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  • #31
    Et bien quelle session de mon coté.



    L'empereur ayant eu la décision assez folle d'envahir la Chine, le général Piwaille pris les commandes de l'armée avec un rythme très soutenue.




    Les ordres fusés de tous le cotés et le Général Piwaille était partout sur le front.
    Je fis un débarquement en carton m'apercevant trop tard que mes marines partaient a la guerre la main dans le slip.

    Je découvris la micro a grande échelle sans plan de bataille et Piwaille découvrit le changement d'heure.



    Au final nous avons finis exténués avec une Chine conquise

    Dernière modification par Souris, 29-10-2024, 10h31.

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    • #32
      Première session : 1/1/36 à nov 1939.

      Du point de vue de l'Allemagne :

      - Guerre d'Espagne : pas grand chose de différent à ajouter. 6 divisions soviétiques furent opposées à 4 allemandes commandées par Von Bock et 2 ou 3 petites divisions italiennes. Au niveau des formations aériennes, 200 chasseurs soviétiques sont opposés à 200 chasseurs allemands, dont beaucoup sont de vieux coucous He 51 progressivement remplacés par des Me Bf 109 D
      En l'espace de quelques mois, l'espace aérien est intégralement axiste, nettoyé de toute opposition. Le Duce me fait la remarque.
      Du coup, les chasseurs sont remplacés par des Stukas et des Heinkel He 111 qui matraquent copieusement les troupes au sol.
      C'est la débande.
      Deux divisions soviétiques sont cravatées alors qu'elle tentaient de se replier sur Madrid, prise dans la foulée. Les quatre survivantes allaient y passer à leur tour lorsque les républicains capitulèrent...

      - Pologne.
      Le conflit a débuté le 30 septembre. Pour un peu, le pays aurait été annexé sans autre forme de procès.
      En effet, le hasard fit que Von Ribbentrop se rendit aux Chequers fumer le cigare en compagnie du 1er lord de l'Amirauté pendant que Neville y reprisait sa redingote noire, celle qu'il portait au moment des Sudètes.
      Négligemment, le veneur du Reich lâcha une information capitale tandis qu'il exhalait une grosse bouffée.
      "Il est appréciable que vous n'ayez pas pris position en faveur des ces arrogants polonais. Nous allons leur montrer qu'ils sont dans l'erreur."
      Churchill devînt tout bleu et Chamberlain se piqua.
      Dès que le plénipotentiaire eut tourné le dos, ils se ruèrent auprès d'un opérateur du télégraphe et avertirent le gouvernement polonais de l’imminence de l'attaque allemande et offrirent leur soutien. A contrecœur...

      En effet, cette Pologne anachronique, forte de sa victoire sur les Rouges en octobre 1920, ne cessait de dire "nous ne craignons rien car on nous craint..."
      Goguenards, ils dénigraient même la nouvelle mécanisation de la Wehrmacht selon le précepte suivant : "à la Pologne, il faut une armée rustique, souple, adaptée au pays et c'est ce que nous avons. Ce qui nous permet d'ignorer les problèmes de ravitaillement, de dépannage et de circulation qui sont le propre des unités motorisées ou mécanisées..."
      L'offensive est à l'honneur, avec de superbes charges de cavalerie... Comme celles qui taillèrent en pièces celle de Boudiénny.

      Les Alliés tablaient sur 80 divisions polonaises. Lorsque se déclencha l'attaque, il n'y en avait que 30, et encore, seulement 23 sont pleinement constituées, intégralement hippomobiles, sans aucune pièce de DCA. A peine quelques centaines d'avions en bois et tissus sont opposées à la Luftwaffe qui en compte des milliers, modernes.

      En face, le führer aligne à l'est 72 divisions d'élite, 12 motorisées, 7 PzD... Rapidement, ordre est donné aux PzD de ne pas s'agiter pour économiser l'essence qui coûte cher.
      Rommel, basé en Prusse Orientale, reçoit d'entrée de jeu, à la première heure de l'attaque, une balle qui lui scalpe une partie du crâne. La campagne de Pologne se fera sans lui, transformé en une authentique momie couverte de bandelettes. Il s'ensuivit une certaine confusion dans les plans...
      N'empêche que la Pologne fut écrasée en quelques semaines.

      Commence alors la drôle de guerre.



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      • #33
        Salut. Suite au retrait de Wstein, on recherche un remplaçant J2 US ou Canadien sur la partie en cours. Dimanche soir 20h30/23h vanilla sans mod, partie histo. Game arrêtée en février 40. Prochaine session ce dimanche à 20h30.

