficilement attaquable du fait des défenses bétonnées. C'est le moment idéal pour lancer l'offensive majeure depuis la Belgique. Mes 4 armées passent donc à l'offensive, panzers en avant afin de percuter les défenses belges et tenter de pénétrer en profondeur le nord de la France. Par la campagne de Belgique, la campagne de France commence et ne se terminera qu'une fois arrivé à Paris.
L'est de la Belgique est difficilement pénétrable et c'est avec vigueur que je dois faire front aux forces françaises. A l'est, il a massé une demie douzaine de divisions dans le nord pas de Calais pour ne pas perdre les ports et ça a en partie stoppée ma progression. Il n'y a que dans l'axe à l'ouest de Bruxelles que je suis parvenu à crée une brèche efficace. J'assiège la capitale péniblement et la bataille est farouchement engagée sous un déluge de bombardement que le français et l'anglais m'assène avec toutes leurs forces aériennes que je ne parviens pas à repousser avec mes chasseurs déjà bien occupés avec les bombardement stratégiques sur la Ruhr, sur ce point mes radars posés me permettent une défense relativement efficace et rapide.
Le 24 octobre, alors que la rupture en Suisse me permet de croire en une progression, un débarquement anglais aux Pays bas va me faire rendre utile mes divisions laissées en réserve à cet effet. Par ailleurs, j'ai pu dégager 2 corps d'infanterie des Balkans qui reviennent au nord de l'Allemagne pour seconder efficacement les prises de positions, ces 6 divisions au total vont me permettre de ne pas trop m'exposer. Le 25 octrobre, c'est au tour de la Yougoslavie d'être prise d'assaut sur ses frontières par les troupes des Balkans, reposées et repositionnées prêtes à donner l'assaut.
Le 31 octobre Paris est sous le joug d'une tentative d'encerclement de panzers ayant réussi à passer par la brèche ouverte à Lille, si les troupes ne sont pas suffisante pour mener un assaut sur la capitale, il n'en reste pas moins contraignant pour le français de ne plus disposer de son ravitaillement comme il le voudrait. Une poche de troupe s'est formé à Dunkerque et Bruxelles est toujours assiégée mais déjà des blindés légers s'engoufrent en direction de la Normandie et Reims occupée coupe la route à d'éventuel renforts venant défendre la capitale.
La Belgique est toujours le théâtres d'âpres combats et les anglais qui tentent un débarquement musclé aux Pays Bas déversent toujours un flot d'assaut aéronaval ininterrompu. En Yougolsavie la situation est au beau fixe avec une armée ennemie en retraite perpétuelle. En Suisse, le front s'est stabilisé à moitié du pays conquis, trop de forces françaises sont venus bloquer la route d'une quelconque progression envisageable.
Le 2 Novembre, Belgrade est en cible de la Ve armée de panzers tandis que les troupes font reculées partout les forces yougoslaves. Une offensive soutenue à repris sur Bruxelles menée par des troupes fraiches remplaçant celle épuisées par des jours d'assaut très engagés. Paris voit maintenant des infanteries prendre position dans sa proche banlieux et le saillant de Sedan est réalisé, libérant 2 corps de panzers en chasse des fuyards. En suisse l'offensive reprend sur des troupes suisse et française épuisées et bombardées en permanence réduisant d'autant leur capacité à encaisser des attaques.
C'est avec hâte que les troupes ayant gagnées la bataille de Bruxelles le 3 novembre se dirigent vers le nord pas de Calais où la situation devient compliquée avec une poche ennemie qui a épuisée les forces les attaquant et une contre attaque maintenant menace. Énormément de bombardements alliés viennent appuyer l'enlisement mais le bataille de Belgique prenant fin, c'est près de 20 divisions qui vont maintenant tenter de sceller le sort de la France. Le débarquement anglais au nord d'Amsterdam finit par être un succès, il faut maintenant contenir les 6 divisions anglaises qui viennent de prendre pied lourdement soutenues par les airs.
Le 9 novembre, Belgrade tombe et ce n'est plus qu'une question de temps pour que les troupes des balkans commencent à prendre position en vue de la Hongrie leur prochain objectif. Si les forces revenues dans le nord permettent maintenant de contenir péniblement la contre attaque alliés et tente de réduire la poche de Dunkerque où 15 divisions se massent exsangues de toute perspective heureuse, l'anglais à projeter un nouveau contingent de troupes au nord d'Amsterdam où il a maintenant un port. Une bonne douzaine de divisions se font face de part et d'autres promises à de violentes incartades. En France, la situation est compliquée autour de Paris mais la progression ailleurs permet de ne jouer la montrer et d'espérer une arrivée massive de forces pour contenir toutes celles qui sont remontées rapidement du sud de la France. l'encerclement n'est pas opérant et l'ennemi a maintenant une bonne dizaine de divisions dans les faux-bourgs de la capitale. En Suisse, c'est le reflux, la France a rappelé quelques troupes et laisse une armée helvétique assommée par les coups de butoir sans cesse réalisés.
L'anglais qui à ma grande surprise ne manque pas de ressources vient de lancer de nouvelles troupes dans la bataille à Dunkerque, des divisions blindées viennent maintenant gonfler le gros de forces que je ne parvient pas à amoindrir. Pas moins de 18 divisions se massent maintenant ici alors que j'en ai à peine 6 pouvant se battre. Je dois une nouvelle fois détourner mes troupes qui étaient en direction de Paris vers cette inquiétante épine dans le pied. Le 15 novembre, l'assaut sur Berne débute et la ligne Maginot commence à être encerclé au nord comme au Sud, la voir se vider me permettrait d'envoyer des troupes au nord où je commence à en avoir bien besoin.
Le contingent restant dans la poche de Dunkerque est très cosmopolite et vient des 4 coins du monde, les joies des empires coloniaux...
La bataille de Paris, engagée 3 jours plus tôt se solde le 22 novembre. Le pertes de la campagne commence à se faire cruellement sentir et si de mes usines sortent de rutilants canon en prévision du front de l'Est, ce n'est pas moins de 48 CI que je consacre actuellement en renfort de mes unités furieusement amoindries. Je débute l'offensive sur la Bulgarie le 25 novembre, je choisi de commencer par ce pays en couvrant ma frontière avec la Roumanie que je veux pouvoir engager par le sud une fois son voisin acquis, je pourrais alors pénétrer très rapidement le pays sans avoir à couvrir tout le territoire d'ouest en est. J'ai toujours 350 000 hommes affectés dans les balkans, comparé à ceux déployer en Europe de l'Ouest ils auront eu l'expérience facile jusque là.
Berne finit par tomber le 27 novembre ne laissant d'autre choix à la Suisse de capituler le lendemain. Ce fut une campagne difficile qui mobilisa 130 000 hommes mais terrible utile compte tenu des troupes française qu'elle a fixé et de l'option qu'elle ouvre au sud de la ligne Maginot. Besançon est un point de victoire important à capturer si on veut réduire les point de capitalisation nécessaires pour faire plier la France. La campagne de France prend fin le 3 décembre après de cuisantes batailles. S'il reste encore les troupes anglaises sacrifiées au nord de la Hollande, la seconde offensive prend fin à l'ouest à cette date. Les troupes vont pouvoir souffler et se restructurer. La guerre dans les Balkans fait encore rage mais en avoir finit avec le front de l'ouest apparait comme un réel soulagement après de semaines de périlleux affrontement.
Le bilan de cette offensive est mitigé. J'ai perdu beaucoup de forces (le malus de -40% lié au niveau de la difficulté rend les combats réellement très difficiles sur la durée) mais je laisse une armée britannique à genoux et n'ai véritablement perdu aucune division, mon manpower a baissé mais il sera compenser au fil du temps. Mes manoeuvres sont elles aussi en demie teinte. Si le front suisse était une bonne idée, j'ai fixé beaucoup trop de troupes sur Bruxelles et ai perdu un temps précieux sans en ne laissant passer que 2/4 des corps de panzers. Je me suis également fait accaparer par la poche de Dunkerque mais elle était importante à contenir sans quoi la contre attaque pouvait réellement couper toute mon offensive en direction de Paris. Du coup, je ne suis pas parvenu à atteindre assez vite la capitale et au mieux je ne l'ai encerclé qu'à 50% sans pouvoir l’assiéger faute de forces suffisantes. La passe nord était bien réalisée mais j'aurais du consacrer autrement mes troupes en Belgique et miser plus sur la pénétration.
