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  • C'est la partie 'manquant' des musiques du premier MnB : With Fire and Sword, donc quelques musiques d'ambiance, de batailles, et des chants.

    Celles remplacées sont tout simplement celles de Warband.

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    • Le pied serait de pouvoir regarder les parties en direct....

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      • Ouais avec un serveur ts entre français et un plateau-repas + maquillage bleu blanc rouge devant le pc !!

        L'ambiance

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        • 7 heures 49, quelque part sur le Présidentiel

          4 courait, à bout de souffle. L’escouade suivait l’itinéraire qui se mettait à jour au fur et à mesure grâce à une IA spécialement affectée à cette tâche. Elle prenait en compte les différents accrochages entre les groupes du GITT et les terroristes pour calculer le trajet le plus sûr. Pour le moment l’escouade Gamma n’avait toujours pas rencontrait d’ennemi.
          Mais alors qu’il courait, 4 vit clignoter un icône rouge en haut à droite de l’affichage tactique de son casque. 3 interrompit alors sa course : la liaison avec le Cinglant venait d’être coupée. Tous le personnel du GITT présent sur le Présidentiel était pour l’instant livrer à eux même.

          « Et merde ! Jura 1. Escouade, on sécurise cette pièce et on s’y établit en position défensive ! »
          La porte en question, à l’autre bout du couloir se mit à luire d’une couleur doré sur l’affichage tactique de 4. 3 et 4 se placèrent alors de chaque côté pendant que 5 faisaient glisser sa main gauche sur l’ouverture. La cuirasse possédait à cet emplacement des censeurs permettant de détecter à travers une cloison les sources de chaleurs et d’électromagnétisme.
          Une phrase apparue en lettre rouge sur l’affichage de 4.

          SCAN 5/ AUCUNE MENACE DETECTEE

          La porte n’était pas verrouillée. 3, 4 et 5 investirent la pièce, sur leur garde car il était possible de tromper un scanner. La salle était vide à l’exception du cadavre membre d’équipage tué d’une balle dans la tête. La pièce était une sorte de salle de repos pour le personnel de l’étage, enfin c’était ce que 4 en avait déduit au vue de la machine à café et de la grande table qui trônait au milieu. Tout un mur de la pièce était en matériau transparent et laissez voire l’immensité de l’espace, dont le noir profond qui le caractérisait était parfois illuminé par d’immenses explosions colorées, témoins de la bataille spatial qui se déroulait à des milliers de kilomètres de là.

          L’escouade Gamma se disposa en arc de cercle dos à l’espace, armes prêtes à faire feu dés qu’une menace passerait la porte ou ferait sauter un mur.

          «
          -Putain ! Mais qu’est qu’ils foutent bordel ?

          -On fait quoi chef ? »

          Les récepteurs de leurs combinaisons ne capte aucunes communication en provenance du Cinglant. Cette liaison radio coupée pouvait être dût à une explosion d’arme nucléaire de forte puissance, à une centrale d’énergie hyper-électromagnétique qui aurait explosé ou qui n’en serait pas loin, à un champ de force particulièrement puissant prévue à cette effet ou à un virus informatique. Tout était possible, mais ce n’était pas à eux de régler le problème. Toutefois si cela persistait, ils seraient contraints d’agir seuls.

          « Oh merde ! Chef ! Regardez ! » Gémit SO12 qui s’était adossé à la vitre et tentait de reprendre des forces.

          Une boule de feu se rapprochait d’eux à toute vitesse. Derrière elle, l’espace semblait être brouillé, comme lorsqu’on regarde l’horizon par trop forte chaleur.
          4, comme le reste de l’escouade effectua un zoom avec ses censeurs visuel : un des destroyers terroristes avait était trop salement touché par le Cinglant et son équipage avait perdu tout contrôle et sa centrale hyper-magnétique qui l’alimentait en énergie était devenue incontrôlable. C’était elle qui provoquait ces distorsions et brouillait le signal avec le Cinglant. D’après l’ordinateur de sa combinaison, le vaisseau heurterait le Présidentiel dans moins de 30 secondes.

          «
          -On se casse d’ici !!! Replie vers l’intérieur du bâtiment !!!! Rugit 1 »

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          • J'ai lancé la vidéo sur le pc et ça marche !!!!
            J'écoute ça

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            • ET de pouvoir en plus parier sur bet clic !!!!!! (Non là je rigole...)

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              • Ben quoi, il suffit de préparer le coup à l'avance et de négocier la défaite de l'équipe d'en face.
                Vu le pronostic initial, parier sur les français devait donner des gains de l'ordre de 10 pour 1!

