[Krissotep]

PS : est-ce que quelqu'un a le lien du discord Mundus pour éventuellement passer discuter quand vous vous réunissez ?

Bonne journée à vous

Salut ! le lien :

https://discord.gg/PVMyk63r

[Kellermann]

Merci beaucoup, c'est rejoint !

[Thoren76]

Salut à tous,

Petit message pour vous dire que je trouve vos différents comptes-rendus de fin de partie super intéressant à suivre de loin, merci à vous pour ce partage.

Si une nouvelle partie se prépare après celle-ci, ce serait un plaisir de pouvoir me joindre à vous, si cela est possible !

PS : est-ce que quelqu'un a le lien du discord Mundus pour éventuellement passer discuter quand vous vous réunissez ?

Bonne journée à vous

Merci ! Si tu veux passer faire un coucou, la prochaine session de la partie en cours aura lieu le 26 mai

[Flokiller83]

Bonjour messieurs
je voulais savoir si se soir il y a la partie ou pas

[bibrax]

Salut Flokiller83, pas ce soir mais la semaine prochaine.

[Wstein]

coucou la team, vous etes sur que l'on joue le dimanche 26 mai?

[Kellermann]

Merci ! Si tu veux passer faire un coucou, la prochaine session de la partie en cours aura lieu le 26 mai

Salut Thoren,

Merci pour ton message, je suis disponible ce dimanche 26 mai au besoin s'il vous faut un remplaçant, je passerai dans tout les cas dire bonjour.

Bonne semaine à vous

[Balthaur]

Salut Kellermann ,
Nous jouons donc à partir de 20h30, jusqu'à 23h00.
Tu es le bienvenu, mais à ce stade de la partie, tu seras recruté dans l'axe (il y manque 2 joueurs depuis le début), ce qui sera un véritable bâton merdeux. En tout cas merci de ta proposition.
Mouchi s'est bravement proposé de combattre à mes côtés en tant que 2e allemand, il ne te reste que le Japon (quasi sans marine) avec une armée de terre nombreuse. De quoi bien contrarier notre adversaire australien.
Sache également que cette session a de fortes chances d'être la dernière de cette partie, la situation contre les alliés n'est pas brillante.

Compte rendu de la 9e session : sept 1943 à février 1944.

Je ne me consacrerai qu'au front ouest, vu qu'il a été particulièrement mobile.
Le front Est est en situation quasi stationnaire, les soviétiques ayant été mis en échec à chacune de leurs attaques sanglantes, habilement contrés par Mouchi.
Un débarquement moujik en Bulgarie s'est soldé par un fiasco, une armée complète les y attendait.
La Finlande résiste encore et toujours aux hordes Rouges, le front est ici aussi, stabilisé.

Campagne de France.
Un défaut d'attention de l'OKW a permis aux divisions US de franchir la Loire et de conquérir peu à peu tout l'ouest de la France : la Rochelle, puis Bordeaux, puis Toulouse. Puis Montpellier. La progression est relativement aisée, sous le couvert d'une écrasante supériorité aérienne et en plaine.
Les choses se corsent avec le changement de la nature du terrain : forêts, montagnes du Massif Central, voilà qui ne convient pas aux marines et aux unités amphibies. Les blindés sont à la peine.
La Wehrmacht ne déplore alors aucune perte et se replie en relativement bon ordre.
Mais la connexion avec la péninsule ibérique est perdue, ce qui met un terme aux transactions commerciales avec le Portugal, notamment en tungstène.

Le Duce contribue à la défense de la vallée du Rhône en y engageant des alpins, des blindés, et oppose une étonnante barrière fortifiée à l'avancée alliée.

C'est plus au nord que la situation se complique.
Le sud étant impropre aux unités mécaniques, le combat se reporte entre la Seine et la Loire.
Les alliés s'enfoncent en pointe profondément vers l'est : Dijon tombe, la frontière Suisse est atteinte. Mais là aussi, le terrain leur impose une saignée en personnel et en matériel.
L'effort est reporté une fois de plus au nord.

Entre temps, Churchill a ordonné un autre débarquement au niveau du Pas de Calais étendu jusqu'au port d'Anvers, concurremment avec des attaques américaines visant à franchir l'estuaire de la Seine.
Le franchissement de la Seine en aval de Paris sauve le débarquement d'un échec probable, une véritable armada de divisions axistes (roumaines, bulgares, hongroises, des reichkommissariats etc) affluent de toutes parts et encombrent les unités de la Wehrmacht, souvent mises en déroute alors qu'elles n'ont pas combattu.