3 jours plus tard, mon piège semble fonctionner, je vois au moins 15 divisions dont les divisions blindées françaises descendre le long de la ligne Maginot en direction de la Suisse. J'ai pilonner à l'aviation les positions limitrophes pour affaiblir les troupes Suisse afin d'engager le combat sans trop m'enliser. La France a fait de même sur une de mes attaques qui vise à prendre une province non défendue à la jonction sud de la ligne Siegfried. Je commence à prendre d'assaut l'est de la Suisse tandis que les bombardement contribuent à briser la ligne de défense.
Les troupes des Balkans sont maintenant prêtes, l'offensive débute le 6 Octobre sur toute la ligne frontalière avec l'Allemagne et ce qu'il reste de la Tchekoslovaquie. L'objectif est de prendre très vite pied en zone ennemie pour récupérer son ravitaillement qui me fait cruellement défaut pour toutes mes troupes basées sur mon faible allié. A peine 24 heures après le début de l'attaque, l'ensemble de la ligne hongroise bat déjà en retraite. La campagne promet aux troupes d'être une promenade de santé. La Yougoslavie est déjà en ligne de mire
Alors que action en Suisse semble prendre pied, je décide de patienter encore un peu pour lancer l'attaque sur la Belgique, les troupes françaises ne sont pas encore fixées et peuvent toujours faire demi tour. Même si le temps gagné m'est déjà précieux, je préfère attendre d'avoir réellement enliser la défense française pour lancer l'offensive majeure. Je constate avec inquiétude que le français ne se contente pas de faire descendre des forces du nord, il en fait aussi remonter de sa ligne de défense du sud. Si l'Italie ne semble pas vouloir ou pouvoir bénéficier de l'amaigrissement de la défense française dans les Alpes, je me retrouve avec autour de 30 divisions convergeant vers l'épineux problème helvétique. Il va probablement lui céder en corps expéditionnaire ce qui fera mes affaire une fois fait.
Alors que le 14 octobre la bataille de Budapest vient de se terminer, laisse le pays à un destin funeste, la situation en Suisse semble terriblement alourdie par le volume de troupes françaises déployées et difficilement attaquable du fait des défenses bétonnées. C'est le moment idéal pour lancer l'offensive majeure depuis la Belgique. Mes 4 armées passent donc à l'offensive, panzers en avant afin de percuter les défenses belges et tenter de pénétrer en profondeur le nord de la France. Par la campagne de Belgique, la campagne de France commence et ne se terminera qu'une fois arrivé à Paris.
L'est de la Belgique est difficilement pénétrable et c'est avec vigueur que je dois faire front aux forces françaises. A l'est, il a massé une demie douzaine de divisions dans le nord pas de Calais pour ne pas perdre les ports et ça a en partie stoppée ma progression. Il n'y a que dans l'axe à l'ouest de Bruxelles que je suis parvenu à crée une brèche efficace. J'assiège la capitale péniblement et la bataille est farouchement engagée sous un déluge de bombardement que le français et l'anglais m'assène avec toutes leurs forces aériennes que je ne parviens pas à repousser avec mes chasseurs déjà bien occupés avec les bombardement stratégiques sur la Ruhr, sur ce point mes radars posés me permettent une défense relativement efficace et rapide.
Le 24 octobre, alors que la rupture en Suisse me permet de croire en une progression, un débarquement anglais aux Pays bas va me faire rendre utile mes divisions laissées en réserve à cet effet. Par ailleurs, j'ai pu dégager 2 corps d'infanterie des Balkans qui reviennent au nord de l'Allemagne pour seconder efficacement les prises de positions, ces 6 divisions au total vont me permettre de ne pas trop m'exposer. Le 25 octrobre, c'est au tour de la Yougoslavie d'être prise d'assaut sur ses frontières par les troupes des Balkans, reposées et repositionnées prêtes à donner l'assaut.
Le 31 octobre Paris est sous le joug d'une tentative d'encerclement de panzers ayant réussi à passer par la brèche ouverte à Lille, si les troupes ne sont pas suffisante pour mener un assaut sur la capitale, il n'en reste pas moins contraignant pour le français de ne plus disposer de son ravitaillement comme il le voudrait. Une poche de troupe s'est formé à Dunkerque et Bruxelles est toujours assiégée mais déjà des blindés légers s'engoufrent en direction de la Normandie et Reims occupée coupe la route à d'éventuel renforts venant défendre la capitale.
La Belgique est toujours le théâtres d'âpres combats et les anglais qui tentent un débarquement musclé aux Pays Bas déversent toujours un flot d'assaut aéronaval ininterrompu. En Yougolsavie la situation est au beau fixe avec une armée ennemie en retraite perpétuelle. En Suisse, le front s'est stabilisé à moitié du pays conquis, trop de forces françaises sont venus bloquer la route d'une quelconque progression envisageable.
Le 2 Novembre, Belgrade est en cible de la Ve armée de panzers tandis que les troupes font reculées partout les forces yougoslaves. Une offensive soutenue à repris sur Bruxelles menée par des troupes fraiches remplaçant celle épuisées par des jours d'assaut très engagés. Paris voit maintenant des infanteries prendre position dans sa proche banlieux et le saillant de Sedan est réalisé, libérant 2 corps de panzers en chasse des fuyards. En suisse l'offensive reprend sur des troupes suisse et française épuisées et bombardées en permanence réduisant d'autant leur capacité à encaisser des attaques.
C'est avec hâte que les troupes ayant gagnées la bataille de Bruxelles le 3 novembre se dirigent vers le nord pas de Calais où la situation devient compliquée avec une poche ennemie qui a épuisée les forces les attaquant et une contre attaque maintenant menace. Énormément de bombardements alliés viennent appuyer l'enlisement mais le bataille de Belgique prenant fin, c'est près de 20 divisions qui vont maintenant tenter de sceller le sort de la France. Le débarquement anglais au nord d'Amsterdam finit par être un succès, il faut maintenant contenir les 6 divisions anglaises qui viennent de prendre pied lourdement soutenues par les airs.
Le 9 novembre, Belgrade tombe et ce n'est plus qu'une question de temps pour que les troupes des balkans commencent à prendre position en vue de la Hongrie leur prochain objectif. Si les forces revenues dans le nord permettent maintenant de contenir péniblement la contre attaque alliés et tente de réduire la poche de Dunkerque où 15 divisions se massent exsangues de toute perspective heureuse, l'anglais à projeter un nouveau contingent de troupes au nord d'Amsterdam où il a maintenant un port. Une bonne douzaine de divisions se font face de part et d'autres promises à de violentes incartades. En France, la situation est compliquée autour de Paris mais la progression ailleurs permet de ne jouer la montrer et d'espérer une arrivée massive de forces pour contenir toutes celles qui sont remontées rapidement du sud de la France. l'encerclement n'est pas opérant et l'ennemi a maintenant une bonne dizaine de divisions dans les faux-bourgs de la capitale. En Suisse, c'est le reflux, la France a rappelé quelques troupes et laisse une armée helvétique assommée par les coups de butoir sans cesse réalisés.
L'anglais qui à ma grande surprise ne manque pas de ressources vient de lancer de nouvelles troupes dans la bataille à Dunkerque, des divisions blindées viennent maintenant gonfler le gros de forces que je ne parvient pas à amoindrir. Pas moins de 18 divisions se massent maintenant ici alors que j'en ai à peine 6 pouvant se battre. Je dois une nouvelle fois détourner mes troupes qui étaient en direction de Paris vers cette inquiétante épine dans le pied. Le 15 novembre, l'assaut sur Berne débute et la ligne Maginot commence à être encerclé au nord comme au Sud, la voir se vider me permettrait d'envoyer des troupes au nord où je commence à en avoir bien besoin.
Le contingent restant dans la poche de Dunkerque est très cosmopolite et vient des 4 coins du monde, les joies des empires coloniaux...
