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  • #46
    Bonjour à tous, pour moi aucun problème je peux me rendre dispo (à part le mardi soir).

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    • #47
      Ok pour moi tous les soirs, par contre sur la même durée, je n'y suis plus (et mes yeux non plus) passé trop longtemps en jeu
      et oui, il y a des vieux et avec l'âge ce n'est plus pareil...

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      • #48
        bonsoir à tous,

        désolé pris tous les soirs sauf le dimanche

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        • #49
          AAR de la 3e session (31 mars) : 12 juillet 1940 - 19 août 1941.

          Afrique
          L'Ethiopie se fait grignoter peu à peu, mais les troupes du Duce tiennent bon. Treize mois plus tard, Addis Abeba résiste toujours à 24 divisions britanniques. Le rapport des forces, en matière d'effectifs, semble à l'équilibre.

          En Egypte, l'arrivée de 5 PzD légères donne un tour plus vif aux opérations qui, il est bon de le préciser, sont au point mort. Les troupes britanniques amassées à la frontière se font refouler manu militari jusqu'à El Alamein. A noter que le combat est mené à 1 contre 5. Les troupes italiennes ne font que conforter l'avance victorieuse de l'Afrika-panzerarmee en étayant les flancs et assurant les arrières.
          Lorsque les stocks de ravitaillement sont au max, l'assaut mené contre le verrou défensif d'El Alamein échoue, les pertes en chars sont élevées.
          Le rapport de force de l'aviation est à l'avantage britannique, mais malgré cela, 600 Me109 ou FW190 opposés à 1200 Spitfires ou Hurricanes voient leurs pertes, grosso modo, deux fois moindres, et ce, malgré le handicap de la distance à parcourir. C'est plutôt l'aviation de bombardement qui en fait les frais : en huit mois, pas de loin de 300 He111 auront été abattus.

          C'est alors que le haut commandement de l'AK commet une erreur...

          Les 5 PzD, quelque peu éprouvées, sont retirées du front pour entrainement, la place étant cédée au Commando Supremo, soit 6 divisions motorisées de bonne constitution. Mais en face sont alignées plus de 20 divisions britanniques truffées d'une défense anti char mortelle. Dans parler de divisions de chars lourds, deux au minimum.

          La contre attaque anglaise est lancée quelques semaines après l'arrêt de l'offensive de l'axe. L'information remonte lentement jusqu'à l'état major, et l'alerte donnée aux PzD trop tard. Surprises, elles ne purent que reculer dans la cohue mussolinienne, lâchant successivement Marsa Matruh et Sidi Barani, ainsi que de bonnes installations (infrastructures, terrains d'aviations, bases portuaires, voies ferrées). Le front fut rétabli dès la Libye atteinte.
          Seule consolation : aucune unité de l'axe ne fut détruite.

          Europe balkanique.
          Le Duce, las des provocations et autres mesquineries incessantes de la part de yougoslaves ingrats, leur déclare la guerre.
          Depuis l'Ostmark (ex-Autriche), le corps motorisé de Weichs se lance à l'assaut et fonce d'un seul trait jusqu'à Belgrade, puis tourne la défense et rejoint la frontière albanaise. La Hongrie s'en mêle, puis la Roumanie.
          Les troupes italiennes, parties d'Albanie et de Vénétie, encerclent bon nombre de divisions indiennes. La Yougoslavie capitule.
          Le tour de la Grèce arrive ensuite.
          Le corps de Weichs prend position le long de la frontière Bulgare qui a intégré l'axe.
          Lorsque l'attaque se déclenche, le rush des motorisés est irrésistible et les mène d'un seul trait jusqu'à Athènes, alors que les troupes du Duce sont encore en Épire. Mais il temps, pour l'Allemagne, de préparer l'attaque de l'URSS. Les excellentes divisions de Weichs sont retirées à d'autres fins.
          L'Italie débarque alors en Crête, et de longs combats s'ensuivront jusqu'à capitulation totale des grecs. Dans l'affaire, les pertes britanniques (ou Commonwealth) seront conséquentes. Y compris les pertes navales et aériennes.

