Quelques minutes après l’attaque du Présidentiel, suite présidentiel
Tout l’entourage du président était réuni dans sa suite, les quartiers du bunker de sécurité étant déjà investis par l’ennemi. Personne n’avait cherché à la quitté sous les conseils des officiers et des quelques gardes du corps encore présents. Ces derniers prirent position dans la salle d’attente pour tenter de retenir les assaillants.
Dans la chambre, l’incompréhension la plus totale régnait. Qui était donc ces hommes ? Des extrémistes ? Des agents d’une puissance étrangère ? Ca n’avait pas de sens, les négociations c’étaient très bien passé.
Tout à coup des coups de feu retentirent dans la salle d’attente, puis plus rien. Les officiers dégainèrent leurs armes de poing et firent reculer tous les civils. Puis ils se mirent en position autour de la porte. Le Général Rachid lui resta avec le président et lui faisait rempart de son corps.
La porte s’ouvrit et une dizaine d’hommes en armure de combat pénétrèrent dans la suite. Les militaires ouvrirent le feu mais leur pistolet ne purent rien face aux combinaisons adverses. Les assaillants répliquèrent et en quelques secondes tous les gradés gisaient dans leur sang à l’exception de Général Rachid. Tous les collaborateurs du président étaient terrorisés et s’étaient recroquevillés dans des coins en poussant de petits gémissements apeurés.
Deux hommes s’approchèrent alors du président. Le Général Rachid fit mine de s’interposer en ouvrant le feu, mais l’un d’entre eux le saisi à la gorge, lui donna un violent coup de crosse au visage et le projeta en arrière.
Il regarda ensuite le président, comme pour s’assurer qu’il s’agissait bien de lui et finit par acquiescer.
«
-Collaborez et il ne vous sera fait aucuns mal, annonça t’il simplement
-Qui êtes vous et que… commença le président »
Mais l’homme avait déjà tourné le dos et se dirigeait vers la sortie.
Alors qu’il passait le seuil un assaillant lui annonça que le général semblait mal en point.
«
-Emmenez le, on va lui faire passer un check up, inutile qu’il nous claque dans les doigts. »
Deux hommes le trainèrent alors par les épaules et tous sortirent de la suite laissant les otages livrés à eux même.
Mais alors qu’ils étaient déjà loin de la chambre présidentielle, le général Rachid fit un signe aux hommes qui le trainaient et se releva en s’époussetant. Il explosa alors de rire. Il tapota ensuite son nez ensanglanté en grimaçant, et rigola de nouveau.
«
-Et bien major, vous n’y êtes pas allé de main morte !
-J’ai bien cru y être allé trop fort mon général, répondit l’homme qui l’avait frappé, j’espère ne pas avoir été trop violent.
-Violent ? Ah mais vous l’avez été ! Mais ce n’est pas une mauvaise chose, j’aurais quelques séquelles et le peuple pourra voire ce que « m’auront fait les terriens » hahaha !
-Vous n’avez pas besoin de ça mon général, je vous ai vue répété l’annonce de la déclaration de guerre au QG, toute la nation sera derrière vous.
-Ne perdez pas votre temps en compliments inutiles major, vous avez fort à faire. Tous c’est bien passé jusqu’à présent ?
-Affirmatif mon général. Notre agent dans le secteur Calypso a respecté le timing à la seconde prêt et les bombes et virus informatiques placés par vos soins dans le bâtiment ont eut l’effet escompté. Il ne reste plus qu’a espérer que notre agent infiltré au GITT fasse son boulot.
-Il le fera, ne vous inquiétez pas. Vous pouvez disposez, vos hommes attendent des ordres.
-A votre ordre mon général, répondit le major en claquant les talons dans un claquement métallique. Groupe bleue restez avec le général, occupez vous de son visage, ligotez le et ramenez le dans la suite présidentielle, puis allez prendre les positions qui vous sont assignées. A bientôt mon général, et j’espère que ce sera dans la résidence présidentielle.