Paris est occupée par un corps d'infanterie de 4 divisions (commandement Von Choltitz) et repousse avec brio plusieurs attaques. Les US n'insistent pas. Mais la capitale est menacée d'encerclement par le nord avec la déroute des "alliés axistes".
Paris doit être abandonnée : le retentissement est mondial...
Une tourbe de divisions en déroute est peu à peu refoulée jusqu'en Belgique. Une ligne de défense se constitue avec de nouvelles forêts faciles à défendre.
La ville de Metz, le Luxembourg sont sur le front. Mais britanniques et américains n'iront pas plus loin dans ce secteur : fortifications, nature du terrain les tiennent en échec comme l'attestent quelques timides assauts repoussés facilement.
Tout l'est de la France reste à l'Allemagne, notamment ses précieuses ressources en fer.

Campagne du Bénélux.
Pendant quelques courtes semaines, le front se stabilise au niveau de la frontière franco-belge. Il faut dire que les "alliés axistes" attaquent comme des fous (je n'en ai pas le contrôle) et se font écharper au lieu de se retrancher bien sagement en profondeur, au lieu d'assurer la rotation d'unités épuisées par la montée en ligne de troupes fraîches.
Bien sagement, les alliés attendent que ces assauts meurtriers cessent pour reprendre leur avance.

Mais Churchill est aussi impatient que le Führer l'a été par le passé : il veut que la guerre prenne fin au plus tôt.
Il ordonne un débarquement de 6 de ses meilleures unités au Danemark, dans la région d'Holsebro (côte ouest), qui vise à couper en deux le Danemark en son centre.
Les renforts arrivent pendant que durent les combats contre les défenses côtières : 6 PzD commandées par Bittrich. Et cette fois, point d'erreur leur ordonnant de bouger. En même temps, la Kriegsmarine effectue une sortie (suicidaire, il faut bien l'avouer) pour intercepter les convois. L'aviation, tactique est de la partie : Stukas contre les forces débarquées, Dorniers en mer couverts par la chasse.
La flotte est en partie détruite, mais les unités amphibies ne font pas le poids face aux Panther. Qui plus est, elles se sont épuisées en assauts visant à s'emparer des ports.

Le corps d'armée de Horroks capitule. La fleur de l'armée britannique a vécu...

Entre temps, la situation s'est à nouveau dégradée en Belgique.
Marines et amphibies attaquent les nombreuses divisions désorganisées qui s'étalent entre Escaut, Meuse, Rhin.
Impossible d'agir efficacement dans toute cette bouillie de divisions. Les trois cours d'eaux sont franchis sous le couvert d'une aviation redoutable.
Combiné avec un nouveau débarquement le long des côtes néerlandaises, la défense est à nouveau compromise. Et cette fois, la Wehrmacht enregistre des pertes.
Les alliés abordent l'Allemagne... Alors que l'armée allemande est encore déployée en Belgique, le long de la Meuse.
Au nord, ils sont stoppés devant Brême, entourée de marais.
Au sud, la Ruhr est menacée et mise en défense. Le terrain s'y prête à merveille : rien de tel que de la guérilla urbaine...
Seul, le front menace de s'ouvrir devant Munster, là où le terrain n'est que plaine à perte de vue...

[Wstein]

pouvez vous me confirmer si on joue dimanche 26 mai?

[Balthaur]

pouvez vous me confirmer si on joue dimanche 26 mai?

Yess !

[Thoren76]

Ok pour moi aussi !

[Olrik]

Présent !

[Souris]

Bonjour, debutant dans le multi serais ce possible de vous joindre? J aimerai pouvoir tester les capacités de ma machine connexions et puis si possible faire un pays sans grand impact au vu des mes prestations.

[Thoren76]

Bonjour, debutant dans le multi serais ce possible de vous joindre? J aimerai pouvoir tester les capacités de ma machine connexions et puis si possible faire un pays sans grand impact au vu des mes prestations.

Salut Souris N'hésite pas à passer sur le discord de Mundus dimanche soir vers 20h15. On fera la prochaine et peut-être dernière session de la partie en cours. Déjà, il y aura peut-être besoin d'un remplacement mais aussi tu pourrais prendre un pays lambda ou te mettre en observateur pour voir si ton PC/ta connexion arrivent à suivre.