La bataille de Paris, engagée 3 jours plus tôt se solde le 22 novembre. Le pertes de la campagne commence à se faire cruellement sentir et si de mes usines sortent de rutilants canon en prévision du front de l'Est, ce n'est pas moins de 48 CI que je consacre actuellement en renfort de mes unités furieusement amoindries. Je débute l'offensive sur la Bulgarie le 25 novembre, je choisi de commencer par ce pays en couvrant ma frontière avec la Roumanie que je veux pouvoir engager par le sud une fois son voisin acquis, je pourrais alors pénétrer très rapidement le pays sans avoir à couvrir tout le territoire d'ouest en est. J'ai toujours 350 000 hommes affectés dans les balkans, comparé à ceux déployer en Europe de l'Ouest ils auront eu l'expérience facile jusque là.
Berne finit par tomber le 27 novembre ne laissant d'autre choix à la Suisse de capituler le lendemain. Ce fut une campagne difficile qui mobilisa 130 000 hommes mais terrible utile compte tenu des troupes française qu'elle a fixé et de l'option qu'elle ouvre au sud de la ligne Maginot. Besançon est un point de victoire important à capturer si on veut réduire les point de capitalisation nécessaires pour faire plier la France. La campagne de France prend fin le 3 décembre après de cuisantes batailles. S'il reste encore les troupes anglaises sacrifiées au nord de la Hollande, la seconde offensive prend fin à l'ouest à cette date. Les troupes vont pouvoir souffler et se restructurer. La guerre dans les Balkans fait encore rage mais en avoir finit avec le front de l'ouest apparait comme un réel soulagement après de semaines de périlleux affrontement.
Le bilan de cette offensive est mitigé. J'ai perdu beaucoup de forces (le malus de -40% lié au niveau de la difficulté rend les combats réellement très difficiles sur la durée) mais je laisse une armée britannique à genoux et n'ai véritablement perdu aucune division, mon manpower a baissé mais il sera compenser au fil du temps. Mes manoeuvres sont elles aussi en demie teinte. Si le front suisse était une bonne idée, j'ai fixé beaucoup trop de troupes sur Bruxelles et ai perdu un temps précieux sans en ne laissant passer que 2/4 des corps de panzers. Je me suis également fait accaparer par la poche de Dunkerque mais elle était importante à contenir sans quoi la contre attaque pouvait réellement couper toute mon offensive en direction de Paris. Du coup, je ne suis pas parvenu à atteindre assez vite la capitale et au mieux je ne l'ai encerclé qu'à 50% sans pouvoir l’assiéger faute de forces suffisantes. La passe nord était bien réalisée mais j'aurais du consacrer autrement mes troupes en Belgique et miser plus sur la pénétration.
Spoiler:
Contre toute attente et sans réelle perspective valable, l'Afrique du Sud me balance 6 divisions miteuses (1-1) de blindés légers en Normandie.
Je faisais état précédemment d'aucune perte divisionnaire à déplorer, or une division de blindés légers manque à l'appel.
Anecdotique attaque sur le Luxembourg qui avait jusque là vu passer le grabuge sans jamais n'y être mêlé.
Le 12 décembre la Bulgarie est acquise et toute présence alliée est réduite au silence sur le continent. L'opération dans les Balkans se poursuit le 18 décembre avec l'offensive sur la Roumanie. L'ensemble de la frontière est prise d'assaut mais l'axe principale vient de Bulgarie directement en direction de la capitale roumaine, le précieux pétrole aidera à soulager un futur effort de guerre plus que nécessiteux du précieux carburant. La résistance roumaine sera trop faible pour contenir l'agression et le 29 décembre le pays capitulera. Il ne reste alors plus que la Grèce en joug pour achever la conquête dans cette zone.
Alors que je me prépare à lancer la troisième offensive pour la campagne de Scandinavie, mes troupes sont arrivées à leurs position de défense du littoral français. J'occupe tous les ports avec une division d'infanterie (2 pour la partie bénélux) et j'ai en retrait 2 armées comprenant chacune un corps d'infanterie (3) et un corps de panzers. Le but de ce dispositif est de ralentir dans un premier temps un débarquement ennemi, de le contenir avec un déplacement rapide sur la zone des blindés et de leur troupe, le temps à d'autres réserves d'être acheminée depuis l'Allemagne où elle stationnent pour le moment.
Répartition des forces de défense à l'Ouest
Je déclare la guerre à la Grèce le 18 janvier 1940. Le groupe d'armées du Sud compte encore 240 000 hommes qui prennent d'assaut la frontière de toute part. Le Ve corps de panzer est toujours à la pointe d'attaque et oeuvre avec efficacité depuis la campagne de Pologne, l'expérience acquise sera précieuse quand il faudra s'élancer dans les plaines dorées d'Ukraine.
Je faisais état précédemment d'aucune perte divisionnaire à déplorer, or une division de blindés légers manque à l'appel.
Anecdotique attaque sur le Luxembourg qui avait jusque là vu passer le grabuge sans jamais n'y être mêlé.
Le 12 décembre la Bulgarie est acquise et toute présence alliée est réduite au silence sur le continent. L'opération dans les Balkans se poursuit le 18 décembre avec l'offensive sur la Roumanie. L'ensemble de la frontière est prise d'assaut mais l'axe principale vient de Bulgarie directement en direction de la capitale roumaine, le précieux pétrole aidera à soulager un futur effort de guerre plus que nécessiteux du précieux carburant. La résistance roumaine sera trop faible pour contenir l'agression et le 29 décembre le pays capitulera. Il ne reste alors plus que la Grèce en joug pour achever la conquête dans cette zone.
Alors que je me prépare à lancer la troisième offensive pour la campagne de Scandinavie, mes troupes sont arrivées à leurs position de défense du littoral français. J'occupe tous les ports avec une division d'infanterie (2 pour la partie bénélux) et j'ai en retrait 2 armées comprenant chacune un corps d'infanterie (3) et un corps de panzers. Le but de ce dispositif est de ralentir dans un premier temps un débarquement ennemi, de le contenir avec un déplacement rapide sur la zone des blindés et de leur troupe, le temps à d'autres réserves d'être acheminée depuis l'Allemagne où elle stationnent pour le moment.
Répartition des forces de défense à l'Ouest
Je déclare la guerre à la Grèce le 18 janvier 1940. Le groupe d'armées du Sud compte encore 240 000 hommes qui prennent d'assaut la frontière de toute part. Le Ve corps de panzer est toujours à la pointe d'attaque et oeuvre avec efficacité depuis la campagne de Pologne, l'expérience acquise sera précieuse quand il faudra s'élancer dans les plaines dorées d'Ukraine.
Spoiler:
Pour l'heure, Von Manstein dispose d'un corps de panzers et de 5 corps d'infanterie (3 divisions). L'assaut sera dans un premier temps un débarquement près du port de Malmo (en face de Copenhague) qu'il faudra capturer pour ouvrir la route du ravitaillement, ensuite, remonter progressivement le pays en éradiquant toute résistance.
Alors que 2 corps d'infanteries sont parfaitement projeter en territoire ennemi, un violent combat oppose la flotte suédoise à la flotte allemande dans la baltique. 2 escadrilles de bombardier navales tentent de réduire la menace suédoise sur le convoi qui doit encore déposer des troupes au combat.
Bataille navale dans la baltique
La situation est très tendue quand la marine suédoise rencontre une nouvelle fois la marine allemande alors que le convoi doit porter des troupes plus au nord, les navires de transport seront pris pour cible mais seul un destroyer sera coulé alors que déjà quelques croiseurs ennemies gisent par le fond. Le retour de la flotte de transport sera des plus périlleux et l'indisponibilité des bombardiers navales coupent toute couverture aérienne possible.
Le 25 janvier, les 4 corps d'infanterie ont été correctement déployés et engagent maintenant le combat de toute part. A sa grande surprise Von Manstein s'interroge sur la nécessité de déployer son armée de panzer.