          Bataille d'Angleterre.
          Elle se résumera à un affrontement aérien sur la Manche et à des pertes de la Luftwaffe plus élevées que l'homologue RAF. Mais pas tant que cela.
          Faute de résultats probants, l'action fut arrêtée.

          Guerre sous-marine.
          C'est sur ce front que s'opère un changement radical.
          La sortie du U-Boat 1940 (schnorkel, 18 tubes lance torpilles) des chantiers navals Blohm & Voss remplace le type VII pénalisé par son autonomie trop faible et sa lenteur. En 1 an, la Home Fleet est confrontée à un problème croissant de ses approvisionnements maritimes. Habituée à des victoires faciles non loin des côtes, elle doit faire face à des torpillages organisés en meutes (doctrines au max), en plein océan, loin de toute base. Du coup, les moyens qui doivent être consacrés à l'escorte sont à revoir à la hausse.
          La Méditerranée n'est pas épargnée non plus et la disette des troupes, si elle n'est pas très forte, devient chronique.

          Front russe...
          Barbarossa a été déclenchée mi juillet 1941 (et cela aurait eu lieu plus tôt si votre aimable narrateur n'avait pas oublié de lancer un focus avec 30 jours de retard...)
          Cette fois, la Finlande est de la partie, de même que la Hongrie, la Roumanie etc...
          En 1 mois, suivant les secteurs, le front aura reculé de 200 km. La Bessarabie est reprise, mais aussi Lwow, Brest Litovsk, Riga menacée, Kaunas tournée. Aucune perte significative des soviets, à l'exception d'une divisons blindée en Lituanie et quelques divisions d'infanterie. La lutte est âpre, le terrain est à l'avantage de la défense, les pertes sont à peu près équivalentes de part et d'autre (on va faire abstraction des roumains et hongrois, hein...)
          En Finlande, le front soviétique est en béton en Carélie. Mais il flanche peu à peu de Mourmansk au lac Onega, atteint par la vaillante armée de Mannerheim. Le rail est d'ailleurs coupé à cet endroit. Le ravitaillement du front n'est plus possible que par voie maritime. Mais là encore, le travail de sape des U-Boat se fait sentir, nullement gêné par la marine soviétique.
          Petsamo est reprise par les alpins de Ernst Hell, ces derniers approchant les lisières de Mourmansk. La Carélie, faute de ravitaillement, risque de tomber...

          C'est alors qu'un rapport d'espionnage très intéressant nous est parvenu...
          L'industrie soviétique a fait une impasse totale en matière de production aérienne... Pas une seule usine affectée ne serait-ce à la production d'un seul chasseur...
          De là à en conclure que toute la stratégie des soviets vise à importer des avions par voie maritime, il n'y a pas loin. Or, il se trouve que justement, la voie maritime semble compromise, du moins pour un moment, le temps que les Alliés trouvent une parade.
          Le gros Goering s'est mis à glousser de joie, tout en plongeant ses doigts adipeux dans des coupes de pierreries prises aux orfèvres néerlandais.

          Pacifique.
          Les USA sont en guerre depuis peu.
          Pour l'instant, l'impact de leurs armes ne s'est pas encore fait sentir, à part quelques uns de leurs navires de commerce interceptés par les U-Boat au large de la côte du Sénégal.
          Le Japon, débarrassé de la Chine et des tous ses seigneurs, tourne ses griefs contre l'occident.
          Déjà, les Philippines ont perdu les îles de Cebu...