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                • Voila quelques screenshots que j'ai prise sur men of war assaut squad. J'ai vaguement essayé de les ranger par thèmes mais je n'ai jamais prit assez de screens d'une seule partie pour faire un mini AAR (de toute façon ça serait pas terrib' je pense ) .

                  Bon j'ia assez peu de photos qui valent vraiment la peine mais bon, faut bien que je passe le temps en vous faisant partager mes fonds de tiroirs non ?


                  Spoiler:


                  L'avant garde du régiment de Von Archange arrive prés d'un petit village russe. Si Max ne s'est pas trompé en lisant la carte, l'aérodrome ne devrait être pas loin. Le groupe se dirige vers le village pour y prendre position.









                  Rapidement les premiers renforts arrivent. Le colonel Von archange, sort la tête de son panzer IV pour profiter de l'air frais de la campagne russe et décide que le régiment prendra une position défensive dans le village avant d'attaquer l'aérodrome. Le renseignement affirme que le commissaire bloodyWarrior n'est pas un homme patient qui aime attendre dans son coin.


                  Il donne l'ordre à une escouade de couvrir un PAK 40 pendant qu'il se positionne dans le champ au sud-est du village et fait avancer son blindé dans le pittoresque petit village.





                  Comme vous avez pu le voire sur le screen précédant, un T-70 envoyé par reconnaissance intercepte les fantassins qui couvraient la progression du PAK 40. Un homme est à terre mais l'équipage du canon antichar a réagit promptement:



                  Un blindé léger russe et son équipage parti en fumée, 1 mort côté allemand. Ca s'annonce plutôt bien.

                  Rien ne se passe pendant plusieurs minutes. Von Archange suppose que les russes rassemble leur troupe. Il prend position avec l'escouade de reconnaissance et une escouade fraichement arrivée dans un champ à l'ouest du village. Il veut à tout pris tenir ce petit chemin de terre que les rouges nomment route.

                  Soudain le courageux colonel ferme l'écoutille et se planque dans son tigre: au loin une explosion. Que font donc les russes ?
                  Les fantassins scrutent la forêt, aux aguets et aperçoivent une automitrailleuse russe.




                  Elle n'ira pas bien loin, stoppée en plein élan par un tir bien ajusté du char du colonel.




                  Le colonel, adepte de spectacle pyrotechnique fera venir le jolie joujou du régiment, qu'il planque soigneusement dans le village et protège par une escouade d'infanterie. Une grenade bien placé et s'en est fini de ce panzerwerfer qui pourrait fortement peser dans la balance plus tard.




                  Mais que voila ? Un T-34 russe pointe le bout de son canon ! Le colonel archange gesticule pitoyablement en tout sens ! Retraite un panzer IV ne peut rien face à un monstre pareil !
                  Le T-34 conscient de cela mitraille nonchalamment les fantassins allemands qui se recroquevillent derrière leurs murets. Quelques fantassins russes sortent du couvert des bois.




                  Dans cédant à la panique la plus totale, le colonel tente de s'enfuir de son blindé en hurlant. Suite à un mouvement malhabile, il donnera un coup de pied dans le canon.

                  EPIC WIN ! Un coup heureux au défaut de la cuirasse. Juste sous le canon du T-34 soviétique.




                  "Et ben quoi ? Vous doutiez de mes talents d'artilleur fanfaronne Von Archange dans le blindé."


                  Mais un autre T-34 attaque par l'est !
                  Fort heureusement le pak 40, de l'autre côté du village a un bon angle de tir et réussis à tirer dans le moteur.
                  "Sacrés bons artilleurs, songe le colonel, décidément il faudra que je les montent en grade.




                  "Aidés par les mitrailleuses du panzers IV et bien abrités derrière leurs murets les fantassins allemands n'ont aucuns mal à repousser les pauvres soldats russes.

                  A repousser ? Non ! A exterminer ! Le commissaire BloodyWarrior a du donner des consignes très précises: "avancer où crever d'une rafale de PPH dans le dos ! Non mais !"

                  Les fantassins russes y passent donc tous en infligeant des pertes minimes aux nazis.




                  Néanmoins un tireur d'élite russes amoche mes hommes en restant planqué dans les bois. Qui aurait pensé que les russes savaient fabriquer des lunettes de précision !!!?

                  "Bon l'ennemi est assez amoché comme ça. On attaque l'aérodrome ! Il doit plus y rester grand chose" jubilait Von Archange.


                  Un panzer IV et ses deux escouades de soutien fraichement arrivés filent vers l'aérodrome, suivie à distance par le panzerwerfer.
                  "Pas de risques inutiles, leur disait le colonel à la radio, bombardez moi ces communistes avant d'avancer.




