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    Black & White - 2001 - RPG




    Partie Préliminaire

    J’ai toujours compris que les plus grands jeux de stratégie dataient des années 2000. Car, il faut bien se l’avouer, tout ce qui apparaît aujourd’hui, c’est grâce aux développements antérieurs. Des créateurs fiables, dignes des concepts attendus par les joueurs. En l’occurrence, je l’ai explicité à plusieurs reprises dans mes sujets, on est en effet forcé de constater que l’univers stratégique n’a jamais été aussi fort au début du 21ème siècle. Bien entendu, les graphismes, déplorables maintenant, apportaient de la vitalité à l’époque, tous comme les apports en termes de tactique et de stratégie. On s’amusait non pas raisonnablement mais généreusement. C’est une conception symbolique, je pense me rallier la majorité du forum sur ce point : le miracle stratégique débute par les jeux anciens. On commence l’histoire par l’ancienneté, par des jeux « multiséculaires » pourtant dignes de l’attente des joueurs. En fait, j’estime parfaitement que mon bonheur s’est concrétisé par les premières sorties.

    A ce titre, les développeurs découvraient de nouvelles possibilités, ils fabriquaient pour les joueurs sans connaitre les conséquences futures. Pourtant, ils avaient entièrement raison, corroborant l’univers parallèle informatique. On était le plus souvent transporté, introduit dans un monde gigantesque, on atteignait l’extase totale en s’amusant. Puisque les développeurs ne savaient pas très bien si le jeu serait une réussite ou un crash, ils tentaient en aveugle, et, par la suite, l’accueil des critiques se manifestait en triomphe. Un véritable succès, qui je le rappelle, débute même avant les années 2000. Ce mouvement inaccoutumé s’amplifie une fois l’année symbolique transcendée. En 2001, on distinguait déjà de nombreuses pépites de la stratégie.

    Durant cette période, je n’avais que 6 ans, j’étais encore petit, toutefois, l’univers des jeux vidéo m’appelait, m’attirait. Le tout premier jeu acheté, je ne m’en souviens plus, pourtant, mon armoire demeure remplie à son paroxysme. Aujourd’hui, j’ai décidé de m’attarder sur un jeu qui me plait, et qui m’a étonné. Surprise générale dès sa commercialisation, un opus qui pourra s’avérer assez controversé. En effet, soit, on aimera, soit, on détestera. Fort heureusement, je m’intègre dans ce groupe féroce, tous ces passionnés qui ont apprécié l’univers Black & White sous l’égide de Lionhead et Electronic Arts.



    Présentation

    Le monde est ce que vous en faites: Cette citation en dit beaucoup sur l’univers appréhendé par les joueurs/développeurs. Black & White est un jeu vidéo sur PC édité et développé par Lionhead & Electronic Arts, commercialisé en 2001. Comme je le mentionnais, cette année risque de rester dans les annales de la stratégie pour tous les passionnés d’univers parallèle. En l’occurrence, avec cet opus, on se transforme en dieu vivant, on doit, en quelque sorte, évoluer dans un monde ouvert, gigantesque, renforçant l’impression de jouissance. Mais, tout d’abord, avant d’extrapoler notre conception du jeu, qu’est-ce que c’est ? Eh bien, dans ces conditions, la problématique ne déroge pas à la règle de la simplicité.

    Black & White est un jeu d’espace transcendant les hommes, on incarne un dieu, un être tout puissant qui doit mener son peuple vers son salut. Toutefois, cette incarnation magique ne sera pas sans obstacle. Vous serez amené à combattre, défendre vos intérêts, contre des dieux conquérants, hostiles. Cet opus se cristallise formidablement dans la stratégie et la tactique. Le joueur parviendra-t-il à souiller l’univers des dieux concurrents ? Autrement dit, l’objectif principal, est d’améliorer les intérêts de son peuple, parallèlement, on monte en termes de niveau, on devient plus fort, on développe de nouvelles capacités. C’est donc un jeu progressif, stratégique, tactique mêlant intelligence et sagesse. Bien entendu, nous verrons plus précisément cette approche dans la section « Impression » In Infra.



    Remarque Importante

    Cet opus n’est pas resté isolé. C’est ma remarque du jour. En fait, les mêmes développeurs ont réitéré l’aventure 4 ans plus tard, en 2005, tout en tergiversant l’univers du premier opus. En effet, ils ont continué le domaine des dieux mais en améliorant certains points, ajoutant subsidiairement une petite dose de gestion. Ce second volet fera l’objet d’un autre sujet de notre part.