Le débarquement est une réussite
Ailleurs les choses se poursuivent, la Grèce est le théâtre d'une course poursuite entre les troupes allemandes et italiennes qui viennent de rentrer dans le conflit et tente avec gourmandise de dévorer son antique rival . L'Angleterre lance régulièrement des raids de bombardements stratégiques pour le moment intercepter par mon aviation aisément doté d'un radar sur Dortmund et un autre sur Amsterdam. La production industrielle bat son plein et une mesure vient de faire passer la Pologne / Belgique / Pays Bas en occupation totale, dégageant ainsi un gain de productivité de 60 CI. Je ne passe pas la totalité des pays conquis en occupation totale, en effet ça a une fâcheuse tendance à accroitre considérablement la consommation de ressources stratégiques et il pourrait être piégeux de mettre en place un profond déséquilibre dans ces domaines. C'est toujours à surveiller de très près comme mesures.
L'Italie a qui j'ai affecté quelques objectifs stratégique en Afrique du Nord va bénéficier d'une curieuse surprise près du Caire.
Les batailles navales sont couteuses en vies et en navire. Alors que ma marine a essuyé quelques pertes légères en baltique contre la marine suédoise qui quitte ses ports occupés, la marine italienne engage la marine anglaise en méditerranée. L'infructueuse tentative de débarquement sur Malte, que je lui avais assigné, résulte de cet engagement musclé pour le contrôle des mers. En revanche, il semble correctement progressé en direction du canal de Suez, surement grâce au fait que l'Angleterre a trop dégarni ses colonies au profit d'une intervention ratée en Europe continentale il y a quelques mois. J'ai appris à ne pas trop me réjouir de ces fragiles victoires et progressions en Afrique, j'attends de voir. Mon ami et rival italien s'est vu la route coupée en Grèce ce qui me garanti de pouvoir être le premier à atteindre la capitale et donc à ravir le pays.
La situation en Grèce permet aux corps d'infanteries d'aller se repositionner le long de la frontière turque tandis que le corps de panzer arrive sur Athènes pour solder la campagne. En suède, alors qu'au sud les troupes ennemies ont cédées, au nord la situation oblige Von Manstein à dépêcher en urgence un cinquième corps d'infanterie pour forcer la capitale à se rendre. Le corps d'infanterie qui s'y était déployé est submergés et tend à être stoppée dans ses combat engagés face à des forces suédoises bien combatives. La Grèce capitule le 15 février. La Ve panzer rentre en Allemagne après 6 mois d'engagement ininterrompus.
Le 20 février, 4 corps d'infanterie passent la frontière turque. Les derniers 111 000 hommes de la campagne des balkans présent sur la zone s'élancent maintenant en direction du long territoire bordant la mer noire. Ce sera une campagne lente que mènera Von Rundstedt, la dernière avant quelques temps de répit précédent l'effroyable perspective du front russe.
Je perds maintenant 4 de CI à cause des bombardement stratégiques qui parviennent tout de même à m'impacter alors que mes chasseurs réussissent à intercepter les escadrilles anglaises. Je décide alors de réunir mes escadrilles qui oeuvraient jusque là en 4 flottes de 2 escadrilles pour n'en faire plus que 2 de 4 escadrilles. En marge de cette décision, j'ai toujours des technologies d'interception et de modernisation de ma chasse qui tournent et je ne m'inquiète pas quant à ma capacité d'endiguer cette menace venue du ciel qui pèse sur ma productivité. des usines commencent à sortir le matériel qui est destiné à équiper les troupes du front de l'Est et le carnet de commande ne doit pas désemplir pour que d'ici 14 mois je sois en mesure de lancer Barbarossa.
Des canons rutilants sortent des usines pour commencer à renforcer mon infanterie en attente près de Berlin
Alors que la situation patauge depuis des semaines face à une armée suédoise qui se bat bec et ongle pour préserver le moindre pouce de son territoire, Von Manstein envoie en direction de Stockholm 6 divisons d'infanterie reposée pour assiéger une bonne fois pour toute la ville qui résiste depuis des semaines. La guerre longue et de position fait regretté au général du deuxième corps de blindés de n'avoir pas été envoyé sur le territoire suédois pour casser plus durablement les tentatives ennemies qui sont parvenues à me contenir. Le 16 mars la campagne semble acquise mais elle aura pris du temps.
Ca fait des semaines que les ultimes forces suédoises m'épuisent dans la bataille de Stockholm.
Ankara est conquise le 29 mars et sans grande résistance de la part de la Turquie dans cette guerre. La question se pose alors de savoir si je poursuis un effort pour tenter d'aller jusqu'en Egypte en bordant la Méditerranéenne ou pas. Mon allié toujours enclin à briller par des performance relativement décevantes commence à reculer sans avoir approcher son objectif. La perspective de réussir à fermer le canal de Suez et de m'emparer des bases de test de fusées anglaise m’attire sans que je ne parvienne à réellement me décider... C'est finalement l'indépendance garantie avec la France de Vichy qui détient la Syrie qui me dissuadera de vouloir porter main forte à mon piètre allié. Néanmoins, l'Irak qui est rattaché au Royaume Uni est en guerre contre l'Axe et tente de faire passer des troupes à la frontière à l'est de la Turquie ce qui me contraint à lui envoyer un maigre corps d'infanterie pour cesser sa progression.
La situation sur Stockholm est des plus préoccupantes, Berlin commence à tempêter que cet objectif engagé dés le début de la campagne de Suède ne soit non seulement toujours pas acquis mais surtout parvienne encore à repousser nos attaques. Cette fois, toutes les unités sont à l'arrêt pour récupérer et afin que l'ennemi ne profite pas de cette accalmie pour en faire de même, les bombardements résonnent dans toutes la ville suédoise. 10 divisions soit 90 000 hommes sont stoppés dans les faux bourgs et ne parviennent très vite plus à entendre le bruit des moteurs de la Luftwaffe. Les bombardier tactiques ont eux aussi besoin de se reposer avant de lancer ce que j'espère sera l'attaque finale, le problème tient du fait que je vais laisser au repos les unités ennemies qui parvenaient quand même à récupérer sous le tapis de bombe. Cette fois, je vais lancer une attaque totale et aussi le soutien de ma marine qui pilonnera la ville depuis les côtes. Les 4 divisions suédoises retranchées me demandent réellement beaucoup d'efforts et je consens même à rapprocher 2 corps d'infanterie pour poursuivre l'assaut en cas d'épuisement des troupes déjà sur place.
Tandis que la campagne de Scandinavie est pratiquement au point mort, les troupes revenues stationner en Allemagne commencent à être doté du matériel neuf. 8 corps d'infanterie (3 divisions) sont pourvues en artillerie qui ne manqueront pas d'impacter efficacement les fébriles troupes russes. L'infanterie mécanisée fraichement acquise va venir compléter la réorganisation de corps de panzer prévu pour l'année prochaine. La production tourne à plein régime et les flottes de 4 escadrilles se montrent bien plus efficaces à stopper les bombardiers stratégiques anglais.
Début de la réforme pour les panzer'41
Le 16 avril débute enfin la énième bataille de Stockholm en espérant que cette fois se sera la bonne. Les troupes ennemies sont bien reposées tout comme les mienne. Von Manstein joue gros sur cet ultime engagement. Cette fois l'appuye de la marine permet de lutter efficacement et si mes troupes s'épuisent encore trop rapidement comparées à mon ennemi, le nombre me permettra surement de finir par avoir le dessus. Contre 3 000 morts des deux cotés, la bataille cesse le 25 avril entrainant la capitulation si chèrement gagnée.
La campagne de Suède a été éprouvante car si le plan initial a été très bien mis en place, le déroulement des bataille a été une nouvelle fois plus que difficile. Ceci m'amène à m’inquiéte un peu sur ce que ça va pouvoir donner sur un front aussi important que celui avec l'URSS. Je pense que contre la Suède je paye cher mon économie d'envoi de troupes blindées et mon manque d'artillerie au sein de mes infanteries. J'ai du mobiliser l'ensemble de ce que je pouvais ajouter pour l'ultime bataille de la capitale, sur terre, sur mer et dans les airs ont permis de me faire remporter la victoire mais la campagne a été bien plus longue que prévue.