                  Le panzer prend position au bout de la piste. Une escouade ira s'embusquer dans le bois à sa gauche tandis que l'autre tente de prendre position dans la tranchée à gauche que les nazis pensaient inoccupées.





                  Aucuns n'en réchappa. Les russes sont restés planqués jusqu'au bout et les PPH sont destructeur à courte portée.


                  "VENGEANCE!!!!" cri l'équipage du panzerwerfer.





                  Alors que la fumée commence à se dissiper le commissaire BloodyWarrior ordonne à ses hommes une manœuvre suicidaire : Placer un canon antichar en plein milieu de la piste sous le feu de mon panzer IV.



                  Et Bam !!! Le remorqueur est immobilisé !! Mais le canon reste intact. Le panzer tire à nouveau rien à faire ! L'angle de tir est minuscule car le remorqueur cache quasi-intégralement le canon russe qui ouvre le feu à son tour!



                  Le panzer est immobilisé mais sa tourelle fonctionne encore ! Il réussira au bout d'une minute à aligner les servants russes.




                  EDIT: je me relirais et je continuerais un autre jour

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                  • [QUOTE]Que j'ai pris[B][U]e[\U][\B][\QUOTE]
                    Tu pourrais les mettre dans ta présentation du jeu...
                    Et je pense qu'en étoffant un peu, ça ferait un aar à part entière!

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                    • Ça manque de vue d'ensemble, de belles images...

                      Mais merci.

                      Oui j'vais mettre un lien sur ma présentation quand j'aurais fini cette escarmouche contre bloody.

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                      • Elle est pas finie?
                        Dans ce cas tu n'as aucune excuse, tu peux prendre plein de screens, et même demander à Bloody de faire aussi un aar de son côté! Ça t'apprendras à me faire confiance

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                        • Elle est finie la partie, depuis longtemps. C'est la présentation qui est inachevée là

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                          • La prochaine fois, on s'en refait une, et faudra prendre le temps pour les screens et noter les évènements ( manœuvres suicidaires ou pas )
                            Ça pourrait être cool

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                            • Le choc fut rude à l’intérieur du Présidentiel bien que le champ de force du vaisseau ait absorbé la majeur partie du choc. Des ponts entiers étaient dépressurisés, certains secteurs étaient dépourvus d’énergie et la visibilité n’y était due qu’aux multiples foyers d’incendie s’étant déclarés dans le bâtiment, et les rescapés malchanceux, prisonnier des flammes et des effondrements de la structure allaient bientôt commencer à manquer d’air.

                              Seuls points positifs, les communications avec le Cinglant étaient désormais rétablies et les terroristes semblaient opérer un mouvement de replie vers le hangar où ils avaient arrimé leurs navettes. Seul un mince rideau défensif protégeait encore les quartiers présidentiels, mais les forces du GITT, gênait par les dégâts causés par le crash peinait à avancer. Seuls trois personnes avaient franchis le périmètre de sécurité.

                              En effet, alors que le groupe gamma fuyait les extrémités du bâtiment, la coursive qu’ils traversaient s’est effondrée derrière l’avant-garde, tuant la moitié des hommes et séparant les premiers des derniers membres de la formation.

                              « Putain ! C’est bien ma veine ! » Jura 4 en se rendant compte que son fusil d’assaut était inutilisable et que son armure n’était plus qu’à 60% d’efficacité après avoir était violement propulsé sur une dizaine de mètres.

                              Devant, il vit 3 se relever, avancer de quelques pas et se mettre en position à un croisement entre deux coursives. Il se retourna alors et vit 5, coincé dans les débris du couloir qui s’était effondré sur lui. Un rapide coup d’œil à l’écran de groupe lui apprit qu’il souffrait de plusieurs fractures et que sa cuirasse était en pièce détachée. On voyait d’ailleurs que cette dernière était maculée du sang de 5.

                              «
                              - 3, 5 est à terre, couvre le couloir pendant que j’essaye de l’extraire de là !

                              -Reçu. »

                              4 se rendit compte que l’effondrement avait bloqué les jambes de 5 et que ce dernier était inconscient. Il se connecta donc à sa cuirasse et lui ordonna de se déverrouiller au niveau de la partie inférieure. 4 tira alors 5 par les épaules et pût le désincarcérer. En revanche pas moyen de récupérer la partie inférieure de l’armure, celle-ci était vraiment bloquée, et 5 souffrait de multiple fractures et sans soutien mécanique, il n’irait pas bien loin sans qu’on le porte.