[Wstein]

Compte rendu STAVKA : période février-juillet 1944:

Le mois de février s'est déroulé comme les précédents : là où le temps le permettait, les forces soviétiques attaquaient depuis le marais du Pripet ou à l'ouest de Kiev avec chaque fois le même résultat ; des pertes lourdes pour aucun gain et des fortifications ennemies intactes.

le mois de mars s'écoule ponctué d'attaques soviétiques toujours dans la zone comprise entre le sud des marais du Pripet et l'Ukraine méridionale. A noter des combats aériens intenses où les ailes rouges réussissent à maintenir la supériorité aérienne même si sur des courtes périodes, la Luftwaffe inflige des pertes sensibles.

le mois d'avril débute et voit des mouvements d'unités ennemies depuis la zone ouest du marais du Pripet vers le front ouest où les alliés effectuent des avancées significatives. Le terrain est boisé, certaines régions en plaine fortifiée mais globalement la zone semble à la portée d'une armée rouge qui ne cesse de se renforcer notamment avec la mise en production du nouveau char lourd KV-1 qui vient ajouter un bataillon dans le nouveau TO&E des corps blindés dit d'assaut.

La STAVKA décide d'attaquer et à cette fin, crée un nouveau front baptisé Front du Pripet et le dote de 4 armées dont une armée tirée de sa réserve stratégique. 4 nouveaux corps d'assaut sont crées et 4 autres sont retirés d'autres secteur. Le front du Pripet totalise donc 48 divisions dont 8 CB assaut. En face une dizaine de divisions d'infanterie et pas loin des divisions blindées prêtes à leur porter secours.

15 avril : l'assaut est donné : premier échelon une vingtaine de divisions. supériorité aérienne, artillerie sur train, corps blindés assaut....900 CAS et cela patine...on fixe les renforts par des assauts connexes. La chasse allemande sort en nombre on relève le gant. C'est une bataille d'attrition qui se développe dans les airs et sur terre. de proche en proche de nouveaux combats s'allument afin de fixer l'ennemi au mieux et d'empêcher le transfert de troupes.

La STAVKA prélève d'autres corps blindés ainsi que de nouvelles divisions d'infanterie et les jette dans la fournaise et d'un coup au nord ouest de Minsk, le front ennemi craque malgré la présence de fortifications. C'est l'occasion tant attendu pour enfin obtenir une vraie percée. Tout en maintenant une pression constante à l'ouest du marais du Pripet, la STAVKA réussit à concentrer près de 8 corps blindés d'assaut et à les lancer dans la brèche, suivi par de nombreuses divisions d'infanterie. On attaque partout ailleurs pour fixer l'ennemi au prix de pertes très lourdes, mais l'ennemi n'arrive pas à renforcer la zone attaquée et les corps blindés progressent enfin !

Vilnius est en vue et attaquée dans la foulée ! toute l'aile gauche allemande tenant le front entre Riga et le sud est de Daugavpils est en danger d'être tourné ! D'ailleurs les allemands réagissent et commencent à retraiter. Les troupes sont bien entendues attaquées par nos forces afin de les fixer même si là encore les pertes sont lourdes.

mai 1944, Vilnius est libérée ! et on pousse vers Kaunas ! les troupes allemandes reculent maintenant en désordre et libèrent ainsi de nombreuses divisions qui viennent alimenter notre offensive. La libération des territoires baltes est à présent à l'ordre de jour, chose encore impensable il y a quelques mois. Les troupes soviétiques foncent sans se préoccuper de leurs flancs et le risque pris paie: en un mois les pays baltes sont libérés, Kaunas est repris, la place forte de Novogrodek (fortification niveau 9) prise !

La STAVKA décide de poursuivre son effort malgré des corps blindés pour certains au bout du rouleau mais pouvant compter sur l'arrivée de nouveaux corps blindés issus de la production s'appuyant sur une production journalière de 40 chars T34 et 9 KV-1 !

mi juin, les troupes soviétiques pénètrent en Prusse Orientale et poussent plein sud !

Juillet : Königsberg est sur le point d'être encerclé et tout le front allemand au sud de la ville est sous pression.

Grâce aux alliés, les forces soviétiques ont pu enfin ouvrir une brèche dans le dispositif ennemi et à porter un premier coup à la Wermacht !

Pertes :
Allemagne : 1 780 000 tués, blessés et disparus (+290 000 hommes)
Soviétique : 3 140 000 tués, blessés et disparus ( + 560 000 hommes)