La campagne de Norvège débute le 6 mai, les troupes reposée mais consciente du souvenir douloureux du voisin scandinave hantent déjà les combats à la frontière. Le 14 mai, Oslo cède à l'offensive allemande, la flotte bloquée au port tente de prendre le large quand elle est interceptée par l'escadrille (2) de bombardiers navales qui attendait pour les couler par le fond. Le 28 mai la progression est générale et il faut maintenant aux troupes allemande aller jusqu'à Narvik au nord du pays pour le faire enfin plier ; comble de la difficulté, l'anlgais y a déposé 3 divisions d'infanteries qui viennent garnir la défense de la ville déjà difficile à atteindre mais surtout avec une ligne de ravitaillement des plus longue à fournir, heureusement mes troupes pourront compter sur un soutien aérien venant d'un aérodrome suédois un peu plus à l'est.
L'approche de Narvik amène son lot de mauvaise nouvelle, les alliés y déversent maintenant hommes et matériels en grand nombre pour stopper la conquête allemande de la route du fer. Alors qu'il approche des abords de la ville, l'évaluation des troupes ennemis fait marquer le pas à Von Manstein. Ce qui aurait été jouable en menant une attaque rapide est maintenant impossible, et les plans doivent être modifiés à la hâte. En effet, ce ne sont plus seulement des anglais qui fortifient la ville, mais aussi des canadiens ainsi que des sud africains qui ont déposés de nouveaux contingents de chars légers. Près de 100 000 hommes sont à présent dans le dernier bastion norvégien et c'est autant de troupes que décident de faire acheminer au nord de la Suède depuis les ports allemands. Ces troupes fraiches arriveront avec leur ravitaillement ce qui n'épuisera pas celui déjà en route à destination des divisions allemandes déjà sur place. Le plan est simple, effectuer un repli stratégique afin que les alliés sortent de la ville, une fois fait, les fixer sur une ligne de défense qui va les contenir pendant que les troupes arrivant en renforts tenteront une progression depuis l'est avec pour double objectif que de piéger les forces ennemies et approcher de Narvik. si le plan débute début aout, il faudra tout de même des semaines à l'armée allemande pour réussir le tour de force de faire plier les forces alliées. Narvik est finalement assiégée fin septembre, occasionnant énormément de pertes coté allemand et la ville finira par céder le 3 octobre, scellant enfin le sort de la Norvège et la fin de la troisième offensive.
L'ultime bataille contre la rude défense alliées
Les troupes allemandes peuvent maintenant regagner l'Allemagne en parie, pour être redisposées en vu de Barbarossa. 23 divisions d'infanteries étaient encore mobilisées pour la bataille de Narvik. Ailleurs les nouvelles sont mauvaises, si l'italien a réussi à prendre Malte finalement, il recule à toute allure en Lybie et l'anglais à commencé une invasion de la Sardaigne avec un grand succès. De leur coté, les troupes allemandes (1 corps) tentent d'entrer en Irak et si elles sont parvenus à approcher Bagdad ce sera ensuite suivi d'une retraite face à la divisions anglaise toujours présente dans cette région.
Alors que 2 corps d'infanteries sont parfaitement projeter en territoire ennemi, un violent combat oppose la flotte suédoise à la flotte allemande dans la baltique. 2 escadrilles de bombardier navales tentent de réduire la menace suédoise sur le convoi qui doit encore déposer des troupes au combat.
Bataille navale dans la baltique
La situation est très tendue quand la marine suédoise rencontre une nouvelle fois la marine allemande alors que le convoi doit porter des troupes plus au nord, les navires de transport seront pris pour cible mais seul un destroyer sera coulé alors que déjà quelques croiseurs ennemies gisent par le fond. Le retour de la flotte de transport sera des plus périlleux et l'indisponibilité des bombardiers navales coupent toute couverture aérienne possible.
Le 25 janvier, les 4 corps d'infanterie ont été correctement déployés et engagent maintenant le combat de toute part. A sa grande surprise Von Manstein s'interroge sur la nécessité de déployer son armée de panzer.
Le débarquement est une réussite
Ailleurs les choses se poursuivent, la Grèce est le théâtre d'une course poursuite entre les troupes allemandes et italiennes qui viennent de rentrer dans le conflit et tente avec gourmandise de dévorer son antique rival . L'Angleterre lance régulièrement des raids de bombardements stratégiques pour le moment intercepter par mon aviation aisément doté d'un radar sur Dortmund et un autre sur Amsterdam. La production industrielle bat son plein et une mesure vient de faire passer la Pologne / Belgique / Pays Bas en occupation totale, dégageant ainsi un gain de productivité de 60 CI. Je ne passe pas la totalité des pays conquis en occupation totale, en effet ça a une fâcheuse tendance à accroitre considérablement la consommation de ressources stratégiques et il pourrait être piégeux de mettre en place un profond déséquilibre dans ces domaines. C'est toujours à surveiller de très près comme mesures.
L'Italie a qui j'ai affecté quelques objectifs stratégique en Afrique du Nord va bénéficier d'une curieuse surprise près du Caire.
Les batailles navales sont couteuses en vies et en navire. Alors que ma marine a essuyé quelques pertes légères en baltique contre la marine suédoise qui quitte ses ports occupés, la marine italienne engage la marine anglaise en méditerranée. L'infructueuse tentative de débarquement sur Malte, que je lui avais assigné, résulte de cet engagement musclé pour le contrôle des mers. En revanche, il semble correctement progressé en direction du canal de Suez, surement grâce au fait que l'Angleterre a trop dégarni ses colonies au profit d'une intervention ratée en Europe continentale il y a quelques mois. J'ai appris à ne pas trop me réjouir de ces fragiles victoires et progressions en Afrique, j'attends de voir. Mon ami et rival italien s'est vu la route coupée en Grèce ce qui me garanti de pouvoir être le premier à atteindre la capitale et donc à ravir le pays.
La situation en Grèce permet aux corps d'infanteries d'aller se repositionner le long de la frontière turque tandis que le corps de panzer arrive sur Athènes pour solder la campagne. En suède, alors qu'au sud les troupes ennemies ont cédées, au nord la situation oblige Von Manstein à dépêcher en urgence un cinquième corps d'infanterie pour forcer la capitale à se rendre. Le corps d'infanterie qui s'y était déployé est submergés et tend à être stoppée dans ses combat engagés face à des forces suédoises bien combatives. La Grèce capitule le 15 février. La Ve panzer rentre en Allemagne après 6 mois d'engagement ininterrompus.
Le 20 février, 4 corps d'infanterie passent la frontière turque. Les derniers 111 000 hommes de la campagne des balkans présent sur la zone s'élancent maintenant en direction du long territoire bordant la mer noire. Ce sera une campagne lente que mènera Von Rundstedt, la dernière avant quelques temps de répit précédent l'effroyable perspective du front russe.
Je perds maintenant 4 de CI à cause des bombardement stratégiques qui parviennent tout de même à m'impacter alors que mes chasseurs réussissent à intercepter les escadrilles anglaises. Je décide alors de réunir mes escadrilles qui oeuvraient jusque là en 4 flottes de 2 escadrilles pour n'en faire plus que 2 de 4 escadrilles. En marge de cette décision, j'ai toujours des technologies d'interception et de modernisation de ma chasse qui tournent et je ne m'inquiète pas quant à ma capacité d'endiguer cette menace venue du ciel qui pèse sur ma productivité. des usines commencent à sortir le matériel qui est destiné à équiper les troupes du front de l'Est et le carnet de commande ne doit pas désemplir pour que d'ici 14 mois je sois en mesure de lancer Barbarossa.
Des canons rutilants sortent des usines pour commencer à renforcer mon infanterie en attente près de Berlin
Alors que la situation patauge depuis des semaines face à une armée suédoise qui se bat bec et ongle pour préserver le moindre pouce de son territoire, Von Manstein envoie en direction de Stockholm 6 divisons d'infanterie reposée pour assiéger une bonne fois pour toute la ville qui résiste depuis des semaines. La guerre longue et de position fait regretté au général du deuxième corps de blindés de n'avoir pas été envoyé sur le territoire suédois pour casser plus durablement les tentatives ennemies qui sont parvenues à me contenir. Le 16 mars la campagne semble acquise mais elle aura pris du temps.