                              4 le souleva d’une main grâce aux muscles synthétiques de la cuirasse et le jucha comme un sac de pomme de terre sur son épaule, et, voyant que l’arme de son équipier était elle aussi inutilisable, il dégaina son arme de poing.

                              Alors qu’il rejoignait 3, de nouvelles instructions leur sont parvenues. Ils formaient désormais le groupe Alpha, dont 4 assumerait désormais la direction en temps que plus ancien membre valide du GITT présent. Il répondrait désormais à l’identifiant alpha 1, 3 à celui d’alpha 2 et 5 à celui bien imagé de alpha NO3 (Non Opérationnel 3).

                              En tant que chef de groupe, il avait accès aux identités de ses subordonnées. 2 s’appelait en réalité Zoey Lauriot. Il savait qu’il s’agissait d’une des trois membres au féminin du personnel combattant du GITT, mais il ne les connaissait que de vue, et les dossiers aux quels ils avaient accès étaient dépourvues de photo. Il se demanda si c’était elle qui n’avait pas subit d’ablation mammaire, avant de secouer la tête et de s’injecter une nouvelle dose de drogue de combat : il devait restait concentré sur l’objectif, ne pas penser à ses camarades morts, à sa possible disparition et encore moins aux distractions physiques ! Un bip sonore retentit dans son casque : il n’était pas loin de l’overdose. « Chiennerie » jura 1.

                              NO3 s’appelait Youssef Ayari. Ils mangeaint parfois ensemble au réfectoire et allait siffler quelques bières avec lui à la fin des services car ils habitaient tous deux sur la station Europe. Il était peiné par ses blessures mais pas abattu, Youssef était un bon camarade qui connaissait son métier et les risques.

                              1 ordonna à 2 d’ouvrir la voie une dizaine de mètre devant lui pendant qu’il la suivait avec NO3, car elle était la seule à encore posséder une véritable arme. Ils suivirent l’itinéraire dicté par le Cinglant qui n’arrêtait pas de se modifier au fur et à mesure de leur progression puisque le chemin était sans cesse perturbé par des effondrements et des incendies.

                              Alors qu’ils progressaient dans les quartiers somptueux du Présidentiel à la lueur rougeoyante et glauque des incendies, 1 observa plus en détail le plan pondu par les tacticiens du GITT.
                              La majorité des groupes avait comme alpha salement écopé et la plupart des membres de GITT capable de le faire se repliaient vers les hangars à navette où vers les capsules de secours faute de mieux. Hélas, certaines escouades étaient prises au piège du vaisseau et devait tenter de se frayer un chemin à coup d’explosif si possible. Mais 1 ne se faisait guère de faux espoirs, les IA du Cinglant ne donnait pas plus d’une demi-heure au personnel pour évacuer le Présidentiel car les réacteurs et la station énergétique à hyper-magnétisme étaient hors de contrôle et menaçaient d’exploser.
                              Le reste du personnel opérationnel devait continuer de fixer les défenses terroristes pour permettre à son groupe de finir le boulot. Le groupe alpha avait en effet la possibilité d’atteindre la suite présidentielle où se trouvaient les otages (d’après les profilers) sans rencontrer trop de résistance (d’après les tacticiens).

                              Le groupe alpha devrait ensuite improviser pour sécuriser les otages s’ils étaient encore en vie. On leur avait également dégotté un plan d’extraction : la suite présidentielle était située contre la coque du bâtiment et une navette équipé pour l’occasion se chargerait de créer une ouverture et de les embarquer pendant qu’ils tiendraient la position en espérant qu’ils pourraient se barrer avant que tout explose.

                              1 réprima un juron. D’habitude les tacticiens préféraient les plans sérieux où les groupes sécurisaient méthodiquement chaque itinéraire menant à l’objectif. Une opération aussi hasardeuse ne pouvait qu’être le signe d’une situation désespérée songea t’il.


                              Malgré ses appréhensions, le trajet se passa encombre. Le groupe alpha arrive à l’extrémité d’un corridor menant directement à la salle d’attente précédant la suite présidentielle.
                              2 se plaqua à l’angle du mur et déploya sa caméra télescopique. 1 se brancha sur la fréquence de cette dernière et vit que deux terroristes en cuirasse de combat montaient la garde dans la salle d’attente, à une dizaine de mètre d’eux.

                              1 les désigna comme objectifs et l’aura qui les entourait passa du rouge au blanc. Il posa alors NO3 par terre et se positionna derrière son équipière. Il déclencha alors un compte à rebours.