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          • #50
            Rapport de la STAVKA : période juillet-aout 1941

            l'Allemagne et ses alliés ont finalement franchi le Rubicon et ont lancé l'assaut contre l'Union soviétique. Le plan choisi par la STAVKA (dit plan 01) est un plan purement défensif tout le long de la frontière. Par conséquent de Murmansk à Odessa, les troupes soviétiques se sont déployées dans le but de ralentir au maximum les forces axistes:

            Front finlandais :

            les troupes de montagne allemande progressent vers Murmansk, plus au sud les finlandais réussissent à couper la ligne de chemin de fer Petrozadosk-Murmansk. Sur le reste du front tout est calme

            Front nord :

            les allemands ont réussi leur percée et ont progressé jusqu'au abords de Riga. Kaunas pour l'instant tient. Un corps blindé et un division de fusiliers ont été détruits dans cette avancée.

            Front centre:

            les allemands progressent lentement, les troupes soviétiques se battent avec acharnement.

            Front Sud:

            là aussi la progression est lente mais assurée. Les troupes allemands approchent des marais du Pripet et leurs alliés piétinent.

            selon le bureau de renseignement, les effectifs engagés par la Wehrmacht sont de 130 divisions d'infanterie, 5 divisions de montagne et 16 divisions blindées, auxquelles s'ajoutent une soixantaine de divisions alliées et 25 divisions finlandaise.

            les pertes sur ce premier du conflit sont équilibrées : Wehrmacht : 180 000 tués, blessés et disparus. Armée Rouge : 185 000 tués, blessés et disparus. Les finlandais déplorent 3 000 tués, blessés et disparus


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            • #51
              et alors les AAR ?
              je veux en savoir plus sur la prise de Malte, de Jitomir, et des news du front asiatique, ) vos claviers les belligérants.

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              • #52
                compte rendu STAVKA : période aout 1941-janvier 1942:

                Dire que les combats sont rudes sur le front soviétique est un euphémisme. Ils sont acharnés. L'armée rouge recule lentement et lutte avec acharnement en cédant le moins vite possible du terrain et contre attaque à la moindre occasion.

                Front finlandais:

                les troupes soviétiques attaquent et attaquent et...attaquent tout en repoussant les assauts des troupes de montagne allemandes. C'est de loin un véritable hachoir à fusiliers soviétiques.

                Front Nord :

                Kaunas puis Vilnius puis Grodno sont tombés mais Baranowizce a tenu vaillamment. La ligne semble stabilisé

                Front Ukrainien:

                théâtre des principaux combats et lieux de la plus grande progression allemande même si elle reste limitée et qu'aucun encerclement ou percée stratégique n'a eu lieu, malgré une supériorité aérienne écrasante.

                Odessa, vinnitsia puis zhytomir sont tombés. ce sont des centres logistiques important et l'armée rouge va devoir réorganiser ses approvisionnements. L'armée allemande s'approche donc de Kiev.

                Pertes au 28 janvier 1942:

                Allemands : 500 000 (+320 000)
                Finlande : 56 000 (+53 000)
                URSS : 877 000 (+585 000). Près de 293 000 de ces pertes sont imputables aux finlandais. Les pertes contre les allemands sont donc équilibrés ( 577 000 versus 500 000)




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                • #53
                  AAR de la 4e session (7 avril) : 19 août 1941- 28 janvier 1942.

                  Afrique
                  L'Ethiopie résiste toujours !
                  Aux 24 divisions britanniques s'ajoutent désormais 26 divisions US. Mais c'est toujours insuffisant pour venir à bout des 25 divisions du prince Armédéo.

                  En Egypte, le front est resté stable quasiment toute l'année 1941. Cependant, lors des opérations de Malte, Guderian est sorti de ses retranchements (4 PzD) et a littéralement agressé les britanniques tranquillement installés dans le désert (25 divisions). Le rush est irrésistible, la ruée manque de peu d'encercler Monty dans les sables avec la prise de Marsa Matruh. Mais 4PzD est un effectif trop faible pour affronter un adversaire six fois plus nombreux, sous couverture aérienne intégralement ennemie. Les motorisés italiens essaient de donner le change en étoffant le flanc défensif allemand, mais elles n'ont pas assez de punch offensif.
                  L'affaire se solde par un retour à la frontière en bon ordre, à l'abri des fortifications de Bardia. Entre temps, un corps blindé US (5 divisions) est arrivé en renfort pour suppléer aux deux DB lourdes de Sa Majesté.