Ca fait des semaines que les ultimes forces suédoises m'épuisent dans la bataille de Stockholm.
Ankara est conquise le 29 mars et sans grande résistance de la part de la Turquie dans cette guerre. La question se pose alors de savoir si je poursuis un effort pour tenter d'aller jusqu'en Egypte en bordant la Méditerranéenne ou pas. Mon allié toujours enclin à briller par des performance relativement décevantes commence à reculer sans avoir approcher son objectif. La perspective de réussir à fermer le canal de Suez et de m'emparer des bases de test de fusées anglaise m’attire sans que je ne parvienne à réellement me décider... C'est finalement l'indépendance garantie avec la France de Vichy qui détient la Syrie qui me dissuadera de vouloir porter main forte à mon piètre allié. Néanmoins, l'Irak qui est rattaché au Royaume Uni est en guerre contre l'Axe et tente de faire passer des troupes à la frontière à l'est de la Turquie ce qui me contraint à lui envoyer un maigre corps d'infanterie pour cesser sa progression.
La situation sur Stockholm est des plus préoccupantes, Berlin commence à tempêter que cet objectif engagé dés le début de la campagne de Suède ne soit non seulement toujours pas acquis mais surtout parvienne encore à repousser nos attaques. Cette fois, toutes les unités sont à l'arrêt pour récupérer et afin que l'ennemi ne profite pas de cette accalmie pour en faire de même, les bombardements résonnent dans toutes la ville suédoise. 10 divisions soit 90 000 hommes sont stoppés dans les faux bourgs et ne parviennent très vite plus à entendre le bruit des moteurs de la Luftwaffe. Les bombardier tactiques ont eux aussi besoin de se reposer avant de lancer ce que j'espère sera l'attaque finale, le problème tient du fait que je vais laisser au repos les unités ennemies qui parvenaient quand même à récupérer sous le tapis de bombe. Cette fois, je vais lancer une attaque totale et aussi le soutien de ma marine qui pilonnera la ville depuis les côtes. Les 4 divisions suédoises retranchées me demandent réellement beaucoup d'efforts et je consens même à rapprocher 2 corps d'infanterie pour poursuivre l'assaut en cas d'épuisement des troupes déjà sur place.
Tandis que la campagne de Scandinavie est pratiquement au point mort, les troupes revenues stationner en Allemagne commencent à être doté du matériel neuf. 8 corps d'infanterie (3 divisions) sont pourvues en artillerie qui ne manqueront pas d'impacter efficacement les fébriles troupes russes. L'infanterie mécanisée fraichement acquise va venir compléter la réorganisation de corps de panzer prévu pour l'année prochaine. La production tourne à plein régime et les flottes de 4 escadrilles se montrent bien plus efficaces à stopper les bombardiers stratégiques anglais.
Début de la réforme pour les panzer'41
Le 16 avril débute enfin la énième bataille de Stockholm en espérant que cette fois se sera la bonne. Les troupes ennemies sont bien reposées tout comme les mienne. Von Manstein joue gros sur cet ultime engagement. Cette fois l'appuye de la marine permet de lutter efficacement et si mes troupes s'épuisent encore trop rapidement comparées à mon ennemi, le nombre me permettra surement de finir par avoir le dessus. Contre 3 000 morts des deux cotés, la bataille cesse le 25 avril entrainant la capitulation si chèrement gagnée.
La campagne de Suède a été éprouvante car si le plan initial a été très bien mis en place, le déroulement des bataille a été une nouvelle fois plus que difficile. Ceci m'amène à m’inquiéte un peu sur ce que ça va pouvoir donner sur un front aussi important que celui avec l'URSS. Je pense que contre la Suède je paye cher mon économie d'envoi de troupes blindées et mon manque d'artillerie au sein de mes infanteries. J'ai du mobiliser l'ensemble de ce que je pouvais ajouter pour l'ultime bataille de la capitale, sur terre, sur mer et dans les airs ont permis de me faire remporter la victoire mais la campagne a été bien plus longue que prévue.
La campagne de Norvège débute le 6 mai, les troupes reposée mais consciente du souvenir douloureux du voisin scandinave hantent déjà les combats à la frontière. Le 14 mai, Oslo cède à l'offensive allemande, la flotte bloquée au port tente de prendre le large quand elle est interceptée par l'escadrille (2) de bombardiers navales qui attendait pour les couler par le fond. Le 28 mai la progression est générale et il faut maintenant aux troupes allemande aller jusqu'à Narvik au nord du pays pour le faire enfin plier ; comble de la difficulté, l'anlgais y a déposé 3 divisions d'infanteries qui viennent garnir la défense de la ville déjà difficile à atteindre mais surtout avec une ligne de ravitaillement des plus longue à fournir, heureusement mes troupes pourront compter sur un soutien aérien venant d'un aérodrome suédois un peu plus à l'est.
L'approche de Narvik amène son lot de mauvaise nouvelle, les alliés y déversent maintenant hommes et matériels en grand nombre pour stopper la conquête allemande de la route du fer. Alors qu'il approche des abords de la ville, l'évaluation des troupes ennemis fait marquer le pas à Von Manstein. Ce qui aurait été jouable en menant une attaque rapide est maintenant impossible, et les plans doivent être modifiés à la hâte. En effet, ce ne sont plus seulement des anglais qui fortifient la ville, mais aussi des canadiens ainsi que des sud africains qui ont déposés de nouveaux contingents de chars légers. Près de 100 000 hommes sont à présent dans le dernier bastion norvégien et c'est autant de troupes que décident de faire acheminer au nord de la Suède depuis les ports allemands. Ces troupes fraiches arriveront avec leur ravitaillement ce qui n'épuisera pas celui déjà en route à destination des divisions allemandes déjà sur place. Le plan est simple, effectuer un repli stratégique afin que les alliés sortent de la ville, une fois fait, les fixer sur une ligne de défense qui va les contenir pendant que les troupes arrivant en renforts tenteront une progression depuis l'est avec pour double objectif que de piéger les forces ennemies et approcher de Narvik. si le plan débute début aout, il faudra tout de même des semaines à l'armée allemande pour réussir le tour de force de faire plier les forces alliées. Narvik est finalement assiégée fin septembre, occasionnant énormément de pertes coté allemand et la ville finira par céder le 3 octobre, scellant enfin le sort de la Norvège et la fin de la troisième offensive.
L'ultime bataille contre la rude défense alliées
Les troupes allemandes peuvent maintenant regagner l'Allemagne en parie, pour être redisposées en vu de Barbarossa. 23 divisions d'infanteries étaient encore mobilisées pour la bataille de Narvik. Ailleurs les nouvelles sont mauvaises, si l'italien a réussi à prendre Malte finalement, il recule à toute allure en Lybie et l'anglais à commencé une invasion de la Sardaigne avec un grand succès. De leur coté, les troupes allemandes (1 corps) tentent d'entrer en Irak et si elles sont parvenus à approcher Bagdad ce sera ensuite suivi d'une retraite face à la divisions anglaise toujours présente dans cette région.
Spoiler:
Par une légère manoeuvre diplomatique j'ai convaincu la Perse de se joindre aux forces de l'Axe, mon front au Moyen Orient est maintenant plus étendu ce qui me garantit une préoccupation majeure pour l'URSS qui va devoir garnir son flanc sud. Je ne défendrais pas la Turquie, je vais le laisser venir jusqu'à Istabul où aisément je stoperais sa progression depuis l'autre rive avec un minimum de forces.
Un front russe qui a maintenant doublé de longueur.