    Impression

    Pour débuter la section centrale, je réponds favorablement aux développeurs, en 2001, j’estimais un jeu cohérent, original, épatant, sous un regard de 2015, on dira un jeu ancien, vieux, décadent, décousu, mauvais etc. Mais mon regard porte sur l’année ou je l’ai découvert, soit, en 2005, à l’âge de 10 ans. Il est vrai qu’à cette époque, je n’étais pas forcément très intelligent, je pouvais m’exalter d’un jeu mauvais comme d’un jeu efficace. C’est cette dernière approche que nous retiendrons pour l’opus analysé.

    En effet, Black & White nous plonge facilement dans un univers inédit, nouveau pour 2001, répétitif par la suite. Le domaine des dieux demeurait avantageux, car, j’adorais les jeux parallèles nous obligeant à apprécier les choses différemment, sous un autre angle. De ce point de vue, j’estime parfaitement une observation attentive du jeu en lui-même. En fait, on ne le dira jamais assez, mais autant se répéter pour la bonne cause, aujourd’hui, si on continue d’évoluer, du moins, je parle des développeurs, c’est principalement par le biais d'une longue évolution, idéal qui prend source dans les années 1990-2000, voire, même avant. En 2001, les développeurs ressentaient ce besoin d’innover, de changer l’interprétation du joueur.

    Bien entendu, le résultat sera de loin positif, car, les effets restent bouleversants, témoignant humour, sagesse et travail. D’abord, concernant l’humour, eh bien, d’emblée, on découvre des animaux loufoques, déstabilisés par une 3D grotesque mais efficace. On transforme les comportements, les bruits, les sons, les mouvements. C’est parfait pour se taper une bonne barre de rigolade. Ensuite, sagesse, car il ne faut pas éloigner l’objectif principal, soit, mener sa communauté vers le salut, la perfection. On doit la protéger, donc, malgré une bonne dose d’humour, on se reprend, on devient plus sage. En l’occurrence, on veille à une population éclatante, libérée du mal absolu. A cet égard, la population compte sur les talents du joueur.




    Enfin, travail, car cette progression ne passera que par une évolution laborieuse. Notre dieu devra monter les échelons, difficilement, en combattant des concurrents. Alors, les batailles sont amusantes, une forme de Taken redimensionné sous un autre angle. A ce titre, avec les Taken, on se situait sur de la violence purement et simplement. Avec ce premier Black & White, certes, on trouvera de la violence, des bastons originales, éclatant la conception du jeu vidéo, mais il y aura toujours ce panachage bluffant, vous savez, travail, humour et sagesse. En effet, le travail passera par la sagesse, protéger son peuple pour une bonne cause. Ce que j’estime revitalisant, ce sont les nombreux effets spéciaux, ou plutôt, les effets de surprise.

    En fait, je pense à la lumière qui entoure notre dieu, ses pouvoirs, son comportement. On remarquera également sa dimension surpassant celles des hommes, des dieux parfois loufoques mais tellement réalistes pour l’époque. L’environnement naturel me surprenait, même en 2005. Comme je débutais durant cette période, les jeux avaient évolué, progressé. Eh bien, sous cet aspect, j’adorais ce jeu initié en 2001 par des développeurs honnêtes, intelligents et sages. Ils ont consolidé un univers complet, jouissif, jubilatoire. Ce qui m’a épaté, ce sont les techniques parfois laborieuses utilisées par notre héros, des agissements à la Ninja Jump ou à la Jackie Chan (toutefois, ce dernier avait les abdos, la vache ne les aura pas dans le jeu ). Entre temps, pour étudier son personnage, il faut considérer fidèlement sa population. En fait, la population ne progressera qu’avec les exploits de son dieu sur le champ de bataille. Plus on deviendra puissant, plus la communauté se sentira en sécurité.




    J’aimerais exposer quelques mots, pour terminer, sur l’ambiance. Malgré des dires s’apparentant principalement à l’atmosphère, je pense que les développeurs ont surpassé mes attentes en ajoutant de nombreux effets insolites. Des effets qu’on ne découvre qu’au cours d’une partie, par exemple, les techniques du dieu qui évoluent, sa progression ouvre la porte à de nouvelles éventualités. Autrement dit, plus on avance dans la partie, plus le jeu gagne en puissance. Alors, on se transforme constamment dans un monde ouvert, on s’amuse sans arrêt. Les sons avantagent ce glissement d’univers, du réel vers le fictif.