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        • #34
          Salut à tous !

          Souris a très bien résumé la soirée de dimanche dernier : ça va on gère tranquillement les recherches, les technologies... puis me fait remarquer que ça va bientôt être le moment de la guerre...
          -Ah oui faut mettre les divisions sur le front.
          -Et les généraux ?
          -Ah oui faut voir qui on affecte à quelle armée !
          -Y'a l'aviation aussi !
          -Ah oui ! Et euh on a construit des aéroports ?

          La guerre commence, tout se passe bien, Beijing tombe rapidement, tout va bien. On déroule dans le nord, on débarque dans l'est, tout va vite. Très vite. Trop vite !

          Les lignes s'étirent, les divisions font n'importe quoi ! Alors aux grands maux les grands remèdes : suppression des lignes de front, micro-gestion ! Et là, c'est le drame !

          Un petit espace de rien du tout et 7 divisions chinoises qui s'élancent joyeusement en direction du Manchoukouo ! Rapatriement de renforts, rétablissement de la ligne de front, le tout pendant que Souris débarque au sud.

          Les troupes bloquées au centre devant Wuhan sont finalement aidées par les renforts du sud qui remontent. Ensuite, c'est capture the flag : on fonce sur la capitale Chongking !

          Bilan des opérations : une division japonaise perdue corps et biens, un nombre indéterminé de Chinois tués, le pays totalement annexé, un Empereur satisfait et quelques gouttes de sueur

          La suite sera avec Souris qui va nous préparer un masterplan pour la conquête du Pacifique : l'Empereur a décidément de grandes ambitions

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          • #35
            Seconde session : février 40 à mai 41.

            Du point de vue de l'Allemagne :

            Campagne de Norvège :
            - le Danemark ayant rapidement mis les pouces, l'attention du Führer se reporta illico sur la Norvège. En effet, 10 divisions d'alpins soutenus par la Kriegsmarine et un puissant appui aérien, se lancèrent à l'assaut du port d'Oslo courant mars.
            La résistance norvégienne fut intense au tout début, grâce à de solides fortifications côtières. Mais une fois à terre, les alpins de Dietl mirent en fuite l'armée en défense. Des vagues de renforts suivirent en une noria ininterrompue et la traque des ennemis en fuite s'organisa.
            Pendant ce temps, l'armée française envoyait un corps expéditionnaire à Bergen. A peine déployé, la Norvège capitula consécutivement à la prise de Trondheim et les ports les plus méridionaux. Le corps expéditionnaire français fut capturé en intégralité.

            Campagne du Benelux et de France :
            - pendant ce temps, en avril, la Wehrmacht attaque les Pays Bas. Les 12 PzGr de Von Weich s'emparent du pays en un tournemain, à peine en moins de 48 h. Le Duce fut très impressionné.
            - vient le tour de la Belgique et du Luxembourg en mai. Les PzGr attaquent le long de la côte et s'emparent de Calais et de Lille. Pendant ce temps, Von Bock attaque au centre et chasse les belges des Ardennes tandis que plus au sud, 7 PzD de Guderian traversent le Luxembourg, prennent Sedan, Reims, et se scindent en deux groupes. L'un attaque sur Paris, l'autre file vers le sud, cherchant à couper la ligne Maginot du reste de la France.
            La capitale tombe début juin, et la France capitule. Le régime de Vichy est créé.
            Les soldats allemands s'emparent de la popote du GQG français non loin de Montauban et se mettent à siroter des grands crus et autres millésimes de renom.
            Les grands chefs étoilés de l'art culinaire sont récupérés séance tenante et changent l'ordinaire teuton : truffes, homards, langoustes remplacent le traditionnel menu patates-choucroute (végétarien, à l'image du Führer).