L'Angleterre continue d'agir tous azimut. Après ses courageuses intervention aux Pays Bas, en Norvège, il tient à reprendre l'Irak récement perdue. J'ai tenté d'aller jusqu'au Koweit quand je suis tombé sur un large contingent fraichement débarqué, ceci me contraintdra à replié mes 3 divisions d'infanterie jusqu'en Turquie d'où elles venaient. Il ne se contente pas de cette action puisqu'il a conduit une conquête de la Sardaigne qu'il a repris aux Italiens et à repris son ile de Malte. Le contingent expéditionnaire en méditerrannée continuera ses opérations sur les côte de la Yougolsavie (21/04/41) où je devrais diligenter des forces tenues en réserve pour l'éradiquer. Ceci ne sera hélas pas suffisant puisque peu de temps ensuite il débarquera à nouveau mais cette fois en Grèce (15/05/41). En marge de ces actions qui lui demande tout de même plusieurs divisions à chaque fois, il cède en Egypte les forces italiennes s'approche dangeureusement pour lui des objectifs stratégiques fixés.
Les troupes anglaises à la reconquête de l'Irak
Pendant ce temps les préparatifs pour Barbarossa vont bons trains. J'ai ralenti ma formation de troupes d'infanterie pour ne pas sêcher mon manpower que je garde autour de 500. Mon dispositif tient en 3 points, la ligne de défense sur toute la frontière russe, les armées chargées de l'offensive et les troupes de réserve. Au total, 1,4 millions d'hommes se massent maintenant près à engager les hostilités.
J'ai 3 armées de panzers (voir schéma si dessous) elles vont percuter les troupes russes pour réaliser des grands encerclement afin d'éliminer les forces progressivement. Les troupes aux frontières n'ont pas de consigne d'attaques massives, elles vont rester poster pour empêcher toute incursion soviétique. Chaque province est occupée par 2 divisions d'infanterie. En 2 points, je conserve 3 corps d'infanteries (1 corps = 4 divisions) afin de venir porter main forte sur un éventuel point chaud sans avoir à découdre mon dispositif. J'ai encore une armée de panzer complète près de Berlin pour agir au cas où en plus de mon dispositif de défense en Europe de l'ouest.
Schéma d'une armée de panzers
Mon attaque s'élanera au nord en direction de Léningrad. Au centre et au sud en tenaille en directin de Kief pour créer une vaste poche d'encerclement. Une fois cette objectif atteint, mes troupes s'alanceront sur les profondeurs du territoire russe.
Barbarossa
Comme j'ai cessé ma production pour garnir le front de l'Est, j'ai quelques troupes qui continuent d'arriver et qui constitueront des réserves. J'ai lancé la production de navires de transport et de sous marins peut couteux en hommes lors de leur production. J'envisage une opération de débarquement, soit en mer noir directement sur le Caucase, soit près de Léningrad ou en Finlande. 8 divisions d'infanteries sont prévues pour cette éventualité. Je ne suis pas encore décidé et je m'intéresse à la Finlande car elle n'a pas été attaqué par l'URSS. Cette curiosité me laisse donc penser que l'armée rouge n'est pas sur le pied de guerre, pas mobilisée et donc énormément fragile le premier temps du conflit que je tiens à démarer à la date historique le 22/06/41. Je me méfie des actions des alliés car elles sont difficiles à contenir et nécessite beaucoup de troupes pour faire plier les combats. L'entrée en guerre de l'Amérique sera probablement ponctuée d'un débarquement en France et je dois consentir à garder des forces pour les stopper dans leurs manoeuvres.
Un front russe qui a maintenant doublé de longueur.
L'Angleterre continue d'agir tous azimut. Après ses courageuses intervention aux Pays Bas, en Norvège, il tient à reprendre l'Irak récement perdue. J'ai tenté d'aller jusqu'au Koweit quand je suis tombé sur un large contingent fraichement débarqué, ceci me contraintdra à replié mes 3 divisions d'infanterie jusqu'en Turquie d'où elles venaient. Il ne se contente pas de cette action puisqu'il a conduit une conquête de la Sardaigne qu'il a repris aux Italiens et à repris son ile de Malte. Le contingent expéditionnaire en méditerrannée continuera ses opérations sur les côte de la Yougolsavie (21/04/41) où je devrais diligenter des forces tenues en réserve pour l'éradiquer. Ceci ne sera hélas pas suffisant puisque peu de temps ensuite il débarquera à nouveau mais cette fois en Grèce (15/05/41). En marge de ces actions qui lui demande tout de même plusieurs divisions à chaque fois, il cède en Egypte les forces italiennes s'approche dangeureusement pour lui des objectifs stratégiques fixés.
Les troupes anglaises à la reconquête de l'Irak
Pendant ce temps les préparatifs pour Barbarossa vont bons trains. J'ai ralenti ma formation de troupes d'infanterie pour ne pas sêcher mon manpower que je garde autour de 500. Mon dispositif tient en 3 points, la ligne de défense sur toute la frontière russe, les armées chargées de l'offensive et les troupes de réserve. Au total, 1,4 millions d'hommes se massent maintenant près à engager les hostilités.
J'ai 3 armées de panzers (voir schéma si dessous) elles vont percuter les troupes russes pour réaliser des grands encerclement afin d'éliminer les forces progressivement. Les troupes aux frontières n'ont pas de consigne d'attaques massives, elles vont rester poster pour empêcher toute incursion soviétique. Chaque province est occupée par 2 divisions d'infanterie. En 2 points, je conserve 3 corps d'infanteries (1 corps = 4 divisions) afin de venir porter main forte sur un éventuel point chaud sans avoir à découdre mon dispositif. J'ai encore une armée de panzer complète près de Berlin pour agir au cas où en plus de mon dispositif de défense en Europe de l'ouest.
Schéma d'une armée de panzers
Mon attaque s'élanera au nord en direction de Léningrad. Au centre et au sud en tenaille en directin de Kief pour créer une vaste poche d'encerclement. Une fois cette objectif atteint, mes troupes s'alanceront sur les profondeurs du territoire russe.
Barbarossa
Comme j'ai cessé ma production pour garnir le front de l'Est, j'ai quelques troupes qui continuent d'arriver et qui constitueront des réserves. J'ai lancé la production de navires de transport et de sous marins peut couteux en hommes lors de leur production. J'envisage une opération de débarquement, soit en mer noir directement sur le Caucase, soit près de Léningrad ou en Finlande. 8 divisions d'infanteries sont prévues pour cette éventualité. Je ne suis pas encore décidé et je m'intéresse à la Finlande car elle n'a pas été attaqué par l'URSS. Cette curiosité me laisse donc penser que l'armée rouge n'est pas sur le pied de guerre, pas mobilisée et donc énormément fragile le premier temps du conflit que je tiens à démarer à la date historique le 22/06/41. Je me méfie des actions des alliés car elles sont difficiles à contenir et nécessite beaucoup de troupes pour faire plier les combats. L'entrée en guerre de l'Amérique sera probablement ponctuée d'un débarquement en France et je dois consentir à garder des forces pour les stopper dans leurs manoeuvres.
Spoiler:
Évidement, c'est avec inquiétude que les choses sérieuses commencent. J'ai beau avoir ce que je considère comme le minimum, à savoir 1,5 millions d'hommes, je ne peux m'empêcher de me lancer avec prudence dans ce qui est à n'en pas douter le front le plus titanesque de la seconde guerre mondiale. J'ai bien organisé mon armée, j'ai plusieurs interrogations mais mon plan ne me semble pas mauvais. Pas de précipitation, je vais tâcher de créer les poches à réduire et progresser doucement. Mon objectif principal n'est pas de foncer à bride abattue en direction de Leningrad / Moscou / Stalingrad ; je ne vise pas le doom depuis le début de cette partie et je vais continuer à titiller mon plaisir d'en chier un peu. Mon but est de réduire l'armée rouge dans un premier temps et ensuite de faire plier l'URSS très affaiblie par le début de campagne. J'ai en mémoire les difficiles combat en Suède alors que je pensais dominer facilement, j'ai en mémoire le fait que l'anglais intervient toujours un peu partout, au moment même du déclenchement de l'opération j'aurais encore un front en Grèce à résoudre, j'ai en mémoire qu'à la fin de l'année les USA vont férocement être sur le pied de guerre et qu'à l'Ouest j'aurais un débarquement à circonscrire qui risque bien de me demander pas mal de forces.