    Les graphismes concernent la 3D, l’environnement, les sons, et plus généralement, l’aspect tactique/stratégique. On ne se sent pas seul car on finit par incorporer son dieu, comme pour les World of Warcraft, on comprend son personnage, on connait ses points forts et ses faiblesses etc. Et, on fait avec, la population subsidiairement. Il semble opportun d’apporter quelques informations dans une conclusion. Conclusion qui ne sera qu’une répétition de ce que j’ai développé dans cette impression générale soit : un jeu innovant, jouissif et original. Toutefois, on n’écartera pas non plus le jeu bizarre, quelque peu authentique.



    Conclusion

    Black & White malmène le joueur. Cet opus apporte jouissance et réflexion, sagesse et travail. Evoluer ne sera pas chose aisée, consolider une communauté imposera une charge de corvée considérable. Je pense bien entendu à tous les dieux concurrents qui nous attaqueront tout au long de la partie. Un univers tactique atomisé dans le domaine des dieux, qui éclate la conception normale des jeux vidéo. Autrefois, on combattait entre les hommes, avec les développeurs, on tentera l’aventure en incarnant un dieu, n’est-ce pas une prouesse avantageuse quand on aime les mondes excentriques ?

    Pour simplifier, j’estime un jeu riche en termes d’efficacité à l’époque. Certes, il demeurera à jamais controversé, car, comme je le disais dans ma partie préliminaire, soit, on aimera, soit, on détestera. En effet, il y a une part d’humour qui revient. Je ne crois pas que tous les individus seront tentés de jouer une vache en folie, ou un quelconque autre animal. Pourtant, c’est un atout épouvantable, l’humour et la joie répondront présentes pour notre plus grand plaisir. La 3D m’a amusé étonnement, un univers surpassant complètement mes attentes de joueur. En fait, Black & White est un jeu bizarre, entaché par du surnaturel, du fantastique et du parallèle. Toutefois, on est forcé de constater qu’en 2001, les développeurs apportaient de la fraîcheur, une grande bouffée d’oxygène. Ils revitalisaient la stratégie sous un autre angle. Agile, rapide, fiable, cohérent, tant de mots qui s’agitent dans mon esprit, j’explose et je rayonne en regardant les quelques images. Mon bonheur enfantin s’est introduit par des vieux jeux, des jeux décadents, mais des bons jeux, parfois même, des très bons jeux. Je me souviens avoir commenté un certain Tintin, j’envisageais inévitablement la même conclusion. Un opus qui nous amusait éternellement, ou tout simplement, un opus qui nous élevait intellectuellement.

    Je dirai plus symboliquement, un jeu qui participait à notre éducation informatique. Bien sûr, on constatera de nombreux opus, dont quelques-uns ont fait l’objet d’analyse, comme la série des Grands Bâtisseurs, Star Wars : Galactic Battlegrounds etc. A chaque fois, je revenais au même point, soit une excellente jouabilité, de l’humour, de la réflexion, de la sagesse, du bonheur, du talent etc. Pour l’opus commenté, il n’y échappe pas, il ne reste pas cantonné, une époque enrichie par des développeurs perspicaces. Par conséquent, un opus qu’on regardera joyeusement, un opus qu’on n’accueillera toujours favorablement. Enfin, un opus qu’on n’oubliera pas.



    Quelques Aperçus

    Malheureusement, en la matière, peu de joueurs ont répondu présents pour montrer l'univers du jeu en vidéo (dommage):




    On remerciera Gamer11277, un acharné de l'ancienneté, ou plutôt, un nostalgique. Par conséquent, je pense apposer quelques images pour enrichir le sujet:


    Dernière modification par Strabon, 25-03-2015, 07h37.

  • #2
    j'ai adore autant le 1 que le 2 ces dommage que sa na pas eu le succès qu'il méritait car il y aurait moyen de faire quelque chose de jouissif avec les mécaniques de ce jeux et les technologies actuelle

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    • #3
      En effet, cet opus méritait un petit sujet sur le forum, car nombreux sont les jeux excellents qui s'éclipsent rapidement. Comme tu le dis si bien, dommage

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      • #4
        et pour s'éclipser c'est du radical je l'ai plus trouver en magasin depuis des années mais je garde une version copiée du 2 bien précieusement j'aurai bien 2 ou 3 jeux a présentés aussi mais j'ai pas le courage de faire des aussi grandes présentations que celles dont vous avez l'habitude

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        • #5
          Il faut pourtant, ça m'aiderait dans mon travail ! Prochain sujet, que j'ai d’ailleurs évincé sans le faire exprès, c'est l'extension de Black & White : Creature Isle !

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          • #6
            je l'ai pas bien connu celui la avec regret d'ailleurs sa me fait penser qu'un de ces 4 faudrait que je regle mon bug graphique avec le mod pour avoir la tortue

            je le ferais surement quand j'aurais moins de travail pour le moment je profite au plus de mes moments de repos

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