            Ailleurs, dans le monde.
            - le Japon ne s'est pas manifesté, sauf en récupérant l’Indochine française.
            - italiens et roumains se sont jetés sur la Yougoslavie et l'ont démembrée. La Grèce est en train d'y passer à son tour.
            - première apparition de la Luftwaffe en méditerranée centrale, histoire de purger l'espace aérien au dessus de Malte. La bataille aérienne s'engage. Les pertes sont lourdes au départ, le temps nécessaire à mettre en place les formations aériennes. Dès que la tendance des pertes s'inverse, l'Angleterre retire ses Spitfire. Puis les remet en place en catimini. Ses débuts sont prometteurs mais l'affaire tourne court.
            A ce moment là, le Duce avoue qu'il n'est pas prévu pour l'instant de débarquer sur Malte. Le gros Goering s’énerve : 40% de ses bombardiers bimoteurs engagés ont été descendus pour rien. Du coup, il fait cesser les opérations et laisse uniquement les chasseurs FW.
            Les pertes en chasseurs s'équilibrent, quoique plus légères pour la Luftwaffe.
            C'est alors que se produit un événement incroyable : l'anglais engage à son tour toute son aviation de soutien tactique au dessus de l'Île pourtant pas attaquée. C'est une boucherie : plus de 300 bombardiers vont au tapis chaque jour. A la fin, il n'en restera plus un seul.
            Et ils feront défaut alors que Churchill, las d'attendre l'attaque italienne en Libye, ordonne de passer à l'offensive terrestre. Elle se heurte à une solide défense, concurremment à d'autres actions aéronavales sur d'autres îles italiennes.

            Sur mer, le britannique adopte la tactique de la flotte tueuse : elle intervient sur une zone infestée par les U-Boat et les contrebat efficacement. Puis elle passe à une autre zone, et ainsi de suite. La quasi totalité des U-Boat produite en temps de paix a été coulée.
            Il faut dire que la mécanique du jeu y contribue beaucoup... Ainsi, une flotte submersible attaquée en mer du nord et endommagée, ne retourne pas en Allemagne pour réparations. Elle préfère plutôt la "sécurité" d'un petit port (niv 1) du... Groenland !

            Et Barbarossa approche... Pas un seul soldat soviétique n'est visible de l'autre côté de la frontière.

            Deux mauvaises surprises ont émaillé cette session :

            - la première concerne les fenêtres popup qui s'ouvrent au beau milieu de l'écran au moment où on clique sur une tuile. Et pas de bol, le "clic" tombe sur le mauvais choix. Ainsi, l'Allemagne ne bénéficiera pas des usines de roulements à billes suédois (perte d'un bonus de 8% de productivité en avions de chasse, chars etc...) et ce, depuis février 40.

            - la seconde concerne le roumain. Au focus d'intégration de la Hongrie et de la Roumanie qui est censé octroyer à l'Allemagne +4 usines / pays et 13 unités de matières premières (au lieu de 8) pour chaque usine civile, Olrik annonce qu'il s'est fait siphonner tout son MP de réserve. Ce qui n'était pas annoncé dans les notices.
            On a dû recharger la "save" et reprendre 3 semaines plus tôt. Heureusement que ce n'était pas à un moment critique.
            Merci à Ned pour sa compréhension.
            Dernière modification par Balthaur, 04-11-2024, 18h38.

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            • #36
              doublon
              Dernière modification par Souris, 05-11-2024, 14h20.

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              • #37
                Les nouvelles du front venaient enfin de concrétiser la victoire du général Piwaille. L’empereur SourisHito était ravi, la Chine conquise, plus rien n’arrêterait ses ambitions.

                Il serait enfin pleinement la souris Divine que son peuple a queue méritait.

                L’occasion parfaite pour demander à son miroir magique quelle souris était la plus puissante au Monde.

                « Miroir oh miroir quelle est la souris la plus puissante ? »




                Un nuage de fumée remplissait le reflet du miroir, une voie grave répondit :

                « Mon empereur vénéré vous êtes assurément le puissant parmi votre empire mais dans le reste du Monde une autre souris vous surpasse »

                L’empereur surprit :

                « Quoi ! qui donc peut bien se dresser face à l’empire Muridé ! »

                Les fumées se dispersaient, et l’on apercevait difficilement une souris difforme avec deux oreilles particulièrement grandes, même pour n’importe quelle souris. Un nez ridiculement rond adossé à un sourire béat.

                La voie grave reprit : « Il se prénomme Mickey Mouse une souris américaine mon seigneur ».



                Ce fut l'un des moments rare ou Souris-Hito fut décontenancé, toute une vie a se préparer a affronter les pires embuches et tout ceci serait remis en cause par un clown.

                Le regard noir, l’empereur sortit de la pièce, il ne pouvait accepter cela. Les servants inquiets à la vue de leur empereur attendaient les prochaines consignes qui s'annonçait on ne peut plus grave.

                De grandes choses se prépare dans l’empire mais je ne peux vous en dire plus sous peine d’être repéré par le service contre-espionnage.



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                • #38
                  Seconde session : février 40 à mai 41.