                  Malte
                  En fait, c'est sur Malte que l'attention du Commando Supremo s'est reportée.
                  L’île insolente sert de tremplin aux sous marins et nargue le trafic maritime et aérien de l'axe.
                  La Luftwaffe se charge de la chasse britannique et assure la sécurité de l'espace aérien. Un acte de sabotage italien immobilise la Home fleet pour quelques temps, tandis que, montés sur leurs canots pneumatiques, les marines du Duce prennent la mer, couverts par la Reggia Marina. A noter l'appui d'un canon géant monté sur rail du Reich depuis la Sicile, le Gustav, dont les obus de 7 tonnes écrasent les meilleurs blockhaus.
                  Au terme d'une lutte acharnée, l'île succombe.

                  Guerre aérienne en Europe.
                  Elle se résumera à une incursion américaine en Bretagne, fructueuse au début, puis se terminera par le repli des forces aériennes face à la supériorité numérique des FW-190.

                  Guerre sous-marine.
                  Les chiffres parlent d'eux même : pour le mois de janvier, les Alliés ont perdu 56 cargos, dont 12 brésiliens (le Brésil est entré dans la guerre). Le mois précédent, ce sont 100 cargos qui ont été coulés, dont 26 soviétiques et 58 britanniques. Depuis le début de la guerre, 1123 autres cargos ont été coulés. Les soviets, eux, en ont perdu plus d'une centaine.
                  Les pertes en U-boat de type III (avec schnorkel) sont voisines de 100, ce qui met à terme aux légendes relatives sur leur invulnérabilité.
                  La Home fleet est en passe de contrer l'efficacité des submersibles.
                  A noter les bonnes performances de la marine italienne.

                  Front russe...
                  Comme toujours, c'est sur ce théâtre que les combats sont les plus acharnés.
                  Du nord au sud, l'offensive a progressé. S'il n'a pas été possible de franchir la Duna, en revanche, Kaunas, Grodno et Vilnius sont tombées. Minsk n'est guère à plus de 50 km du front.
                  Au centre, l'armée Rouge a été refoulée dans les marais du Pripet,et, fait marquant, le glacis défensif de l'Ukraine occidentale a été pris. De vastes plaines enneigées s'offrent à la vue des panzers. D'ailleurs, l'hiver n'a pas engendré de ralentissement dans le déroulement des opérations.
                  L'arrivée d'un corps blindé à la frontière roumaine a mis un terme à la résistance soviétique. Avec la prise de Vinitza, les territoires de Balta, de Tiraspol et d'Odessa sont passés sous contrôle roumain.
                  Pendant ce temps, une attaque particulièrement violente a pris le grand dépôt de Jitomir.
                  Les soviétiques ont rassemblé de grandes forces blindées pour défendre Kiev.

                  Finlande.
                  Ce théâtre est le témoin de combats particulièrement meurtriers.
                  La contre offensive russe débute début septembre et va durer des mois.
                  Le but est de reprendre la voie ferrée coupée au nord du lac Onega.Ce sera une réussite coûteuse. Puis, une autre offensive sera lancée au nord du lac Ladoga. Les gains seront minimes, avec pour seule capture la ville de Lappeenranta.
                  Mécontent de ces résultats le maréchal Bibraxovitch se lance alors dans une succession d'opérations de débarquement. La première consista en la prise de l'île de Marienham, et ne posa aucune difficulté. Fort de ce succès, il se hasarda au nord du golfe de Botine, visant les routes commerciales de Oulu vers la Suède. Le premier débarquement déjoua la Kriegsmarine, mais il tomba sur les spécialistes finlandais du rejet à la mer. Plusieurs divisions périrent en vue du précieux rail.
                  La seconde tentative fut interceptée par les navires de surface du Reich. Ce fut un massacre. Les survivants qui s'échouèrent sur les plages furent cravatés séance tenante.
                  Dans l'extrême nord, les alpins de Ernst ont pris un territoire de plus mais sont stoppés par une défense tenace.