Le jour où mes forces passent la frontière russe, j'en appelle à l'ensemble de mes alliés pour qu'ils se joignent aux combats. J'appelle le Japonais pour qu'il assaille l'Est sibérien, j'appelle la Perse pour qu'elle tente d'agir sur le sud caucase et de l'autre coté de la mer Caspienne au Kazakhstan, j'appelle le Finlandais qui est maintenant rentré dans l'Axe à l'explosion du conflit pour qu'il occupe les troupes russe en Scandinavie et particulièrement au nord de Leningrad. Mes alliés vont me permettre quelques soupapes en occupant des troupes russes que je n'aurais pas directement sur mon front. La Turquie qui est sans défense servira aussi de gouffre pour quelques troupes russes en perdition, elles ne pourront pas passer le Bosphore normalement donc je ne suis pas inquiet.
Ma ligne de défense restera fixe le temps que les 3 armées de panzer pénètrent le front. Kiev doit être approché par l'ouest et par le sud et la poche réalisée qui contiendra environ 300 000 sera piégée et éliminée. Au nord, il s'agit de réduire la ligne de front et de se rapprocher de Leningrad. Le 22 juin mes forces passent à l'attaque en prenant garde de bien mesurer la nature des engagements face aux divisions russes. Les premiers combats sont sous un intense balayage aérien russe qui utilise beaucoup d'avions multirôle. Bien que massivement déployée, l'armée rouge semble prise de vitesse et les premiers échangent sont largement en ma faveur. Mes blindés ouvrent la brèche au nord et au sud mais le saillant centre est plus difficile à réalisé.
Je me méfie du retrait tactique russe, je sais que s'il décide d'abandonner la première ligne je ne parviendrais pas à l'encercler or c'est mon but principal aussi, une fois que mes panzers sont rentrés de quelques provinces, ma ligne de défense fixe le mouvement des troupes russes en les attaquant. La percée sud se passe très bien et j'ai déjà dessiné une bonne partie de la poche au centre qu'il faudra réduire, tandis que la percée centre avance difficilement Kiev n'est plus qu'à quelques encablure de la pointe de mon attaque.
En Grèce les choses se passent mal. Alors que j'avais envoyé un corps d'infanterie lourde (■ inf. ■ in.f ■ inf. ■ art.) de 4 divisions pour reprendre Athènes, mes troupes ne sont pas parvenues à remporter la victoire et se sont épuisées dans leur tentative de capturer la ville. Je dois battre en retraite quand l'Anglais tente de prendre l'initiative. Comme j'avais un corps qui revenait de l'est de la Turquie à toute allure, tentant d'échapper à l'avancée de l'armée rouge, je décide d'envoyer en Grèce le corps d'infanterie (3 div.) qui était stationné à Istambul. Pendant un temps la ville restera sans protection mais je dois vite assister mes forces en recule devant la perçée anglaise. Le refort sera salutaire et je parviendrais à stopper l'avancée alliée puis à la faire reculer jusqu'à Athènes que je finis par attaquer à nouveau avec des forces reposées de leur premier assaut infructueu secondées par 3 divisions plus légères mais qui feront peut être pencher la balance.
Mon alliés perse rencontre beaucoup de difficultés et mon appel aux armes l'a pour ainsi dire condamné. Il est effectivement une épine dans le pied russe mais ce dernier l'écrase et comme un malheur n'arrive jamais seul, l'anglais l'attaque depuis l'Irak et et depuis l'Inde. Il dois concéder du terrains depuis l'intégralité de ses frontières.
L’italien est toujours engagé dans son bras de fer pour capturer le Caire et n'y parvient toujours pas. Là où les choses ne sont pas trop mauvaise c'est qu'il maintient sa pression depuis des semaine et à bien ceinturer la région. Les troupes anglaises résistent grâce à des divisions de blindés moyens mais l'Italie ne recule pas, rien que ça reste extraordinaire.
Le finlandais est attaqué massivement mais semble retenir autant que possible l'avancée russe, chaque semaine passée est une semaine de gagnée qui m'évite de presser mon action au nord ; mieux, ça m'évite de m’inquièter pour la Suède/Norvège où je n'ai que peu de troupes.
... à suivre...
Le jour où mes forces passent la frontière russe, j'en appelle à l'ensemble de mes alliés pour qu'ils se joignent aux combats. J'appelle le Japonais pour qu'il assaille l'Est sibérien, j'appelle la Perse pour qu'elle tente d'agir sur le sud caucase et de l'autre coté de la mer Caspienne au Kazakhstan, j'appelle le Finlandais qui est maintenant rentré dans l'Axe à l'explosion du conflit pour qu'il occupe les troupes russe en Scandinavie et particulièrement au nord de Leningrad. Mes alliés vont me permettre quelques soupapes en occupant des troupes russes que je n'aurais pas directement sur mon front. La Turquie qui est sans défense servira aussi de gouffre pour quelques troupes russes en perdition, elles ne pourront pas passer le Bosphore normalement donc je ne suis pas inquiet.
Ma ligne de défense restera fixe le temps que les 3 armées de panzer pénètrent le front. Kiev doit être approché par l'ouest et par le sud et la poche réalisée qui contiendra environ 300 000 sera piégée et éliminée. Au nord, il s'agit de réduire la ligne de front et de se rapprocher de Leningrad. Le 22 juin mes forces passent à l'attaque en prenant garde de bien mesurer la nature des engagements face aux divisions russes. Les premiers combats sont sous un intense balayage aérien russe qui utilise beaucoup d'avions multirôle. Bien que massivement déployée, l'armée rouge semble prise de vitesse et les premiers échangent sont largement en ma faveur. Mes blindés ouvrent la brèche au nord et au sud mais le saillant centre est plus difficile à réalisé.
Je me méfie du retrait tactique russe, je sais que s'il décide d'abandonner la première ligne je ne parviendrais pas à l'encercler or c'est mon but principal aussi, une fois que mes panzers sont rentrés de quelques provinces, ma ligne de défense fixe le mouvement des troupes russes en les attaquant. La percée sud se passe très bien et j'ai déjà dessiné une bonne partie de la poche au centre qu'il faudra réduire, tandis que la percée centre avance difficilement Kiev n'est plus qu'à quelques encablure de la pointe de mon attaque.
En Grèce les choses se passent mal. Alors que j'avais envoyé un corps d'infanterie lourde (■ inf. ■ in.f ■ inf. ■ art.) de 4 divisions pour reprendre Athènes, mes troupes ne sont pas parvenues à remporter la victoire et se sont épuisées dans leur tentative de capturer la ville. Je dois battre en retraite quand l'Anglais tente de prendre l'initiative. Comme j'avais un corps qui revenait de l'est de la Turquie à toute allure, tentant d'échapper à l'avancée de l'armée rouge, je décide d'envoyer en Grèce le corps d'infanterie (3 div.) qui était stationné à Istambul. Pendant un temps la ville restera sans protection mais je dois vite assister mes forces en recule devant la perçée anglaise. Le refort sera salutaire et je parviendrais à stopper l'avancée alliée puis à la faire reculer jusqu'à Athènes que je finis par attaquer à nouveau avec des forces reposées de leur premier assaut infructueu secondées par 3 divisions plus légères mais qui feront peut être pencher la balance.
Mon alliés perse rencontre beaucoup de difficultés et mon appel aux armes l'a pour ainsi dire condamné. Il est effectivement une épine dans le pied russe mais ce dernier l'écrase et comme un malheur n'arrive jamais seul, l'anglais l'attaque depuis l'Irak et et depuis l'Inde. Il dois concéder du terrains depuis l'intégralité de ses frontières.
L’italien est toujours engagé dans son bras de fer pour capturer le Caire et n'y parvient toujours pas. Là où les choses ne sont pas trop mauvaise c'est qu'il maintient sa pression depuis des semaine et à bien ceinturer la région. Les troupes anglaises résistent grâce à des divisions de blindés moyens mais l'Italie ne recule pas, rien que ça reste extraordinaire.
Le finlandais est attaqué massivement mais semble retenir autant que possible l'avancée russe, chaque semaine passée est une semaine de gagnée qui m'évite de presser mon action au nord ; mieux, ça m'évite de m’inquièter pour la Suède/Norvège où je n'ai que peu de troupes.
... à suivre...
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