                  « Nous vous attendons, et les poissons aussi ! »


                  Cette menace triviale semble avoir porté ses fruits tant l’Axe s’est montré timoré face au dernier îlot de démocratie subsistant en Europe.
                  Les regards britanniques sont désormais tournés vers l’Atlantique où la lutte pour l’existence est un combat de chaque instant, en attendant que le phare au milieu de la nuit, la puissante Amérique, rompe enfin son isolationnisme pour venir secourir la civilisation contre une barbarie sans nom.

                  Campagnes de Scandinavie, de France et du Bénélux :
                  Occupée à contenir, avec succès, les sous-marins ennemis - véritables cercueils pour leurs équipages destinés à un unique voyage sans retour -, tout en portant ses efforts sur un réarmement à grande échelle, le Royaume-Uni n’a pu venir en aide aux nations libres agressées les unes après les autres par des forces supérieures en nombre et en armes.
                  Lors de l’agression en Europe occidentale, la Royal Air Force a toutefois pu effectuer de larges coupes sombres dans les rangs des avions d’appui aérien germaniques avant de devoir se retirer à la chute de la France.
                  Mais la résistance en Europe occupée sait désormais vers qui se tourner et des milliers d’hommes en armes arrivent chaque mois, prêts à relever le gant contre la barbarie.


                  Front de Méditerranée
                  « Les Grecs ne se battent pas comme des héros. Ce sont les héros qui se battent comme des Grecs ».
                  Impatient de conquérir sa Mare Nostrum, le Duce se montre avare d’efforts sur mer, air et en Afrique, préférant s’attaquer à des proies jugées faciles. Si la Yougoslavie a cédé en quelques jours, les Grecs sont d’autres guerriers capables de tenir en haleine « l’élite » de l’armée italienne. Proches de succomber, les Grecs ont cependant infligé près de 300000 pertes à la seule Italie.

                  Quant aux possessions britanniques, elles tiennent toujours et, lâchement barricadée dans ses ports, la marine italienne n’ose sortir pour braver son homologue, préférant laisser quelques sous-marins endurer des pertes conséquentes et l’aviation allemande s’épuiser dans des combats équilibrés qui lui seront néfastes à long terme ; même si le bomber command a à déplorer la perte de bombardiers navals imprudemment sortis pour traquer les sous-marins ennemis et dont l’ordre de repli n’a pas été transmis à temps.

                  Le reste des fronts s’est révélé statique de part et d’autre. Une courte offensive locale britannico-canadienne a pu tester les défenses italiennes établies en Lybie. Le commandement italien a dû engager ses réserves et sa précieuse aviation pour ne la repousser qu’à grand peine. Il en a été de même pour une timide attaque sur Rhodes destinée à endurcir la troupe.

                  Quoi qu’il en soit, l’Angleterre tient toujours et c’est déjà une première victoire pour le camp du Bien !


                  Dernière modification par Thoren76, 05-11-2024, 23h06.

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                  • #39
                    Bonjour, le dlc arrive demain. Est ce qu'il faut bloquer la mise a jour ou juste on désactive le dlc pour continuer la partie ?

                    Commentaire


                    • #40
                      Hello, Il faut soit empêcher la mise à jour, soit, si tu joues dans l'intervalle à la nouvelle version, sélectionner Dimanche dans les betas du jeu le patch actuel. Personnellement je ferai la 2e option.

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                      • #41
                        Bonjour à tous !

                        Je tenais juste à faire un petit message pour remercier Thoren76 d'avoir organisé la partie et à tous en général, c'était une partie sympa et je suis content d'avoir pu être là pour l'essentiel. Bonne continuation à tous avec le nouveau DLC et les prochaines GPO dessus, on verra quand je pourrai revenir
                        Et bonne ambiance de jeu avec Souris je rejouerai avec toi avec plaisir pour de nouvelles aventures épiques

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                        • #42
                          Bonjour à tous !

                          Merci Piwaille et merci les joueurs pour cette partie épique qui restera dans toutes les mémoires alliées lorsque Eleris, surgissant face au vent pour remonter le moral des Alliés, nous a fait "venez, on débarque en Italie".

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                          • #43
                            Belle partie des Alliés,
                            je viens de visionner le replay de la dernière session, c'est de la blitzkrieg à l'envers.

                            En passant, n'est-ce pas là un non respect d'une règle sur le naval ?
                            "-A l’exception des sous-marins, un amiral ne peut pas commander plus de 60 unités."

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