                  Pacifique.
                  Les USA infligent de lourdes pertes en effectifs au Japon.
                  Ses conquêtes se résument à Hongkong, un peu de territoire de la Malaysie, quelques îles non loin de Port Darwin.

                  Les pertes
                  UK : 338 000 (58800 Reich, 279000 Italie)
                  Allemagne : 701 000 (500 000 URSS, 201 000 Alliés)
                  Italie : 311 000 (206 000 UK)
                  URSS : 546 000 (GER) + 293 000 (Finlande)
                  Australie : 61 000
                  USA : 56 000 (Allemagne)
                  Finlande : 56 000 (URSS)

                  Prochaine session le 14 /04 à 20h30.

                  Du fait de l'absence de joueur japonnais, il convient de poser quelques règles :

                  - seule, la moitié de la flotte US (par type de navire) peut participer aux opérations en Europe/Méditerranée.
                  - le Japon ne peut être envahi avant 1945.
                  - la Grande Bretagne ne peut pas engager en extrême orient plus de 1/4 de sa flotte (par type de navire : ex, si 8 cuirassés, max 2 en Asie)

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                  • #54
                    Finlande.
                    Ce théâtre est le témoin de combats particulièrement meurtriers.
                    La contre offensive russe débute début septembre et va durer des mois.


                    et encore ce n'est rien (que des hommes), c'est de l'échauffement comme dit Staline, les assauts à la Cosaque ne font que commencer

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                    • #55
                      Envoyé par bibrax Voir le message
                      Finlande.
                      Ce théâtre est le témoin de combats particulièrement meurtriers.
                      La contre offensive russe débute début septembre et va durer des mois.


                      et encore ce n'est rien (que des hommes), c'est de l'échauffement comme dit Staline, les assauts à la Cosaque ne font que commencer
                      Pauvres finlandaises...
                      Bon, alors je vais refiler un peu de matériel à Mannerheim... ;-)
                      Dernière modification par Balthaur, 10-04-2024, 13h31.

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                      • #56
                        AAR de la 4e session (7 avril) : 19 août 1941- 28 janvier 1942.


                        Afrique et Méditerranée :
                        L'Ethiopie résiste toujours. Le terrain montagneux et le manque de ravitaillement rendent les opérations compliquées. Ne pouvant se disperser sur des fronts secondaires, le commandement Allié a décidé de geler les opérations en n'y attribuant que des troupes de troisième ordre.

                        En Lybie, les combats font rage. Fidèle à sa lâcheté et ayant dû se résoudre à passer à la défensive, le commandement axiste a fortifié la région au-delà du concevable. Face à sa fourberie prévisible, le commandement allié est pour l'heure en difficulté après de petits accrochages non concluants contre les défenses renforcées. Mais que les Axistes sachent bien que le temps de la souffrance viendra bien pour eux, et qu'il viendra vite.

                        Seuls véritables grains de sables, les affaires de Malte et une opération spéciale italienne contre la flotte britannique assurent pour un temps qui sera bref la suprématie axiste en Méditerranée. Vieille forteresse démodée, Malte a résisté à tous les assauts avant de devoir capituler avec les honneurs face à une force d'invasion disproportionnée qui a dû mobiliser le commandement italien pendant de longs mois, là où ses troupes en surnombre étaient incapables d'avancer sur Suez pourtant bien plus importante.


