En 1936, L'italie est en pays bourré de potentiel.
En effet, sa situation en ressources est potable, son armée correcte et elle possède deux colonies : la Lybie et l'Ethiopie.
De plus, le peuple est prêt à la guerre : alors que la situation n'a pas encore dégénéré, le système fasciste a décrété le service militaire sur demande, une industrie prête à produire des armes lourdes en masses et toute la puissance économique du pays est mobilisé par et pour l'Etat.
Le plan expansionniste du gouvernement est assez simple : frapper l'Ethipoie à la gorge, c'est à dire la capitale et unique ville importante controlée par les rebelles.
Ensuite, notre grande nation se rapprochera du 3ème Reich, renforcera les frontières du nord pour envahir la Yougoslavie, la Bulgarie, la Grèce, la Suisse sans oublier l'Albanie ainsi que la Roumanie et la Hongrie si cette dernière refuse de rejoindre l'Axe. En vérité, Mussolini et ses pantins n'auraient pas prévu de laisser la Roumanie à la Hongrie si elle n'était pas frontalière avec l'URSS, qui possédait la plus grande superficie au monde, regorgeait de ressources naturelles et dirigeait une des trois grandes alliances de notre ère.
Les faits après la pub
En effet, sa situation en ressources est potable, son armée correcte et elle possède deux colonies : la Lybie et l'Ethiopie.
De plus, le peuple est prêt à la guerre : alors que la situation n'a pas encore dégénéré, le système fasciste a décrété le service militaire sur demande, une industrie prête à produire des armes lourdes en masses et toute la puissance économique du pays est mobilisé par et pour l'Etat.
Le plan expansionniste du gouvernement est assez simple : frapper l'Ethipoie à la gorge, c'est à dire la capitale et unique ville importante controlée par les rebelles.
Ensuite, notre grande nation se rapprochera du 3ème Reich, renforcera les frontières du nord pour envahir la Yougoslavie, la Bulgarie, la Grèce, la Suisse sans oublier l'Albanie ainsi que la Roumanie et la Hongrie si cette dernière refuse de rejoindre l'Axe. En vérité, Mussolini et ses pantins n'auraient pas prévu de laisser la Roumanie à la Hongrie si elle n'était pas frontalière avec l'URSS, qui possédait la plus grande superficie au monde, regorgeait de ressources naturelles et dirigeait une des trois grandes alliances de notre ère.
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