                              5

                              4

                              3

                              2

                              1

                              2 effectua une roulade latérale, se ramassa, posa un genou à terre et se mit à tirer. Dans le même temps, 1 fit feu avec son arme de poing tout en essayant de rester à couvert de l’angle du mur.
                              Les terroristes mirent une secondes à réagir, une seconde de trop. La puissance de feu des forces du GITT était inférieure mais leurs cuirasses étaient plus perfectionnées et ils encaissèrent mieux les tirs ennemis. Trois seconde après le début de la fusillade, la combinaison d’un des terroristes explosa pendant que l’autre s’effondra, à moitié coupé en deux au niveau de la taille.

                              1 fit signe à 2 d’aller se mettre en position dans la sale d’attente pendant qu’il récupérait NO3, dont l’état ne s’améliorait guère. Mais celle-ci ne s’exécuta pas directement et se tenait la tête entre les mains, toujours agenouillée. 1 pensa à une nausée dû aux drogues mais il la vit arracher son heaume. Ce dernier avait en effet encaissé une rafale et était totalement inutilisable.

                              2 secoua alors sa tête, laissant ses cheveux bruns voler autour d’elle. Ainsi donc c’était bien elle songea t’il en la voyant. Et plus charmante que dans ses souvenirs en plus… 1 s’injecta encore une grosse dose de drogue malgré les récriminations de sa combinaison. Il fallait rester concentré !
                              Son équipière le regarda, hocha la tête, lui adressa un sourire sans joie et partie dans la salle d’attente. 1 la retrouva quelques secondes plus tard chargé de NO3.

                              La pièce était circulaire et n’avait que deux issues : le couloir d’où ils venaient et la porte menant à la suite du président. Un banc de cuir faisait le tour de la salle et les cadavres de cinq gardes du corps du président jonchaient le sol.

                              1 déposa à nouveau NO3 à terre et se positionna à droite de la porte menant à la suite. 2 avait passé une paire de lunette à affichage tactique et avait passé un masque à oxygène devant sa bouche, en prévision d’une possible attaque au gaz. Il regarda l’onglet de groupe : sa cuirasse était opérationnelle à 50% pile poile et celle de 2 à 30% environ. Il ne misait pas gros sur leur chance de réussite.

                              «
                              -Fais un scan de la salle, j’m’occupe des explosifs. »

                              2 appuya sa main droite sur la porte. Une vingtaine de signatures thermiques correspondant à des êtres humains vivants étaient détectées, ainsi que 6 ou 7 correspondant à des cadavres qui n’avaient pas finis de refroidir. « Tout n’est pas perdue » songea 1.

                              «
                              -On gaz et on sécurise » ordonna t’il.

                              Deux secondes plus tard, la porte explosait et les lances grenades intégrés dans leurs bras gauches tirèrent des fumigènes paralysants. Les censeurs visuels passèrent en mode calorifique et sonar.
                              Tout se passa alors très vite.

                              Dix-sept silhouettes portaient la couleur rouge des menaces et seule une possédait l’aura blanche des VIP. Chose étonnante, aucun des terroristes ne portaient de cuirasses. Ce fut un massacre car sans masque à oxygène, les ennemis étaient immobilisés par le gaz paralysant.
                              1 faisait mouche à chaque tir et ses cibles s’effondraient, un trou en plein milieu de la tête tandis que 2 leur déchiqueter littéralement la poitrine avec de petites rafales. Le sang et la cervelle giclaient tandis que les cadavres s’accumulaient, certains littéralement coupés en deux. Tout fut finis en quelques secondes. 2 se précipita dans la salle de bain pour la sécuriser tandis que 1 allait récupérer NO3. Il n’entendit pas de coup de feu et en déduisit donc que la salle de bain était vide, mais alors qu’il déposait son camarade blessé sur le lit du président il entendit sa collègue vomir dans les toilettes.

                              Charmant.

                              Il se plaça ensuite face à la porte, prêt à faire feu en attendant que le gaz se dissipe. Une fois que cela fut fait il alla s’occuper du VIP qui commençait à s’agiter. Ce dernier était ligoté et portait une tenue d’officier : le chef d’état-major Rachid.

                              «
                              -Cinglant, ici alpha 1, le général Rachid est sain est sauf, en attente d’extraction, dit il en le détachant.

                              -Euh… Reçu alpha, aucun signe des autres otages ?

                              -Néga…

                              -Ooooh merde ! »


                              Aux pieds des deux membres du GITT, gisaient les cadavres du président et de ses secrétaires d'état.
                              Dernière modification par Archange, 12-07-2011, 14h10.

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                              • Patch 1.139 ici

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