                        Guerre de l'Atlantique :

                        Après un temps de flottement compréhensible face à la mise en service d'un nouveau modèle de sous-marins allemands rendant leur neutralisation difficile, le commandement allié a trouvé la parade. Si les Alliés essuient encore des pertes en convois, celles-ci sont largement compensées par la montée en puissance du Géant Américain. Quant aux équipages de submersibles, leurs veuves sont de plus en plus nombreuses. Les premiers bombardiers américains se sont même distingués en Europe : étant en mesure d'acquérir aisément la supériorité aérienne où qu'elle intervienne, l'US Air Force a mené de nombreux bombardements sur les ports de la côte française où se réparaient péniblement les escadres allemandes fatiguées, infligeant des pertes satisfaisantes pour le commandement et obligeant l'Allemagne à déplacer sa zone de réparation. Qu'elle sache cependant que rien n'est hors d'atteinte, et certainement pas le cœur de l'Allemagne.

                        Enfin, si les USA ont pu déplorer la capture d'un espion, cela ne les ralentira pas.



                        Guerre du Pacifique :

                        Défaite à de multiples reprises, la flotte japonaise n'est d'ores et déjà plus une menace globale face aux forces navales américaines pourtant très inexpérimentées du fait d'une impossibilité pour elles de s'entrainer dans de bonnes conditions. Toutefois, le commandement de l'US Navy reste vigilant, en particulier face aux nombreux sous-marins, décidemment l'arme des lâches, et se prépare aux ultimes confrontations qui permettront d'isoler les forces japonaises sur leurs îles principales.

                        L'Australie seconde efficacement l'US Navy sur ce théâtre, en luttant pied à pied en Indonésie et en Malaisie. Tout terrain y est défendu pied à pied et toute île occupée par le Japon est sous la menace constante d'un débarquement.

                        Les îles principales restent cependant très pourvues en troupes et tout débarquement allié doit y être mené avec la plus grande force possible, et certainement pas en prenant l'affaire à la légère. Le commandement allié n'attend pas de victoire définitive à court terme sur ce théâtre, en particulier si les troupes d'assaut amphibie doivent être missionnées sur d'autres théâtres plus prioritaires.





                        Envoyé par Balthaur Voir le message

                        Du fait de l'absence de joueur japonnais, il convient de poser quelques règles :

                        - seule, la moitié de la flotte US (par type de navire) peut participer aux opérations en Europe/Méditerranée.
                        - le Japon ne peut être envahi avant 1945.
                        - la Grande Bretagne ne peut pas engager en extrême orient plus de 1/4 de sa flotte (par type de navire : ex, si 8 cuirassés, max 2 en Asie)
                        Balthaur Alors par principe, je ne suis pas d'accord avec l'idée de changer les règles en milieu de partie. Ce qui se passe dans le Pacifique est prévisible : même boostée, l'IA ne sait pas jouer le naval. Par contre, pour l'avoir testé, le débarquement sur le Japon n'est pas simple : il faut vraiment y aller et pas genre avec 12 divs de marines moyennes et des troupes de base. De fait, ça veut dire y mettre tous les marines + des troupes lourdes pour avancer, et donc ne pas les avoir en Europe.
                        J'ai donc bossé ma stratégie en conséquence et ça doit rester un choix qui appartient aux Alliés et qui dépend de la situation en Europe. En gros, si je me focalise sur le Japon, on ne débarque pas rapidement en Europe avec ce qu'il faut (à part peut-être les îles et des coins particuliers). Et donc tu as plus de temps pour avancer sur l'URSS ou te fortifier (et dans ce cas, je ferai perdre mon camp en n'allant pas en Europe). Mais ça doit rester notre choix et ne pas être imposé par les règles. À l'Axe de faire en sorte que je sois obligé de venir rapidement en Europe : ce qui est d'ailleurs le cas avec les sous-marins et la situation en Afrique/Méditerranée.

                        Pour attendre 45 avant de débarquer sur le Japon, je suis prêt à m'y ranger si tous les Alliés et URSS sont d'accord là-dessus. Mais honnêtement, je ne vois pas l'intérêt. Ok c'est des usines, une menace en moins, mais je me répète, l'IA boostée fait que je dois tout de même m'y engager lourdement, et ça prend du temps.