-J’y compte bien major, dit le général Rachid en souriant, j’y compte bien. »
Tout l’entourage du président était réuni dans sa suite, les quartiers du bunker de sécurité étant déjà investis par l’ennemi. Personne n’avait cherché à la quitté sous les conseils des officiers et des quelques gardes du corps encore présents. Ces derniers prirent position dans la salle d’attente pour tenter de retenir les assaillants.
Dans la chambre, l’incompréhension la plus totale régnait. Qui était donc ces hommes ? Des extrémistes ? Des agents d’une puissance étrangère ? Ca n’avait pas de sens, les négociations c’étaient très bien passé.
Tout à coup des coups de feu retentirent dans la salle d’attente, puis plus rien. Les officiers dégainèrent leurs armes de poing et firent reculer tous les civils. Puis ils se mirent en position autour de la porte. Le Général Rachid lui resta avec le président et lui faisait rempart de son corps.
La porte s’ouvrit et une dizaine d’hommes en armure de combat pénétrèrent dans la suite. Les militaires ouvrirent le feu mais leur pistolet ne purent rien face aux combinaisons adverses. Les assaillants répliquèrent et en quelques secondes tous les gradés gisaient dans leur sang à l’exception de Général Rachid. Tous les collaborateurs du président étaient terrorisés et s’étaient recroquevillés dans des coins en poussant de petits gémissements apeurés.
Deux hommes s’approchèrent alors du président. Le Général Rachid fit mine de s’interposer en ouvrant le feu, mais l’un d’entre eux le saisi à la gorge, lui donna un violent coup de crosse au visage et le projeta en arrière.
Il regarda ensuite le président, comme pour s’assurer qu’il s’agissait bien de lui et finit par acquiescer.
«
-Collaborez et il ne vous sera fait aucuns mal, annonça t’il simplement
-Qui êtes vous et que… commença le président »
Mais l’homme avait déjà tourné le dos et se dirigeait vers la sortie.
Alors qu’il passait le seuil un assaillant lui annonça que le général semblait mal en point.
«
-Emmenez le, on va lui faire passer un check up, inutile qu’il nous claque dans les doigts. »
Deux hommes le trainèrent alors par les épaules et tous sortirent de la suite laissant les otages livrés à eux même.
Mais alors qu’ils étaient déjà loin de la chambre présidentielle, le général Rachid fit un signe aux hommes qui le trainaient et se releva en s’époussetant. Il explosa alors de rire. Il tapota ensuite son nez ensanglanté en grimaçant, et rigola de nouveau.
«
-Et bien major, vous n’y êtes pas allé de main morte !
-J’ai bien cru y être allé trop fort mon général, répondit l’homme qui l’avait frappé, j’espère ne pas avoir été trop violent.
-Violent ? Ah mais vous l’avez été ! Mais ce n’est pas une mauvaise chose, j’aurais quelques séquelles et le peuple pourra voire ce que « m’auront fait les terriens » hahaha !
-Vous n’avez pas besoin de ça mon général, je vous ai vue répété l’annonce de la déclaration de guerre au QG, toute la nation sera derrière vous.
-Ne perdez pas votre temps en compliments inutiles major, vous avez fort à faire. Tous c’est bien passé jusqu’à présent ?
-Affirmatif mon général. Notre agent dans le secteur Calypso a respecté le timing à la seconde prêt et les bombes et virus informatiques placés par vos soins dans le bâtiment ont eut l’effet escompté. Il ne reste plus qu’a espérer que notre agent infiltré au GITT fasse son boulot.
-Il le fera, ne vous inquiétez pas. Vous pouvez disposez, vos hommes attendent des ordres.
-A votre ordre mon général, répondit le major en claquant les talons dans un claquement métallique. Groupe bleue restez avec le général, occupez vous de son visage, ligotez le et ramenez le dans la suite présidentielle, puis allez prendre les positions qui vous sont assignées. A bientôt mon général, et j’espère que ce sera dans la résidence présidentielle.
-J’y compte bien major, dit le général Rachid en souriant, j’y compte bien. »
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