                        Par contre, je refuse toute imposition de règles quant à ma flotte : je décide ce que j'en fais, et je ne vais certainement pas laisser la moitié de mes navires (même les moins bons) dans le Pacifique pendant 3 ans (42/43/44 entiers) s'il n'y a plus de marine Jap et que, en plus, je ne peux pas y débarquer. ça n'aurait aucun sens.



                        Enfin, sache qu'on a un grave problème de lend-lease, sans doute un bug, car la plupart des LL qu'on fait n'arrivent pas à destination et bloquent des convois (pourtant, on a les convois, ils ne se font pas suffisamment couler, et le matériel convoyé est en quantité adaptée).


                        Thoren

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                        • #57
                          Envoyé par Thoren76 Voir le message
                          AAR de la 4e session (7 avril) : 19 août 1941- 28 janvier 1942.


                          Alors par principe, je ne suis pas d'accord avec l'idée de changer les règles en milieu de partie. Ce qui se passe dans le Pacifique est prévisible : même boostée, l'IA ne sait pas jouer le naval. Par contre, pour l'avoir testé, le débarquement sur le Japon n'est pas simple : il faut vraiment y aller et pas genre avec 12 divs de marines moyennes et des troupes de base. De fait, ça veut dire y mettre tous les marines + des troupes lourdes pour avancer, et donc ne pas les avoir en Europe.
                          J'ai donc bossé ma stratégie en conséquence et ça doit rester un choix qui appartient aux Alliés et qui dépend de la situation en Europe. En gros, si je me focalise sur le Japon, on ne débarque pas rapidement en Europe avec ce qu'il faut (à part peut-être les îles et des coins particuliers). Et donc tu as plus de temps pour avancer sur l'URSS ou te fortifier (et dans ce cas, je ferai perdre mon camp en n'allant pas en Europe). Mais ça doit rester notre choix et ne pas être imposé par les règles. À l'Axe de faire en sorte que je sois obligé de venir rapidement en Europe : ce qui est d'ailleurs le cas avec les sous-marins et la situation en Afrique/Méditerranée.

                          Pour attendre 45 avant de débarquer sur le Japon, je suis prêt à m'y ranger si tous les Alliés et URSS sont d'accord là-dessus. Mais honnêtement, je ne vois pas l'intérêt. Ok c'est des usines, une menace en moins, mais je me répète, l'IA boostée fait que je dois tout de même m'y engager lourdement, et ça prend du temps.

                          Par contre, je refuse toute imposition de règles quant à ma flotte : je décide ce que j'en fais, et je ne vais certainement pas laisser la moitié de mes navires (même les moins bons) dans le Pacifique pendant 3 ans (42/43/44 entiers) s'il n'y a plus de marine Jap et que, en plus, je ne peux pas y débarquer. ça n'aurait aucun sens.



                          Enfin, sache qu'on a un grave problème de lend-lease, sans doute un bug, car la plupart des LL qu'on fait n'arrivent pas à destination et bloquent des convois (pourtant, on a les convois, ils ne se font pas suffisamment couler, et le matériel convoyé est en quantité adaptée).


                          Thoren
                          C'est pour cela que je voulais que l'IA jap soit boostée au max, comme elle ne sait pas jouer le naval.
                          Il est évident que s'il n'existe plus de Jap (flotte et/ou nation), tu puisses évidemment disposer à ta guise de toute ta marine.

                          J'ai émis ces idées d'ajouts de règle dans le but de compenser l'absence de joueur Jap.
                          C'est un avantage énorme dont vous disposez, d'autant plus que je suis seul à gérer l'Allemagne.

                          Si de votre côté, vous subissez un bug sur les lend lease, de notre côté, on a aussi des surprises.
                          A commencer par l'impossibilité de commercer avec la Suède et embargo de l'Iran (des fois, je me retrouve avec un stock de 30 j de carburant, donc je dois faire un choix : cesser les attaques blindées ou dégarnir l'espace aérien). La Roumanie étant IA, faut pas trop compter dessus pour son pétrole : elle en produit bien moins et surtout, les livraisons ne sont pas gratuites tandis que c'est le cas lorsque qu'elle est jouée.

                          On en reparlera dimanche soir et on décidera rapidement tous ensemble.
                          Mais c'est vrai que tes arguments, en matière de choix stratégiques (extrême orient ou Europe) sont à peser.
                          Moi aussi je ne suis pas pour ajouter des règles en cours de route, mais là, je dois dire que je n'y ai pas pensé sur le moment.

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                          • #58
                            Sur l'IA japonaise, ça n'aurait rien changé au naval mais ça aurait rendu encore plus compliqué une invasion des îles principales. ça m'aurait simplement obligé à attendre 45 pour balancer 2 bombes atomiques et au revoir, car je ne peux pas laisser tomber le front européen. Là, j'ai un peu plus de choix de stratégies et c'est peut-être mieux pour l'Axe car j'ai toujours l'hésitation à aller débarquer là-bas en force pour y gratter les usines et permettre à tous les alliés de se tourner vers l'Europe.

                            Pour compenser, et en notant bien tes remarques et problématiques rencontrées par les deux camps, je peux proposer les choses suivantes :

                            - Pas de débarquement au Japon avant 45 (en l'état, je peux y aller dès 43 si je veux un truc bien préparé, mais avec rien pour débarquer en Europe pendant l'invasion, donc du quitte ou double basé sur la capacité de résistance soviétique)
                            - L'US est libre de jouer sa flotte comme il l'entend
                            - L'Axe n'est pas obligée de faire l'opération Anton dès l'entrée en guerre de Vichy, mais à partir du moment où l'Afrique du Nord est tombée. Par contre, pas de débarquement allié dans le Sud de la France avant la chute de l'Afrique du Nord (mais les Alliés ont bien sûr le droit d'aller en Corse et en Italie, et dans le Nord de la France)
                            - Suède : du fait de l'embargo suédois, l'Axe peut l'attaquer s'il veut.

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                            • #59
                              bonsoir à tous,

                              on en rediscutera dimanche.

                              Néanmoins tout les bugs n'ont pas le même impact et je suis contre également d'ajouter des règles pendant une partie.

                              Je pense par ex au pétrole. L'Allemagne a une grande capacité industrielle. elle peut encore faire quelques usines d'essence synthétique sans que est un réel impact sur sa capacité de production.

                              Je n'ai aucun chasseur reçu depuis juillet 41 sans que l'on sache réellement pourquoi. J'ai des convois (470).
                              et les routes maritimes sont ouvertes.

                              Dans les précédentes parties je recavais sans problème l'aide alliée (si Mouchi etait là il pourrait le confirmer).

                              En 6 mois j'avais récupéré 2000 chasseurs 2000 !!! là 0 !!

                              Quand toute une stratégie a été mis en place selon une aide planifiée, l'impact est majeur et il n'y a aucun moyen de modifier quoique ce soit.

                              Avant le début de la GPO j'avais alerté sur le cas de Vichy. Ne changeons rien à cela. Anton devra être réalisé et les alliés de toute façon devront batailler un vichyste qui aura beaucoup de divisions même médiocre.

                              Mouchy avait mis 6 mois quand même pour occuper la plus grande partie des territoires vichyste si je me souviens bien (j'irai voir la save pour confirmer)

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                              • #60
                                OK, bah si Thoren a déjà planifié et mis en application une partie de ses choix stratégiques vis à vis du Jap, alors ne changeons rien.

                                Par contre, si l'Allemagne construit des raffineries :
                                1/ ce n'est pas suffisant pour suppléer à la demande
                                2/ pas de place disponible (sauf en territoire occupé, mais ce serait ballot de faire ça ; rendement dépendant de la collaboration, et c'est inférieur à 60%)
                                3/ si place disponible mais au détriment d'usines à démolir, ça réduit la capacité industrielle

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